Sers (Charente)
Sers (Sert en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
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Sers | |||||
L'église et le château. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Roland Veaux 2020-2026 |
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Code postal | 16410 | ||||
Code commune | 16368 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Sersois | ||||
Population municipale |
879 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 62 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 35′ 53″ nord, 0° 19′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 82 m Max. 220 m |
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Superficie | 14,17 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Boëme-Échelle | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation et accès
Sers est une commune du pays d'Horte et Tardoire située à 14 km au sud-est d'Angoulême, dont elle fait partie de l'aire urbaine.
Le bourg de Sers est aussi à 6 km au nord-est de Dignac, 6 km au sud-est de Sainte-Catherine, 13 km au nord de Villebois-Lavalette, le chef-lieu de son canton, 16 km au sud-ouest de Montbron et 16 km au sud de La Rochefoucauld[2].
La commune de Sers est comprise entre la D 4, route d'Angoulême à Nontron, qui passe à 2,5 km au nord, et la D 939, route d'Angoulême à Périgueux, qui passe 4 km à l'ouest, routes qui se rejoignent près de Sainte-Catherine. La route principale de la commune est la D 25, de Charras à Angoulême, qui dessert le bourg et rejoint la D 4 au nord-ouest, ainsi que transversalement la D 73 entre Vouzan et Dignac. La D 87 traverse l'ouest de la commune à 2 km du bourg et longe la vallée de l'Échelle[3].
Hameaux et lieux-dits
Les principaux hameaux sont : Jean de Sers au nord-est du bourg, Roches au sud-ouest, dominant la vallée de l'Échelle et au sud du Logis de Nanteuil, le Coussadeau plus au sud, Charbontière à la sortie de la commune en direction de Rougnac, etc.[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est située dans le calcaire du Bassin aquitain qui occupe les trois quarts ouest de la Charente, qui date ici principalement du Crétacé.
Le Jurassique, qui occupe la moitié nord du département, apparaît sur une petite zone de la vallée de l'Échelle à l'extrême nord de la commune, sous la forme du Jurassique supérieur (Oxfordien et Kimméridgien).
Le calcaire crétacé s'étage entre le Cénomanien au nord dans les parties basses, puis l'Angoumien (dit aussi Turonien) qui occupe la grande partie de la commune, et enfin le Coniacien et Santonien dans une minuscule partie sud.
L'Angoumien forme une cuesta regardant vers le nord, entre le logis de Nanteuil, le bourg et Jean de Sers, escarpement qu'on retrouve entre Grassac et le plateau d'Angoulême, limitant la zone crétacée de la moitié sud de la Charente.
Ce plateau est toutefois recouvert par endroits de dépôts du Tertiaire, sous forme de sable argileux, galets quartzeux, silex. Ces zones pauvres, situées en hauteur et souvent boisées (pin maritime et châtaignier), sont appelées localement landes ou brandes. Sur la commune, cela concerne la bordure orientale et les sommets au sud (à plus de 170 m d'altitude)[4],[5],[6].
Sers est à la lisière de la forêt d'Horte au sud. Le relief de la commune est celui de collines boisées et assez élevées, d'une altitude moyenne de 150 m. La vallée de l'Échelle et ses vallées affluentes creusent assez profondément ce plateau. Le point culminant de la commune est à une altitude de 220 m, situé en limite sud près de Beaulieu, mais les hauteurs dépassant les 170 m sont réparties sur toute la surface communale. Le point le plus bas est à 82 m, situé sur l'Échelle au moulin de Baillarge. Le bourg est à environ 160 m d'altitude[3].
Hydrographie
Le bourg de Sers est situé sur une hauteur, à l'est de la vallée de l'Échelle, affluent principal de la Touvre, qui traverse la commune et qui prend sa source près du bourg de Dignac.
Dû au relief assez prononcé, quelques ruisseaux dont certains sont permanents affluent vers l'Échelle : le ruisseau de Bellevau en rive gauche, et les ruisseaux du Roc et de Charbontière au sud, en rive droite[3].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Sers est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57 %), prairies (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (8,5 %), terres arables (7,4 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes latinisées sont Sertorovilla en 852[13], Sertis villa en 923, Sers, Sertis en 1110[14], Sertis vers 1300[15].
L'origine du nom de Sers remonterait au nom commun latin serta signifiant « guirlandes, clôture »[13].
Limite dialectale
La commune est dans le domaine occitan (dialecte limousin), et marque la limite avec la langue d'oïl (domaine du saintongeais) à l'ouest[16]. Elle se nomme Sert en occitan[17].
Histoire
Le gisement préhistorique du lieu-dit le Roc, plus connu sous le nom de Roc de Sers, situé en amont de la vallée de l'Échelle et dans une propriété privée, date du Paléolithique supérieur. Il montre l'ancienneté de l'occupation humaine[18].
Des vestiges antiques à la Prise de Vars, en bas de Jean de Sers, correspondraient à une villa romaine des IIe et IVe siècles, avec peut-être un mausolée circulaire à proximité. Un site à tegulae a aussi été trouvé à la Conche. Toutes ces découvertes sont probablement liées à une voie antique appelée chemin de la Chaussée, ancienne voie romaine de Périgueux à Poitiers par Montignac et Mansle, limitant la commune à l'est.
La chapelle troglodytique de Bellevau pourrait être un ermitage mérovingien contemporain de celui de saint Cybard d'Angoulême[19]. Par la suite, sous l'Ancien Régime et encore au XXe siècle, la fontaine de ce lieu, dite Fontaine miraculeuse[3], était supposée guérir les enfants malades et on y venait en dévotion, parfois même depuis le Limousin et le Périgord voisins.
Le château situé à côté de l'église était au Moyen Âge le siège d'une seigneurie, qui dépendait de l'évêché d'Angoulême et de la baronnie de Marthon. Les anciens seigneurs de Sers sont connus depuis le XIIIe siècle, comme Élie Arnauld et Pierre Arnauld de Sers.
Au XVe siècle, Sers était possédé par la famille de La Tour, puis passa par mariage et héritage à Jean de Montalembert, qui devint seigneur de Sers, à condition que son premier-né prendrait le nom et les armes des de La Tour. Vers la fin du XVIIe siècle, Sers passa par mariage d'Anne de Montalembert à François Des Bordes, écuyer, seigneur de Gensac (ou Jansac[Note 3]), dont hérita plus tard son arrière-neveu, François du Chasteigner de La Rochepozay.
Dominant la vallée, le château de Nanteuil était aussi le siège d'une importante seigneurie, qui comme celle de Sers, relevait pour moitié de l'évêché d'Angoulême et de l'autre de la baronnie de Marthon. Elle appartenait entre le XVe et XVIIIe siècles à la famille de La Garde. Peu avant la Révolution, François Desbordes, déjà possesseur de la seigneurie de Sers, acquit ce domaine, vendu par les frères Cazeau, ruinés, qui en avaient hérité.
Dans les premières années du XVIe siècle, en 1514, une forge importante avait été établie à Planche Meunier par Vincent Hastelet, écuyer, seigneur de Limérac. Elle fut une des plus florissantes de l'Angoumois. Au début du XVIIIe siècle, elle devint la propriété de Pierre Dereix, qui la posséda jusqu'à sa mort en 1762. Son fils Jacques, criblé de dettes, ne put en continuer l'exploitation[20]. L'activité canons a continué pour la fonderie de Ruelle jusqu'au début du XIXe siècle et ensuite une minoterie a été construite. Elle a cessé son activité[21].
La laiterie et fromagerie construite en 1896 à la place d'un ancien moulin à blé a fermé en 1990. Elle appartenait au groupe Lescure, de la laiterie de Claix[22].
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne d'Angoulême à Ribérac et Périgueux qui passait dans la vallée de l'Échelle. La gare était située à Planche Meunier et desservait aussi Dignac.
À cette même époque, d'importantes foires se tenaient au bourg le 26 de chaque mois, dont témoigne encore la place[20].
Administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2018, la commune comptait 879 habitants[Note 4], en augmentation de 6,8 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 50,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,8 %, 15 à 29 ans = 13,1 %, 30 à 44 ans = 21,1 %, 45 à 59 ans = 25,4 %, plus de 60 ans = 21,6 %) ;
- 49,5 % de femmes (0 à 14 ans = 17,1 %, 15 à 29 ans = 12,1 %, 30 à 44 ans = 22,8 %, 45 à 59 ans = 25,2 %, plus de 60 ans = 22,9 %).
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (26,6 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,5 % contre 48,4 % au niveau national et 48,5 % au niveau départemental).
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[30].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Sers et Vouzan. Sers accueille l'école primaire et Vouzan l'école élémentaire. L'école de Sers, située au bourg, comprend deux classes de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Villebois-Lavalette[31].
Autres services
Sers possède une poste, installée dans l'ancien presbytère.
Lieux et monuments
Église Saint-Pierre
L'église paroissiale Saint-Pierre du XIIe siècle a été classée monument historique le [32].
- Le clocher et l'abside.
- L'entrée.
- L'intérieur.
Ermitage de Bellevau
L'ermitage de Bellevau situé près de la vallée de l'Échelle et à la lisière de la forêt de Dirac possède une fontaine miraculeuse. Dédié à Marie, il a eu une grande affluence jusqu'au début du XXe siècle chaque été, le , depuis la Charente et le Limousin. On peut aussi y trouver des traces d'habitat creusé en partie dans la falaise (niches, silos, cheminée, fenêtre...)[33],[34],[35].
Château de Sers
Le château, situé derrière l'église, est d'origine féodale et a appartenu aux Latour de Montalembert. Il a été remanié au XVIIIe siècle[36]. On note la présence d'une remarquable fenêtre du XVe siècle surmontée d'un blason aux armes des Latour. Il accueille actuellement des chambres d'hôtes.
Logis de Nanteuil
Haut perché sur un rocher dominant la vallée de l'Échelle, le logis de Nanteuil d'origine médiévale possède une salle basse, salle voûtée intérieure au sous-sol de sa partie occidentale qui remonterait au XIVe siècle. Le logis est couronné d'un crénelage du XVIe siècle. Le logis, y compris la salle basse et la fuie (pigeonnier) au sud du château ont été inscrits monuments historiques le [37].
Roc de Sers
Le gisement préhistorique du Roc de Sers est situé dans la vallée de l'Échelle, à 2 km au sud du bourg. Il est classé monument historique depuis 1979 [38].
Ancienne forge de Planche Meunier
Le haut fourneau et la grosse forge à canons situé à Planche Meunier ont été construits en 1514. Le logement patronal en moellon, à façade ordonnancée avec un étage et une couverture de tuiles plates est daté de 1713. L'actuelle grange, en moellon à couverture de tuile creuse, ancien atelier ou halle à charbon, date de vers 1760[21].
- Logis de Nanteuil.
- Maison, au bourg.
- Château de Sers.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Gensac, Roissac et Marville étaient en Saintonge.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 655.
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 26-29,124
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 168,170,174,184
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
- (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
- « Gisement préhistorique », notice no PA00104515, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 211
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 377-378
- « Planche Meunier », notice no IA00066404, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Laiterie », notice no IA00066403, base Mérimée, ministère français de la Culture
- https://reader.cafeyn.co/fr/1980733/21598706<
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Sers en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
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- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Église Saint-Pierre », notice no PA00104514, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Arts et traditions populaires, Volume 16, Société d'ethnographie franc̜aise (Presses universitaires de France, 1968), p.135-140
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 253
- L'eau et le sacré: les cultes thérapeutiques autour des fontaines en France ... Par Brigitte Caulier (Presses Université Laval, 1990, 176 p.), (ISBN 2-763772-331) p.51
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 740-741
- « Logis de Nanteuil », notice no PA16000009, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Roc de Sers », notice no PA00104515, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Catillus Carol, « Sers », (consulté le )
- Amigos del Románico, fiche descriptive de l'église romane Saint-Pierre
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