Lacave (Lot)

Lacave est une commune française, située dans le nord-ouest du département du Lot en région Occitanie.

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Lacave

Château de Belcastel.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Stéphane Chambon
2020-2026
Code postal 46200
Code commune 46144
Démographie
Gentilé Lacavois
Population
municipale
259 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 43″ nord, 1° 33′ 32″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 349 m
Superficie 21,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Souillac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Lacave
Géolocalisation sur la carte : Lot
Lacave
Géolocalisation sur la carte : France
Lacave
Géolocalisation sur la carte : France
Lacave

    Ses habitants sont appelés les Lacavois[1].

    Géographie

    Lacave se situe au pied du causse de Gramat, au confluent de la Dordogne et de l'Ouysse. Le village se trouve à 12 km de Souillac et km de Rocamadour. Il est bâti contre une colline, face au château de Belcastel qui semble le protéger du haut de son éperon rocheux, en surplomb de la vallée de l'Ouysse et de la Dordogne.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Lacave[2]
    Pinsac Saint-Sozy Meyronne
    Calès Rocamadour

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 919 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[8]et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[10], à 12,7 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[12].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[15]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[16],[17]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[18],[19].

    La commune fait également partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[20],[21].

    Un autre espace protégé est présent sur la commune : le « cours lotois de la Dordogne », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6 ha[22].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[24] :

    • la « vallée de la Dordogne quercynoise », d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[25] ;
    • les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou », d'une superficie de 3 009 ha, un territoire très riche en entomofaune, comprenant notamment, outre les insectes répertoriés de l'annexe II, nombre d'espèces remarquables d'orthoptères (Omocestus raymondi, Sphingonotus caerulans), de lépidoptères (Brenthis hecate, Chazara briseis, Euchloe tagis) et de coléoptères (Acmaedora pilosellae, Barypeithes pyreneus, Carabus hispanus, Sphenoptera parvula)[26] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[27] :

    • les « coteaux et pech de Lacave à Rocamadour » (517 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;
    • « la Dordogne quercynoise » (2 081 ha), couvrant 26 communes dont trois dans la Corrèze, deux dans la Dordogne et 21 dans le Lot[29] ;
    • les « rocher Sainte-Marie, puech d'Aussel, vallon du Limon et combes tributaires » (369 ha), couvrant 3 communes du département[30] ;
    • les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou » (3 030 ha), couvrant 5 communes du département[31] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[27] : la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 30 communes dont trois dans la Corrèze, deux dans la Dordogne et 25 dans le Lot[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Lacave est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,4 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), prairies (4,9 %), terres arables (3,4 %), eaux continentales[Note 7] (2,9 %), cultures permanentes (1,4 %)[38].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Lacave provient de l'occitan cava qui désigne une cave, un creux, un fossé, des fouilles pour fondation[39].

    Histoire

    Habité depuis l'époque du Solutréen et Magdalénien (Paléolithique).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[40]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1792 1806 Pierre Calvel    
    1806 1831 Antoine Longaigue    
    1831 1834 Pierre Calvel    
    1834 1848 Jean Baptiste Calvel    
    1848 1852 Antoine Madebos    
    1852 1855 Pierre Rougié    
    1855 1871 Jean Baptiste Calvel    
    1871 1888 Antoine Delsol    
    1888 1889 Pierre Rougié    
    1889 1894 Pierre François Calvel    
    1894 1901 Michel Madebos    
    1901 1934 Jean Pagès    
    1934 1942 Antoine Léonard    
    1942 1945 Prosper Maury    
    1945 1953 Pierre Delpech    
    1953 1955 Marius Léonard    
    1955 1971 Prosper Lachièze    
    1971 1989 Pierre Rougié    
    1971 1989 André Lestrade divers droite Conseiller général
    juin 2020 En cours Stéphane Chambon    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

    En 2018, la commune comptait 259 habitants[Note 8], en diminution de 7,5 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    557477777647531576619647647
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    631601608565534734717654615
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    553519496420385395374324335
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    320302270249241293290289282
    2017 2018 - - - - - - -
    262259-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au début du XXe siècle, Lacave comptait 519 habitants "dont 27 seulement agglomérés au chef-lieu"[45].

    Lieux et monuments

    Outre de remarquables grottes qui ont fait sa réputation, la commune compte deux châteaux : château de La Treyne et Château de Belcastel (Lot). (À ne pas confondre ce dernier avec le château de Belcastel dans l'Aveyron).

    • Dolmens du Pech de Gourbières : 2 dolmens, fouillés par Armand Viré, au sud-ouest du Pech du même nom. Les sépultures avaient été précédemment violées[52].

    Aérodrome

    Le hameau du Frau, au nord de la commune, héberge un petit aérodrome, bande goudronnée de 630 m. de long et 8.5 m. de large.

    Personnalités liées à la commune

    André Chamson (1900-1983), écrivain, membre de l'Académie Française ; Lucie Mazauric (1900-1983), conservateur : durant la Seconde Guerre mondiale, ils séjournèrent pendant quelques mois au château de La Treyne avec leur fille Frédérique (Hébrard, née en 1927) alors adolescente. Une partie des œuvres du musée du Louvre était alors cachée dans le château (le reste était partagé entre le château de Montal à Saint-Jean Lespinasse et une grange à Vayrac). Références : Lucie Mazauric, "Le Louvre en voyage" et Frédérique Hébrard, "La Citoyenne"

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Références

    1. http://www.habitants.fr/habitants_lacave_46144.html
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lacave et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    14. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    16. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    19. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
    21. « Bassin de la Dordogne - zone tampon - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « le « cours lotois de la Dordogne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    24. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lacave », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « site Natura 2000 FR7300898 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7300902 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lacave », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « coteaux et pech de Lacave à Rocamadour » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF « la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF les « rocher Sainte-Marie, puech d'Aussel, vallon du Limon et combes tributaires » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF les « vallées de l'Ouysse et de l'Alzou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF la « vallée de la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    34. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    35. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    36. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    39. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
    40. « Les maires de Lacave », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    45. Le Lot chapitre Souillac et Lacave p. 223 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 274550049X).
    46. « Église Saint-Georges de Meyraguet », notice no PA00095119, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Lot. Vient de paraître. « Mystère dans le Causse », de Serge Barlan », sur actu.fr (consulté le ).
    48. « Grotte des Carbonnières (Lacave Lot Dept 46) France. découvreur de la grotte et inventeur du nom de cette grotte SERGE BARLAN Cave of Carbonnières (Lacave Lot Dept 46) », sur Minesiteblog (consulté le ).
    49. Grotte des Carbonnières, « Grotte des Carbonnières », sur Site officiel de la grotte des Carbonières (consulté le ).
    50. Préhisto-Dino Parc, « Préhisto-Dino Parc », sur Site officiel du Préhisto-Dino Parc (consulté le ).
    51. « Château de la Treyne », notice no PA00095288, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. Armand Viré, « Dolmens et Tumuli du Lot », Bulletin de la société préhistorique de France, no Tome 8, N.5, , pp. 348-352 (lire en ligne).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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