Épinay-sur-Orge

Épinay-sur-Orge[1] (prononcé [epinɛ syʁ ɔʁʒ] ) est une commune française située à vingt et un kilomètres au sud de Paris dans le département de l’Essonne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Épinay (homonymie).

Épinay-sur-Orge

L’hôtel de ville.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Palaiseau
Intercommunalité Communauté d'agglomération Paris-Saclay
Maire
Mandat
Muriel Dorland
2020-2026
Code postal 91360
Code commune 91216
Démographie
Gentilé Spinoliens
Population
municipale
11 160 hab. (2018 )
Densité 2 514 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 21″ nord, 2° 19′ 26″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 89 m
Superficie 4,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Longjumeau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Épinay-sur-Orge
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Épinay-sur-Orge
Géolocalisation sur la carte : France
Épinay-sur-Orge
Géolocalisation sur la carte : France
Épinay-sur-Orge
Liens
Site web ville-epinay-sur-orge.fr

    Site de peuplement préhistorique et gallo-romain à la confluence de l’Orge et de l’Yvette, possession de la puissante abbaye de Saint-Germain-des-Prés du VIIIe au XVIe siècle puis de parlementaires parisiens, un temps préservée de l’urbanisation par la propriété d’un quart de son territoire par la famille Carafa, équipée dès 1843 et 1889 d’une puis deux gares ferroviaires, la commune située dans la région naturelle du Hurepoix connut à partir des années 1920 une succession de lotissements pavillonnaires lui donnant sa physionomie actuelle typiquement banlieusarde à mi-chemin entre ville et campagne.

    Ses habitants sont appelés les Spinoliens[2].

    Géographie

    Situation

    Occupation des sols.
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 53,9 % 234,30
    Espace urbain non construit 14,0 % 60,88
    Espace rural 32,1 % 139,81
    Source : Iaurif-MOS 2008[3]

    Épinay-sur-Orge est située dans la région Île-de-France, au nord du département de l’Essonne totalement intégré à l’agglomération parisienne, dans l’ancien pays et aujourd’hui région naturelle du Hurepoix. Son territoire forme approximativement un trapèze inversé long de quatre kilomètres du nord au sud et large de deux kilomètres d’ouest en est, totalisant quatre cent quarante quatre hectares. L’Institut national de l'information géographique et forestière applique les coordonnées géographiques 48°40’29" N et 2°19’35" E au point central de ce territoire[4]. Un peu plus de la moitié de ce territoire était en 2008 urbanisé et construit, laissant 32 % d’espaces à caractère rural, principalement des espaces agricoles au sud-ouest et des espaces boisés à l’ouest et au nord-ouest. Deux rivières traversent ce territoire, l’Orge forme une boucle du sud au nord-est et l’Yvette qui marque la frontière nord jusqu’à leur confluence en limite avec Savigny-sur-Orge. Suivant ces cours d'eau, plusieurs voies de communication desservent la commune dont l’autoroute A6 à l’extrême nord, les routes départementales 117, 186 et 257 ainsi que les voies ferrées de la ligne Paris-Bordeaux et de Grande Ceinture, toutes deux empruntées par la ligne C du RER d'Île-de-France et équipées chacune d’une gare dans la commune avec la gare d'Épinay-sur-Orge sur la première et la gare de Petit Vaux sur la seconde. Implantée sur les coteaux des vallées, la commune s’est composée autour du centre-ville à quatre-vingt mètres d’altitude, entouré de plusieurs quartiers pavillonnaires au fil des lotissements successifs.

    Ville frontière entre urbanisation dense et ruralité, Épinay-sur-Orge est implantée à vingt et un kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[5], point zéro des routes de France, à dix kilomètres au nord-ouest d’Évry[6], huit kilomètres au sud-est de Palaiseau[7], cinq kilomètres au nord-est de Montlhéry[8], onze kilomètres au nord-est d’Arpajon[9], treize kilomètres au nord-ouest de Corbeil-Essonnes[10], vingt et un kilomètres au nord de La Ferté-Alais[11], vingt-huit kilomètres au nord-est de Dourdan[12], trente kilomètres au nord-est d’Étampes[13] et trente-deux kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[14]. Elle est par ailleurs située à quatorze kilomètres au sud-ouest de son homonyme essonnienne Épinay-sous-Sénart[15], à trente-deux kilomètres au sud d’Épinay-sur-Seine en Seine-Saint-Denis[16], à quarante-six kilomètres au sud d’Épinay-Champlâtreux dans le Val-d'Oise[17] et à cent vingt-huit kilomètres au sud-est d’Épinay dans l’Eure[18].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est arrosé par trois rivières, à l’extrémité nord coule d’ouest en est l’Yvette sur deux kilomètres jusqu’à sa confluence avec l’Orge qui coule du sud au nord sur la frontière est de la commune, parcourant trois kilomètres. À proximité des Rossay, elle forme un second bras naturel pour juste avant sa sortie du territoire, en amont sur les terrains d’alluvion du Breuil, plusieurs bras et étangs sont formés et grossis par le ruisseau la Boële sur la commune voisine de Villemoisson-sur-Orge. L’Yvette alimente elle aussi deux étangs dans la plaine de Sillery à la frontière avec Longjumeau. le Rouillon coule au Nord-Ouest de la ville dans le bois des Templiers à l'extrémité du chemin de la Grange du Breuil sur quelques metres[19]. Un autre cours d'eau, le Ruisseau de la Grange du Breuil[20] prend sa source sur la plaine de la Croix Ronde, en bordure du terrain d’aéromodélisme où se trouvait l'emplacement de l'ancienne Ferme de la Grange du Breuil bâtie au XIIe siècle, pour se jeter cinq cents mètres plus loin dans le Rouillon[21]. Une station hydrométrique est implantée depuis 1972 dans le quartier du Breuil sur le cours principal de l’Orge[22].

    Relief et géologie

    La plaine de la Grange du Breuil Sente solitaire.

    Le territoire d’Épinay-sur-Orge est implanté sur les coteaux de deux vallées, celle de l’Yvette au nord et celle de l’Orge à l’est. Le territoire s’étage entre une altitude maximale de quatre-vingt-neuf mètres au sud-ouest sur la plaine de la Grange du Breuil à proximité des frontières avec Ballainvilliers et Villiers-sur-Orge[23] et une altitude minimale de trente-six mètres à l’est à la confluence entre l’Yvette et l’Orge près de Villemoisson-sur-Orge[24],[25], points extrêmes distants de trois kilomètres. Le centre-ville est implanté à une altitude moyenne de quatre-vingt mètres[26] et la gare principale est en contrebas à cinquante mètres d’altitude[27]. Située dans le Bassin parisien, la commune est implantée sur un sous-sol composé de couches de sable et de meulière, de marne, gypse et calcaire[28]. La toponymie locale marque cette topographie avec les quartiers appelés « la Terrasse » au nord, « Petit Vaux » à l’est et « les Sablons » au sud.

    Communes limitrophes

    La commune d’Épinay-sur-Orge est limitrophe au nord-ouest et au nord du chef-lieu de canton Longjumeau, frontière pour partie marquée par le chemin de la Chevauchée et qui se poursuit dans la plaine de Sillery et le bois des Templiers, au nord-est et à l’est se trouve Savigny-sur-Orge, séparée par l’autoroute A6, la rue de Charaintru, la rue de Grand Vaux et la rue des Rossays, au sud-est l’Orge marque la frontière avec Villemoisson-sur-Orge comme au sud avec Sainte-Geneviève-des-Bois, au sud-ouest, les rues Gabriel Péri, Pierre Médéric et de Montlhéry matérialisent la limite avec Villiers-sur-Orge, à l’ouest, Ballainvilliers est séparée par le chemin de Ballainvilliers à Villiers et le chemin de la Grange du Breuil.

    Voies de communication et transports

    La gare de Petit Vaux (en travaux).

    Transports routiers

    Le territoire d’Épinay-sur-Orge est traversé par plusieurs axes majeurs de communication, dont à l’extrême nord l’autoroute A6 accessible directement par l’échangeur autoroutier numéro 6 accédant sur la frontière est de la commune à la route départementale 257, elle-même reliée à la route départementale 117 qui traverse le territoire d’ouest en est en suivant la vallée de l’Yvette. À l'ouest passe aussi la route départementale 186 menant à l’ancienne route nationale 20.

    Transports collectifs

    Le territoire de la commune d'Épinay-sur-Orge a pour particularité d'être partagé entre deux zones tarifaires Navigo différentes : zone 4 pour la partie nord-est et zone 5 pour la partie sud. Le parcours des lignes 114 et 116 du réseau de bus Paris-Saclay Mobilités qui traversent la ville à partir de la gare est à cheval sur ces deux zones.

    À l’est du territoire passe dans la vallée de l’Orge l’ancienne ligne Paris-Bordeaux aujourd’hui empruntée par les trains de la ligne C du RER d'Île-de-France et sur laquelle est implantée la gare d'Épinay-sur-Orge en centre-ville.

    Quelques centaines de mètres en aval, elle est rejointe par la ligne de Grande Ceinture qui traverse le territoire communal au nord dans la vallée de l’Yvette, empruntée par le même réseau de transport et sur laquelle est implantée la gare de Petit Vaux. Cette ligne est prévue pour être remplacée à l’horizon 2023 par la ligne 12 du tramway d'Île-de-France.

    Plusieurs lignes d'autobus desservent la commune :

    L'aéroport Paris-Orly est accessible par l'autoroute A6, il est situé à six kilomètres au nord-est. L'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle est lui implanté à quarante-et-un kilomètres au nord-est. L'aviation d'affaires est généralement accessible depuis l'aéroport de Toussus-le-Noble placé à dix-huit kilomètres au nord-ouest.

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Le territoire d’Épinay-sur-Orge est aujourd’hui composé de plusieurs ensembles urbains dont un centre-ville à proximité du quartier de la gare, aussi appelé les Rossays au nord de la Grande Rue se trouvent les quartiers de Petit-Vaux et Mauregard et le lieu-dit Sillery, au sud à la frontière avec Longjumeau et le bois des Templiers se trouve le quartier de la Terrasse, en arrière de l’hôtel de ville, surplombant la vallée de l’Orge est implanté le quartier des Sablons et plus au sud à la limite avec Villiers-sur-Orge le quartier du Breuil. Au sud-ouest, dans les terres cultivées subsistent des lieux-dits tels la Croix-Ronde, les Froids Culs et la Tournelle, partagé avec Ballainvilliers. S’ajoutent le lotissement des Templiers et le programme futur de la Croix-Rondes[29].

    Urbanisme

    Typologie

    Épinay-sur-Orge est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[30],[31],[32]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[33] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[34],[35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[36],[37].

    Toponymie

    Spinogilum en 637, Espinolium en 1136, Espinolium subtus Atyes, Spinetum ad Urbiam[38].

    Attesté sous la forme in Spinogilo début IXe siècle[39],[40]. Albert Dauzat et Charles Rostaing[40] expliquent cet archétype toponymique fréquent par le terme roman epinay signifiant « lieu planté d’(arbres à) épines ». On disait en ancien français un espinay, comme on disait un chesnay, un saussay, etc. Pour eux, les Épinay (cf. Épinay, Spinetum XIIe siècle) de la partie nord de la France et les Épinoy du Nord (cf. Épinoy, Spinetum 880) remontent tous au gallo-roman Spinetu, basé sur les deux éléments d’origine latine spina, épine et -etu(m) suffixe collectif servant à désigner un ensemble d’arbres appartenant à la même espèce. Ce suffixe explique les terminaisons -ey, -ay, (parfois -et, et -oy). Il est devenu féminin en français moderne -aie (Chênaie, Saulaie, etc.).

    Cependant, pour Ernest Nègre[40], les différents Épinay d’Île-de-France et du Centre admettent une autre explication, d’après leurs formes anciennes latinisées. En effet, on y distingue une autre finale -gelo, -olium, -gilo qui renvoie à l’évidence aux noms en -ueil / -euil (Type Verneuil « clairière des aulnes »), issu de l’appellatif gaulois ialon signifiant clairière, défrichement, puis village[41]. Xavier Delamarre[41] souligne l’extension récente de cet appellatif en Gaule qui a bien pu se combiner avec un élément d’origine latine. Cependant, il est probable qu’il n’ait plus été compris au Haut Moyen Âge, d’où son remplacement par -ay. La commune fut créée en 1793 sous son nom actuel[42].

    Histoire

    Les origines

    Des traces d’occupation du site à l’époque préhistorique dont des armes et outils en silex[43] et des vestiges gallo-romains retrouvés attestent d’une présence ancienne de groupe d’hommes sur le territoire. La première mention du lieu remonte au VIIIe siècle dans le livre terrier de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés dont dépendait la seigneurie[43] puis au IXe siècle dans le polyptyque d’Irminon[44].

    Possession ecclésiastique

    Carte de la région d’Épinay au XVIIe siècle par Cassini.

    Au XIIe siècle furent réunies dans le domaine de l’abbaye de Saint-Germain les seigneuries d’Épinay et du Breuil et construits la ferme, le moulin et l’hôtel homonymes[43] mais certaines terres furent cédées à des seigneurs locaux tel le domaine de la Gilquinière qui revint à Guillaume du Terme[44]. La construction de l’église paroissiale fut entamée au XIIIe siècle et la décoration fut complétée au XIVe siècle.

    Au XVe siècle, la seigneurie fut vendue au magistrat du Parlement de Paris Barnabé Brisson. En 1423, les Anglais prirent le contrôle de la région. En 1458 fut construite la chapelle Saint-Roch. En 1591, Barnabé Brisson fut exécuté et le domaine revint à l’abbaye[43].

    En 1522, le village fut érigé en paroisse mais lors de la première guerre de religion en 1562, tous les bâtiments seigneuriaux et de ferme furent incendiés et détruits[43]. L’abbaye perdit alors ses privilèges sur le domaine[44]. À cette époque fut construite par l’abbé Penont une demeure bourgeoise surplombant l’église. Vers 1750, l’église fut restaurée en agrandie. Au XVIIIe siècle, Henri Cochin, avocat au Parlement de Paris, agrandit et enrichit la demeure seigneuriale pour en faire le château actuel.

    Commune urbanisée

    En 1792, une salle communale fut construite à proximité de l’église pour accueillir la mairie. À partir de 1800, l’urbanisation autour de la route de Corbeil déplaça le centre ville vers l’est, en 1827, Louis-Pierre Javary, maire de la commune, fit construire un bâtiment pour accueillir la mairie, l’école et le presbytère.

    En 1843, Épinay fut une des premières communes à disposer sur son territoire d’une gare sur la ligne Paris - Orléans[45]. En 1866, la duchesse de Carafa acquit le château et fit fermer le parc de cent dix-sept hectares, accentuant le déplacement du centre-ville.

    En 1869 fut inauguré l’asile de Vaucluse. Pendant la guerre de 1870, quatre patriotes qui avaient pris les armes contre les Prussiens, furent fusillés sur le territoire de la commune. Un monument aux morts leur rend hommage dans le cimetière. En 1889 fut ouverte la seconde gare de la commune sur la ligne de Grande Ceinture[45]. Entre 1889 et 1905 furent construites les premières écoles.

    En 1923, la propriété Carafa fut cédée à la commune et le parc lotis, en 1927, la mairie fut transférée dans le château. En 1933 fut aménagé le lotissement de la Terrasse, en 1938 ouvrit l’agence postale.

    Borne d'Épinay de la Voie de la 2e DB

    Le une arche du pont du chemin de fer de la ligne Paris-Orléans est détruite. Le matin du le groupement Warabiot de la deuxième division blindée entre dans la ville vers 10 h 30 par la rue de Montlhéry (devenue rue de la division Leclerc en 1945) en provenance de la route nationale 20 progressant vers Savigny-sur-Orge qu’ils abordent par le Chemin des Meuniers[46]. Le point de résistance allemande de Longjumeau-Épinay fut contourné par les hommes de Leclerc ainsi que par la quatrième division d’infanterie américaine. Ils purent, guidés par des habitants, continuer leur marche sur Paris. Une carte au mémorial du maréchal Leclerc à la gare de Paris-Montparnasse rappelle ces combats et cite la ville comme point de passage de la division. Une borne de la Voie de la 2e DB se trouve place du 8 mai au bout de la rue de la division Leclerc.

    Après la guerre, l’urbanisation se fait au coup par coup entre les deux gares, elle s’étend autour de la grande rue avec toute une série de lotissements : les Castors (1952), la Terrasse (1954-55), les Morelles (1958), les Bas-Follets (1960), le Mauregard (1962), l’Orme Quesneau (1967), les Hauts-Graviers (1980), le Week-end (1984) et les Templiers (1990).

    Politique et administration

    Position d’Épinay-sur-Orge en Essonne.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[47], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement de Palaiseau, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Essonne.

    Elle faisait partie, de 1801 à 1964, du canton de Longjumeau de Seine-et-Oise, puis, de 1964 à 1967, du canton de Savigny-sur-Orge. Lors de la mise en place du département de l'Essonne, elle intègre le canton de Sainte-Geneviève-des-Bois, puis, en 1975, intègre à nouveau le canton de Longjumeau, mais dont la composition diffère profondément de celle de l'ancien canton[42]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 4 à 8 communes.

    Entre novembre 2005 et janvier 2014, la commune est intégrée au programme de l’Opération d'Intérêt National de Massy - Palaiseau - Saclay - Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines[48]. En janvier 2014, celui-ci devient l'Opération d'Intérêt National Paris-Saclay et passe de 49 à 28 communes, la commune n'en fait alors plus partie[49].

    L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de la commune au tribunal d’instance et au conseil de prud’hommes de Longjumeau, au tribunaux de grande instance et de commerce d’Évry et à la cour d'appel de Paris[50].

    Intercommunalité

    Épinay-sur-Orge était membre fondateur de la communauté d'agglomération Europ'Essonne, créée fin 2006.

    Dans le cadre des prescriptions de la Loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPTAM) du 27 janvier 2014, qui prévoit la création d'intercommunalités de grande taille dans la seconde couronne parisienne, cette intercommunalité fusionne avec la communauté d'agglomération du Plateau de Saclay (plus les communes de Verrières-le-Buisson et Wissous, antérieurement membres de la communauté d'agglomération des Hauts-de-Bièvre), pour former, le , la communauté d'agglomération Paris-Saclay[51], dont la commune est désormais membre.

    En 2017, la commune est également membre des syndicats de communes et syndicats mixtes suivants[52] :

    Tendances et résultats politiques

    Élections présidentielles

    Résultats des deuxièmes tours

    Élections législatives

    Résultats des deuxièmes tours

    Élections européennes

    Résultats des deux meilleurs scores

    Élections régionales

    Résultats des deux meilleurs scores

    Élections cantonales et départementales

    Résultats des deuxièmes tours

    Élections municipales

    Résultats des deuxièmes tours

    Référendums

    Liste des maires

    La liste des maires d’Épinay-sur-Orge de 1790 à 1995.
    Liste des maires successifs[79].
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1947 Georges Morillon    
    octobre 1947 mai 1953 André Guyochin    
    mai 1953 1958 Édouard Commelin    
    1958 mars 1959 Henri Vitry    
    mars 1959 mars 1977 Francis Orange    
    mars 1977 juin 1995 Christian Jeu RPR Conseiller général de Longjumeau (1982 → 1994)
    juin 1995 novembre 2017 Guy Malherbe RPR puis
    UMP-LR
    Administrateur civil[80]
    Député de l'Essonne (4e circ.) (2007 → 2012)
    Conseiller général de Longjumeau (2001 → 2008)
    Vice-président de la CA Europ'Essonne (? → 2015)
    Démissionnaire
    novembre 2017[81],[82] juin 2020 Véronique François LR[83] Biologiste
    Vice-présidente de la CA Paris-Saclay
    juin 2020 En cours Muriel Dorland DVG Juriste, cadre territoriale

    Outils de démocratie participative

    La commune disposait en 2011 d'un conseil municipal des enfants[84].

    Distinctions et labels

    La commune a été récompensée à nouveau en 2014 par deux fleurs au concours des villes et villages fleuris[85].

    En juin 2018, la ville est labellisée « Fleur Verte » par le département grâce à son action engagée et durable pour une gestion des espaces verts[réf. nécessaire] (zéro produits phytosanitaires, gestion durable des ressources, respect du patrimoine naturel et de la biodiversité ainsi que des actions de sensibilisation éco-citoyennes....)

    Jumelages

    Il n'a pas d'association de jumelage sur la commune. Une association d’habitants développe depuis 1991 des liens amicaux avec la commune de Vizantea-Livezi en Roumanie[86].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[87],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 11 160 habitants[Note 4], en augmentation de 6,3 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    697638660563544511512513523
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    5535877431 3091 5061 6201 7871 8681 873
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9102 0372 1482 2302 9283 1673 9443 6495 057
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    6 1039 0329 3668 7459 6889 39910 11810 34911 295
    2018 - - - - - - - -
    11 160--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[88].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Créée en 1793, la commune d’Épinay-sur-Orge comptait alors six cent quatre-vingt-dix-sept habitants avant de connaître un lent déclin démographique pour ne compter que cinq cent onze habitants en 1836, date où elle renoua avec la croissance, dépassant les sept cents habitants trente ans plus tard et les mille trois cents habitants en 1872 et les mille cinq cents habitants quatre ans plus tard. En 1901, la commune comptait plus de mille neuf cents habitants et dépassa la barre des deux mille résidents cinq ans plus tard. La Seconde Guerre mondiale fit chuter de trois cents personnes la population spinolienne mais les Trente Glorieuses permirent le lotissement des terrains et une croissance soutenue, la commune passant à cinq mille cinquante-sept habitants en 1954, neuf mille trente-deux en 1968, connaissant une nouvelle chute lors du recensement de 1982 à seulement huit mille sept cent quarante-cinq habitants, une seconde lors du recensement de 1999 avant de dépasser la barre des dix mille habitants à l’occasion du recensement de 2006.

    L’immigration compte pour partie dans cette croissance démographique avec dans la commune 3,7 % d’étrangers[89] dont 1,3 % de Portugais, 0,4 % d’Italiens, 0,2 % d’Espagnols, Algériens et Marocains et 0,1 % de Turcs[90]

    Pyramide des âges en 2009

    L’analyse comparée de la population d’Épinay-sur-Orge et du département par classes d’âges montre une relative similarité dans la répartition, avec cependant une présence légèrement supérieure de personnes de plus de quarante-cinq ans dans la commune et donc légèrement moins importante de jeunes, notamment de moins de trente ans, la catégorie d’âge la plus nombreuse étant dans les deux cas les personnes entre trente et quarante-quatre ans. En 1999, 29,5 % de la population était âgée de moins de vingt-cinq ans[89].

    Pyramide des âges à Épinay-sur-Orge en 2009 en pourcentages[91].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ans ou +
    1,1 
    6,9 
    75 à 89 ans
    9,7 
    14,0 
    60 à 74 ans
    14,1 
    22,5 
    45 à 59 ans
    20,6 
    19,8 
    30 à 44 ans
    19,5 
    18,4 
    15 à 29 ans
    18,2 
    17,9 
    0 à 14 ans
    16,7 
    Pyramide des âges en Essonne en 2009 en pourcentages[92].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,4 
    75 à 89 ans
    6,7 
    11,3 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,9 
    45 à 59 ans
    20,0 
    21,9 
    30 à 44 ans
    21,4 
    20,6 
    15 à 29 ans
    19,2 
    21,7 
    0 à 14 ans
    20,0 

    Enseignement

    Le collège André-Maurois.

    Les élèves d’Épinay-sur-Orge sont rattachés à l’académie de Versailles.

    En 2010, la commune dispose sur son territoire de l’école maternelle des Templiers et des écoles primaires Paul-Valéry et Albert-Camus[93] et du collège André-Maurois[94] qui accueille les élèves d’Épinay-sur-Orge et d'une partie de Longjumeau, les élèves sont ensuite répartis entre le lycée Corot de Savigny-sur-Orge et le lycée Prévert de Longjumeau.

    L’institut médico-professionnel de Sillery propose en 2011 un enseignement spécialisé pour des élèves présentant des handicaps mentaux ou d’importantes difficultés d’insertion sociale[95].

    Les jeunes enfants sont accueillis dans la crèche des Petits castors ou dans la halte-garderie des Bouts d’chou. Hors périodes scolaires, les enfants sont répartis dans les centres de loisirs Albert-Camus et des Templiers[réf. nécessaire].

    Enseignement supérieur

    La commune dispose d'un Institut de Formation en Soins Infirmiers de l'université Paris-Saclay[96], au sein du site du domaine de Perray-Vaucluse. L'établissement accueille plus d'une centaine d'étudiants[97].

    Culture

    La médiathèque municipale.

    La commune dispose sur son territoire d’une médiathèque attenante à la salle polyvalente Georges-Pompidou. Deux boites à livres sont installées à l'initiative de particuliers ou d'associations rue de l'Esplanade et rue de la Terrasse.

    Quatre salles associatives sont à la disposition des habitants pour l’organisation des loisirs. Trois manifestations annuelles rythmes la vie communale, la fête associative des Brandous durant le week-end précédant le 21 juin, la fête patronale le premier week-end de septembre et les animations de Noël, durant le deuxième dimanche de décembre. Un conservatoire de musique associatif permet l’apprentissage et la pratique musicale[réf. nécessaire].

    Sports

    Le stade du Breuil.

    Épinay-sur-Orge dispose sur son territoire de plusieurs équipements à caractères sportifs dont le stade du Breuil équipé de deux terrains de football, d’une piste d'athlétisme, de sept courts de tennis et d’un boulodrome, le stade des Templiers équipé d'un terrain de football stabilisés et d'un terrain de rugby, les gymnases Georges-Pompidou et Alain-Mimoun et la salle polyvalente du Millénaire.

    Elle accueille aussi un club de roller soccer vice-champion du monde en 2009, les Shark Epinay Roller Soccer[98].

    Le grand prix cycliste du conseil municipal d'Epinay sur Orge [99] se courait tous les ans début septembre au moment de la fête communale avec pour arrivée le Mur d'Epinay [100], une montée à 9% avec un passage à plus de 14%. Il n'a plus été organisé depuis sa 48e édition en 2015.

    Santé

    La commune accueille sur son territoire une partie des installations du Groupe hospitalier universitaire Paris psychiatrie & neurosciences sur son domaine de Perray-Vaucluse dont les six cent soixante-seize places du centre de psychiatrie générale et pédopsychiatrie, de la maison de retraite et du centre de traitement des addictions et toxicomanie existant en 2011[101].

    Plusieurs établissements de santé se trouvent sur la commune, dont trois établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes :

    D'autres établissements de santé équipent la commune, dont une maison d’accueil spécialisée (MAS) et un foyer d’hébergement d'Emmaüs Solidarité sur le domaine de Perray-Vaucluse, l’institut médico-éducatif (IME) et le centre médico-psychologique sur le domaine de Sillery qui accueille les handicapés.

    Un centre de protection maternelle et infantile (PMI) est implanté dans la commune[103]. Six médecins libéraux[104], neuf chirurgiens-dentistes[105]exercent dans la commune, complétés par trois pharmacies[106].

    Autres services publics

    L’agence postale.

    Une résidence pour personnes âgées autonomes de 48 studios.

    La commune dispose pour une surveillance de son territoire de patrouilles de police nationale[107] et d’un centre de première intervention des sapeurs-pompiers[108].

    Une agence postale est installée en centre-ville[109], un notaire exerce dans la commune[110].

    Lieux de culte

    La paroisse catholique d’Épinay-sur-Orge est rattachée au secteur pastoral de Longjumeau et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l’église Saint-Leu-et-Saint-Gilles et de la chapelle Saint-Dominique-Savio[111]. La communauté protestante dispose d’un temple affilié à l’entente et la coordination des œuvres chrétiennes[112].

    Solidarité

    Une antenne du Secours Populaire et de la Société de Saint-Vincent-de-Paul sont présentent sur la commune depuis des années pour venir en aide aux plus démunis. Un centre d'hébergement Emmaüs Solidarité a été ouvert au sein de l'Hôpital de Perray-Vaucluse.

    À la suite de la pandémie de Covid-19, une association, Epinay Entraide, a été créée par des habitants pour livrer les personnes démunies et âgées de la commune pendant le confinement de la population [113].

    Médias

    L’hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à ViàGrandParis (Vià91). La municipalité édite un journal communal intitulé Le Spinolien.

    Économie

    Le marché couvert.

    Épinay-sur-Orge est rattachée par l’Insee au bassin d'emploi d’Orly qui regroupait en 1999 trente communes et 446 024 habitants, les Spinoliens représentant 2 % du total. En 2007, la population active dans la commune comptait 4 842 personnes soit 71,5 % de la population totale dont 4 466 avaient un emploi, soit un taux de chômage établi à 7,8 % malgré un nombre relativement faible d’emploi dans la commune avec seulement 2 438 places, en conséquence, seuls 11,9 % des habitants travaillaient dans leur commune de résidence[114].

    La commune dispose sur son territoire de deux pôles économiques, au sud le centre hospitalier de Perray-Vaucluse et à l’est la zone commerciale des Rossays, auxquels s’ajoutera à terme la zone d’activité industrielle de la Croix-Ronde[115]. En 2009, la commune comptait trois cent quarante-huit entreprises actives sur son territoire dont deux exploitations agricoles[116] et trois hôtels[114].

    Un marché est organisé les mardis et vendredis matins sous la halle en centre-ville.

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2007, 90,5 % des actifs ayant un emploi étaient salariés dont près de 84 % disposaient d’un contrat à durée indéterminée ou étaient titulaires de la fonction publique avec une mixité parmi les diverses catégories socioprofessionnelles, respectivement 34,7 % d’employés, 31,3 % de professions intermédiaires, 16,7 % d’ouvriers et 12,3 % de cadres. Cette même année, 70,5 de la population était assujetties à l’impôt sur le revenu avec un revenu net imposable moyen fixé dans la commune à 30 680 , 68,4 % des ménages tirant leurs revenus de salaires. Les Spinoliens habitaient dans 68,7 % des cas dans un pavillon individuel et en étaient propriétaires dans 73,8 % des cas[114]. En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 24 124 , ce qui plaçait la commune au 593e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au cinquante-septième rang départemental[117].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Épinay-sur-Orge 0,0 % 5,0 % 12,3 % 32,2 % 35,2 % 15,3 %
    Zone d’emploi d’Orly 0,1 % 4,6 % 15,2 % 27,8 % 30,3 % 22,1 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
      Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    Épinay-sur-Orge 0,6 % 3,9 % 4,8 % 13,7 % 8,9 % 7,6 %
    Zone d’emploi d’Orly 0,5 % 8,1 % 7,2 % 15,0 % 14,3 % 6,3 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[118],[119],[120]

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine environnemental

    Le parc du domaine de Sillery, aménagé à l'origine en 1837 par Louis-Sulpice Varé, et remanié de 1861 à 1867, puis dans les années 1880 est inscrit aux monuments historiques[121].

    Plusieurs autres espaces verts sont répartis sur la commune dont le parc de la mairie en centre-ville, l'esplanade, plusieurs squares dont la place Gabriel-Péri ainsi que deux parcs, le parc des Templiers situé au nord de la commune et le parc de Petit-Vaux à l'est[122]. Le parc des Templiers dispose d'une association de Train de jardin en voie de 7" 1/4 (184 mm) permettant de transporter bénévolement petits et grands sur un circuit de 400 mètres. L'association du Petit train des templiers [123] est ouverte certain dimanche de mars à novembre. Un rucher municipal a été implanté au parc des Templiers en collaboration avec le conseil municipal des enfants en 2011. Il a été déplacé au cimetière communal et est composé de trois ruches.

    Sur le territoire communal, le conseil général de l’Essonne a classé au titre des espaces naturels sensibles les parcs de Sillery et de Perray-Vaucluse, les abords de l’Yvette ainsi que la plaine agricole à l’ouest[124].

    La commune est traversée par le Sentier de grande randonnée de pays de la ceinture verte d'Île-de-France[125]. qui passe par la gare et continue au nord le long de l'Yvette et au sud vers la vallée de l'Orge.

    Au départ de la gare d'Épinay-sur-Orge, un sentier non balisé d'environ 10 km, la randonnée des trois Rivières, permet de faire le tour de la commune en passant par des chemins de terre, des rues préservés et de longer les trois rivières qui traversent la commune[126]. De nombreux autres sentiers traversent le territoire de la commune[127].

    Patrimoine architectural

    Le monument aux morts de la guerre franco-allemande de 1870.
    Sépulture de 39 soldats allemands morts pendant la guerre de 1870
    • Une borne routière du XVIIIe siècle a été inscrite aux monuments historiques le [128].
    • Au cimetière communal se trouve un monument à la mémoire de Léopold Pillot, fusillé par les Allemands en septembre 1870, et de trois autres francs-tireurs, morts pour la patrie[129]. Une sépulture de 39 soldats allemands morts pendant la guerre de 1870 est dans un carré de tombes militaires du cimetière.
    • L'église Saint-Leu-et-Saint-Gilles fut édifiée entre les XIIIe et XVIIIe siècles et augmentée au XVe siècle de la chapelle dédiée à saint Roch et saint Sébastien[130], entre les XVIIIe et XIXe siècles.
    • Plusieurs demeures bourgeoises furent construites par les Parisiens venant en villégiature dont le château des Tourelles[131].

    Personnalités liées à la commune

    Barnabé Brisson.
    Toile d'Armand Guillaumin Epinay-sur-Orge (1885)

    Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Épinay-sur-Orge :

    [132];

    Héraldique

    Les armes d’Épinay-sur-Orge se blasonnent :

    D’azur à trois fusées d’argent posées en fasce.

    Il s’agit des armes du parlementaire Barnabé Brisson, premier seigneur d’Épinay.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Épinay-sur-Orge », p. 555–560
    • Abbé A.-E. Genty, Épinay-Sur Orge Du VIIIe au XIXe siècle, Livre d’Histoire (ISBN 9782843731150)
    • Jacques Catillon, Épinay-Sur-Orge L’Ancien Régime et la Révolution, Amattéis, (ISBN 9782868490698)
    • Épinay Accueil, Il était une fois ... Épinay-Sur-Orge, 4 volumes
    • T'as pas changé, L'histoire d'Épinay-Sur-Orge,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Fiche d’Épinay-sur-Orge dans le Code officiel géographique sur le site de l’Insee. Consulté le 01/08/2012.
    2. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 02/04/2009.
    3. Fiche communale d’occupation des sols en 2008 sur le site de l’Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
    4. Coordonnées géographiques communales sur le site lion1906.com Consulté le 10/01/2011.
    5. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    6. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    7. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    8. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    9. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    10. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    11. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    12. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    13. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    14. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    15. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Épinay-sous-Sénart sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    16. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Épinay-sur-Seine sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    17. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Épinay-Champlâtreux sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    18. Orthodromie entre Épinay-sur-Orge et Épinay sur le site lion1906.com Consulté le 26/08/2012.
    19. Cadastre d'Epinay sur Orge
    20. Ruisseau de la Grange du Breuil
    21. L’histoire du ru sans nom de la Grange au Breuil
    22. Fiche de la station hydrométrique sur l’Orge à Epinay-sur-Orge Le Breuil sur le site hydro.eaufrance.fr Consulté le 08/01/2011.
    23. Fiche de la borne géodésique no K.A.M3-240 sur le site de l’Ign. Consulté le 08/01/2011.
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    25. « Données géographiques » sur Géoportail (consulté le 21/02/2013.)..
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    126. Randonnée des Trois Rivières
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    132. Armand Guillaumin
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