Épinay-sous-Sénart

Épinay-sous-Sénart (prononcé [epinɛ su senaʁ] ) est une commune française située à vingt-deux kilomètres au sud-est de Paris dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Épinay (homonymie) et Sénart (homonymie).

Épinay-sous-Sénart

La mairie en 2020.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Évry
Intercommunalité CA Val d'Yerres Val de Seine
Maire
Mandat
Damien Allouch (PS)
2020-2026
Code postal 91860
Code commune 91215
Démographie
Gentilé Spinoliens
Population
municipale
12 279 hab. (2018 )
Densité 3 430 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 41′ 41″ nord, 2° 30′ 53″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 87 m
Superficie 3,58 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Épinay-sous-Sénart
(bureau centralisateur)
Législatives 9e circonscription de l'Essonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Épinay-sous-Sénart
Géolocalisation sur la carte : Essonne
Épinay-sous-Sénart
Géolocalisation sur la carte : France
Épinay-sous-Sénart
Géolocalisation sur la carte : France
Épinay-sous-Sénart
Liens
Site web http://www.ville-epinay-senart.fr/

    Ses habitants sont appelés les Spinoliens[1].

    Géographie

    Bordée par l’Yerres et la forêt de Sénart, proche de grands axes de communication, Épinay-sous-Sénart est une ville de plus de 12 000 habitants située dans le département de l’Essonne.

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    Épinay-sous-Sénart rassemble une population hétéroclite, près d’une centaine d’associations et des entreprises qui bénéficient de la Zone Franche Urbaine Sensible[Quoi ?] qui rassemble les quartiers de la Croix Rochopt, les Petits Sanceaux, le Clos Guillaume, Le Pré aux Agneaux, le Gué Mandres, et les grands ensembles de la Plaine 1 (Région Française), la Plaine 2 (les Écrivains), la Plaine 3 (les Musiciens) et les Cinéastes ainsi que la zone Industrielle de la Foret, dans le vieil Épinay.

    Situation

    Position d’Épinay-sous-Sénart en Essonne.
    Occupation des sols.
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Espace urbain construit 30,6 % 109,50
    Espace urbain non construit 10,7 % 38,20
    Espace rural 58,8 % 210,47
    Source : Iaurif MOS 2008[2]

    Épinay-sous-Sénart est située à vingt-deux kilomètres au sud-est de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, neuf kilomètres au nord-est d'Évry[4], dix kilomètres au nord-est de Corbeil-Essonnes[5], dix-neuf kilomètres au nord-est de Montlhéry[6], vingt et un kilomètres au sud-est de Palaiseau[7], vingt-trois kilomètres au nord-est d'Arpajon[8], vingt-six kilomètres au nord-est de La Ferté-Alais[9], trente-trois kilomètres au nord-est de Milly-la-Forêt[10], trente-neuf kilomètres au nord-est d'Étampes[11], quarante et un kilomètres au nord-est de Dourdan[12].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière l'Yerres, rivière affluent de la Seine.

    Relief et géologie

    Le point le plus bas de la commune est situé à trente-sept mètres d'altitude et le point culminant à quatre-vingt-sept mètres[13].

    Communes limitrophes

    Climat

    Épinay-sous-Sénart, située en Île-de-France, bénéficie d'un climat océanique dégradé aux hivers frais et étés doux, avec des précipitations régulières sur l'ensemble de l'année. En moyenne annuelle, la température s'établit à 10,8 °C, avec une moyenne maximale annuelle de 15,2 °C et une moyenne minimale de 6,4 °C. Le record de température la plus basse fut établi le avec −19,8 °C. La moindre densité urbaine explique une différence négative de deux à trois degrés relevée entre Brunoy et Paris. L'ensoleillement totalisant 1 798 heures est comparable à l'ensemble des régions au nord de la Loire mais moindre qu'au nord du département par la présence fréquente de nappe de brume à proximité de l'Yerres et de la vaste forêt de Sénart. Enfin, les précipitations s'établissent à 598,3 millimètres annuels, avec une moyenne mensuelle proche de cinquante millimètres et une pointe à soixante-trois millimètres en mai.

    Données climatiques à Épinay-sous-Sénart.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0,7 1 2,8 4,8 8,3 11,1 13 12,8 10,4 7,2 3,5 1,7 6,4
    Température moyenne (°C) 3,4 4,3 7,1 9,7 13,4 16,4 18,8 18,5 15,6 11,5 6,7 4,3 10,8
    Température maximale moyenne (°C) 6,1 7,6 11,4 14,6 18,6 21,8 24,5 24,2 20,8 15,8 9,9 6,8 15,2
    Ensoleillement (h) 59 89 134 176 203 221 240 228 183 133 79 53 1 798
    Précipitations (mm) 47,6 42,5 44,4 45,6 53,7 51 52,2 48,5 55,6 51,6 54,1 51,5 598,3
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Brétigny-sur-Orge de 1948 à 2002[14],[15].

    Voies de communication et transports

    La ville d'Épinay-sous-Sénart peut être accessible en transports en commun. En effet, les lignes de bus C et 91.01 du service Transdev en Île-de-France desservent la ville, ces dernières partant de la gare de Boussy en passant par la gare de Brunoy, desservies par les trains de la ligne D du RER.

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Le quartier des Cinéastes.

    Une dizaine de quartiers compose la ville, la Plaine 1, la Plaine 2, la Plaine 3, les Cinéastes, la Croix Rochopt, les Petits Sanceaux, le Clos Guillaume, le Pré aux Agneaux, le Gué Mandres et le Vieil Épinay avec la zone industrielle de la Forêt[16]. Néanmoins plusieurs quartiers ont été rattachés afin de créer la zone franche urbaine sensible de la Plaine-Cinéaste.

    Urbanisme

    Typologie

    Épinay-sous-Sénart est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[20] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Toponymie

    Spinolium en 637, Espinolium en 1298, Espinoletum Sae Genovefae au XIIIe siècle, Epiney[25].

    La commune fut créée en 1793 sous le nom d'Épinay-sous-Sénart, le nom actuel fut introduit par le Bulletin des lois en 1801[26].

    Histoire

    Histoire des Cinéastes

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    Les Cinéastes, autrefois Gerbeaux, sont sortis de terre en 1967.

    Alors qu’Épinay-sous-Sénart est encore un village, l’actuel quartier des Cinéastes fait partie des terres fertiles de la ville grâce à leur proximité avec l’Yerres. Puis avec les années soixante, du village naît une ville. En 1967, un lot de 810 logements est mis en chantier, baptisé résidence les Gerbeaux en l’honneur du passé rural d’Épinay-sous-Sénart, les numéros vont de 1 à 36. À partir de 1969, au fur et à mesure des installations, près de 4 000 Spinoliens vont vivre dans ces petits immeubles bordés de rosiers dont certains ouvrent leurs fenêtres sur la prairie et sur l’Yerres. Les enfants jouent sur le terrain d’aventure la Plaine Robinson situé derrière la Résidence. Pour accueillir ces nouveaux habitants deux groupes scolaires, Gerbeaux 1 et Gerbeaux 2, sont réalisés en et .

    Vingt ans passent. Avec le temps, les logements vieillissent et le cadre de vie de la résidence des Gerbeaux est dégradé. En 1987, une rénovation-réhabilitation du quartier est envisagée et avec elle, le désir de la municipalité de l’époque, de lui donner une nouvelle identité. La résidence des Gerbeaux devient le quartier des Cinéastes par la délibération du . Les 16, 17, 18 et 19 résidence les Gerbeaux deviennent les 5, 6, 7 et 8 allée François-Truffaut. Le même jour le groupe scolaire Gerbeaux I prend le nom de Georges-Brassens tandis que Gerbeaux II devient le groupe scolaire Jacques-Brel. Une maison de quartier est créée : le centre social Jean-Monnet.

    En 1990, le quartier des Cinéastes est inscrit dans le contrat de plan État-Région en site développement social des quartiers.

    En 1994, le désenclavement des Cinéastes est amorcé par la réalisation de la voie reliant la rue Jean Paul-Sartre à la rue de l’Ile-de-France puis en 1998, avec la voie Hitchcock / Daudet, les Cinéastes sont reliés à la Plaine I.

    Histoire du collège la vallée

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    À la rentrée 1969, un établissement neuf ouvre ses portes : le collège 600.

    En hommage au comédien, la municipalité émet le vœu de l’appeler le CES Gérard-Philippe.

    Très vite l’établissement s’avère trop petit. Le collège devient lycée et prend le nom de Maurice-Eliot le .). La construction d’un nouvel établissement, plus grand, débute en 1973. D’une superficie de 20 000 m2, le CES 900 accueille ses premiers élèves le et prend le nom de collège La Vallée en .

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Antérieurement à la loi du [27], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son Arrondissement de Corbeil après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, la ville fait partie de la neuvième circonscription de l'Essonne.

    Elle faisait partie de 1806 à 1919 du canton de Boissy-Saint-Léger, année où elle intègre le canton de Villeneuve-Saint-Georges, puis, en 1964, celui de Canton de Brunoy du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place de l'Essonne, elle devient le chef-lieu du canton d'Épinay-sous-Sénart[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est étendu, passant de 4 à huit communes (plus une partie de celle de Brunoy).

    Intercommunalité

    La ville adhérait depuis 2002 à la communauté d'agglomération du Val d'Yerres.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération Sénart Val de Seine, de la communauté d'agglomération du Val d'Yerres et extension du nouveau regroupement à la commune de Varennes-Jarcy[28] », jusqu'alors membre de la communauté de communes du Plateau Briard. Celle-ci, après une consultation de ses habitants[29] qui s'est tenue en [30], intègre néanmoins la communauté de communes de l'Orée de la Brie le , de manière à ne pas être concernée par la Métropole du Grand Paris[31],[32].

    Les communes de Sénart Val de Seine s'opposent à la création, et le maire de Draveil, Georges Tron, organise un référendum dans sa ville, qui aboutit à un rejet de la fusion par 98,3 %, mais avec une participation limitée à 23 % des électeurs[33],[34].

    La création de la nouvelle communauté d'agglomération est néanmoins créée par arrêté préfectoral du « portant création d’un établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion des communautés d’agglomération Sénart Val de Seine et Val d’Yerres », dénommée communauté d'agglomération Val d'Yerres Val de Seine.

    Tendances et résultats politiques

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
    Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
    Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours
    Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
    Référendums

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[54].
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1860 1865 Jean-Louis Bouret   Propriétaire
    Les données manquantes sont à compléter.
    1897 1929 André Lot    
    1929 1935 Georges Marienval    
    1935 1944 Toussaint Duchamps    
    1944 1965 Maurice Deslandes    
    mars 1965 mars 1977 Roger Biteau    
    mars 1977 mars 1983 Pierre Bonningue PCF[55]  
    mars 1983 mars 2001[56] Jacques-Louis Dôle RPR  
    mars 2001[57] avril 2014 Christine Scelle-Maury[58] PS
    puis DVG[59],[60]
    Professeure
    avril 2014[61],[62] juillet 2020[63] Georges Pujals DVD Économiste
    Vice-président de la CA du Val d'Yerres (2017 → )
    juillet 2020[64] ,[65] En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Damien Allouch[66] PS Professeur de français
    Ancien maire adjoint de Boussy-Saint-Antoine (2014 → ? )
    Conseiller départemental d'Épinay-sous-Sénart (2015 → )

    Jumelages

    Épinay-sous-Sénart a développé des associations de jumelage avec :

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[69],[Note 3]

    En 2018, la commune comptait 12 279 habitants[Note 4], en diminution de 2,28 % par rapport à 2013 (Essonne : +3,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    120240192195159200211234218
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    222281289265348329359379350
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    356380491435498603569576757
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8702 70614 85714 73513 37412 79713 14412 12912 760
    2018 - - - - - - - -
    12 279--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[70].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2009
    Pyramide des âges à Épinay-sous-Sénart en 2009 en pourcentages[71].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90 ans ou +
    0,7 
    2,8 
    75 à 89 ans
    4,5 
    8,9 
    60 à 74 ans
    10,0 
    17,3 
    45 à 59 ans
    18,1 
    24,0 
    30 à 44 ans
    22,5 
    20,6 
    15 à 29 ans
    20,7 
    26,2 
    0 à 14 ans
    23,5 
    Pyramide des âges en Essonne en 2009 en pourcentages[72].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,4 
    75 à 89 ans
    6,7 
    11,3 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,9 
    45 à 59 ans
    20,0 
    21,9 
    30 à 44 ans
    21,4 
    20,6 
    15 à 29 ans
    19,2 
    21,7 
    0 à 14 ans
    20,0 

    Enseignement

    Les élèves d'Épinay-sous-Sénart sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose des écoles primaires du Pré-aux-Agneaux, Alphonse-Daudet, Jacques-Brel, Georges-Brassens et de la Croix-Rochopt[73], du collège de la Vallée et du lycée général et technologique Maurice-Eliot[74].

    Culture

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    La La Maison des Arts et de la Cultureest un lieu pluridisciplinaire, regroupant différents espaces d'expression ,de diffusion, de soutien à la création artistique et d'action éducative et culturelle : Ma MAC à ouvert ses portes le 11 mai 2018. Elle comprend notamment :

    • La salle de spectacle Eugène-Ritt ( 400 Places assises et 700 debout)
    • La Galerie d'exposition dite "Nef" de 140m²
    • Le studio de musique Jacques-Ysaebert
    • L'atelier de sculpture Jacques Froment-Meurice
    • L'atelier de dessin et peinture Maurice-Eliot
    • L'atelier de théâtre et cirque Déborah Lukumuena
    • La salle information Enzo-Schott
    • Le studio de danse Jocelyn-Lux-Preux et Jean-Claude Preux
    • Un espace Café avec terrasse sur le parvis
    • Un espace Micro Folie qui est un espace numérique déployé par le parc de La Villette et le ministère de la culture en partenariat avec 12 institutions culturelles (musée du Louvre, Centre Pompidou, RMN- Grand Palais, Versailles ,Musée Picasso,etc) intègre également un Fab Lab , un espace scénique et un café folie.

    Santé

    Un centre de la protection maternelle et infantile[75] et un centre de planification familiale[76] sont implantés dans la commune.

    Sports

    Épinay-sous-Sénart est une ville sportive: un club de football qui réunit plus de 400 licenciés, près de 2 000 Spinoliens sont licenciés dans un club, les clubs de karaté et de kung-fu sont parmi les meilleurs de France[réf. nécessaire].

    Autres services publics

    La commune dispose sur son territoire d'un bureau de poste[77].

    Lieux de culte

    La paroisse catholique d'Épinay-sous-Sénart est rattachée au secteur pastoral de Brunoy-Val d'Yerres et au diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Damien-d- Veuster[78]. La communauté musulmane dispose dans la commune d'une mosquée. La communauté juive dispose d'une synagogue. Le séminaire orthodoxe russe[79] a été installé à Épinay-sous-Sénart en 2009, dans la maison Sainte-Geneviève qui appartenait auparavant aux sœurs auxiliatrices du purgatoire.

    Médias

    L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

    Économie

    Un marché se tient les mercredis et samedis matins[80].

    Emplois, revenus et niveau de vie

    En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 28 423 , ce qui plaçait Epinay-sous-Sénart au 16 710e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[81].

    Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
      Agriculteurs Artisans, commerçants,
    chefs d’entreprise
    Cadres et professions
    intellectuelles supérieures
    Professions
    intermédiaires
    Employés Ouvriers
    Épinay-sous-Sénart 0,2 % 6,9 % 13,7 % 25,9 % 29,9 % 23,3 %
    Zone d'emploi de Créteil 0,2 % 5,4 % 17,6 % 27,3 % 30,3 % 19,3 %
    Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
    Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
      Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
    entreprises
    Services aux
    particuliers
    Épinay-sous-Sénart 0,3 % 9,0 % 6,5 % 12,4 % 8,8 % 7,7 %
    Zone d'emploi de Créteil 0,7 % 9,4 % 7,1 % 14,4 % 13,9 % 7,2 %
    Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
    Sources : Insee[82],[83],[84]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les berges de l'Yerres et la portion communale de la forêt de Sénart ont été recensés au titre des espaces naturels sensibles par le conseil général de l'Essonne[85].

    Personnalités liées à la commune

    Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Épinay-sous-Sénart :

    Héraldique et logotype

    Les armes d'Épinay-sous-Sénart se blasonnent : D'azur au chevron ondé d'argent soutenu d'une crosse d'or et d'une quenouille du même passées en sautoir.[87]

    La commune s'est en outre dotée d'un logotype.


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Épinay-sous-Sénart », p. 272–275

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 17/07/2008.
    2. Fiche communale d'occupation des sols en 2008 sur le site de l'Iaurif. Consulté le 11/11/2010.
    3. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
    4. Orthodromie entre Épinay-sous-Sénart et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 13/09/2012.
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    56. Jérôme Lemonnier, « Épinay-sous-Sénart : la division s’affiche de nouveau : Après avoir perdu ses délégations, la première adjointe au maire d’Epinay-sous-Sénart Khadidja Seddiki affiche au grand jour les raisons qui l’opposent au maire Georges Pujals. Elle vient d’entamer une grève de la faim. Un nouveau déballage qui vient ternir l’image d’une ville connue pour son instabilité politique », Essonne info, (lire en ligne) « Retour aux élections municipales de 2001, date du premier conflit au cœur de la majorité spinolienne. Après avoir effectué deux mandats consécutifs, Jacques-Louis Dôle s’est vu progressivement barrer la route qui le menait vers une troisième victoire par son protégé de l’époque, David Nadeau. Il s’agissait juste d’une guerre de succession comme on a pu en voir dans plusieurs communes, comme notamment à Viry-Châtillon en 1995, pouvait-on croire à l’époque.Cependant, cette première crise entre deux élus de la même majorité en a appelé d’autres.
      Quelques années plus tard après, d’autres oppositions interviennent en plein milieu du mandat entre la nouvelle maire Christine Scelle-Maury et son adjoint Mourad Lebcir. Mais, après un nouveau scrutin municipal mouvementé en 2008, la maire sortante récupère son siège dès le premier tour. Durant le mandat 2008-2014, ce fut l’occasion de vérifier la pertinence du vieil adage : « jamais deux sans trois ». Et il disait vrai ! Comme un véritable mal chronique, voilà que les divisions refont surface en 2013. Christine Scelle-Maury et son premier adjoint Pascal Michelangeli finissent par faire bande à part à quelques mois des élections municipales de mars dernier »
      .
    57. Sébastien Ramnoux, « Peu de femmes parmi les nouveaux maires », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ) « Au soir du deuxième tour des élections municipales, Christine Scelle-Maury a remporté deux victoires. Non seulement la socialiste prend Épinay-sous-Sénart à la droite, mais elle s'impose contre un homme, le maire sortant RPR, Jacques-Louis Dôle ».
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    62. Laurent Degradi, « Municipales à Epinay-sous-Sénart : Georges Pujals crée la surprise », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne).
    63. Laurent Degradi, « Municipales à Épinay-sous-Sénart : trois listes de gauche face au maire sortant : Candidat à sa propre succession, le maire (divers droite) Georges Pujals va trouver sur sa route trois adversaires marqués à gauche, qui part moins dispersée que lors du précédent scrutin. », Le Parisien, édition de l'essonne, (lire en ligne, consulté le ) « Sept candidats dont quatre listes… rien que pour la gauche. Une aberration qui avait rendu le scrutin quasi illisible pour les électeurs en 2014. Six ans plus tard, la raison a regagné du terrain du côté d'Epinay-sous-Sénart. Seules quatre listes en effet devraient être au départ cette année du premier tour des élections municipales (...) Têtes de liste : Georges Pujals (SE), Damien Allouch (PS), Nathalie Delaunay (SE), Samir Lebcir (SE) ».
    64. Pauline Darvey, « Municipales 2020 en Essonne : Damien Allouch se lance dans la course à Epinay-sous-Sénart : Le conseiller départemental socialiste a annoncé sa candidature la semaine dernière », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
    65. Nolwenn Cosson, Laurent Degradi, Gérald Moruzzi et Cécile Chevallier, « Essonne : dans cinq grandes villes, ces maires sortants désormais opposants : Des conseils municipaux d’installation se sont tenus ce week-end à Corbeil-Essonnes, Athis-Mons, Les Ulis, Savigny-sur-Orge et Epinay-sous-Sénart, où les maires sortants ont été sortis et se battront désormais, pour la majorité d’entre eux, dans l’opposition », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ). « Damien Allouch (PS) désigné nouveau maire par 24 voix contre 7 ».
    66. Laurent Degradi, « Municipales en Essonne : le nouveau maire d’Epinay a une âme d’artiste : Damien Allouch (PS) a suivi des cours d’arts dramatiques, écrit des pièces de théâtres, des comédies musicales. Le voilà désormais maire d’Epinay-sous-Sénart, après avoir remporté duel face à Georges Pujals (DVD) », Le Parisien, édition de l'Essonne, (lire en ligne, consulté le ).
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