Rassemblement pour la République

Le Rassemblement pour la République (RPR) est un ancien parti politique français, classé à droite, se réclamant du gaullisme, c'est-à-dire de l'œuvre et des idées politiques de Charles de Gaulle.

Pour les articles homonymes, voir RPR.

Les assises du RPR, en janvier 1982 à Toulouse.

Créé en 1976 sous l'impulsion de Jacques Chirac, qui le préside jusqu'en 1994, d'abord en conflit avec Valéry Giscard d'Estaing, le RPR est la principale force d'opposition lors des deux septennats de François Mitterrand (1981-1995). Participant du déroulement des trois cohabitations (1986-1988, 1993-1995, 1997-2002), il contribue à l'élection (1995) et à la réélection (2002) de Jacques Chirac à la présidence de la République. Conformément au souhait de son principal fondateur, il se dissout, en 2002, au sein de l'Union pour un mouvement populaire (UMP).

Historique des partis et mouvements gaullistes avant le RPR

Histoire

Premier logo (1976).

Le Rassemblement pour la République est lancé par Jacques Chirac le , en remplacement de l’UDR.

Ce parti voulait « soutenir une politique fondée sur le respect intransigeant de la souveraineté du peuple et de l'indépendance nationale, de la liberté, de la responsabilité et de la dignité de l'homme » (statuts). Comme le RPR s'oppose ouvertement à la politique menée par Barre, au nom de l'héritage gaullien d'intervention de l'État, les ministres doivent souvent avoir recours à l'article 49 alinéa 3 de la Constitution de 1958, qui dispose qu'un texte proposé est adopté si une motion de censure ne recueille pas de majorité.

Le RPR livre d'abord une « critique de gauche » de la présidence de Valéry Giscard d'Estaing qui culmine dans le discours d'Égletons (1978) de Jacques Chirac, lorsque celui-ci fixe au RPR l'objectif d'un « travaillisme à la française »  propos que l'intéressé qualifiera plus tard d'« ânerie » , avant de passer à une « critique de droite » après la victoire de la gauche à l'élection présidentielle de 1981[3].

Après la création récurrente de cartels électoraux avec ses alliés de l'UDF et divers droite, comme l'Union du rassemblement et du centre (URC) en 1988 ou l'Union pour la France (UPF) en 1993, la direction RPR prône — après l'élection de Jacques Chirac à la présidence de la République — un rapprochement plus étroit des structures partisanes.

C'est ainsi que, sous l'égide de Philippe Séguin, après l'échec d'une refondation du RPR sous le nom Le Rassemblement[4], est créée en 1998 l'Alliance, qui regroupe le RPR, l'Union pour la démocratie française (UDF) et Démocratie libérale (DL). Cette structure tombe en déshérence dès 1999, à la suite du refus de l'UDF de constituer une liste commune aux élections européennes.

En 2000, le RPR lance un chantier de création d'un parti unique de la droite parlementaire : l'Union en mouvement (UEM) se donne pour tâche de préparer l'élection présidentielle de 2002, en rassemblant les tendances gaullistes, libérales et démocrates chrétiennes.

Le , le RPR approuve la création d'une Union pour la majorité présidentielle (UMP), destinée à soutenir Jacques Chirac pour le second tour de la présidentielle. Le de la même année, les assises extraordinaires de Villepinte adoptent à 86,5 % la dissolution du RPR au sein de l'UMP, nouveau parti dont les assises fondatrices  qui lui donnent le nom d'Union pour un mouvement populaire  ont lieu le .

L'Union des jeunes pour le progrès (UJP, fondée en 1965 et toujours active actuellement) et l'Union des étudiants pour le progrès (UEP) ont tout d'abord constitué les mouvements de jeunesse des mouvements gaullistes successifs, avant que ne soient créés Les Jeunes du RPR, dont l'un des premiers responsables nationaux fut Nicolas Sarkozy (voir Jeunes Populaires).

Divisions internes

Le parti reste longtemps centré sur la seule personnalité de Jacques Chirac, avec toutefois dès le départ une certaine hostilité des « barons » toujours attachés à un gaullisme des origines (dont les anciens Premiers ministres Michel Debré et Pierre Messmer, voire Jacques Chaban-Delmas ou encore des « barons » locaux comme le ligérien Olivier Guichard) ainsi que des ministres des gouvernements Barre. L'autorité du président du parti est pourtant de plus en plus remise en question, surtout après son échec à l'élection présidentielle de 1988, avec un éloignement progressif de ses anciens lieutenants (d'abord Pierre Juillet et Marie-France Garaud dès la fin des années 1970, puis Charles Pasqua et Édouard Balladur au début des années 1990), certaines dissensions idéologiques (notamment concernant la construction européenne ou la vision économique et sociale) et l'arrivée d'une nouvelle génération.

Certains représentants de celle-ci, menés par le député-maire d'Épinal et ancien ministre des Affaires sociales Philippe Séguin, comprenant notamment le député-maire de Lyon Michel Noir, celui de Grenoble Alain Carignon, le député-adjoint au maire de Versailles Étienne Pinte, le député-président du conseil général de la Savoie Michel Barnier et le député-maire de Sablé-sur-Sarthe François Fillon, font partie d'un groupe de jeunes élus issus du RPR et de l'UDF (dont François Bayrou ou Dominique Baudis), baptisé « les Rénovateurs », réunis par un ressentiment partagé envers les trois « anciens » dirigeants de la droite et du centre (Raymond Barre, Jacques Chirac, Valéry Giscard d'Estaing), devenus à leurs yeux synonymes de « machine à perdre ». Ils ambitionnent alors de présenter une liste unique d'opposition aux élections européennes de [5],[6].

La popularité de Dominique Baudis (ancien journaliste et présentateur de télévision devenu maire UDF-CDS de Toulouse en 1983 en succédant à son père, Pierre Baudis) et Michel Noir (récemment élu maire de Lyon) vaut un certain succès, notamment médiatique, au mouvement. Toutefois des dissensions apparaissent, en particulier sur l'Europe, où les positions souverainistes de Philippe Séguin s'avèrent incompatibles avec l'approche fédéraliste des centristes. Finalement, la tentative des « rénovateurs » échoue, la liste conduite par Simone Veil aux élections européennes recueillant seulement 8,43 % des voix. Quoi qu'il en soit, à l'approche des assises du RPR du début 1990, où pour la première fois la formation gaulliste désigne ses instances dirigeantes à la proportionnelle, Philippe Séguin et les rénovateurs du RPR font alliance avec Charles Pasqua[7] pour « régénérer le RPR » en s'inspirant « du message du général de Gaulle ». Ils sont notamment rejoints dans leur démarche par Franck Borotra, Élisabeth Hubert, Jean de Boishue ou Jacques Kosciusko-Morizet. Tous défendent une ligne souverainiste sur les questions européennes et se réclament d'une position authentiquement gaulliste.

Sentant le danger, Jacques Chirac, qui avait initialement prévu de se tenir au-dessus de la mêlée, s'engage fermement en faisant sien le texte proposé par un des jeunes parlementaires qui lui est resté fidèle, Alain Juppé. Finalement, le courant Pasqua-Séguin obtient 31,68 % des voix lors des assises du RPR au Bourget, le , et Jacques Chirac est réélu président du parti[8]. La division entre ces deux camps se fait jour également lors du référendum sur le traité de Maastricht du , puisque Charles Pasqua et Philippe Séguin font tous deux campagne pour le « non » tandis que Jacques Chirac ou encore Édouard Balladur s'engagent fermement pour le « oui ».

L'élection présidentielle de 1995 est une nouvelle occasion de scission interne. Édouard Balladur, Premier ministre depuis 1993 et jouissant d'une importante popularité, annonce sa candidature le contre Jacques Chirac. Il reçoit le soutien d'une grande partie des trentenaires et « quadra » du parti tels Nicolas Sarkozy (son porte-parole de campagne), François Fillon, Patrick Devedjian ou Dominique Perben, mais aussi de Charles Pasqua. Pour sa part, outre les « chiraquiens » qui lui sont restés fidèles (Alain Juppé, Jacques Toubon, Bernard Pons, entre autres), Jacques Chirac est rallié par Philippe Séguin qui inspire en grande partie son discours sur la fracture sociale. La victoire du président du RPR entraîne une relative mise à l'écart d'Édouard Balladur et de la plupart de ses partisans (dont surtout Nicolas Sarkozy, tandis que certains, comme François Fillon ou Dominique Perben, sont tout de même présents dans le gouvernement Juppé). Après la défaite aux élections législatives de 1997, les « gaullistes sociaux » (ou séguinistes) et les « libéraux » (ou balladuriens) s'allient pour prendre la direction du parti : Philippe Séguin devient président et Nicolas Sarkozy secrétaire général.

Parmi les principales tendances qui divisent le RPR durant les années 1990 figurent :

Idéologie

En 1990, le RPR, lors de ses états généraux et auxquels participent Alain Juppé, Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Michèle Alliot-Marie, Roselyne Bachelot, François Bayrou ou encore Nicolas Sarkozy, propose notamment sur le sujet de l'immigration la « fermeture des frontières », la « suspension de l'immigration », « réserver certaines prestations sociales aux nationaux » ou encore l'« incompatibilité entre l'islam et nos lois ». Il s'agit de répondre à la montée du Front national la décennie précédente, en ripostant sur le sujet de l'immigration. Le programme du RPR pour les élections législatives de 1993 est toutefois plus consensuel, même si le retour de la droite au pouvoir, après sa victoire, se conjugue avec l'application de certaines mesures, comme la réforme du Code de la nationalité avec les lois Pasqua de 1994, qui limitent le regroupement familial et durcissent l'accès aux titres de séjour[9].

Sous l’impulsion d’Édouard Balladur, le programme du RPR se rapproche du national-libéralisme anglo-saxon de Ronald Reagan et Margaret Thatcher, combinant libéralisme économique, politique de libre-échange, nationalisme modéré et conservatisme sociétal. Sur le plan économique, il comprend des privatisations, une baisse des impôts pour les entrepreneurs, la libéralisation des mouvements de capitaux ou encore la suppression de l'autorisation administrative de licenciement. D'autre part, il prévoit la suppression du droit du sol, l'expulsion des immigrés chômeurs depuis plus de deux ans, et la restriction de l'accès aux allocations familiales[10].

Résultats électoraux

Élections présidentielles

Année Candidat Premier tour Second tour
% Rang % Rang
1981 Jacques Chirac 18,00 3e
1988 Jacques Chirac 19,94 2e 45,98 2e
1995 Jacques Chirac 20,84 2e 52,64 1er
Édouard Balladur 18,58 3e
2002 Jacques Chirac 19,88 1er 82,21 1er

Élections législatives

Année Premier tour Rang[11] Sièges Gouvernement
Voix %
1978 6 329 318 22,5 2e
150  /  491
Barre III
1981 5 249 670 20,8 2e
85  /  491
Opposition
1986 3 143 224 11,2[12] 2e
147  /  577
Chirac II
1988 4 687 047 19,2 2e
127  /  577
Opposition
1993 5 032 496 19,8 1er
245  /  577
Balladur (1993-1995), Juppé I (1995), Juppé II (1995-1997)
1997 3 977 964 15,7 2e
139  /  577
Opposition

Élections européennes

Année % Sièges Rang Tête de liste Groupe(s)
1979 16,3
15  /  81
4e Jacques Chirac DEP
1984[a 1] 43,0
20  /  81
1er Simone Veil RDE
1989[a 2] 28,9
13  /  81
1er Valéry Giscard d'Estaing RDE
1994[a 3] 25,6
14  /  87
1er Dominique Baudis RDE (1994-1995) UPE (1995-1999)
1999 12,8
12  /  87
3e Nicolas Sarkozy PPE-DE
  1. Liste commune avec l'UDF, qui obtient 21 sièges.
  2. Liste commune avec l'UDF (11 sièges) et le CNIP (deux sièges).
  3. Liste commune avec l'UDF, qui obtient 14 sièges.

Élections cantonales

Année Premier tour Second tour Conseillers Présidents
Voix % Rang Voix % Rang
1979 1 322 181 12,34 4e 810 083 11,16 5e
198  /  1847
 /  101
1982 2 262 245 17,98 3e 1 725 976 22,62 2e
336  /  2014
18  /  101
1985 1 904 805 16,58 3e 1 650 834 21,15 2e
400  /  2044
 /  100
1988 1 446 737 15,92 3e 1 111 482 18,61 3e
393  /  2043
 /  100
1992 1 811 180 14,59 3e 1 700 579 19,96 2e
467  /  1945
32  /  100
1994 1 710 693 15,69 2e 1 605 038 20,06 2e
356  /  2059
29  /  100
1998 1 539 554 13,57 3e 1 392 930 16,38 2e
309  /  2038
25  /  100
2001 1 520 072 12,45 2e 1 254 619 16,64 2e
338  /  1997
26  /  100

Personnalités ayant exercé une fonction ou mandat national

Président de la République

  • 1995-2007 : Jacques Chirac (élu avec le soutien du RPR en 1995 et 2002)

Premiers ministres

Ministres

Ne sont listés ici que les ministres, non les secrétaires d'État et ministres délégués.

Gouvernement Barre I (1976-1977)

5 ministres RPR sur 16 ministères (dont 1 ministre d'État sur 3) :

Gouvernement Barre II (1977-1978)

3 ministres RPR sur 13 puis 14 ministères :

Gouvernement Barre III (1978-1981)

7 puis 6 puis 5 ministres RPR sur 19 puis 18 puis 17 ministères :

Gouvernement Chirac II (1986-1988)

Outre le Premier ministre, 6 ministres RPR sur 14 ministères (dont l'unique ministre d'État) :

Gouvernement Balladur (1993-1995)

Outre le Premier ministre, 11 puis 10 ministres RPR sur 23 puis 22 ministères (dont 1 des 4 ministres d'État) :

Gouvernement Juppé I (mai-)

Outre le Premier ministre, 13 ministres RPR sur 26 ministères :

Gouvernement Juppé II (1995-1997)

Outre le Premier ministre, 6 ministres RPR sur 16 ministères :

Gouvernements Raffarin I et II (mai-)

9 ministres RPR sur 15 ministères :

Président du Sénat

Présidents de l'Assemblée nationale

Députés à l'Assemblée nationale

  • 1978-1981 : 154 membres dont 11 apparentés (sur 491)
  • 1981-1986 : 88 membres dont neuf apparentés (sur 491)
  • 1986-1988 : 155 membres dont huit apparentés (sur 577)
  • 1988-1993 : 130 membres dont trois apparentés (sur 577)
  • 1993-1997 : 257 membres dont 12 apparentés (sur 577)
  • 1997-2002 : 140 membres dont six apparentés (sur 577).

Adhérents

  • 1976 : 285 000[13]
  • 1977 : 401 000[13]
  • 1979 : 760 000[13]
  • 1981 : 670 000[13]
  • 1983 : 850 000[13]
  • 1986 : 885 000 (35 % de femmes)[13]
  • 1995 : 454 000[13]
  • 2002 : 90 000[13]

Responsables

Liste des présidents

No  Photo Nom Début Fin Notes
1 Jacques Chirac
(1932-2019)
1976 1994 Maire de Paris de 1977 à 1995, Premier ministre de 1974 à 1976 puis de 1986 à 1988, président de la République de 1995 à 2007.
2 Alain Juppé
(né en 1945)
1994 1997 Maire de Bordeaux entre 1995 et 2019, Premier ministre de 1995 à 1997.
3 Philippe Séguin
(1944-2010)
1997 1999 Maire d'Épinal de 1983 à 1997, président de l’Assemblée nationale de 1993 à 1997.
Nicolas Sarkozy
(né en 1955)
1999 1999 Maire de Neuilly-sur-Seine de 1983 à 2002, président de la République de 2007 à 2012.
4 Michèle Alliot-Marie
(née en 1945)
1999 2002 Maire de Saint-Jean-de-Luz de 1995 à 2002.
Serge Lepeltier
(né en 1953)
2002 2002 Maire de Bourges entre 1995 et 2014.

Liste des secrétaires généraux

Liste des présidents de groupe parlementaire

Assemblée nationale

Sénat

Intégrité publique

Le RPR a été impliqué dans plusieurs affaires de financement illégal, touchant son administration ou des élus locaux, notamment :

Siège

Tout comme ceux de ses prédécesseurs l'UNR et l'UDR, le siège du RPR se situe historiquement au 123 rue de Lille (7e arrondissement de Paris) après un bref passage au sein de la tour Montparnasse (1976-1977). Entre 2001-2002, le parti déménage au 2 boulevard de La Tour-Maubourg (7e arrondissement)[14].

Communication interne

Le journal officiel du parti était La Lettre de la nation Magazine, créé en 1962 et supprimé en 1997. Il était tiré à 4 000 exemplaires quatre fois par semaine[15].

Branche féminine

Héritière du CFEI (Centre féminin d’étude et d’information) créé par le général de Gaulle en 1964 à l'UNR, l'association Femme Avenir est la branche féminine du RPR. De 1977 à 1988, elle est présidée par Christiane Papon[16],[17].

Notes et références

  1. (en) Carol Diane St Louis, Negotiating Change : Approaches to and the Distributional Implications of Social Welfare and Economic Reform, Stanford University, , 260 p. (ISBN 978-0-7190-5876-9, lire en ligne), pp. 76, 105..
  2. (en) David S. Bell, French Politics Today, Manchester University Press, , 260 p. (ISBN 978-0-7190-5876-9, lire en ligne), p. 79.
  3. Jean Baudouin, « Le « moment néo-libéral » du RPR : essai d'interprétation », Revue française de science politique, vol. 40, no 6, , p. 832 (lire en ligne, consulté le ).
  4. J.-M. Pottier, « Si Nicolas Sarkozy rebaptise l'UMP le Rassemblement, il fera aboutir une idée de 1998 de Philippe Séguin », sur slate.fr, .
  5. Éric Zemmour, « Vingt ans après, les rénovateurs », Le Figaro, 16 avril 2009.
  6. Gilles Bresson et Jean-Michel Thénard, Les vingt et un jours qui ébranlèrent la droite, Paris, Grasset, , 276 p. (ISBN 2-246-42661-8 et 9782246426615), p. 276.
  7. Dominique de Montvalon et Florent Leclerq, « RPR, histoire d'un complot », L'Express, 12 janvier 1990.
  8. Dominique Frémy et Michèle Frémy, Quid 2004, Robert Laffont, , 2190 p. (ISBN 978-2-221-09960-5), p. 806.
  9. Clément Parrot, « Immigration : 1990, quand les propositions de la droite ressemblaient à celles du FN », francetvinfo.fr, 4 octobre 2014.
  10. Laurent Ottavi, « Le national-libéralisme, d'hier à aujourd'hui », sur www.marianne.net,
  11. En nombre de voix.
  12. listes d'union RPR - UDF : 21,44 % (2e score, derrière les listes PS)
  13. Quid 2004, Dominique et Michèle Frémy, Robert Laffont
  14. Bernard Lachaise, « Rue de Solférino : no 5 ou no 10 ? RPF ou PS ? », charles-de-gaulle.org, consulté le 25 novembre 2015.
  15. Pascal Virot, « Le mouvement gaulliste perd son journal. «La Lettre de la Nation» cesse de paraître 10 jours après l'élection de Séguin. », sur Libération.fr, (consulté le ).
  16. « Archives association Femme Avenir (9 AF) », bu.univ-angers.fr, consulté le 23 mars 2020.
  17. Laure Bereni, « Du MLF au Mouvement pour la parité », Politix 2007/2 (no 78), p. 107-132.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

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