Cosnac

Cosnac [kɔnak] est une commune française située dans le sud-ouest du département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle appartient à la Communauté d'agglomération du bassin de Brive. La commune se trouve juste à l'est de Brive-la-Gaillarde, sous-préfecture de la Corrèze, les deux communes étant limitrophes.

Cosnac

Église du village.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Brive-la-Gaillarde
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Bassin de Brive
Maire
Mandat
Gérard Soler
2020-2026
Code postal 19360
Code commune 19063
Démographie
Gentilé Cosnacois
Population
municipale
2 976 hab. (2018 )
Densité 149 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 05″ nord, 1° 35′ 11″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 381 m
Superficie 19,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Brive-la-Gaillarde
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brive-la-Gaillarde-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Cosnac
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Cosnac
Géolocalisation sur la carte : France
Cosnac
Géolocalisation sur la carte : France
Cosnac
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants sont appelés les Cosnacois.

    Géographie

    Commune de l'aire urbaine de Brive-la-Gaillarde, située dans le bassin de Brive-la-Gaillarde.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Géologie

    La commune de Cosnac s'inscrit dans le massif principal de forme rectangulaire situé au sud de Brive. Cette zone est délimitée au nord par la vallée de la Corrèze, à l'ouest par le versant gauche de la Courolle et au sud par une ligne Lissac  sud de Noailles  La Rougerie. Ce massif est composé de trias inférieur avec des vestiges sommitaux du trias supérieur à l'état sporadique. C'est dans ce secteur que se trouve la plupart des stations préhistoriques.

    Il existe également des failles géologiques de dislocation de terrains auxquelles peuvent correspondre des vallées assez profondes de couches triasiques caractérisées par des ruisseaux : le Pian et la Loyre, cette dernière rivière formant la limite communale à l'est et au nord-est.

    Ainsi la présence de sable sédimentaire aggloméré provenant de la détérioration du Massif central a amené certains propriétaires à s'orienter vers l'exploitation du grès de carrière ou plus récemment du brasier (Rochelongue).

    La superposition des terrains sur la partie sud de Cosnac pourrait se résumer avec une coupe partant de Combe longue passant par la vallée de Planchetorte pour finalement s’achever à Chèvres-Cujols. Tout d'abord, on remarquerait la présence d'un grès rouge permien puis d'un grès triasique gris, variolé. Ensuite viendrait les Lias, inférieur, moyen et supérieur, chaque niveau niveaux caractérisés par des distinctions de minéraux : grès sableux pour le Lias inférieur, argile verte ou le Lias moyen et calcaire pour le Lias supérieur.

    Certaines coupes de terrains comme celui du rond-point de Montplaisir offre un clair résumé des dépôts de l'époque du Lias au sud-ouest de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 052 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Cosnac est une commune rurale[Note 4],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brive-la-Gaillarde, une agglomération inter-départementale regroupant 12 communes[15] et 75 956 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Il convient de remarquer la présence majeure de l'habitat sur le sommet de ces plates-formes triasiques. Une prédominance de cette localisation amène à déduire une certaine constante dans l'évolution de ce territoire. Il existe une certaine disparité historique entre les différentes bourgades de cette commune. En effet, le Bourg communal, pourtant daté du Moyen Âge ne demeure historiquement pas la partie la plus anciennement peuplée, ou pour sûr, la plus densément peuplée au milieu du siècle dernier. Ce n'est que récemment que l'habitat s'est nettement aggloméré autour du pôle administratif et scolaire.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), prairies (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), zones urbanisées (6,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    L'occupation du sol sur la commune de Cosnac débute dès la Préhistoire. D'une occupation du sol saisonnière à une installation sédentaire, les hommes vont d'abord occuper plus clairement les limites sud de la commune.

    En effet, une série d'abris sous-roche fouillés dès les années 1945 puis abandonnés vers 1970, avec des épisodes de fouille clandestine, a été reconnue au lieu-dit Maranzat. L'abri de « Chez Jugie » constitue une très bonne stratigraphie portant sur le Mésolithique. Quelques éléments résiduels du paléolithique moyen (acheuléen) ont été retrouvés de manière fortuite à proximité de ces affleurements rocheux et plus généralement sur l'ensemble de la commune en situation de plateau.

    Au lieu-dit Régnac, une pierre de grès blanc a été reconnu comme étant une périlithe de dolmen néolithique.

    À priori aucune découverte portant sur l'âge du bronze ou du fer ne démontre une occupation sur la commune pour les chronologies protohistoriques.

    Néanmoins une occupation romaine a elle aussi été révélée dans la partie sud de la commune avec la présence de plusieurs fours de tuilier. La présence d'une église au XIe siècle non découverte à ce jour laisse imaginer une persistance de l'habitat et la possible implantation d'une villa gallo-romaine sur le territoire communal ou à proximité directe. L'étymologie du nom de la commune ramène également à un suffixe gallo-romain d'appartenance -acum devenu ac en langue d'oc.

    L'origine du nom de cette commune vient de la Seigneurie Cosnac, à la fin du XIe siècle. L'implantation des seigneurs de Cosnac sur le territoire communal est aujourd'hui portée à réflexion avec la redécouverte de l'abri des Roches. Cette carrière troglodyte dans le sud de la commune, constitue un parallèle très intéressant avec les premières demeures aristocratiques à vocation défensive reconnues sous le terme de « roca » dans tout le sud de la France. La présence de sculptures anthropomorphes à même un pilier constitue un élément déterminant de cette analyse qui pourrait dater l'occupation de cette cavité du XIe siècle au XIIIe siècle.

    De nombreuses autres cavités d'origine médiévale ont été retrouvées et fouillées sur le sud de la commune.

    La famille de Cosnac doit sans doute asseoir son pouvoir en s'installant ensuite au cœur du bourg actuel en construisant une maison forte qui comprenait deux tours de guet et un donjon de 60 pieds de haut qui permettait les signaux entre Turenne, Malemort, Noailles et Yssandon. L'escalier central, la cheminée à colonnettes ainsi que les toilettes extérieures en saillie constituent des bons marqueurs chronologiques.

    L'aile XIVe du château adossée à l'église a été complétée au XVIe siècle. Le château est encore rénové par la famille au début (1720) et à la fin du XVIIIe siècle (1767) comme l'atteste des marques au charbon de bois sur un linteau de cheminée retrouvées lors des restaurations en 2001. L'aile nord, entre sobriété des lignes, respect des proportions entre comble et façade en faible saillie, caractérise une annexe élaborée par le même architecte (Germain Boffrand, élève de Mansart) que l'actuelle sous-préfecture de Brive-la-Gaillarde (ancien hôtel des Cosnac) au milieu du XIXe siècle.

    D'autres annexes comme un laboratoire pour vers à soie complétait les bâtiments agricoles à proximité du château (orangerie, vergers de muriers). L'actuel parc du château recelait quelques années auparavant d'essences végétales agglomérées par la famille.

    Tout au long de leur histoire familiale, les Cosnac ont notamment donné de nombreux dignitaires à l'Église ce qui faisait dire à Saint-Simon : « dans cette famille on est évêque de père en fils ».

    En 1352, Bertrand, nonce du pape Clément VI en tant que trésorier de l'église participe à la construction du Palais des Papes à Avignon.

    En 1530, Louis, en tant que premier écuyer de la reine et gentilhomme de François Ier, accompagne à Madrid le vicomte de Turenne (François de la Tour) pour signer le contrat de mariage entre François Ier et la sœur de Charles Quint, Eléonore.

    Sous la Révolution, pour suivre un décret de la Convention, Cosnac prit pour nom L'Égalité.

    Seigneurs de Cosnac

    • Immon de Caunac (?-après 940)[21]
    • Bernard de Cosnac[21]
    • Israël de Cosnac (?-avant 1053)[21]
    • Gérald de Cosnac fils puiné du précédent[21]
    • Engalvin de Cosnac, chevalier, fils du précédent (?-Vers 1180)[21]
    • Guillaume Ier de Cosnac, chevalier, seigneur de Cosnac, fils du précédent[21] vivait en 1200[22]
    • Pierre de Cosnac, damoiseau, seigneur de Cosnac, fils du précédent, meurt sans héritier vers 1270.
    • Hugues Ier de Cosnac, chevalier, seigneur de Cosnac, frère du précédent lui succède.
    • Guillaume II de Cosnac, damoiseau, seigneur de Cosnac, fils du précédent
    • Hugues II de Cosnac, chevalier, seigneur de Cosnac, de Malemort, Brive, Sainte-Féréole, fils du précédent (?-Après 1369)[23] ,[24]
    • Jean de Cosnac, chevalier, seigneur de Cosnac, Chanoine de Bayeux et de Lombez, fils du précédent (avant 1345-après 1388)
    • Raymond de Cosnac, chevalier, seigneur de Cosnac, fils du précédent (avant 1380-avant 1420)
    • Hélie de Cosnac, seigneur de Cosnac, fils du précédent (vers 1405-après 1452)
    • Pierre de Cosnac, seigneur de Cosnac et de Creysse, fils du précédent
    • Guillaume III de Cosnac, chevalier, fils du précédent (?-après 1517)
    • Louis de Cosnac, chevalier, seigneur de Cosnac, Linoyre et de Font-de-Meyraguet, fils du précédent (vers 1485-11 octobre 1532)
    • Galiot de Cosnac, écuyer, seigneur de Cosnac, Linoyre, de Font-de-Meyraguet et de la Borderie, fils du précédent (?-après 1588)
    • Annet de Cosnac, seigneur de Cosnac, Linoyre, Dampniat, Morioles, Creysse fils du précédent (après 1547-après 1597)
    • Christophe de Cosnac, écuyer, seigneur de Cosnac, d'Espeyruc, de Genouillac, etc. fils du précédent (15 mai 1597-avant 1639)
    • Claude de Cosnac, capitaine dans le régiment d'infanterie d'Armand de Cosnac, seigneur de Cosnac, d'Espeyruc, de Genouillac, etc. fils du précédent (6 août 1633-après 1708)
    • Jean-Baptiste de Cosnac, chevalier, marquis de Cosnac, seigneur d'Espeyruc, La Guesle, Chariol, Saint-Rémy-sur-Thiers, Dampniat, Enval, etc. fils du précédent (25 mai 1665-après 1744)
    • Gabriel Anne de Cosnac, comte de Cosnac, fils du précédent (31 octobre 1705-27 janvier 1755 à Beynat) chevalier de Saint-Louis
    • Joseph Mathieu de Cosnac, vicomte de Cosnac, capitaine au régiment des chasseurs à cheval de Picardie, fils du précédent (23 septembre 1753 au château de Sabeau à Beynat-22 avril 1809)
    • Gabriel Noël de Cosnac, vicomte de Cosnac, conseiller général de la Corrèze, fils du précédent (27 septembre 1791 à Beynat-1857)

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Guy Lefebvre   Vice-président de la CA de Brive
    mars 2008 En cours
    (au 27 mai 2020[25])
    Gérard Soler[26] DVD Employé
    Conseiller départemental de Brive-la-Gaillarde-3 (2015 → )
    1er vice-président de l'Agglo de Brive (2017 → )
    Réélu en 2014 et 2020

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[27].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

    En 2018, la commune comptait 2 976 habitants[Note 6], en augmentation de 0,37 % par rapport à 2013 (Corrèze : −0,08 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    775616710805952983941946996
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9971 1701 002920923896820822811
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    803802735701702615622573558
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    5905928191 4521 9622 3402 7882 9292 984
    2018 - - - - - - - -
    2 976--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Cosnac dépend de l'Académie de Limoges. Lesélèves de Cosnac débutent leur scolarité à l'école maternelle de la commune, puis dans son école primaire, qui accueille 161 énfants[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Les grottes de Maranzat, habitées dès 10 000 ans avant J.-C.
    • Les habitats troglodytes des Roches (encore habités) (XIe et XIIIe siècles).
    • Le château de Cosnac (XIVe siècle) inscrit aux monuments historiques le [33]: tapisseries de Van Eyck au Musée Labenche de Brive-La-Gaillarde.
    • L'église (XIIe siècle), proche des églises sud-corréziennes du début et milieu du XIIe siècle. En effet, le chevet de l'église est parsemée de marques de tailleurs de pierre comme ses homologues religieuses des environs. Le clocher-mur reste une des caractéristiques de cette architecture religieuse qui déborde également sur les départements voisins.
    L'intérieur de l'église est marquée par une nette restructuration architectonique avec un piquetage des anciennes voûtes d'arête encore visibles aujourd'hui en négatif. Ce bâtiment ayant été rebâti au cours du XIXe siècle en blocs de grès blanc dans la partie du transept.
    Le plafond de cette église est décoré d'une peinture de Rossi exécutée en 1836 à la suite de restauration en 1834. Il s'agit d'une peinture à l'italienne de 20,30 m sur 6,30 m réalisée en trompe-l'œil et représentant les thèmes du ciel et des apôtres.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'argent semé de molettes de sable, au lion de même armé, lampassé et couronné de gueules brochantsur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Sources

    Notes et références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Brive - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cosnac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Brive-la-Gaillarde », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Étienne Baluze pense que Guillaume Ier de Cosnac est bien le fils Engalvin de Cosnac mais cette filiation n'est pas prouvée littéralement
    22. Nobiliaire universel de France livre XIV Page 309
    23. Généalogie des de Cosnac sur geneanet.org
    24. Nobiliaire universel de France livre XIV Page 317
    25. « Gérard Soler a été réélu à son troisième mandat de maire », La Montagne, (lire en ligne).
    26. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
    27. Site des villes et villages fleuris, consulté le 31 janvier 2021.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Fiche de l'éducation nationale
    33. « Château de Cosnac », notice no PA00099751, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. http://www.anacr-haute-vienne.com/menot-therese.php

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Bibliographie

    • Bulletins de la Société scientifique d’histoire et d’archéologie de la Corrèze, tome des années : 1971, 1973, 1976, 1977, 1978
    • P. Conte, Marion Liboutet, De la spelunca à la roca, l’habitat troglodytique au Moyen Âge, 11-12 juin 2005, Actes de colloque, Carcassonne, 2005
    • F. Guillot, Fortifications, pouvoirs, peuplement en Sabarthès du début du XIe au début du XIVe siècle, Thèse de doctorat, Université de Toulouse 2, 1997, p. 81-90 et 177
    • M.-M. Macary, Châteaux de Corrèze, p. 6-7, 1977
    • F. Mazières et alii, Rapport de prospection diachronique sur la commune de Cosnac, SRA Limoges, 2000, non-publié, disponible sur demande à la mairie ou à la bibliothèque
    • F. Mazières et alii, Rapport de prospection diachronique sur la commune de Cosnac, SRA Limoges, 2001, non-publié, disponible sur demande à la mairie ou à la bibliothèque
    • F. Mazières et alii, Rapport de prospection diachronique sur la commune de Cosnac, SRA Limoges, 2002, non-publié, disponible sur demande à la mairie ou à la bibliothèque
    • Ab. Poulbrière, Dictionnaire des paroisses de la Corrèze, Tome I, page 359 à 363
    • M. Villoutreix, Noms de lieux du Limousin, Paris, Christine Bonneton éditeurs, 1995

    Liens externes

    • Portail de la Corrèze
    • Portail de l’Occitanie
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.