Corrèze (département)

La Corrèze (prononciation : /ko.ʁɛz/) est un département français de la région Nouvelle-Aquitaine, qui tire son nom de la rivière qui le traverse. Sa préfecture est Tulle et sa ville la plus peuplée Brive-la-Gaillarde.

Pour les articles homonymes, voir Corrèze.

Corrèze
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Création du département
Chef-lieu
(Préfecture)
Tulle
Sous-préfectures Brive-la-Gaillarde
Ussel
Président du
conseil départemental
Pascal Coste (LR)
Préfet Salima Saa
Code Insee 19
Code ISO 3166-2 FR-19
Code Eurostat NUTS-3 FR631
Démographie
Gentilé Corréziens
Population 240 583 hab. (2018)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Superficie 5 857 km2
Subdivisions
Arrondissements 3
Circonscriptions législatives 2
Cantons 19
Intercommunalités 9
Communes 280
Liens
Site web correze.fr

    L'Insee et La Poste lui attribuent le code 19. Ses habitants sont appelés les Corréziens.

    Géographie

    Le département est formé de la plus grande partie du Bas-Limousin et doit son nom à la rivière la Corrèze qui en arrose le centre, y a son cours tout entier, et en baigne les deux villes principales, Tulle et Brive.

    Localisation

    Le département appartient administrativement à la région Nouvelle-Aquitaine, depuis 2015. Il est limitrophe, au nord, des départements de la Haute-Vienne et de la Creuse, à l'est, des départements du Puy-de-Dôme et du Cantal, au sud de celui du Lot et, enfin, à l'ouest de celui de la Dordogne.

    Géologie et relief

    Située à l'ouest du Massif central, elle se compose de trois ensembles : la montagne, les plateaux et le bassin de Brive.

    La montagne culmine à 987 m au mont Bessou, en bordure du plateau de Millevaches. De formation cristalline hercynienne, elle est assez érodée.

    Les plateaux sont creusés par des vallées encaissées qui se dirigent vers la Dordogne, revivifiant le relief comme aux cascades de Gimel.

    Au sud-ouest de la Corrèze, le bassin sédimentaire de Brive jouit d'un climat plus favorable. On y trouve des collines de grès comme à Collonges-la-Rouge.

    Des mines de charbon ont été exploitées à Cublac, Yssandon, Varetz, Saint-Pantaléon, Maussac, Le Lardin, Lapleau et Argentat-sur-Dordogne entre 1769 et 1921.

    Hydrographie

    Le département est parcouru par de nombreux cours d'eau, la plupart dévalant du plateau du Limousin, les plus importants étant la Dordogne, la Vézère et la Corrèze.

    La Corrèze comporte également de nombreux ouvrages hydroélectriques dont les principaux sont :

    Climat

    Département de transition entre l'Aquitaine et le Massif central, la Corrèze voit son altitude s'élever graduellement du bassin de Brive au plateau de Millevaches, véritable château d'eau de la façade atlantique. Ce relief explique la très grande variété des climats corréziens.

    Dénomination

    La Corrèze est appelée, en occitan limousin, la Corresa, prononcer Courézo ou Courèjo.

    Histoire

    Statère à la grue frappé par les Lemovices[1].

    Le territoire de la Corrèze fut jadis habité, comme le reste du Limousin, par les Lemovices, peuple gaulois qu'Auguste incorpora dans l'Aquitaine Première.

    Le département a été créé à la Révolution française, le , en application de la loi du , à partir d'une partie de la province du Limousin.

    Au la région Limousin, à laquelle appartenait le département, fusionne avec les régions Aquitaine et Poitou-Charentes pour devenir la région administrative Nouvelle-Aquitaine.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé, en 1 d'or aux deux lions léopardés de gueules, en 2 échiqueté de gueules et d'or de six tires, en 3 coticé d'or et de gueules de dix pièces, et en 4 d'or aux trois lionceaux d'azur armés et lampassés de gueules.
    Commentaires : Ce blason, créé en 1975, regroupe les armes des quatre vicomtés qui, depuis 1040, se partageaient le territoire du Bas Limousin devenu en 1790 le département de la Corrèze, à savoir, dans l'ordre des quartiers : Comborn, Ventadour, Turenne et Ségur.

    Politique et administration

    Région gagnée rapidement aux idées républicaines, marquée par la Résistance et les luttes ouvrières, la Corrèze a eu une tradition de gauche. Elle est, de ce point de vue, comme les autres départements de la région Limousin, une terre d'ancienne influence socialiste. Pour autant, dans le cadre de l'action de Jacques Chirac et de Jean Charbonnel, Corréziens d'origine dépêchés sur place par le gouvernement gaulliste en 1967, la droite a acquis de fortes positions dans ce département pendant une quarantaine d'années.

    Un réseau d'élus locaux de droite s'est progressivement constitué pour conquérir la plupart des villes, puis la présidence du conseil général. Ceci a pris place dans un cadre marqué par une intervention publique de plus en plus forte, largement motivée par l'action de Jacques Chirac au plus haut niveau de l'État.

    Cependant les années qui suivent le départ de Jacques Chirac de la présidence de la République dénotent une remontée de la gauche. Aux élections du 16 mars 2008, elle interrompt la longue parenthèse de la domination chiraquienne sur le département en remportant les trois cantons qui lui manquaient pour faire basculer à gauche le conseil général (Sornac, Vigeois et Tulle-Campagne-Sud). Les municipales, dont le deuxième tour a lieu le même jour, voient François Hollande être largement réélu à Tulle, la socialiste Martine Leclerc remporter la mairie d'Ussel dès le premier tour et Philippe Nauche ravir le fauteuil de Bernard Murat à Brive-la-Gaillarde.

    À la rentrée 2008, cette nouvelle domination de la gauche socialiste se confirme avec l'élection de Bernadette Bourzai et René Teulade aux deux postes de sénateurs laissés vacants par les deux sortants radicaux et UMP. Le 6 mai 2012, François Hollande, président du conseil général, est élu président de la République française.

    En 2014, c'est la fin de la domination socialiste sur le département, la gauche perd une grande partie de son terrain, la droite reconquiert de nombreux fiefs à la gauche (Brive-la-Gaillarde, Ussel, Malemort-sur-Corrèze, Argentat-sur-Dordogne, Beaulieu-sur-Dordogne, Arnac-Pompadour, Voutezac…) et remporte les deux sièges de sénateurs avec l'élection de Daniel Chasseing et Claude Nougein. En 2015, la gauche perd également le conseil départemental mais conserve les villes de Tulle, Ussac, Uzerche et Bort-les-Orgues.

    Lors des élections législatives de 2017, la gauche perd ses deux députés. La droite, quant à elle, gagne une députée pour la 2e circonscription avec l’élection de Frédérique Meunier. Le parti centriste d'Emmanuel Macron, La République en marche, gagne un député pour la 1re circonscription, avec l'élection de Christophe Jerretie.

    Voir aussi :

    Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire du département de la Corrèze sont les suivantes :

    Élection Territoire Titre Nom Tendance politique Début de mandat Fin de mandat
    Départementales Conseil départemental de la Corrèze Président du conseil départemental Pascal Coste LR 2021
    Législatives Première circonscription de la Corrèze Député Christophe Jerretie MoDem
    Deuxième circonscription de la Corrèze Députée Frédérique Meunier LR
    Sénatoriales (suffrage universel indirect) Département de la Corrèze Sénateur Daniel Chasseing MR 2026
    Sénateur Claude Nougein LR 2026
    Régionales Nouvelle-Aquitaine Président du conseil régional Alain Rousset PS 2021
    Présidentielle France Président de la République Emmanuel Macron LREM

    Conseil départemental

    Parti Sigle Élus
    Majorité (26 sièges)
    Les Républicains LR 18
    Divers droite DVD 7
    Mouvement Rad. MRSL 1
    Opposition (12 sièges)
    Parti socialiste PS 11
    Divers gauche DVG 1
    Président du Conseil départemental
    Pascal Coste (LR)

    Enseignement

    Lycées

    Le lycée Pierre-Caraminot à Égletons est l'un des plus connus de la Corrèze, il offre des prestigieuses formations dans les travaux publics, le génie civil et la maintenance industrielle. En 2018, le lycée se classe 8e sur 9 au niveau départemental en termes de qualité d'enseignement, et {{1985<e}} sur 2277 au niveau national1.

    Le lycée Edmond-Perrier à Tulle est l'un des plus grands lycées du département, plusieurs personnalités y ont étudié comme Henri Queuille, Éric Rohmer, Benoît Mandelbrot ou Marie-Anne Montchamp.

    Le lycée privé Marguerite-Bahuet à Brive-la-Gaillarde est le lycée qui possède le plus haut taux de réussite au baccalauréat en 2018 et se classe en 1re position au niveau départemental, en termes de qualité d'enseignement, et 173e au niveau national.

    Dans le département il y a environ 24 lycées dont :

    Collèges

    Dans le département on y compte 25 collèges publics et 5 collèges privés fréquentés par plus de 9 000 collégiens[2].

    • Collège Mathilde-Marthe-Faucher (Allassac)
    • Collège Simone-Veil (Argentat-sur-Dordogne)
    • Collège (Argentat-sur-Dordogne) - Privé
    • Collège Jacqueline-Soulange (Beaulieu-sur-Dordogne)
    • Collège Amédée-Bish (Beynat)
    • Collège Marmontel (Bort-les-Orgues)
    • Collège Bossuet (Brive-la-Gaillarde) - Privé
    • Collège d'Arsonval (Brive-la-Gaillarde)
    • Collège Georges-Cabanis (Brive-la-Gaillarde)
    • Collège Jean-Lurçat (Brive-la-Gaillarde)
    • Collège Jean-Moulin (Brive-la-Gaillarde)
    • Collège La Salle (Brive-la-Gaillarde) - Privé
    • Collège Notre-Dame Jeanne-d'Arc (Brive-la-Gaillarde) - Privé
    • Collège Maurice-Rollinat (Brive-la-Gaillarde)
    • Collège Bernadette-Chirac (Corrèze)
    • Collège Albert-Thomas (Égletons)
    • Collège Anna-de-Noailles (Larche)
    • Collège André-Fargeas (Lubersac)
    • Collège René Perrot (Merlines)
    • Collège Jacques-Chirac (Meymac)
    • Collège Léon-Dautrement (Meyssac)
    • Collège de la Triouzoune (Neuvic)
    • Collège Eugène-Freyssinet (Objat)
    • Collège (Seilhac)
    • Collège Lakanal (Treignac)
    • Collège Georges-Clemenceau (Tulle)
    • Collège Victor-Hugo (Tulle)
    • Collège Voltaire (Ussel)
    • Collège Notre-Dame-de-la-Providence (Ussel) - Privé
    • Collège Gaucelm-Faidit (Uzerche)

    L'opération Ordicollège

    Le conseil général de la Corrèze a fait le choix, en 2008, de doter les collégiens du département d’un iPad dans le but de favoriser les apprentissages et la réussite scolaire, en particulier pour les élèves en difficulté, et pour réduire la fracture numérique[3]. Cette action a été engagée en collaboration avec l'Éducation nationale (rectorat, inspection d’académie, CDDP, IUFM, chefs d’établissements, enseignants).

    Démographie

    Évolution démographique

    Les habitants de la Corrèze sont les Corréziens.

    En 2018, le département comptait 240 583 habitants[Note 1], en diminution de 0,08 % par rapport à 2013 (France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
    269 767243 654254 233273 418284 882294 834302 433306 480317 569
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    320 864314 982310 118310 843302 746311 525317 066326 494328 151
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    322 393318 422317 430309 673273 808269 289264 129262 743254 574
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    242 798237 926237 858240 363241 448237 908232 576240 363242 454
    2016 2018 - - - - - - -
    241 535240 583-------
    (Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[4] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[5] puis population municipale à partir de 2006[6].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Avec trois villes principales : Brive-la-Gaillarde (sous-préfecture de 46 630 hab.), Tulle (préfecture de 14 705 hab.) et Ussel (sous-préfecture de près de 9 555 hab.).

    Les habitants de Brive-la-Gaillarde sont appelés (officiellement) les « Brivistes ». Les habitants de Tulle sont les « Tullistes » et ceux d'Ussel les « Usselois » (prononcer ussélois).

    Communes les plus peuplées

    Liste des quinze communes les plus peuplées du département
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Modifier
    Brive-la-Gaillarde 19031 CA du Bassin de Brive 48,59 46 630 (2018) 960
    Tulle 19272 CA Tulle Agglo 24,44 14 705 (2018) 602
    Ussel 19275 CC Haute-Corrèze Communauté 50,37 9 555 (2018) 190
    Malemort 19123 CA du Bassin de Brive 19,65 7 984 (2018) 406
    Saint-Pantaléon-de-Larche 19229 CA du Bassin de Brive 23,47 4 768 (2018) 203
    Égletons 19073 CC de Ventadour - Égletons - Monédières 16,85 4 316 (2018) 256
    Ussac 19274 CA du Bassin de Brive 24,63 4 186 (2018) 170
    Allassac 19005 CA du Bassin de Brive 39,01 3 941 (2018) 101
    Objat 19153 CA du Bassin de Brive 9,57 3 624 (2018) 379
    Cosnac 19063 CA du Bassin de Brive 19,98 2 976 (2018) 149
    Argentat-sur-Dordogne 19010 CC Xaintrie Val'Dordogne 29,57 2 956 (2018) 100
    Uzerche 19276 CC du pays d'Uzerche 23,85 2 796 (2018) 117
    Donzenac 19072 CA du Bassin de Brive 24,24 2 664 (2018) 110
    Bort-les-Orgues 19028 CC Haute-Corrèze Communauté 15,07 2 661 (2018) 177
    Varetz 19278 CA du Bassin de Brive 20,38 2 439 (2018) 120

    Le département possède trois aires urbaines : Brive, Tulle et Ussel.

    Langue

    Jusqu'au XVIe siècle, la langue officielle est l'occitan[7]. Elle est la langue des premiers troubadours (trobadors en occitan, de trobar, « trouver » — le thème, la rime…).

    Le limousin reste la langue orale dominante jusqu'au début du XXe siècle, époque à partir de laquelle le français prend le dessus, notamment par l'interdiction formelle de parler l'occitan à l'école. La langue est donc, dès les années 1930, peu à peu reléguée aux zones les plus rurales, où elle est encore parlée occasionnellement aujourd'hui, surtout par les natifs corréziens de plus de 50 ans.

    Les différents dialectes présents sur le territoire corrézien en dehors du limousin, qui est le dialecte majoritaire pour la plus grande partie du département, sont l'auvergnat dans le Nord-Est avec pour communes principales Ussel, Neuvic, Bort-les-Orgues ainsi que le languedocien parlé dans la frange sud du département ; de Chauffour-sur-Vell à Goulles en passant par Beaulieu-sur-Dordogne[8].

    On trouve également une signification occitane dans de nombreux patronymes et dans la majorité des toponymes limousins. La langue a surtout laissé sa trace dans les tournures de phrases (« limousinismes ») des Limousins, ainsi que dans leur accent[9].

    Personnalités liées au département

    Classement par ordre alphabétique :

    Sports

    Le CA Brive en 2012-2013, vice-champion de Pro D2 (ici face à Dax)

    La Corrèze est un département propice à l'activité des sports de nature : deltaplane, parapente, canoë-kayak, VTT, randonnée pédestre, etc.

    Elle accueille de nombreux évènements sportifs, notamment des épreuves cyclistes professionnelles. Le Tour de France, le Tour du Limousin, le Paris-Corrèze empruntent les routes vallonnées et sinueuses du département.

    Le CA Brive Corrèze Limousin est le club phare du département, actuellement en championnat Top 14 de rugby ; on peut citer également le Sporting club tulliste Corrèze et l'Entente vigilante Malemort Brive olympique.

    Tourisme

    Le village de Turenne dominé par son château.

    Plusieurs villages de la Corrèze, principalement situés dans la partie Sud, dans le bassin de la Dordogne, sont particulièrement remarquables : Collonges-la-Rouge, Curemonte, connus pour leurs pierres rouges, Turenne, Argentat-sur-Dordogne. Uzerche, sur la Vézère, est aussi célèbre.

    Cinq villages corréziens sont classés parmi Les Plus Beaux Villages de France : Collonges-la-Rouge, Curemonte, Saint-Robert, Ségur-le-Château, Turenne.

    De nombreux châteaux parsèment le département.

    La haute Corrèze, du plateau de Millevaches et du massif des Monédières aux gorges de la Dordogne, est davantage connue pour ses grands espaces naturels propices à l'exploration, à la randonnée, et aux sports de pleine nature. Tourbières, landes et forêts, mais aussi cours d'eau et moyenne-montagne offrent ainsi une importante diversité de paysages.

    Le pays de Tulle offre un paysage de vallées assez encaissées, dont les nombreux cours d'eau constituent un domaine de pêche très apprécié. Une petite partie du sud du département est occupée par l'extrémité nord des causses du Quercy (causse corrézien). S'y trouvent un des rares gouffres du Limousin  le gouffre de la Fage  et le célèbre lac du Causse.

    Les résidences secondaires

    Selon le recensement général de la population du , 15,0 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.

    Ce tableau indique les principales communes de Corrèze dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.

    Philatélie

    Le patrimoine corrézien apparaît sur plusieurs timbres-poste :

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Date : c. 100-50 av. J.-C.
    2. « Les collèges Corréziens », sur Conseil Départemental de la Corrèze (consulté le ).
    3. Ordicollège.
    4. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - fiche historique du département
    5. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
    6. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018
    7. Christine Moutte, Olivier Chapperon, « L'enseignement de l'occitan à développer en Corrèze pour préserver cette langue régionale », La Montagne, Édition de Brive-la-Gaillarde (siège à Clermont-Ferrand), Groupe Centre France, (ISSN 0767-4007, lire en ligne)
    8. IEO Limousin, Carte linguistique du Limousin.
    9. (fr) « La biaça » (consulté le ) : « Enregistrements réalisés en Corrèze, accès à la Biaça, le site des archives de l'I.E.O. Lemosin ».
    10. Source Insee, chiffres au .

    Annexes

    Bibliographie

    • Jean-Michel Valade, Le Petit Dico de la Corrèze : dictionnaire thématique alphabétique, Brive, Écritures, , 263 p. (ISBN 2-913506-69-0)
    • Jean-Michel Valade, La Corrèze vue du ciel, Saint-Paul, L. Souny, , 141 p. (ISBN 2-84886-072-3)
    • Laurent Bourdelas, Du pays et de l'exil : un abécédaire de la littérature du Limousin, Limoges, Les Ardents Éditeurs, , 223 p. (ISBN 978-2-917032-09-1)
    • Gilbert Beaubatie, Je découvre la Corrèze, La Crèche, Geste Éditions, 2016
    • Jean-Michel Valade, Corrèze, l'essentiel, Limoges, Éditions Mon Limousin, coll. « Les Abécédaires du Limousin », , 160 p. (ISBN 978-2-4907-1012-6)

    Articles connexes

    Liens externes


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