Sainte-Croix-de-Mareuil

Sainte-Croix-de-Mareuil est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Croix.

Sainte-Croix-de-Mareuil

L'église de Sainte-Croix-de-Mareuil.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
Maire
Mandat
Josiane Boyer
2020-2026
Code postal 24340
Code commune 24394
Démographie
Population
municipale
153 hab. (2018 )
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 46″ nord, 0° 25′ 34″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 192 m
Superficie 11,93 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Croix-de-Mareuil
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Sainte-Croix-de-Mareuil
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Croix-de-Mareuil
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Croix-de-Mareuil

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    Géologie et relief

    L'extrémité nord-ouest de la boutonnière.

    La commune est située sur le sommet de l'anticlinal de Mareuil, sur un îlot de calcaire jurassique entouré de calcaire crétacé, appelé boutonnière en géologie.

    Communes limitrophes

    Sainte-Croix-de-Mareuil et des communes avoisinantes en 2016, avant la création de la commune nouvelle de Mareuil en Périgord.

    Sainte-Croix-de-Mareuil est limitrophe de quatre autres communes, dont une dans le département de la Charente.

    Communes limitrophes de Sainte-Croix-de-Mareuil
    Combiers
    (Charente)
    Mareuil en Périgord
    La Rochebeaucourt-et-Argentine
    Gout-Rossignol

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 916 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Cognac », sur la commune de Châteaubernard, dans le département de la Charente, mise en service en 1945 et à 62 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,9 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[13].

    Parc naturel

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[14] depuis la création de celui-ci en 1998[15], adhésion renouvelée en 2011[16].

    ZNIEFF

    La Nizonne au pont de la RD 99, en limite des Graulges (vue vers l'amont).
    La Nizonne au pont de la RD 99, en limite des Graulges (vue vers l'aval).

    La vallée de la Nizonne est protégée dans sa traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »[17],[18].

    Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :

    Sa flore est également constituée de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).

    Sous-ensemble de la ZNIEFF précédente, la vallée de la Belle est une ZNIEFF de type I[19],[20]. Deux espèces déterminantes y ont été identifiées, un mammifère : le Vison d'Europe, et une plante : la Fritillaire pintade.

    Une mince bande de moins de deux hectares le long de la Nizonne, près du lieu-dit Côte de la Bure, fait partie d'une autre ZNIEFF de type I « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[21],[22] dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, 160 autres espèces animales et 156 autres espèces végétales y ont été répertoriées.

    Natura 2000

    Dans leur traversée de la commune, la Nizonne, la Belle et leurs vallées[23] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 également appelée « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[24] :

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Croix-de-Mareuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[25],[26],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[28],[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,9 %), terres arables (28,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), prairies (10,9 %), mines, décharges et chantiers (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Senta Crotz de Maruelh[31].

    Histoire

    La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom d'Union-sur-Belle[32].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[33],[34].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1996 avril 2014 Michel Jacky Boyer SE[35] Retraité
    avril 2014[36]
    (réélue en mai 2020)
    En cours Josiane Boyer DVD [37] Retraitée de la fonction publique

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Sainte-Croix-de-Mareuil relève[38] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

    En 2018, la commune comptait 153 habitants[Note 5], en augmentation de 10,87 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    376299400352477474428433438
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    395386396397376406390329332
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    299276275242240222216201166
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    160150153144142137132139148
    2018 - - - - - - - -
    153--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[43], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante-sept personnes, soit 39,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (neuf) a augmenté par rapport à 2010 (quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte treize établissements[44], dont quatre au niveau des commerces, transports ou services, trois dans la construction, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château d'Ambelle.
    • Église.
    • Manoir.
    • Le repaire noble d'Ambelle, devenu une exploitation agricole[46]. Bâti du XVIe au XVIIIe siècle[réf. nécessaire].

    Natura 2000

    La vallée de la Nizonne est aussi une zone Natura 2000 avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive habitats de l'Union européenne[47],[48] :

    • dix espèces de mammifères dont huit chauves-souris (Barbastelle d'Europe, Grand murin, Grand rhinolophe, Minioptère de Schreibers, Murin à oreilles échancrées, Murin de Bechstein, Petit murin et Petit rhinolophe), ainsi que la Loutre d'Europe et le Vison d'Europe (Mustela lutreola) ;
    • parmi les insectes, le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), plus six espèces déjà protégées dans la ZNIEFF du même nom, hormis l'Azuré de la croisette ;
    • la tortue Cistude d'Europe ;
    • le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri).

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D’argent au sautoir de gueules au chef d’azur chargé d’une croisette latine d’or accostée de deux croisettes latines du champ[49]
    Détails
    Le blason fait référence à celui de la famille de Pindray d'Ambelle (d’argent au sautoir de gueules).
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sainte-Croix-de-Mareuil et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sainte-Croix-de-Mareuil et Châteaubernard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cognac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Cognac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Cognac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 5 novembre 2019.
    15. Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 5 novembre 2019.
    16. Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 5 novembre 2019.
    17. [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 5 novembre 2019.
    18. Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 5 novembre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    19. [PDF] Vallée de la Belle, INPN, consulté le 7 novembre 2019.
    20. Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008183, INPN, consulté le 7 novembre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    21. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    22. Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    23. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    24. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. Le nom occitan des communes du Périgord - Senta Crotz de Maruelh sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.
    32. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 376.
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    34. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
    35. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 13.
    36. À Sainte-Croix-de-Mareuil, Sud Ouest édition Périgueux du 12 avril 2014, p. 22.
    37. http://www.rassemblonsladordogne.fr/lecanton.php?id=3,
    38. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. Dossier complet - Commune de Sainte-Croix-de-Mareuil (24394) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    44. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    45. Dossier complet - Commune de Sainte-Croix-de-Mareuil (24394) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
    46. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 13.
    47. [PDF] FR7200663 Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 5 novembre 2019.
    48. Carte de localisation de la zone Natura 2000 FR7200663, INPN, consulté le 5 novembre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    49. Blason de Sainte-Croix-de-Mareuil sur OLDJP la banque du blason 2, consulté le 19 avril 2013.
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