Gout-Rossignol
Gout-Rossignol (orthographe officielle), localement écrite Goûts-Rossignol, est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Gout (homonymie) et Rossignol (homonymie).
Goûts-Rossignol redirige ici.
Gout-Rossignol | |||||
Le bourg de Gout-Rossignol, ondulant à travers l'atmosphère estivale surchauffée. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Corinne Ducoup 2020-2026 |
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Code postal | 24320 | ||||
Code commune | 24199 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
374 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 24′ 51″ nord, 0° 23′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 104 m Max. 185 ou 186 m |
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Superficie | 24,91 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Généralités
Localisée dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, la commune de Gout-Rossignol s'étend sur 24,91 km2. Elle est arrosée par la Pude qui y prend sa source, à l'est du village de Rossignol, et qui lui sert de limite territoriale sur un total de près de quatre kilomètres, en deux tronçons.
À l'intersection des routes départementales (RD) 2 et 100, le bourg de Gout-Rossignol est situé à 18 kilomètres au nord de Ribérac et environ 35 kilomètres au nord-ouest de Périgueux. L'autre petit bourg, Rossignol, est situé trois kilomètres et demi à l'est du bourg principal.
La commune est également desservie par les RD 12, 100E2 et 708. La RD 12 mène à La Rochebeaucourt, la RD 100 longe la vallée de la Pude, et la RD 708 permet de relier Nontron à Marmande[1].
Géologie et relief
La commune occupe un terrain calcaire du Bassin aquitain datant du Crétacé supérieur. Le Coniacien occupe les parties plus basses de cette plaine céréalière, et le Santonien, un peu plus crayeux, les parties plus hautes, au-dessus d'une altitude d'environ 140 m. La vallée de la Pude, en limite sud, est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire[2],[3],[4].
L'altitude minimale, 104 mètres, se trouve localisée à l'extrême ouest, à l'ouest du lieu-dit Vigéreau, là où la Pude quitte la commune et sert de limite entre celles de Champagne-et-Fontaine et Cherval. L'altitude maximale avec 185 ou 186 mètres[Note 1] est située au sud-est, au lieu-dit la Buisson[5].
Communes limitrophes
Gout-Rossignol est limitrophe de sept autres communes. Au sud-ouest, son territoire est distant d'environ 650 mètres de celui de La Chapelle-Grésignac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martial Viveyrols », sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol, mise en service en 1988[12] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 859,2 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Cognac », sur la commune de Châteaubernard, dans le département de la Charente, mise en service en 1945 et à 62 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,9 °C pour la période 1971-2000[16], à 13,3 °C pour 1981-2010[17], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[18].
Milieux naturels et biodiversité
À l'extrême-sud, une faible fraction du territoire communal fait partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, le plateau de Cherval, remarquable pour sa variété d'oiseaux dont plusieurs font l'objet d'une protection par la directive européenne : Bruant ortolan (Emberiza hortulana), Busard cendré (Circus pygargus), Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), Grande Outarde (Otis tarda), Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio), Pipit rousseline (Anthus campestris)[19],[20].
La vallée de la Pude est protégée dans sa traversée de la commune au titre d'une autre ZNIEFF de type II « Vallée de la Nizonne »[21],[22].
Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifères, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également riche de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
Sur le territoire communal, trois zones réduites (étang des Faures notamment) formant un total d'une cinquantaine d'hectares font partie de la ZNIEFF de type I « Vallée de la Pude » composée « d'anciennes tourbières et les petits vallons dominés par les milieux humides "naturels" (prairies, roselières, sources, boisements de saules »[23],[24] dans laquelle ont été recensées deux espèces déterminantes d'odonates, le Gomphe semblable (Gomphus simillimus) et le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus)[23]. Trente-sept autres espèces animales y ont également été répertoriées (seize odonates et 21 oiseaux) ainsi qu'une trentaine d'espèces végétales[23].
Urbanisme
Typologie
Gout-Rossignol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86 %), forêts (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), prairies (0,4 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Dénomination
Les communes de Gout et de Rossignol ont fusionné en 1827 sous le nom de Gout-Rossignol[31], dont c'est l'orthographe officielle[32]. Localement, on trouve la graphie « Goûts-Rossignol ».
Toponymie
Cité pour la première fois dans le cartulaire de Saint-Cybard en 937 sous le nom de Guz chef-lieu de la centaine de Berciacense. Le "t" n'apparaît qu'au XIIIe siècle.
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, on trouve la graphie « Gouts »[33].
L'étymologie relie Rossignol à ros qui signifie "rouge" et à la racine gauloise ialon qui signifie "clairière", soit « la clairière rouge » comme le confirme la couleur de la terre. Par déformation le lieu a pris le nom d'un charmant oiseau[34].
En occitan, la commune porte le nom de Gots e Rossinhòu[35].
Histoire
À Gout, au sommet de la colline, la présence certaine[réf. nécessaire] d'un cromlech, aux temps préhistoriques, devenu emporium par la suite, a donné place à l'église et à la halle détruite à la fin du XIXe siècle où se tenaient les foires importantes jusqu'à la Première Guerre mondiale.
Gout est proche de la bifurcation des voies romaines de Périgueux à Saintes et de Périgueux à La Rochelle, routes de pèlerinage pour la première et du fer et du sel pour la seconde[réf. nécessaire]. Des vestiges importants étaient encore visibles avant les bouleversements dus au remembrement et à la modernisation des routes.
Près de La Croix, à la Fontaine de la Ville, se trouvaient une villa romaine et une forge comme l'attestent les restes de construction, les poteries et les nombreux débris métallurgiques conservés par le sol. Une importante forge existait également dans le village de l'Étang des Faures situé, lui aussi, sur la voie de Périgueux à Saintes.
Gout a été, jusqu'à la Révolution, le siège d'un archiprêtré qui comprenait vingt-et-une paroisses.
Les plus anciennes maisons du bourg datent de la fin du XVe siècle, car en 1447, les Anglais du Comte Dorset Hutington rasèrent le village et l'église fut fortement endommagée. Aux XVIIIe et XIXe siècles furent construits un certain nombre de châteaux et de demeures bourgeoises.
Les Templiers et les Hospitaliers
À huit-cents mètres du bourg, à Soulet, se trouvait, dès le XIIIe siècle, une commanderie des Templiers, puis des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, dont il n'existe plus de vestiges importants[34].
Politique et administration
Rattachements administratifs
Dès 1790, la commune de Gouts a été rattachée au canton de Champaigne qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Verteillac dépendant de l'arrondissement de Ribérac. Ce dernier étant supprimé en 1926, ses communes sont alors rattachées à l'arrondissement de Périgueux[31].
Intercommunalité
Fin 1996, Gout-Rossignol intègre dès sa création la communauté de communes du Verteillacois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par un intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[36],[37].
Liste des maires
- La mairie, à Gout, en 2010.
- Bâtiment provisoire de la mairie en 2021, dans l'attente d'une réhabilitation du bâtiment principal.
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Gout-Rossignol relève[40] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
L'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac, dont faisait partie Gout-Rossignol, est jumelé avec la commune italienne de Fontanetto Po depuis 1988[41].
Population et société
Démographie de Rossignol
Jusqu'en 1827, les communes de Gout et de Rossignol étaient indépendantes.
Démographie de Gout, puis de Gout-Rossignol
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].
En 2018, la commune comptait 374 habitants[Note 6], en diminution de 3,36 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Équipements, services et vie locale
L'importante maison de retraite qui se trouve à Gout a été fondée en 1871 par la famille Aubin de Jaurias. La première mise de fonds pour la construction de cet établissement a été, selon sa volonté, la dot de Sœur Hélène de Jaurias, l'héroïne du Pe-Tang (Chine), que lui avait constitué son frère Antoine Aubin de Jaurias[34].
Économie
Emploi
En 2015[46], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 115 personnes, soit 29,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (huit) a diminué par rapport à 2010 (quinze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 7,0 %.
Établissements
Au , la commune compte 41 établissements[47], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois dans la construction, et deux dans l'industrie[48].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Jaurias, XVIIIe et XIXe siècles[49].
- Château de la Vassaldie, XVIIIe et XIXe siècles, inscrit partiellement en 1992 au titre des monuments historiques pour les façades et toitures du château et des dépendances, pour le portail sur cour et les citernes qui l'encadrent, pour l'allée de charmes et pour l'ensemble des murs de clôture[50],[51].
- Manoir de Bouillaguet, repaire noble édifié en 1717[52].
- Manoir de Mitonias, XVIIIe siècle[53].
- Moulin de Soulet, constitué de deux moulins, l'un pour l'huile de noix (plus communément appelé Moulin du Potager) et le second consacré à la farine de blé (connu aussi sous le nom de Moulin du Pigeonnier). C'est sur ce lieu que fut édifiée au Moyen Âge une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, depuis disparue[54].
- Château de Soulet.
- Étang des Faures.
- Le château de Jaurias.
- Le château de la Vassaldie.
- Son portail sur cour.
- Le château de Soulet.
- L'étang des Faures.
Patrimoine religieux
La commune possède deux églises, celle de Gout dédiée à saint Étienne, reconstruite à la fin du XIXe siècle de style roman angevin et celle de Rossignol, dédiée à saint Pierre-ès-Liens, datant du XIIe siècle.
- Église paroissiale Saint-Étienne de Gout, de style néogothique, reconstruite au XIXe siècle sur l'emplacement de l'église primitive du XIIe siècle, ruinée pendant la guerre de Cent Ans[55].
- L'église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens de Rossignol, édifiée du XIIe au XVIIIe siècle, et restaurée en 1898 par l'architecte Biras, est inscrite au titre des monuments historiques depuis 2011 ainsi que la croix située au chevet[56],[57].
- L'église de Gout.
- L'église de Gout.
- Son portail.
- Croix à côté de l'église de Gout.
- Détail de cette croix.
- L'église de Rossignol.
Personnalités liées à la commune
- Sœur Hélène de Jaurias (1824-1900), des filles de la charité, Héroïne du Pé-Tang.
Voir aussi
Bibliographie
- Michel Vergnaud, « Le vin de Rossignol et des environs. Histoire d'un ancien vignoble du Périgord », dans Chroniques no 28, G.R.H.I.N (Groupe de recherches Historiques du Nontronnais), 2012, p. 53-88 (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
- Marcel Vergnaud, Monographie de Gouts-Rossignol, 1971 sur le site de La Tour Blanche en Périgord
- Gout-Rossignol sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Deux valeurs différentes pour l'IGN, 186 mètres sur la carte et 185 sur son ancien site.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Nontron », sur Infoterre, (consulté le ).
- « la Buisson (186) » sur Géoportail (consulté le 11 mai 2020)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martial Viveyrols - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Gout-Rossignol et Saint-Martial-Viveyrol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martial Viveyrols - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gout-Rossignol et Châteaubernard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Cognac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cognac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Cognac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- [PDF] Plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 27 novembre 2014.
- Carte du plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 27 novembre 2014.
- [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 19 octobre 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- [PDF] 720008182 - Vallée de la Pude, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720008182, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Code officiel géographique de Gout-Rossignol, sur le site de l'Insee, consulté le 23 septembre 2014.
- « Gouts » sur Géoportail (consulté le 23 septembre 2014)..
- Marcel Vergnaud, Monographie de Gouts-Rossignol, .
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 2 mars 2014.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 19 août 2014.
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- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Jean-Louis Savignac, « Les 30 bougies du jumelage franco-italien », Sud Ouest édition Périgueux, 27 avril 2018, p. 21.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Rossignol », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Gout-Rossignol (24199) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Gout-Rossignol (24199) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 24 novembre 2018.
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Château de Jaurias », notice no IA24000875, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- « Château de la Vassaldie », notice no PA00083099, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Château de la Vassaldie », notice no IA24000876, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Manoir », notice no IA24000953, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Manoir de Mitounias », notice no IA24000967, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Moulin à farine dit Moulin de Soulet », notice no IA24001028, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Église paroissiale Saint-Etienne », notice no IA24000845, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA24000077, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
- Inventaire général du patrimoine culturel, « Église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens », notice no IA24000844, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
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