Rougnac

Rougnac (Ronhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Rougnac

Mairie de Rougnac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Cyrille Guedon
2020-2026
Code postal 16320
Code commune 16285
Démographie
Gentilé Rougnacois ou Rougnaquais
Population
municipale
407 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 13″ nord, 0° 21′ 33″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 221 m
Superficie 29,88 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Rougnac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Rougnac
Géolocalisation sur la carte : France
Rougnac
Géolocalisation sur la carte : France
Rougnac
Liens
Site web www.rougnac.net

    Ses habitants sont les Rougnacois et les Rougnacoises, ou les Rougnaquais et les Rougnaquaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Rougnac est commune du sud-est du département de la Charente, non loin de celui de la Dordogne. Cette commune du Pays d'Horte et Tardoire est située à km au nord-est de Villebois-Lavalette et 20 km au sud-est d'Angoulême.

    Rougnac est aussi à km au sud-est de Dignac, 11 km au sud-ouest de Marthon, 18 km au sud-ouest de Montbron, 24 km à l'ouest de Nontron[2].

    La commune est principalement desservie par la D 16, route départementale de Montmoreau à Confolens, qui passe par Villebois-Lavalette, Marthon et Montbron. La D 41 la relie aussi à Dignac, et la D 87 vers Angoulême. La D 939, route d'Angoulême à Périgueux, passe au sud-ouest de la commune[3].

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreux hameaux : la Peige au nord, le Texier surplombant le bourg et Tillet à son pied, ainsi que Chante Grelet près de l'ancienne gare, Clédou à l'est qui a donné son nom à la forêt, la Pouyade et la Martinie au sud, le Châtenet, le château de Montchoix, Mas Millaguet, Cussac à l'ouest, etc.[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Rougnac
    Sers Grassac
    Dignac Charras
    Gardes-le-Pontaroux Édon Combiers

    Géologie et relief

    La commune occupe un terrain calcaire datant du Crétacé, qui s'étage du Coniacien au nord, au Santonien au sud.

    Ce plateau est toutefois recouvert sur une grande moitié nord de la commune par des dépôts du Tertiaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex. Ces zones pauvres sont situées en hauteur et souvent boisées en pin maritime et châtaignier. Les flancs des vallées (Manore) sont couverts par endroits de colluvions formés de la décomposition du calcaire[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'un plateau boisé d'une altitude dépassant parfois les 200 m. Le point culminant est à une altitude de 221 m, situé à l'ouest. Le point le plus bas est à 105 m, situé le long de la Manore en limite sud. Le bourg d'étage entre 150 et 217 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La Manore au pied du bourg.
    La forêt d'Horte entre Beaulieu et la D 87.

    La commune est traversée par la Manore, descendant vers le sud et affluent de la Lizonne près de La Rochebeaucourt.

    La quasi-totalité de la commune est dans le bassin versant de la Dordogne, et la ligne de partage des eaux avec le bassin de la Charente passe dans le nord de la commune; c'est à peu près la D 34.

    On trouve quelques retenues d'eau en amont du Repaire, comme l'étang Dudo, ou l'étang de Montchoix. Quelques fontaines sont à signaler, comme celles de la Bourgne et du Pinier au sud-ouest, celles des Pâtureaux, du Perry et de la Catie au sud-est, ou la fontaine de Lignauté au nord-ouest, ou du Bois de la Légère à l'ouest[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Végétation

    La commune est boisée dans sa quasi-totalité par la forêt d'Horte. Seuls le bourg et la vallée de la Manore sont dégagés, ainsi que quelques clairières (Clédou, Montchoix, Mas Millaguet).

    Urbanisme

    Typologie

    Rougnac est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,5 %), prairies (8,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,1 %), terres arables (3,5 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Ronhaco au XIIIe siècle[13].

    L'origine du nom de Rougnac remonterait à un nom de personne gallo-romain Rutenius issu du nom ethnique Rutenus (Rodez)[14], ou Runnius, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Ruteniacum ou Runniacum, « domaine de Runnius »[15],[Note 3].

    Dialecte

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[16]. Elle se nomme Ronhac en occitan[17].

    Histoire

    La seigneurie du Repaire est connue depuis le XIIIe siècle. Le premier seigneur connu est Pierre Arnaud, sergent du comté d'Angoulême. Au milieu du XVe siècle, cette terre passe par alliance à la famille de Birac, puis deviendra en 1609 la propriété de la famille de Galard de Béarn, jusqu'à la Révolution. Puis par successions, elle passa à la famille de Vassoigne, puis à celle de Roffignac.

    Monchoix était un domaine agricole modèle créé au milieu du XIXe siècle par Jean-Guillaume-Ernest Durantière (qui a été maire), et dirigé par sa veuve au début du XXe siècle. Il deviendra un préventorium pour enfants dans les années 1950, puis centre de convalescence (acheté par l'hôpital de Girac en 1992), avant de devenir un haras en 2010[18].

    Dans la deuxième moitié du XIXe siècle et jusque dans les années 1950, comme de nombreuses communes des alentours, la principale industrie était encore la fabrication des cercles pour futailles à partir des perches de bois coupées dans les taillis de châtaigniers de la commune.[19].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, Rougnac possédait une gare sur la voie ferrée Angoulême-Périgueux par Ribérac aujourd'hui disparue, qui empruntait la vallée de la Manore.

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1794 nov. 1830 François Vignaud    
    Fin 1830 1831 Michel Vergnaud (intérim)    
    1831 1852 Jean Forestas    
    1852 1869 Ernest Agard-Durantière    
    1869 1871 Pierre Gouguet    
    1871 1874 François Gouguet    
    1874 1882 René Jacques    
    1882 1883 Isidore Forestier    
    1883 1891 Pierre Auguste Lémerie    
    1891 avr. 1895 Guillaume Forestier    
    1895 1900 Jean Dereix    
    1900 1935 Albert Mothe Radical Conseiller général
    1935 1945 Clément Gaillard    
    1945 1947 Henri Léger    
    1947 1953 Henri Chaumette    
    1953 1970 Lucien Dufraisse    
    1970 oct. 1989 Henri Laforge    
    1989 1995 Jean-Alfred Gélineau    
    1995 2008 Dany Glangetas    
    2008 2014 Pierre-Henri Auxire SE Directeur des ventes
    2014 2020 Marylise Vella-Frugier SE Enseignante
    2020 En cours Cyrille Guédon    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

    En 2018, la commune comptait 407 habitants[Note 4], en diminution de 1,69 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 0031 0601 0779641 0641 1211 0831 1231 042
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 0171 041932908822830786780709
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    708672670642620610676622467
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    392370437529547511441410407
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Rougnac en 2007 en pourcentage[24].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90  ans ou +
    2,7 
    12,1 
    75 à 89 ans
    15,1 
    15,3 
    60 à 74 ans
    15,2 
    28,0 
    45 à 59 ans
    26,9 
    16,2 
    30 à 44 ans
    14,4 
    13,4 
    15 à 29 ans
    15,2 
    14,2 
    0 à 14 ans
    10,5 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[25].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    Rougnac est un des derniers villages de France où s'exerce le métier de cerclier, métier d'artisanat consistant en la fabrication de cercles en bois de châtaignier pour les tonneaux[26].

    La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[27].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école publique est un regroupement pédagogique intercommunal entre Charras, Grassac et Rougnac. Rougnac accueille l'école primaire, et Charras et Grassac les écoles élémentaires. L'école de Rougnac possède deux classes. Le secteur du collège est Villebois-Lavalette[28].

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Pierre.

    L'église paroissiale Saint-Pierre est un édifice d'origine pré-romane dont la nef comprend un voûtement et une travée d'avant-chœur du XIIe siècle. Vers la fin du Moyen Âge elle a été agrandie vers l'ouest puis un clocher a été construit sur le chœur, avec une voûte à quatre branches d'ogives et deux liernes chanfreinées, sans doute du XVe siècle, et restauré au XIXe siècle. Une vaste crypte de plan rectangulaire, recouverte d'un berceau surbaissé et agrandie au XVe siècle, servait de lieu de sépulture aux seigneurs du Repaire. L'église est inscrite aux monuments historiques depuis 2001[29].

    Château du Repaire.

    Le château du Repaire dont la construction a débuté au XIIe siècle est un château médiéval dont les propriétaires sont connus depuis le règne de Louis IX. Le châtelet d'entrée et une partie du logis datent du XVe siècle, le donjon circulaire et son décor de la fin du XVIe siècle alors que le logis est du XVIIIe siècle et que les communs ont été transformés au XIXe siècle. Il a été inscrit partiellement monument historique le [30].

    Personnalités liées à la commune

    • Armand Vergeaud (1876-1949), peintre orientaliste. Nombreuses œuvres exposées aux musées d'Angoulême et de Périgueux. Fresque monumentale représentant l'agriculture, l'industrie et le commerce de la Charente dans le hall d'entrée qui porte son nom à la CCI d'Angoulême. Directeur de l'École des beaux-arts de Tunis ; peintre très coté en Tunisie pour ses nombreuses œuvres sur ce pays. Il s'est retiré à Rougnac.
    • Émile Peyronnet (1872-1956), sculpteur charentais né à Rougnac, connu pour la réalisation de nombreux monuments aux morts[31]. Sa sœur Éva a épousé Armand Vergeaud.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. L'étymologie est la même pour Rognac (Bouches-du-Rhône) ou Rougnat (Creuse).
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 170
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 572.
    15. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    16. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    17. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    18. Catherine Dowmont, « Le château de Monchoix transformé en haras », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
    19. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 287
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. « Evolution et structure de la population à Rougnac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    25. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    26. « Les cercliers », racine.free.fr, (consulté le )
    27. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    28. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    29. « Église Saint-Pierre », notice no PA16000020, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 4 novembre 2009
    30. « Château du Repaire », notice no PA16000006, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 10 octobre 2009
    31. Conseil des musées, « Fiche d'Émile Peyronnet », sur alienor.org, (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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