Combiers
Combiers (Combier en limousin, dialecte de l'occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Combiers | |||||
Église de Combiers. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Patrick Épaud 2020-2026 |
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Code postal | 16320 | ||||
Code commune | 16103 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
123 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 5,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 29′ 36″ nord, 0° 24′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 90 m Max. 217 m |
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Superficie | 23,96 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.combiers.fr | ||||
Géographie
Localisation et accès
Située au bord de la Lizonne (appelée aussi Nizonne) sur sa rive droite et en limite avec le département de la Dordogne, à 2 km à l'est de La Rochebeaucourt, Combiers est aussi en lisière de la forêt d'Horte.
Combiers est aussi à 11 km de Villebois-Lavalette, le chef-lieu de son canton, 13 km de Dignac, 20 km de Montbron et de Nontron, 30 km d'Angoulême et 42 km de Périgueux[1].
Combiers est principalement accessible par la D 939 entre Angoulême et Périgueux, qui passe au sud de la commune sur la rive gauche de la Lizonne (département de la Dordogne).
Des routes départementales de moindre importance traversent la commune. La D 25 dessert le bourg et va au nord en direction d'Angoulême par Charras et Sers. La D 41 dessert aussi le bourg et va en direction de Rougnac et Dignac. La D 87 à l'ouest de la commune relie La Rochebeaucourt à Rougnac et Sers. Les D 163, D 93, D 444 et D 109 passent aussi dans la commune[2].
Communes limitrophes
Combiers est limitrophe de six autres communes, dont la moitié dans le département de la Dordogne.
Géologie et relief
Combiers est situé sur un plateau calcaire datant du Crétacé, qui s'étage du Cénomanien au Campanien, plus crayeux, bien que la limite avec le Jurassique passe tout près, au nord-est de la commune (anticlinal de Mareuil).
Ce plateau est toutefois entièrement couvert dans une grande partie de la commune par des dépôts d'origines tertiaire et détritique (galets, sable), altérites du Quaternaire (glaciations). Les apports du Tertiaire en provenance du Massif central sont plus importants dans une petite partie orientale (la Grange de la Forêt). Les sables provenant du Santonien recouvrent une grande partie de la commune. Toutes ces zones sont boisées[3],[4],[5].
On trouve d'anciennes mines de fer dans les environs de chez Métayer, du Temple et de la Grange de la Forêt[6] et une carrière de sable au Maine au Loup.
Le relief de la commune est celui d'un plateau boisé assez vallonné d'une altitude moyenne de 170 m, bordé au sud-est par la vallée de la Lizonne, et entaillé par trois petites vallées qui y affluent. Le point culminant de la commune est à une altitude de 217 m, situé près du Clédou. Le point le plus bas est à 90 m, situé le long de la Lizonne au pont de La Rochebeaucourt. Le bourg, situé dans la vallée au bord de la Lizonne sur sa rive droite, est à 96 m d'altitude[2].
Hydrographie
La commune est bordée au sud par la Nizonne, un affluent de la Dronne. Le territoire communal est presque entièrement dans le bassin versant de la Dordogne, la ligne de partage des eaux avec la Charente (bassin du Bandiat) passant à son extrémité nord-est.
La Nizonne, appelée aussi Lizonne en aval de La Rochebeaucourt, a deux petits affluents qui prennent naissance dans la commune. À l'est, le ruisseau de la Lande prend naissance près de Lasfonds[Note 1], et se jette dans la Lizonne près du bourg. À l'ouest, un autre petit ruisseau descend de Rozet.
Sur la limite sud-ouest, la Manore descendant de Rougnac se jette dans la Lizonne, au pied du château de la Rochebeaucourt[2].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
ZNIEFF
Selon l'Inventaire national du patrimoine naturel (INPN), le site « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[7] concerne la commune de Combiers. Dans les faits, les communes du département de la Charente mentionnées par la fiche ne font que tangenter cette zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), intégralement comprise dans le département de la Dordogne, comme le montre la carte du site[8]. Ces communes de Charente, dont Combiers, sont traitées dans une autre ZNIEFF décrite ci-dessous.
À Combiers, la vallée de la Nizonne fait partie de la ZNIEFF de type II nommée « Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes »[9],[10].
Vingt-deux espèces déterminantes d'animaux y ont été répertoriées[9] :
- un amphibien : la Rainette verte (Hyla arborea) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- cinq insectes dont trois lépidoptères : l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar) et le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et deux odonates : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) ;
- sept mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq chauves-souris : le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- quatre oiseaux : l'Alouette lulu (Lullula arborea), le Martin-pêcheur d'Europe (Alcedo atthis), le Milan noir (Milvus migrans) et le Tarier des prés (Saxicola rubetra) ;
- trois poissons : le Chabot commun (Cottus gobio), la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) et le Toxostome (Parachondrostoma toxostoma) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Vingt-neuf autres espèces animales (quatre mammifères et vingt-cinq oiseaux) y ont été recensées[9].
Natura 2000
Dans leur traversée de la commune, la Nizonne et sa vallée[11] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[12] :
- sept insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- dix mammifères : la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), et huit chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) ;
- deux poissons : le Chabot fluviatile (Cottus perifretum) et la Lamproie de Planer (Lampetra planeri) ;
- un reptile : la Cistude (Emys orbicularis).
Urbanisme
Typologie
Combiers est une commune rurale[Note 2],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), terres arables (11,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), prairies (2,6 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
La commune assez étendue comporte de nombreux petits hameaux et fermes, principalement à la lisière de la forêt d'Horte. On peut citer Rozet, Lasfonds et la Peyre, les Roudiers, chez Bernard, la Chapelie, le Maine au Loup, Moulin Neuf[2].
Toponymie
Les formes anciennes sont Comberiis, Comberio (non datés)[19], Comberio au XIIIe siècle, dont l'identification avec Combiers est incertaine[20].
Selon Dottin, cumborios signifierait « le Confluent ». En effet, Combiers est au confluent de la Lizonne et du ruisseau de la Lande. Cumborio- est un terme de nom gaulois, venant de comboro, qui pourrait avoir le même sens que l'irlandais commor : rencontre, confluent[21].
Selon Dauzat, le nom de Combiers viendrait de combe, employé dans tout le grand Sud de la France et en particulier en Charente, signifiant petite vallée, avec le suffixe collectif -arium[22].
Histoire
Sous l'Ancien Régime, l'histoire de Combiers est liée à celle des seigneurs de La Rochebeaucourt, la famille Galard de Béarn depuis le XVIe siècle, ainsi qu'à celle de la forêt.
La forêt a attiré au Moyen Âge les religieux du prieuré de Rauzet.
Grâce aux mines de fer de la commune et à l'eau de la Lizonne, une forge a été construite par les Galard de Béarn au XVIIe siècle. Ce haut fourneau a été reconstruit en 1853 et possédé par la famille Cordebart. Le sable a été exploité pour faire des moules de fonderie. En 1870, la forge a été reconvertie en distillerie d'alcool de betteraves, puis tout récemment en une discothèque[25].
Vers cette même époque, le domaine du château, devenu forêt de La Rochebeaucourt, en grande partie sur la commune de Combiers mais aussi sur les communes d'Édon, Rougnac, Charras et La Rochebeaucourt, appartenait à une société chargée de son exploitation (président : Jean Claret).
La commune possédait aussi au début du XXe siècle une petite minoterie sur la Nizonne, au Moulin Neuf[26].
Héraldique
Blason | De sinople à la bande ondée d'argent accompagnée de deux croisettes du même; au franc-quartier de gueules chargé d'une enclume d'or surmontée de deux marteaux adossés en chevron du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
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Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2018, la commune comptait 123 habitants[Note 3], en diminution de 1,6 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[34].
Lieux et monuments
- Église de Rauzet ou Rozet, édifice roman de la seconde moitié du XIIe siècle, ancien prieuré, élevé par l'ordre de Grandmont; classée monument historique le 14 décembre 1992[35],[36].
- L'église paroissiale Saint-Fiacre, édifice massif de style roman, avec extension de la nef d'un côté comme on en trouve parfois dans la région (par exemple Édon ou Rouzède). Elle dépendait du chapitre cathédral de La Rochebeaucourt. La chapelle grandmontaine de Rauzet servit d'annexe à la paroisse de Combiers et le cloître de cimetière.
- Arboretum du Clédou, partie de la forêt d'Horte, occupe une surface de 6 ha et comporte 35 essences[37]
- L'église de Rauzet.
- La nef principale de l'église Saint-Fiacre.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Las fonts signifie les sources en occitan.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Nontron », sur Infoterre, (consulté le )
- Combiers sur charente.free.fr
- [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] - Vallées de la Nizonne, de la Tude et de la Dronne en Poitou-Charentes, Jean Terrisse (LPO), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 540120099, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 96
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 56
- Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 203.
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- « Haut-fourneau », notice no IA00066244, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 140-141
- https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Combiers en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- « Église de Rauzet », notice no PA00104324, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Mairie de Combiers, « Association de Rauzet », Catillus Carol Corp., (consulté le )
- F.Vayeur, « Arboretum du Clédou », L'écho des Chênaies, (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Catillus Carol, « Combiers », (consulté le )
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