Dordogne (département)

La Dordogne (/dɔʁ.dɔɲ/[Note 1]) est un département français de la région Nouvelle-Aquitaine correspondant en grande partie au Périgord. Il doit son nom au cours d'eau du même nom qui le traverse. L'Insee et la Poste lui attribuent le code 24. Sa préfecture est Périgueux.

Pour les articles homonymes, voir Dordogne.

Dordogne
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Création du département
Chef-lieu
(Préfecture)
Périgueux
Sous-préfectures Bergerac
Nontron
Sarlat-la-Canéda
Président du
conseil départemental
Germinal Peiro (PS)
Préfet Frédéric Périssat[1]
Code Insee 24
Code ISO 3166-2 FR-24
Code Eurostat NUTS-3 FR611
Démographie
Gentilé Périgourdins, Périgordins, Dordognots, Dordognais
Population 413 418 hab. (2018)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Superficie 9 060 km2
Subdivisions
Arrondissements 4
Circonscriptions législatives 4
Cantons 25
Intercommunalités 20
Communes 505
Liens
Site web www.dordogne.fr

    Histoire

    La préfecture de la Dordogne à Périgueux.

    Le département a été créé à la Révolution française, le , en application de la loi du , sur une partie des anciennes provinces, principalement du Périgord, mais aussi de l'Agenais, de l'Angoumois et du Limousin[2].

    En 1793, les communes de Boisseuilh, Coubjours, Génis, Payzac, Saint-Cyr-les-Champagnes, Saint-Mesmin, Salagnac, Savignac, Saint-Trié et Teillots sont détachées du département de la Corrèze pour être réunies à la Dordogne.

    La Dordogne a cédé, en 1793 ou 1794, Cavarc au Lot-et-Garonne[3].

    Le 6 nivôse an III (), la commune de Parcoul est détachée de la Charente-Inférieure et réunie à la Dordogne[4].

    En 1819, la commune de Beaurepos est soustraite du département et fusionne avec Souillac dans le Lot[5].

    En , 80 000 Alsaciens originaires du Bas-Rhin, dont 60 000 Strasbourgeois et les habitants de dix-neuf villages du Grand Ried, au sud de Strasbourg, sont évacués vers la Dordogne[6],[7]. En , l'Alsace étant annexée par l'Allemagne, leur rapatriement est organisé mais 15 000 d'entre eux préfèrent rester en Dordogne[6].

    À partir de l'armistice de , le département est divisé en deux : la zone occupée à l'ouest et la zone libre à l'est ; la ligne de démarcation passait approximativement par La Rochebeaucourt, Mareuil, Gout-Rossignol, Cherval, Verteillac, Bertric-Burée, Ribérac, Montpon-Ménestérol, Saint-Martin-de-Gurson, Carsac-de-Gurson, Villefranche-de-Lonchat, Montpeyroux et Lamothe-Montravel[8],[9]. À la suite du débarquement anglo-américain effectué le en Algérie et au Maroc, les Allemands envahissent la zone libre le et s'installent à Périgueux et Saint-Astier[9].

    Jusqu'au , la Dordogne faisait partie de l'ancienne région Aquitaine.

    Emblèmes

    Blason

    Blasonnement :
    « De gueules aux trois lions d'or couronnés, armés et lampassés d'azur. »[réf. nécessaire]

    Drapeau

    Politique

    Géographie

    La Dordogne, 3e département français métropolitain par sa superficie, fait partie de la région Nouvelle-Aquitaine. C'est également, avec 40 % de son territoire boisé, le 3e département forestier de France avec 418 000 hectares[10]. Feuillus, conifères, prairies, nombreuses collines, vallons, vallées, vignes, truffières, falaises, cours d'eau, gorges et grottes apportent au département des paysages variés.

    Situation

    Carte de la Dordogne.

    La Dordogne est limitrophe des départements de la Haute-Vienne, de la Corrèze, du Lot, de Lot-et-Garonne, de la Gironde, de la Charente-Maritime et de la Charente.

    • Longitude : entre 0°3' ouest et 1°25' est.
    • Latitude : entre 44°35' et 45°43' nord.

    Points extrêmes du département de la Dordogne :

    Structures les plus hautes de la Dordogne :

    • Audrix, émetteur de communications d'Audrix : 205 m ;
    • Bergerac, émetteur de Monbazillac : 60 m.

    Hydrographie

    Carte du réseau hydrographique du département de la Dordogne, avec représentation du relief.

    Le réseau hydrographique de la Dordogne est constitué de plus de 5 000 km de cours d'eau[11] et comprend 96 cours d'eau de longueur supérieure à 10 km, dont 12 de longueur supérieure à 50 km. Il est situé entièrement dans le bassin administratif Adour-Garonne et est découpé dans le schéma départemental des rivières en huit bassins versants principaux appartenant à trois régions hydrographiques. Le découpage de ces bassins correspond aux unités hydrographiques de référence (UHR) définies dans le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (Sdage) du bassin Adour-Garonne[12], seul le bassin de l'Isle a été divisé en deux (Isle amont et Isle aval) pour tenir compte de certaines spécificités[13] :

    • au nord le bassin Bandiat-Tardoire appartient au bassin de la Charente ;
    • au centre les bassins de la Dronne, de l'Isle amont, de l'Isle aval, de la Vézère et de la Dordogne appartiennent au bassin de la Dordogne ;
    • au sud les bassins du Dropt et de la Lémance appartiennent au bassin de la Garonne.

    Bassin de la Charente

    Le bassin Bandiat-Tardoire est un sous-bassin du bassin de la Charente, le plus petit bassin versant d’Adour-Garonne (10 549 km2). Occupant une petite partie nord du territoire départemental, il est drainé par le Bandiat, la Doue, le Nauzon, le Trieux et le ruisseau de Varaignes[14].

    Bassin de la Dordogne

    Le bassin de la Dordogne est le second plus grand bassin versant d’Adour-Garonne (24 000 km2), après celui de la Garonne[15]. Dans le département il se partage dans les bassins suivants :

    Bassin de la Garonne

    Le bassin de la Lémance appartient au bassin du Lot qui couvre un territoire de 12 000 km2, sous-bassin du bassin de la Garonne[16]. Il est drainé par la Lémance et ses affluents ainsi que l'amont du Laussou et le ruisseau de Clairfond (8,4 km), affluent de la Lède, drainant l'extrême sud du département.

    Le bassin du Dropt, drainé par le Dropt et ses affluents (la Bournègue, la Banège et l'Escourou) appartient au bassin de la Garonne, qui est le plus grand bassin-versant d’Adour-Garonne (28 900 km2)[17].

    Économie

    Avec une superficie boisée de 4 183 km2 morcelée entre 90 000 propriétaires, la forêt occupe 45 % de la superficie du département[18]. Le secteur du bois est le second employeur industriel de Dordogne, avec nombre de scieries et de transformateurs[19], dans trois domaines d'utilisations : bois d'œuvre pour l'ameublement, l'emballage et la construction, bois d'industrie pour papeteries ou panneaux de particules, et bois énergie pour le chauffage[18].

    La viticulture avec les vignobles de bergerac, de monbazillac et de pécharmant est aussi une grande pourvoyeuse d'emplois et de création de richesses, et une véritable attraction touristique.

    Principalement établis au sud-est du département, 200 producteurs de tabac fournissent 15 % de la production nationale[20].

    En 2012, le tourisme représente 21 % du PIB du département et a un potentiel encore fort à développer, notamment vers les visiteurs anglo-saxons, amateurs de gastronomie française[21].

    Au niveau industriel, 3 271 entreprises réparties sur tout le département emploient environ 23 800 personnes[22].

    Démographie

    Les habitants de la Dordogne sont appelés Périgourdins ou Périgordins (par analogie entre le département actuel et l'ancienne province du Périgord qui lui correspondait)[réf. souhaitée]. Les appellations Dordognais, voire Dordognots, sont également usitées[23].

    Les ressortissants du Royaume-Uni sont plus de 20 000 (en 2006) à y habiter mais la plupart font attention à ne pas séjourner plus de six mois et un jour pour éviter d'être considérés résidents en France. Officiellement, le nombre de Britanniques résidant en Dordogne s'élève à 6 300 en 2006, ce qui représente un Britannique sur deux vivant en Aquitaine[24].

    Évolutions démographiques

    En 2018, le département comptait 413 418 habitants[Note 2], en diminution de 0,84 % par rapport à 2013 (France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
    433 343409 475424 113453 136464 074482 750487 502490 263503 545
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    505 789504 651501 687502 673480 141489 848495 037492 205478 471
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    464 822452 951447 052437 432396 742392 489383 720386 963387 643
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    377 870375 455374 073373 179377 356386 365388 293404 052415 168
    2016 2018 - - - - - - -
    414 789413 418-------
    (Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[25] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[26] puis population municipale à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Communes les plus peuplées

    Liste des quinze communes les plus peuplées du département
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Modifier
    Périgueux 24322 CA Le Grand Périgueux 9,82 30 060 (2018) 3 061
    Bergerac 24037 CA Bergeracoise 56,10 26 823 (2018) 478
    Boulazac Isle Manoire 24053 CA Le Grand Périgueux 56,00 10 725 (2018) 192
    Sarlat-la-Canéda 24520 CC Sarlat-Périgord noir 47,13 8 793 (2018) 187
    Coulounieix-Chamiers 24138 CA Le Grand Périgueux 21,70 7 458 (2018) 344
    Trélissac 24557 CA Le Grand Périgueux 22,88 6 821 (2018) 298
    Terrasson-Lavilledieu 24547 CC du Terrassonnais en Périgord Noir Thenon Hautefort 39,34 6 234 (2018) 158
    Montpon-Ménestérol 24294 CC Isle Double Landais 46,34 5 602 (2018) 121
    Saint-Astier 24372 CC Isle Vern Salembre en Périgord 34,25 5 422 (2018) 158
    Sanilhac 24312 CA Le Grand Périgueux 59,90 4 576 (2018) 76
    Bassillac et Auberoche 24026 CA Le Grand Périgueux 103,26 4 456 (2018) 43
    Chancelade 24102 CA Le Grand Périgueux 16,23 4 257 (2018) 262
    Prigonrieux 24340 CA Bergeracoise 26,12 4 160 (2018) 159
    Ribérac 24352 CC du Périgord Ribéracois 22,79 3 862 (2018) 169
    Brantôme en Périgord 24064 CC Dronne et Belle 40,60 3 688 (2018) 91

    Culture

    La Dordogne séparée entre quatre parties, formant le Périgord.

    Langue

    La langue traditionnelle du Périgord est l'occitan, de dialecte limousin au nord d'une ligne allant approximativement de Montazeau à Nadaillac, et de dialecte languedocien au sud de cette ligne. Seules les communes de Parcoul et de La Roche-Chalais (en partie) sont dans l'aire des langues d'oïl (saintongeais).

    D'après Abel Hugo, en 1835 on distinguait dans ce département plusieurs dialectes différents, dont le limousin. À la même époque, la prononciation connaissait plusieurs variantes : elle était assez douce sur les frontières du département de Lot-et-Garonne, un peu moins sur celles de la Gironde et très dure dans l'arrondissement de Sarlat. Les finales étaient généralement prononcées d'une manière lente. Cette inflexion se faisait aussi remarquer dans la prononciation de ceux qui parlaient français[28].

    Au milieu du XIXe siècle, la connaissance du français standard par la population était encore un fait minoritaire, comme en témoigne une citation recueillie par M. Ch. Robert[29] concernant la Dordogne : « L'usage du patois est tellement général, que les enfants qui viennent à l'école sont aussi étrangers à la langue française que le seraient de petits Chinois. »[30].

    Gastronomie

    Le foie gras d'oie et de canard, le caviar périgourdin de Montpon, l'escargot du Périgord, le tourin (ou tourain), le cassoulet du Périgord, le canard (magrets, aiguillettes, grattons, fritons, saucisses sèches, rillettes, pâtés, confits, gésiers, cous farcis, etc.), les demoiselles, le poulet fermier du Périgord, le coq fermier au vin de Bergerac, la poularde en estouffade, les confits de dinde, l'oie, les confits, les gésiers, les saucisses sèches d'oie, le pâté de Périgueux, le pâté de foie d'oie truffé, les pieds de cochons farcis aux cèpes, les miques, les cagouilles de Périgueux, les enchauds ou confits de viande de porc, la sauce Périgueux, le brochet aux lardons, la carpe au confit, les omelettes aux cèpes, aux morilles et à la truffe, les pommes de terre sarladaises, le trappe Échourgnac, le cabécou du Périgord, le monial, les champignons dont la truffe, le cèpe et la morille, les noix du Périgord, l'huile de noix, les tartes aux noix, les arlequins de Carlux, les nogailloux du Périgord, les merveilles de Sarlat, les kiwis, les mirabelles, les maras des bois, les gariguettes et les fraises précoces du Périgord, les framboises, les mûres, les châtaignes, les pommes, les prunes, les poires, les miels, les vins de Domme près de Sarlat, mais surtout le bergerac, le monbazillac ainsi que le pécharmant, le saussignac et le montravel, la bière et le vin de noix, les eaux-de-vie de prune, de poire, le ratafia, les liqueurs de framboise, de mûre, de mirabelle, de noisette sauvage, de châtaigne et de truffe.

    Cinéma

    Environ 120 films ont été tournés dans le département de 1928 à 2013[31].

    Musique

    Chaque été se tient à Montignac-Lascaux et alentour sur une quinzaine de jours le « Festival du Périgord noir » (39e édition en 2021[32]), festival de musique classique.

    Un autre festival de musique classique, le festival du Périgord pourpre : « l'Été musical en Bergerac », se tient sur une douzaine de jours dans différents lieux du Bergeracois (33e édition en 2021[33]).

    Sport

    En juin, le tour cycliste du Périgord (22e édition en 2018)[34].

    Chaque été, en vallée de la Dronne, autour de Douchapt, est organisé le « raid Val de Dronne », épreuve qui allie VTT, canoë, course d'orientation et parcours aventure (22e édition en 2021)[35].

    À la même période se déroule sur quatre jours le « Raid Périgord aventure », une manifestation à l'attention des jeunes de quatorze à seize ans, par équipes de trois, où se mêlent la culture (énigmes à résoudre) et le sport : VTT, course, canoë, escalade, trail et course d'orientation (21e édition en 2016)[36].

    Également en été, en forêt de la Double et en vallée de la Dronne, le raid Dronne Double Périgord associe canoë, run and bike, course à pied et parcours aventure par équipes de deux ou trois, sur des distances allant de 33 à 85 km (14e édition en 2016)[37].

    À l'automne, la « Rand'Auvézère » accueille marcheurs, vététistes ou cavaliers pour une randonnée autour des gorges de l'Auvézère (30e édition en 2019[38]).

    Symbole

    • Le sculpteur allemand Jochen Gerz a réhabilité le monument aux morts de Biron, inauguré le . « Qu'est-ce qui est, selon vous, assez important pour risquer votre vie ? » est la question posée aux habitants du village. Les réponses sont retranscrites sur des plaques fixées sur le monument. Les messages parlent d'amour, de peur, de paix[39].

    Religion

    La Dordogne possède un important patrimoine religieux, qui peut trouver sa légitimité de par la concordance géographique entre le département et les différents chemins de Saint-Jacques de Compostelle[40]. Ainsi, entre cloîtres, abbayes, chapelles et même cathédrales, le Périgord offre un large éventail d'édifices religieux reflétant tous les styles architecturaux, souvent classés monuments historiques et parfois même inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO[41], comme l'abbaye de Cadouin, ou la cathédrale Saint-Front, à Périgueux. À titre d'exemple, on pourrait citer l'abbaye Notre-Dame de Bonne-Espérance d'Échourgnac, qui allie patrimoine architectural et gastronomique avec notamment le Trappe Échourgnac, considéré comme étant le plus ancien fromage de Dordogne[42].

    Transport

    Réseau routier de la Dordogne

    Au , la longueur totale du réseau routier du département de la Dordogne est de 19 633 kilomètres, se répartissant en 110 kilomètres d'autoroutes, 123 kilomètres de routes nationales, 4 942 kilomètres de routes départementales et 14 458 kilomètres de voies communales.

    Accidents de la route

    • 2008 : 39 morts
    • 2009 : 41 morts
    • 2010 : 37 morts
    • 2011 : 33 morts
    • 2012 : 45 morts
    • 2013 : 32 morts
    • 2014 : 39 morts (188 accidents, 39 tués, 255 blessés dont 165 hospitalisés)[43]

    Véhicules électriques ou hybrides

    Le Syndicat départemental de l'énergie (SDE 24) fait implanter, à partir de , un nombre important de bornes de recharge pour les voitures électriques ou hybrides sur l'ensemble de la Dordogne, de façon à faciliter leur autonomie[44]. Au total, ce sont 148 bornes (dont 142 en charge accélérée et 6 en charge rapide) qui vont être installées aussi bien en zones urbaines que rurales, ainsi que sur les aires de covoiturage et les zones touristiques du département[44]. Les recharges, gratuites en 2016 et 2017, ne deviendront payantes qu'à partir du [44]. Ce plan est couplé avec des opérations similaires sur les quatre autres départements aquitains (Gironde, Landes, Lot-et-Garonne et Pyrénées-Atlantiques, permettant un important maillage régional de 674 bornes[44].

    Train

    Le réseau ferroviaire de la Dordogne est composé de 42 gares et de cinq lignes desservant au moins une de ces gares :

    Aérodromes

    Tourisme

    détaillant les :

    Les châteaux de Castelnaud et de Beynac en vallée de la Dordogne.
    • Lieux les plus visités de la Dordogne
    • Châteaux et demeures de la Dordogne
    • Les Plus Beaux Villages de France
    • Monuments historiques de la Dordogne
    • Parc naturel régional Périgord-Limousin
    • Forêt de Dordogne
    • Sites Natura 2000 de la Dordogne
    • Sites naturels remarquables
    • Jardins remarquables
    • Arbres remarquables
    • Voies vertes
    • Sentiers de grande randonnée
    • Sites d'escalades
    • Édifices religieux
    • Lanternes des morts
    • Ponts médiévaux
    • Musées
    • Écomusées
    • Parc de loisirs
    • Parc zoologique
    • Chemin de fer touristique
    • Tourisme gastronomique

    Résidences secondaires

    Selon les estimations de la population au , 14,6 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires[45].

    Ce tableau indique les principales communes de la Dordogne dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.

    Santé

    Le département comprend dix hôpitaux et trois cliniques[47] :


    Représentant 6 020 lits, 74 établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) sont recensés en Dordogne[48].

    En , la Dordogne compte 355 médecins généralistes, soit 85,1 pour 100 000 habitants, contre 92,9 pour 100 000 au niveau national[47]. Sur le périmètre de l'ancien canton de Mareuil, il n'en subsiste plus qu'un seul, âgé de plus de soixante ans, et sur le département, 39 % des généralistes ont plus de soixante ans[49].

    En , le département compte 241 médecins spécialistes, 202 dentistes, 705 infirmiers diplômés d'État, 285 masseurs-kinésithérapeutes et 22 sages-femmes[47].

    Divers

    Notes et références

    Notes

    1. Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Décret du 21 novembre 2018 portant nomination du préfet de la Dordogne - M. Perissat (Frédéric), Légifrance, 21 novembre 2018 (consulté le 23 novembre 2018).
    2. Adolphe Joanne, Géographie du département de la Dordogne, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1877, p. 1.
    3. Voir la page de discussion de Cavarc.
    4. Ldh/EHESS/Cassini, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Parcoul », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    5. Ldh/EHESS/Cassini, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Beaurepos », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
    6. Ludivine Loncle, « Et le Périgord devint alsacien », Le Mag no 153, supplément à Sud Ouest du 7 mars 2015, p. 29-31.
    7. Jessica Guglielmi, « Retour sur l'évacuation de l'Alsace en Périgord », Sud Ouest, édition Dordogne, 8 avril 2015, p. 23.
    8. Hervé Chassain, « Les enfants de la ligne », Sud Ouest, édition Périgueux, 8 mai 2015, p. 11.
    9. Guy Penaud, préface de Roger Ranoux, Les crimes de la Division « Brehmer », éditions la Lauze, mars 2004 (ISBN 2-912032-65-2), p. 19-22.
    10. Pierre-Manuel Réault, « Il sonne l'alerte pour la forêt », Sud Ouest, édition Dordogne, 20 février 2018, p. 12-13.
    11. « Schéma départemental des rivières de Dordogne », sur dordogne.fr, (consulté le ), p. 2
    12. « Les unités hydrographiques de référence du SDAGE Adour-Garonne », sur http://cartographie.nature33.fr (consulté le )
    13. « Schéma départemental des rivières de Dordogne », sur dordogne.fr (consulté le ), p. 27
    14. « Bassin versant de la Charente », sur http://www.eau-adour-garonne.fr (consulté le )
    15. « Bassin versant de la Dordogne », sur eau-adour-garonne.fr (consulté le )
    16. « Bassin versant du Lot », sur http://www.eau-adour-garonne.fr (consulté le )
    17. « Bassin versant de la Garonne », sur eau-adour-garonne.fr (consulté le )
    18. « La forêt, une filière d'avenir pour la Dordogne », Vivre en Périgord (magazine du conseil départemental de la Dordogne) no 55, mai-juin 2019, p. 3.
    19. Hervé Chassain, « La forêt patchwork », Sud Ouest, édition Périgueux, 24 octobre 2008.
    20. Sud Ouest, édition Dordogne, 10 décembre 2011.
    21. Le Périgord veut attirer toujours plus de touristes, Sud Ouest, édition Dordogne, 13 mars 2012.
    22. Virginie Desmet, Le Périgord industriel, Sud Ouest, édition Dordogne, 21 mars 2012.
    23. Palle Spore, Départements et régions : syntaxe et dérivation, Odense (Danemark), Odense University Press, , 176 p. (ISBN 978-87-7492-466-1, lire en ligne), p. 130-140 (consulté le 17 décembre 2010).
    24. « La Dordogne : terre d'accueil des Britanniques », sur Site de l'Insee (consulté le )
    25. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - fiche historique du département
    26. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
    27. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018
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    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Pierre Bouchard, Périgord terre de mémoire, éditions Pierre Fanlac, (réimpr. 1987) (ISBN 978-2-86577-055-7).
    Articles publiés dans la revue Arkheia
    Articles publiés dans le bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord

    Articles connexes

    Liens externes

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