Villebon-sur-Yvette

Villebon-sur-Yvette (prononcé [vilbɔ̃ sʏʁ ivɛ] ) est une commune française située dans le département de l’Essonne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Villebon.

Villebon-sur-Yvette

L’hôtel de ville.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Palaiseau
Intercommunalité Communauté d'agglomération Paris-Saclay
Maire
Mandat
Dominique Fontenaille (DVD)
2020-2026
Code postal 91140
Code commune 91661
Démographie
Gentilé Villebonnais
Population
municipale
10 546 hab. (2018 )
Densité 1 423 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 01″ nord, 2° 13′ 40″ est
Altitude Min. 43 m
Max. 164 m
Superficie 7,41 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton des Ulis
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Villebon-sur-Yvette
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Villebon-sur-Yvette
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Villebon-sur-Yvette
Liens
Site web villebon-sur-yvette.fr

    Village agricole jusqu’à la fin du XIXe siècle, situé à l’extrémité de la vallée de Chevreuse, Villebon-sur-Yvette a connu dès le début du XXe siècle une urbanisation de villégiature puis de résidence avec l’arrivée du chemin de fer, qui en fait aujourd’hui une commune pavillonnaire de l’unité urbaine de Paris.

    Avantagée par la présence sur son territoire du parc d'activités de Courtabœuf, du Grand Dôme et de la zone commerciale de Villebon 2, c’est devenu une des communes les plus « riches » du département.

    Ses habitants sont appelés les Villebonnais[1].

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Situation

    Villebon-sur-Yvette se situe dans la région naturelle du Hurepoix au sud de la vallée de la rivière l’Yvette, aussi appelée vallée de Chevreuse, sur un terrain composé de meulière, sable et argile.

    Un important site d’émission de radio et de télévision se trouve à Villebon-sur-Yvette. Il couvre le sud-ouest de la région parisienne.

    Villebon-sur-Yvette est située à vingt kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[2], point zéro des routes de France, dix-sept kilomètres au nord-ouest d’Évry[3], deux kilomètres au sud-ouest de Palaiseau[4], sept kilomètres au nord-ouest de Montlhéry[5], douze kilomètres au nord-ouest d’Arpajon[6], quatorze kilomètres au sud-est de Versailles[7], vingt-et-un kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[8], vingt-cinq kilomètres au nord-est de Dourdan[9], vingt-six kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[10], trente kilomètres au nord d’Étampes[11] et trente-sept kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[12].

    La commune de Villebon-sur-Yvette est située à quatre-vingt-deux kilomètres de son homonyme Villebon en Eure-et-Loir[13].

    Hydrographie

    L’Yvette dans le parc de la Mairie.

    La commune est située sur la rive droite de l’Yvette qui fait office de frontière entre Villebon-sur-Yvette et Palaiseau puis Champlan sur 1,713 km[14].

    Le débit moyen de la rivière, mesuré dans la station communale s’étage entre 0,876 mètres cubes par seconde en septembre et 2,03 mètres cubes par seconde en février. Le débit maximal instantané mesuré à 18,2 mètres cubes par seconde intervint le lors d’une crue où la rivière atteint une hauteur de deux cent trente-trois centimètres[15].

    Plusieurs ruisseaux parcourent le territoire de la commune. De l’amont à l’aval passent le ruisseau de la Butte Sainte-Catherine, le Vatancul, le Cretel, le ruisseau du Parc et à la limite avec Champlan le ruisseau de Paradis et la Boële, qui n'est pas un affluent de l'Yvette, mais une dérivation partielle, artificielle de l'Yvette et qui a été terminée en 1932.

    Relief et géologie

    Villebon-sur-Yvette au cœur de la vallée de l’Yvette.

    Le relief de Villebon-sur-Yvette est caractérisé par sa situation dans la vallée de l’Yvette. En bas de la vallée, le point le plus bas se situe à quarante-trois mètres. Sur le plateau de Courtabœuf, le point le plus élevé est à cent soixante-quatre mètres. Entre ces deux points, la distance est parfois inférieure à un kilomètre. Les pentes sont donc relativement fortes, notamment dans le quartier Suisse. Sur le flanc est, entre le plateau et la rivière se trouve une grande plaine cultivée en pente douce nommée La Plesse. Un escalier de cent-soixante-deux marches sur cent-trente mètres permet de gravir la butte Sainte-Catherine dans la rue Daubigny.

    La commune est située sur un terrain mêlant argile dans le fond de la vallée, sable et meulière sur les hauteurs[16].

    Communes limitrophes

    Villebon-sur-Yvette est située sur la rive droite de l’Yvette, qui la sépare du nord-ouest au nord-est de Palaiseau et à l’est de Champlan. Sur la même rive, à l’ouest, le bois de la Grille Noire la sépare d’Orsay et au sud-est, la zone d’activité de La Prairie est limitrophe de Saulx-les-Chartreux. Sur le plateau de Courtabœuf, au sud se trouve Villejust et au sud-ouest Les Ulis qui chacune partagent leur territoires pour accueillir le parc d'activités de Courtabœuf.

    Communes limitrophes de Villebon-sur-Yvette
    Palaiseau
    Orsay Champlan
    Les Ulis Villejust Saulx-les-Chartreux

    Climat

    Villebon-sur-Yvette, située en Île-de-France, bénéficie d’un climat océanique dégradé.

    Voies de communication et transports

    L’autoroute A10 à Villebon-sur-Yvette.

    Le territoire communal est traversé par plusieurs grands axes routiers. Le premier en importance est l’autoroute A10 qui traverse tout le territoire du nord au sud-ouest dans une tranchée séparant le centre-ville des espaces de culture. D’est en ouest, elle est traversée dans le bois des Gelles par l'ex-RN 188 qui reprend le tracé de l’ancienne voie ferrée de la ligne Paris - Chartres par Gallardon. Elle complète la route départementale 988, la route de Paris à Chartres qui traverse le nord-ouest sous l’appellation d’avenue du Général-de-Gaulle. Enfin, la route départementale 59 relie le plateau de Courtabœuf à Palaiseau par les champs sous l’appellation d’avenue de la Plesse. Au total, six ponts permettent la traversée de l’Yvette vers la commune voisine de Palaiseau.

    Sous le plateau de Courtabœuf et les quartiers de Villiers et des Sablons passe le tunnel de Villejust de la LGV Atlantique, construit en 1985. Achevé en 1989, il aura nécessité l’extraction de 600 000 m3 de sable, la pose de 50 000 voussoirs et de 100 000 m3 de béton armé.

    La commune ne dispose plus de gare sur son territoire depuis la fermeture de la gare de Villebon-État. Elle est aussi fortement liée à la ligne de Sceaux utilisée par la ligne B du RER d'Île-de-France sur le versant nord de la vallée avec la gare de Palaiseau - Villebon et la gare de Lozère. L’ancienne gare de Villebon-État, près du centre culturel, et certains ponts ou tunnels du quartier suisse sont les vestiges de la ligne Paris-Chartres par Gallardon. Une locomotive à vapeur est toujours exposée sur un tronçon de rail.

    Ces deux gares sont d’ailleurs desservies par le service de transports en commun assuré par la ligne 19 du réseau de bus Paris-Saclay qui parcourt la commune de 6h00 à 20h00 et un service de transport à la demande qui est réservé aux personnes âgées, notamment vers les centres commerciaux et les marchés. S’ajoutent à cela la ligne de bus RATP Noctilien N122 qui s’arrête à la station « Les Suisses-Lozère » entre 0h30 et 5h30 et les autobus du réseau de bus Keolis Meyer DM12 et DM153 depuis Massy-Palaiseau aux stations « La Bretêche » et « École de l’Île-de-France ».

    L’aéroport de Paris-Orly, situé à dix kilomètres au nord-est, est accessible par l’Orlyval avec correspondance à Antony par le RER B direction Aéroport Charles-de-Gaulle 2 TGV, la commune se trouve d’ailleurs dans l’axe du couloir aérien des pistes 3 et 4 de l’aéroport. L’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle situé à quarante-deux kilomètres au nord-est est accessible directement par le RER B direction Saint-Rémy-lès-Chevreuse. L’aviation d'affaires est orientée vers l’aéroport de Toussus-le-Noble à dix kilomètres au nord-ouest.

    Lieux-dits, quartiers et écarts

    La commune se divise en trois ensembles séparés par des cultures ou le massif forestier. Ces ensembles disposent chacun de quartiers. Au nord-est, le site historique avec le Village, la Prairie, la Plesse, la Bretêche, le Regard et la Tournelle. Au sud-est, le hameau de Villiers et le parc d'activités de Courtabœuf cernés par les cultures. Enfin, du sud-ouest au nord, dans la vallée, la ville résidentielle et ses quartiers d’habitations historiques ou récents des Sablons, Maraîchers, la Roche, les Casseaux, les Foulons, le Quartier Suisse, Bel-Air, le Beau-Site, et Fourcherolles.

    Occupation des sols simplifiée

    Le territoire de la commune se compose en 2017 de 35.53 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 11.64 % d'espaces ouverts artificialisés et 52.82 % d'espaces construits artificialisés[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Villebon-sur-Yvette est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[21] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

    Toponymie

    Villabona au XIIe siècle[26],[27].

    En 1922[28] fut ajoutée la référence à la rivière pour distinguer la commune de son homonyme située en Eure-et-Loir.

    Histoire

    Les origines

    Des fouilles préventives effectuées aux Sablons pour le percement du tunnel du TGV en 1984 ont mis au jour près de trois cents pièces, outils façonnés et déchets de tailles, datant du Paléolithique supérieur.

    Plus tard une Villa-Bona gallo-romaine donnera son nom à Villebon.

    Une légende raconte qu’en 451, sainte Geneviève, après avoir protégé Paris de l’avancée des Huns s’arrêta pour se désaltérer dans une source qui porte son nom dans le parc actuel du château.

    En 745, le roi Pépin le Bref fit don du fief de Palaiseau à l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés. En 815, le recensement établit une population de deux cent quatre-vingt-trois personnes sur le territoire de Villebon. En 992, une bataille se déroula dans la plaine entre La Plesse et Villefeu. Les belligérants étaient Bouchard, comte de Corbeil et vassal de Hugues Capet et Eudes Ier de Blois, soutenu par Richard Ier de Normandie. Villebon était alors à la frontière du domaine royal. Jusqu’en 1056, l’histoire de Villebon fut liée à celle de Palaiseau. À cette date, Fromand de Paris devint le premier seigneur de Villebon. C’est son fils, Aszo qui le premier prit le nom de Villabona en 1092, et fit construire une ferme fortifiée sur l’actuel site du château de Villebon-sur-Yvette. Gautier de Villebon fut également seigneur de Villabona, et Hugues, son fils, demanda dans son testament, qu'après la mort de son père, les moines détiendraient la dîme et les sépultures du village (les seigneurs laïques avaient un droit sur les cimetières)[29].

    Villebon seigneurie et château
    Carte de « Vilbon » d’après Cassini.

    En 1474 le domaine de Villebon devint la propriété de la famille de Thou. En 1512, Augustin de Thou fit construire à la place de la demeure existante le petit Château de Villebon-sur-Yvette, de style Renaissance dont subsiste aujourd’hui le pavillon Henri IV. En 1563, Nicolas de Thou, seigneur de Villebon et évêque de Chartres, obtint du roi Charles IX l’établissement d’un marché tous les jeudis et deux foires, le 27 septembre et le 12 novembre, donnant ainsi à Villebon une certaine reconnaissance. En 1587, il fit bâtir une chapelle à Villebon sous l’invocation des saints Côme et Damien.

    En 1611, un incendie ravagea le château. Jacques Auguste de Thou confia à Louis Métezeau, architecte du roi Henri IV sa reconstruction, qu’ils ne purent finir. Le domaine fut alors vendu en l’état en 1626 à André Ier Potier de Novion, président au parlement de Paris, qui acheva la restauration du château. Son fils, Nicolas Potier de Novion l’agrandit par deux ailes. Le , il obtint de l’archevêque de Paris d’ériger Villebon en paroisse, contre dédommagement au curé de Palaiseau. C’est aussi en 1648 que fut aménagé l’escalier de la rue Daubigny comptant cent soixante deux marches pour gravir la butte Sainte-Catherine[30]. Le s’ouvrit le registre paroissial.

    La Révolution française

    Le , l’assemblée du tiers état rédigea le cahier de doléances. Le , la population élit les membres du conseil général de la paroisse. En 1793, la cour d'appel de Paris décida que l’Yvette sépare les deux communautés de Villebon et de Palaiseau. En 1806, la propriété de Villebon revint au comte Alfred-Félix de Montesquiou-Fezensac qui construisit le presbytère et l’orangerie du château.

    Les temps modernes et l’essor

    Le domaine fut rapidement revendu en 1832 au baron Laurent-Antoine-Isidore de Nivière, maire de la commune, qui laissa par testament dix mille francs pour en distribuer les intérêts aux familles nécessiteuses. Son fils, Louis, offrit en 1855 le terrain qui accueille le nouveau cimetière. Élu maire à son tour, il accorda à quarante-huit familles de Villebon les soins médicaux gratuits. En 1846, Villebon fit l’acquisition d’une pompe à incendie. Le fut inaugurée l’école-mairie, actuel conservatoire de musique[31]. En 1864 fut construit le Haras de Villebon et en 1889, la cloche de l’église fut bénie par le père Émile Lapchin, curé de Villebon.

    En 1899, arrivée de l’éclairage au gaz dans les rues et à l’école, suivie en 1906, de l’installation de l’électricité pour l’éclairage et le chauffage privé puis, en 1907, de l’éclairage électrique public. 1912 vit l’attribution d’un facteur-receveur pour la commune de Villebon. L’arrivée des lignes de chemin de fer jusque Paris au début du XXe siècle permit à Villebon, comme ses voisines, de développer une activité de villégiature pour les Parisiens. De cette époque datent les quartiers Suisses, Bel-Air, Beau-Site et l’expansion de Villebon sur les coteaux de l’Yvette.

    Le , la Société Immobilière de l’École de l’Île-de-France, représentée par M. Hawkins, ancien élève de Cambridge acquit le château, ses dépendances et les cent hectares de bois et prés alentour pour un million de francs. L’internat, divisé en quatre pavillons regroupant chacun vingt-cinq à trente élèves de sept à dix-huit ans, et deux maîtres accueillait les enfants d’officiers français et étrangers tués lors de la Première Guerre mondiale, pour un coût de dix mille francs par an. Ils disposaient de l’électricité, du chauffage central, de l’« hydrothérapie » et du téléphone.

    Le fut inauguré le monument aux morts[32]. En 1927 fut mise en service la gare de Villebon-État sur la ligne Paris - Chartres par Gallardon[33]. Le , un incendie ravagea le pavillon Sully et les salles de cours. L’école ferma ses portes. Une nouvelle école, tenue par les frères lazaristes ouvrit en 1967 et ferma l’année suivante pour laisser la place à un centre de retraites spirituelles. Aujourd’hui, ce centre partage le domaine avec un collège et lycée privé qui utilisent toujours le nom d’Île-de-France.

    En 1922[28], à la suite de certaines confusions avec la commune de Villebon en Eure-et-Loir, la commune adopta le nom de Villebon-sur-Yvette, en référence à la rivière qui coule sur son territoire.

    L’Entre-deux-guerres vit la ville se moderniser, généralisation de l’électricité, du gaz, de l’eau courante et du téléphone, modernisation de gare de Palaiseau - Villebon, construction du groupe scolaire des Casseaux (1931), construction de la chapelle Saint-Sébastien en 1938. Le à 18 h 30, la station d’émission de Villebon-sur-Yvette diffusa son premier programme, un concert[34].

    Durant la Seconde Guerre mondiale, le château fut occupé par les Allemands qui en firent une kommandantur et un poste de la Waffen-SS. À quelques centaines de mètres de là, Jacques Duclos, dirigeant du PCF clandestin se cacha de 1941 à 1944 dans la villa de l’Oasis au hameau de Villiers. Comme la région, la ville fut libérée le par la division Leclerc. Durant cette période, deux villebonnaises se sont illustrées et ont été récompensées par le titre de Juste de France, Lucienne Reuter en 1995[35] et Julie Thelliez en 2002[36].

    En 1961, l’OAS sabota l’émetteur de Villebon mais il fut remis en état et complété en 1965 d’une deuxième antenne. En 1969, la commune accueillit le départ du prologue de la course cycliste Paris-Nice.

    Cette modernisation de Villebon-sur-Yvette se poursuivit après-guerre avec la construction du collège Jules-Verne, le développement des parcs d’activités de Courtabœuf et La Prairie, les grands travaux de 1988 avec l’inauguration de l’hôtel de ville par Charles Pasqua, du nouveau centre-ville avec l’école Andersen et de la résidence pour personnes âgées Alphonse-Daudet, du centre sportif Saint-Éxupéry, du centre culturel Jacques-Brel, du conservatoire Erik-Satie et plus récemment, Le Grand Dôme et la zone commercial de Villebon 2.

    Politique et administration

    Position de Villebon-sur-Yvette en Essonne.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[37], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement de Palaiseau, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Essonne

    Elle faisait partie de 1801 à 1975 du canton de Palaiseau, année où elle devient chef-lieu du canton de Villebon-sur-Yvette[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle intègre le canton des Ulis.

    La commune est rattachée à la juridiction d’instance de Palaiseau, de grande instance et de commerce d’Évry[38], à la cour d'appel de Paris.

    Depuis , la commune est au cœur de l’opération d'Intérêt National de Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines[39].

    Intercommunalité

    La ville faisait partie de la communauté d'agglomération Europ'Essonne, créée fin 2006.

    Dans le cadre de l'achèvement de la coopération intercommunale prévue par la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, le schéma régional de coopération intercommunale arrêté par le préfet d'Île-de-France le 4 mars 2015 prévoit « la fusion de la communauté d'agglomération du Plateau de Saclay et de la communauté d'agglomération Europ'Essonne, et extension du périmètre du nouveau regroupement aux communes de Verrières-le-Buisson et Wissous ».

    C'est dans ce cadre qu'est créée le la communauté d'agglomération Paris-Saclay[40], dont est désormais membre la commune.

    En 2017, Villebon-sur-Yvette est également membre des syndicats de communes et syndicats mixtes suivants[41] :

    Tendances et résultats politiques

    Une section du Parti socialiste et de l’Union pour un mouvement populaire sont présentes dans la commune.

    La commune se caractérise par une ambivalence politique marquée, avec une reconduction depuis vingt-cinq ans du conseil municipal et du conseiller général de droite et une prédominance du vote de gauche aux élections supra-locales, se distinguant ainsi des autres communes du canton de Villebon-sur-Yvette ou du département dans sa globalité.

    Ainsi lors de l’élection présidentielle de 2007, Ségolène Royal est arrivée en tête à Villebon-sur-Yvette avec 51,21 % des suffrages alors que le département choisissait Nicolas Sarkozy à 52,08 %[45], de même la députée Nathalie Kosciusko-Morizet fut réélue à 56,09 % sur l’ensemble de la quatrième circonscription[46] alors que les électeurs villebonnais choisissaient le dissident Olivier Thomas (PS) à 50,01 % des voix. Cette tendance au vote à gauche s’est aussi manifesté en 2002 lors de l’élection présidentielle avec le rejet de l’extrême droiteJean-Marie Le Pen n’a recueilli que 10,39 % contre 15,04 % en Essonne[47] et 14,43 % en Île-de-France[48].

    À l’inverse, le chiffre record de 58,54 % pour le Oui au Référendum de 2005 montre une nette divergence avec le reste du département qui rejetait le texte à 50,71 %[49]. L’analyse des élections municipales et cantonales de 2008, qui ont nettement accordées la majorité des voix à l’équipe sortante divers droite dès le premier tour (respectivement 56,33 % et 51,47 %) tend à montrer que les électeurs villebonnais distinguent les élections nationales des élections locales, favorisant une certaine continuité locale depuis maintenant vingt-cinq ans et au contraire choisissant la rupture ou la contestation aux échéances nationales.

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections européennes

    Résultats des deux meilleurs scores

    Élections régionales

    Résultats des deux meilleurs scores :

    Élections cantonales et départementales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Élections municipales

    Résultats des deuxièmes tours :

    Référendums

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[70].
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1953 Jean Jammes    
    1953 1954 Germaine Martinon    
    1954 1957 Robert Marcault    
    1957 1966 Fernand Breton    
    1966 mars 1977 Jean-Didier Condut    
    mars 1977 mars 1983 André Thiry PCF  
    mars 1983 mars 2003[71] Gérard Nevers UDF Dirigeant du club local de volley[72]
    Conseiller régional[Quand ?]
    Conseiller général de Villebon-sur-Yvette (1983 → 2003)
    Décédé en fonction
    mars 2003[73] octobre 2021 M. Dominique Fontenaille DVD Directeur pédagogique ESED
    Conseiller général de Villebon-sur-Yvette (2003[74] → 2015)
    Conseiller départemental des Ulis (2015 → 2021)
    Vice-président de la CA Europ'Essonne ( ? → 2016)
    Vice-président de la CA Communauté Paris-Saclay (2016 → octobre 2021)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[75],[76]
    Démission en octobre 2021 de la mairie et de la vice-présidence pour raisons de santé[77].

    Finances locales

    La commune disposait en 2009 d’un budget de 40 014 000  dont 27 592 000  de fonctionnement et 12 422 000  d’investissement[78], financés à 23,90 % par les impôts locaux[79], la dette municipale s’élevait la même année à 27 646 000 [80], en 2004 elle employait quatre cent quatre personnes et gérait 54 448 mètres carrés de locaux et trente et un kilomètres de voirie communale. Les taux d’impositions en 2009 s’élevaient à 11,91 % pour la taxe d'habitation, 16,39 % et 43,84 % pour la taxe foncière sur le bâti et le non-bâti, 16,99 % pour la taxe professionnelle, commune à toutes les communes membres de la communauté d'agglomération Europ'Essonne[81]. L’importance du budget en regard du nombre d’habitants (comparable au budget de commune deux ou trois fois plus peuplées) et la faiblesse relative des taxes communales valent à Villebon-sur-Yvette le surnom de « Monaco essonnien » dans les milieux politiques du département[82].

    En 2009, la commune, avec trois cent soixante-six logements[83], ne comptait que 9,46 % de logements sociaux, loin de respecter la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains[84].

    Politique de développement durable

    Le réseau d’eau potable de la commune est depuis 2008 certifié comme respectant les critères de la norme ISO 14001[réf. nécessaire].

    La municipalité s’est engagée dans une politique de construction ou rénovation des bâtiments communaux selon les préconisations de la démarche HQE[réf. nécessaire]. Un projet de station d’épuration est en cours[Quand ?],[réf. nécessaire].

    Jumelages

    Villebon-sur-Yvette a développé des associations de jumelage avec[85] :

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[86]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[87].

    En 2018, la commune comptait 10 546 habitants[Note 3], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    630704676634644626656654679
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    662688725699729711733775790
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7767348091 1811 6211 8291 6951 8602 370
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 0334 9497 2347 7289 0809 3739 6009 6379 859
    2017 2018 - - - - - - -
    10 48910 546-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[88].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Des débuts du recensement des personnes jusqu’au début du XXe siècle, le village rural a connu une relative stabilité du nombre d’habitants. À partir du deuxième quart du XXe siècle, l’engouement des parisiens pour le caractère champêtre de la commune entraîna un doublement de la population jusqu’au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, la commune perdit quatre-vingt-une personnes lors des combats de 1914-1918 et 1939-1945[89]. Les années 1960 et 1970 virent la construction de lotissements pavillonnaires puis d’immeubles collectifs par la municipalité de gauche.

    L’évolution continua avec la création du nouveau centre-ville dans les années 1980 et de nouveaux logements dans les années 1990 pour se rapprocher du palier des dix mille habitants au début du XXIe siècle. Toutefois, l’accroissement se fait moins rapidement, les terrains constructibles étant presque tous occupés.

    En 1999, 10,5 % des foyers étaient des familles monoparentales, 4,7 % de la population était étrangère[90]. Parmi cette population d’origine étrangère, la plus importante est celle venant du Portugal avec 2,5 % du total[91].

    Pyramide des âges en 2009
    Pyramide des âges à Villebon-sur-Yvette en 2009 en pourcentages[92].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,4 
    4,0 
    75 à 89 ans
    6,0 
    11,9 
    60 à 74 ans
    13,0 
    22,1 
    45 à 59 ans
    23,2 
    21,7 
    30 à 44 ans
    21,7 
    22,1 
    15 à 29 ans
    18,7 
    18,1 
    0 à 14 ans
    16,9 
    Pyramide des âges en Essonne en 2009 en pourcentages[93].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,4 
    75 à 89 ans
    6,7 
    11,3 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,9 
    45 à 59 ans
    20,0 
    21,9 
    30 à 44 ans
    21,4 
    20,6 
    15 à 29 ans
    19,2 
    21,7 
    0 à 14 ans
    20,0 

    Villebon-sur-Yvette est une commune à la population relativement jeune, caractérisée par une forte présence de baby boomers et de génération suivante, en âge d’être actifs professionnellement. Les personnes âgées sont relativement peu représentées, caractéristique commune à l’ensemble de la région, lieu d’immigration de travail puis d’émigration en fin de vie. La part des enfants et adolescents est plus importante que dans les communes voisines, signe de la présence de nombreuses jeunes familles. En 1999, 31,8 % de la population villebonnaise avait moins de vingt-cinq ans[94].

    Équipements scolaires

    La commune est rattachée à l’académie de Versailles.

    Plusieurs structures accueillent en 2010 les élèves de la ville, le jardin d’éveil Jacques-Brel, trois crèches, Joachim-du-Bellay, Les Casseaux et La Basse-Roche et la crèche familiale, trois écoles maternelles et élémentaires, La Roche, Les Casseaux, maternelle Charles-Perrault et élémentaire Andersen[95], le collège public Jules-Verne[96], qui dispose d’une section SEGPA et un collège et lycée privé catholique[97] de l’Île-de-France[98], le centre de loisirs au Bois des Gelles. L’association Interval vient en aide à la jeunesse en difficulté de la commune[réf. nécessaire].

    En 2008, la ville accueille aussi les locaux de l’École supérieure d'administration de l'Armement (ESAA)[99] qui forme les officiers administratifs de la Direction générale de l'Armement (DGA) et participe aux journées d’appel de préparation à la défense.

    Équipements culturels

    En regard de sa taille modeste, la commune dispose de nombreuses infrastructures culturelles, parmi lesquelles, la ludothèque des Casseaux, la médiathèque des Maraîchers, le conservatoire Erik-Satie qui accueille six cents élèves, la MJC Boby-Lapointe[100], le Centre culturel Jacques-Brel, salle polyvalente de six cent cinquante places, la salle polyvalente Le Grand Dôme et trois salles de réunion à Villiers, aux Foulons et à la Boissière.

    Équipements de santé

    La commune ne dispose pas d’établissement de santé sur son territoire mais trois hôpitaux sont à proximité à Orsay, Longjumeau et Massy.

    Elle a mis en place un centre communal d'action sociale et une résidence pour personnes âgées indépendantes offrant de multiples services. En 2008, quinze médecins[101] et cinq chirurgiens-dentistes[102] exercent sur la commune et trois pharmacies[103] sont implantées sur son territoire.

    En outre, la Croix-Rouge et le Secours catholique possèdent des locaux sur la commune.

    Sports

    Villebon-sur-Yvette dispose de plusieurs installations sportives dont le centre sportif Saint-Exupéry, équipé de deux gymnases, un mur d'escalade, deux terrains de football, neuf courts de tennis, un centre de tir sportif et de tir à l'arc, un boulodrome, la piscine en association avec la commune de Palaiseau, un minigolf et un practice d’entraînement au golf à Villiers, un hippodrome de gazon.

    Une École Municipale des Sports et vingt-cinq associations regroupant plus de trois mille licenciés forment les jeunes et moins jeunes Villebonais aux sports.

    Le RC Villebon 91 (club de volleyball) s'est illustré à de nombreuses reprises en compétitions nationales et internationales[104]. À la suite du dépôt de bilan du RC Villebon 91[Quand ?], une section volleyball a été créée[Quand ?] au sein de l'ASV (Association Sportive Villebonnaise).

    La ville accueille un club d'escrime important au niveau régional, ainsi que, depuis juin 2009, le club de football américain des Quarks qui évolue en 3e division nationale.

    La ville a aussi accueilli les championnats du monde de twirling bâton en 2012.

    Dans l'optique d'accueillir les Jeux de la Francophonie en 1994, le département a décidé la construction d'une salle polyvalente. Le site de Villebon-sur-Yvette est alors choisi pour ses facilités d’accès, l'espace disponible et la proximité du grand parc d’activités. Cette salle, la plus grande infrastructure omnisports de l'Essonne, de 8 000 m2, deviendra Le Grand Dôme, qui était une propriété communale. Fermée depuis 2015 en raison de son coût de fonctionnement (entre 200 000 et 300 000  annuels[105]), elle est rachetée pour 24 millions d'euros en février 2018 par la fédération française de judo, qui y avait organisé les championnats de France en 2014. Le nouveau propriétaire y tiendra ses compétitions, mais y accueillera également d'autres sports, ainsi que d'autres activités, telles que centre d’examen, salle de spectacle, ou plateau de télévision, afin de profiter de ses 6 300 places assises[106].

    Autres services publics

    L’agence postale.

    En dehors des services et infrastructures dépendants de la mairie, la ville dispose, en 2010, d’un bureau de Poste[107] et d’un centre de tri du courrier. Les casernes de pompiers[108] et de gendarmerie de Palaiseau[109] assurent la sécurité de Villebon-sur-Yvette.

    Manifestations culturelles et festivités

    Trois manifestations d’importances rythment la vie de la commune : les Puces de Villebon, un vide-greniers, qui se tiennent chaque année lors du week-end de Fête des Mères, les Guinguettes de l’Yvette, en association avec la commune de Palaiseau, traditionnellement les premiers samedi et dimanche de juin, l’occasion de retrouver l’ambiance des bords de la rivière du début du XIXe siècle et la fête des saints Côme et Damien, fête de la commune pour laquelle sont organisés un bal, un feu d'artifice et des rencontres avec les habitants des communes jumelées.

    Douze[Quand ?] associations dont le Lions Clubs et les Scouts et Guides de France animent la vie culturelle de Villebon-sur-Yvette. Une maison des arts et sports de Villebon et une maison des arts graphiques coordonnent les intervenants[réf. nécessaire].

    Lieux de culte

    La paroisse catholique de Villebon-sur-Yvette dépend du diocèse d’Évry-Corbeil-Essonnes et du doyenné de Palaiseau. Elle dispose de l’église dédiée aux saints-Côme-et-Damien et de la chapelle dédiée à saint-Sébastien[110]. De plus la commune accueille un institut bouddhiste vietnamien Truc Lâm.

    Médias

    L’hebdomadaire Le Républicain diffuse une édition pour le Nord-Essonne qui traîte en partie des informations du secteur. La chaîne de télévision régionale Télif, qui a repris les programmes de Téléssonne, diffuse des informations locales sur le réseau satellite et ADSL. S’ajoute la chaîne France 3 Paris Île-de-France disponible dans tout le bassin parisien.

    Économie

    Le relais de radiodiffusion.

    Villebon-sur-Yvette, intégrée au bassin d'emploi d’Orsay par l’Insee[111] qui rassemble en 2008 126 000 habitants, dispose d’un tissu économique riche grâce notamment aux zones d’activités de Courtabœuf et sa pépinière d'entreprises Apis Développement, qui occupe quatre-vingt-treize hectares sur le territoire de la commune, de La Prairie, la Bretêche et à la zone commerciale de Villebon 2. Avec mille salariés, Microsoft France est le premier employeur de la commune en 2008, suivi de prêt par JM Bruneau et ses huit cents salariés[112].

    Elle accueille plus de 445 entreprises[Quand ?], dont cent un commerces, cinquante-sept professions libérales, vingt-deux artisans et soixante-seize associations représentant un total de 10 681 emplois, bien supérieur aux 4 904 personnes classées parmi la population active[réf. nécessaire].

    La commune propose[Quand ?] cinquante-trois chambres d’hôtel, principalement dédiées au tourisme d’affaire des zones d’activités.

    La commune de Villebon-sur-Yvette abrite l’un des quatre émetteurs de la TNT en Île-de-France, mis en service en 1935, aujourd’hui intégré au parc de Courtabœuf. Le projet de développer l'accès à Internet à très haut débit est en cours[Quand ?].

    Emplois, revenus et niveau de vie

    Le taux de chômage était de 4,62 % en 2005, à comparer aux 6,7 % départemental. En 2004, le revenu moyen par habitant était de 25 094 € par an[113], 64,1 % des habitants sont propriétaires de leur logement[114].

    Le revenu fiscal médian par ménage était en 2006 de 26 216 euros, ce qui plaçait Villebon-sur-Yvette au deux cent quatre-vingtième rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages en métropole et au vingt-huitième rang départemental[115].

    Répartition des emplois par catégorie socioprofessionnelle en 2006.
      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Villebon-sur-Yvette 0,5 % 5,1 % 26,1 % 25,2 % 27,3 % 15,9 %
    Zone d’emploi d’Orsay 0,2 % 3,7 % 36,2 % 26,2 % 21,4 % 12,3 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    Répartition des emplois par secteur d'activité en 2006.
      Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    Villebon-sur-Yvette 2,1 % 11,5 % 6,7 % 33,1 % 22,8 % 4,3 %
    Zone d’emploi d’Orsay 1,0 % 13,4 % 3,8 % 18,1 % 30,5 % 5,4 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[116]

    Parc d’activité de Courtabœuf

    En 1960 est décidée l’implantation d’un parc d’activité sur le plateau de Courtabœuf. La commune comme ses voisines doit céder des espaces de culture pour accueillir en 1967 la première structure : Atochem. Ce parc d’activité aujourd’hui[Quand ?] premier parc tertiaire d’Europe[117] est connu sous le nom de Parc d'activités de Courtabœuf.

    Centre commercial Villebon 2

    Vue du Toys’r’Us de Villebon 2.

    L’installation du centre commercial Villebon 2 a été entamée en 1988 par l’ouverture d’un hypermarché accompagné d’une galerie commerciale. À partir de 1998, des enseignes de hard-discount ont accru l’offre commerciale. En 2006, une nouvelle phase d’agrandissement et une réorganisation de l’offre ont permis l’installation d’enseignes milieu de gamme. Il était en couverture du no 3135 de Télérama du avec pour titre Halte à la France moche ![118]

    Agriculture

    Labour à Villebon-sur-Yvette.

    En 2000, l’enquête du plan local d'urbanisme recensait cinq exploitations agricoles pour un total de soixante-dix neuf hectares, principalement tournées vers le maraîchage.

    En 1999, l’agriculture occupait vingt-quatre villebonais, soit 0,5 % des actifs. Ces terrains sont aujourd’hui protégés par la municipalité et l’activité maintenue[119].

    En 2008, la commune est également associée au « Triangle Vert des villes maraîchères du Hurepoix » qui vise à promouvoir une agriculture péri-urbaine économiquement viable et garantissant un développement durable[120].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine environnemental

    • Villebon-sur-Yvette bénéficie d’un cadre naturel préservé et mis en valeur. On trouve ainsi le parc de la Mairie, la promenade de l’Yvette, le minigolf de Villiers, un vaste espace forestier avec le bois des Gelles (seize hectares) et des étendues de maraîchage.

    Lieux et monuments

    Le château de Villebon-sur-Yvette (XVe siècle).
    • Plusieurs ponts ont été construits au début du XXe siècle pour permettre le passage de la ligne de chemin de fer, dont le pont à deux niveaux de la rue Muller[125] équipé d’un quai de déchargement et le pont de sept mètres[126], caractérisé par les sept de hauteur et de largeur de sa voûte.
    • Les constructions récentes (hôtel de ville, centre culturel, centre sportif) ou réhabilitées (conservatoire, école de La Roche) présentent une unité dans l’utilisation de structures métalliques apparentes colorées.

    Personnalités liées à la commune

    Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Villebon-sur-Yvette :

    Héraldique et logotype

    Les armes de Villebon-sur-Yvette se blasonnent : D’argent au chevron de sable accompagné, en chef, de deux taons et en pointe un mortier, le tout du même[129].

    Dessiné par M. Le Gallo, dessinateur-héraldiste et adopté en 1975 par le conseil municipal, le blason de Villebon-sur-Yvette regroupe les éléments qui ont marqué l’histoire de la ville depuis le Moyen Âge. Le chevron symbolise l’Yvette, rivière frontière avec Palaiseau, les taons rappellent la famille de Thou, seigneurs de Villebon, le mortier symbolise saints Côme et Damien, patrons des apothicaires et saints patrons de la paroisse.

    Ce blason apparaît sur la rame de TGV 313 et la motrice immatriculée 8718B au titre du parrainage des locomotives par les communes[130].

    La commune s’est aussi dotée d’un logo reprenant le graphisme du blason.


    Villebon-sur-Yvette dans les arts et la culture

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Villebon-sur-Yvette », p. 987–992
    • Bernard Bertet, Villebon-sur-Yvette, ses hameaux, leur passé, Mairie de Villebon-sur-Yvette,
    • Marius Denigot, Villebon-sur-Yvette, notre histoire, Villebon-sur-Yvette, Maury, , 2e éd. (ISBN 978-2-9504965-0-8).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes

      Références

      1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 18/05/2008.
      2. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      3. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      4. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      5. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      6. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      7. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Versailles sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      8. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      9. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      10. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      11. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      12. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      13. Orthodromie entre Villebon-sur-Yvette et Villebon sur le site lion1906.com Consulté le 09/08/2012.
      14. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 06/2019
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      23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
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      26. dans le Cartulaire de l'Abbaye de Longpont-sur-Orge
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      28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      29. Jean Lebeuf, Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, contenant la suite des Paroisses du Doyenné de Châteaufort, vol. 9, 1757, p. 314 et 319
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      31. Présentation de l’ancienne mairie sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
      32. Présentation du monument aux morts sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
      33. Présentation de la gare Villebon-État sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
      34. Présentation de la station de radiodiffusion sur le site Topic-Topos. Consulté le 05/07/2008.
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      51. Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
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      53. Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 17/04/2019.
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      55. Résultats de l'élection législative 2007 sur le site du Ministère de l'Intérieur.
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      57. Résultats de l'élection législative 2017 sur le site du Ministère de l'Intérieur. Consulté le 09/06/2019
      58. Résultats de l’élection européenne 2004 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
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      60. Résultats de l’élection européenne 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 10/06/2019.
      61. Résultats de l’élection européenne 2019 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 10/06/2019.
      62. Résultats de l’élection régionale 2004 sur le site du Ministère de l’Intérieur.
      63. Résultats de l’élection régionale 2010 sur le site du Ministère de l’Intérieur. Consulté le 22/03/2010.
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