Montignac-Charente

Montignac-Charente est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Montignac.

Cet article concerne Montignac au nord d'Angoulême. Pour l'autre commune du même nom dans le département, voir Montignac-le-Coq.

Montignac-Charente

Les toits du bourg vus du château.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
James Chabauty
2020-2026
Code postal 16330
Code commune 16226
Démographie
Gentilé Montignacais
Population
municipale
723 hab. (2018 )
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 03″ nord, 0° 07′ 32″ est
Altitude Min. 39 m
Max. 90 m
Superficie 8,63 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Montignac-Charente
Géolocalisation sur la carte : Charente
Montignac-Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Montignac-Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Montignac-Charente

    Ses habitants sont les Montignacais et les Montignacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Montignac vue depuis le château.

    La commune de Montignac est située à 15 km au nord d'Angoulême, le long de la Charente.

    Le bourg de Montignac, construit sur la rive gauche du fleuve, est aussi à km de Saint-Amant-de-Boixe, le chef-lieu de son canton, km de Vars, 11 km de Mansle, 15 km de Rouillac et d'Aigre[2].

    La route principale est la D 737, route secondaire reliant Angoulême à Niort par Aigre. Elle traverse le bourg en longeant la Charente. Le bourg est aussi situé au carrefour de la D 15, route qui, au sud-ouest, franchit la Charente et rattrape la D 11 qui va en direction de Rouillac par Saint-Genis-d'Hiersac, et au nord-est vers Saint-Amant-de-Boixe et Mansle par la D 18[3].

    Hameaux et lieux-dits

    Quelques hameaux importants occupent la commune : à l'ouest le Tapis sur la rive gauche de la Charente et Chebrac sur la rive droite. D'autres hameaux moins importants longent la vallée : Chardonneau, les Boiteaux, Lugérat, le Peu, les Avenaux, le Pont de Lachenaud.

    Le bourg de Montignac est situé en limite nord de commune et touche la commune voisine de Saint-Amant-de-Boixe.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Montignac
    Vouharte Saint-Amant-de-Boixe
    Saint-Genis-d'Hiersac
    Marsac Vars

    Géologie et relief

    Géologiquement, la commune se trouve dans le calcaire du Bassin aquitain, datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien). Au nord du bourg, la petite falaise surplombant la Charente est constituée de grèze de l'époque quaternaire, et le lit du fleuve d'alluvions constitués de sable, argile et tourbe, qui se sont déposés successivement pendant le quaternaire, principalement sur les rives convexes des méandres (ouest et sud-est de la commune)[4],[5],[6].

    Le bourg de Montignac est construit au pied d'un plateau calcaire dominant la vallée et le reste de la commune, presque entièrement compris dans la vallée de la Charente. L'altitude de la commune est comprise entre 39 m, au bord de la Charente au sud, et 90 m au nord-ouest du bourg sur la rive concave[3].

    Hydrographie

    Le bourg de Montignac est situé sur la rive gauche de la Charente en amont d'Angoulême, sur la rive concave et dans l'axe d'un de ses méandres. La commune occupe une partie de ce méandre.

    Sur la rive gauche, d'amont en aval, on peut citer trois petits ruisseaux affluents du fleuve : le ruisseau des Sept Fonts qui limite la commune à l'ouest, près de l'hippodrome, le Javart qui passe au bourg et qui descend de Saint-Amant, et le Nitrat qui fait la limite au sud-est[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Montignac-Charente est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,7 %), prairies (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), forêts (7,1 %), zones urbanisées (5,8 %), cultures permanentes (4,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Montiniacum en 1212, Montinhiaco, Montinhacum en 1405, Montignaco[13].

    L'origine du nom de Montignac remonterait à un nom de personne gallo-romain Montinius, dérivé de Montinus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Montiniacum, « domaine de Montinius »[14],[Note 3].

    Histoire

    À l'époque romaine, Montignac était déjà un carrefour de deux voies romaines, la voie d'Agrippa de Saintes à Lyon, est-ouest, qui traversait la Charente par un pont de bois appelé pont Rouge situé en aval du pont actuel, et la voie de Périgueux à Rom et Poitiers, nord-sud, appelé la Chaussade[15].

    Montignac comme Marcillac fait partie du domaine des comtes d'Angoulême. Ils y construisirent d'abord un fort, puis commencèrent avant le IXe siècle les travaux d'un gigantesque retranchement pour s'opposer à l'invasion normande appelé encore aujourd'hui Fossé au Comte jusqu'à Vibrac par Douzat. Celui-ci s'étend sur une vingtaine de kilomètres et coupe la grande boucle que fait la Charente par Angoulême[16],[17],[18],[19].

    Au début du XIe siècle, Guillaume II Taillefer obtient l'autorisation de l'évêque d'Angoulême de fortifier le château à partir des matériaux du tout proche castrum d'Andone qu'il possédait à Villejoubert.

    Dans les premières années du XIIe siècle, le château n'appartenait plus que pour un quart au comte d'Angoulême, et Vulgrin II avec l'aide du duc d'Aquitaine, et de seigneurs voisins de la Saintonge et du Poitou, dut y mettre le siège, le commandant de la place Gérard de Blaye refusant de s'en dessaisir. Finalement Vulgrin s'y établit et en fit hommage à Girard II, évêque d'Angoulême.

    En 1220, comme tout l'Angoumois, le château passa des Taillefer aux Lusignan par mariage d'Isabelle d'Angoulême, ex-reine d'Angleterre, avec Hugues X de Lusignan.

    En 1243, son quatrième fils, Guillaume de Valence, hérita de Montignac. Mais il devint comte de Pembroke et résida moins souvent en France. Il acquit aussi la châtellenie de Neuvicq. Montignac passa à ses descendants, Guillaume, puis Aymar, mort en 1324. En 1350, Pierre II d'Amboise, vicomte de Thouars, en était le propriétaire. Il passa ensuite dans la maison des La Rochefoucauld en 1399, qui le gardèrent jusqu'à la Révolution[16].

    Pendant le Moyen Âge, Montignac était sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait en Charente par Nanteuil-en-Vallée, Tusson, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Puypéroux, Aubeterre[20].

    Lors de la guerre de Cent Ans, Montignac eut à souffrir de nombreux dégâts, la place forte étant convoitée par les deux camps, et les fortifications étaient négligées. La paix revenue, Montignac perdit de son importance.

    À partir du XVe siècle, la châtellenie est érigée en baronnie.

    Les foires sont anciennes et se tiennent au bourg de Montignac le 6 de chaque mois. Elles datent du règne de Charles VI, qui accorda à Guy de La Rochefoucauld, seigneur de Montignac, en échange de ses nombreux services, la création de quatre foires annuelles. Plus tard, elles furent portées à dix, puis une chaque mois.

    Un prieuré Saint-Étienne dépendant de la toute proche abbaye de Saint-Amant-de-Boixe est fusionné avec l'église actuelle en 1760 pour ne former qu'une paroisse. On peut encore en voir quelques restes à l'est du bourg près du cimetière.

    De la fin du XIXe au XXe siècle, la commune était desservie par la petite gare de Vars, sur la ligne Paris-Bordeaux[16].

    Héraldique

    Blasonnement :
    1 : Trois écus : losangé d’or et de gueules 2 : burelé d’argent et d’azur de dix pièces aux trois chevrons de gueules brochant sur le tout, le premier écimé 3 : burelé d’argent et d’azur de dix pièces[21].

    Politique et administration

    La mairie.

    La commune, créée sous le nom de Montignac est devenue Montignac-Charente en 1801[22]

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1928 1983 René Gounin[23] Socialiste (avant la guerre) Instituteur
    1983 1995 Jean Raffin   Entrepreneur
    1995 2014 Claude Villéger DVG Artisan retraité
    2014 En cours James Chabauty SE Retraité

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

    En 2018, la commune comptait 723 habitants[Note 4], en augmentation de 2,41 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    482520531563693642702730690
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    816733732773785778733629613
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    554553441502518597529554568
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    608709772709701750715717723
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Montignac-Charente en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    2,1 
    9,5 
    75 à 89 ans
    12,8 
    18,8 
    60 à 74 ans
    17,2 
    22,6 
    45 à 59 ans
    21,4 
    16,1 
    30 à 44 ans
    18,0 
    15,0 
    15 à 29 ans
    12,3 
    17,4 
    0 à 14 ans
    16,2 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[28].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    Montignac absorbe Chebrac en 1931[22].

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[29].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Marsac et Montignac. Marsac accueille l'école maternelle et Montignac l'école élémentaire, avec deux classes. Le secteur du collège est Saint-Amant-de-Boixe[30].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • La cloche de l'église paroissiale Notre-Dame en bronze de 200 kg date de 1666. Elle est gravée « SANCTA+MARIA+ORA+PRO+NOBIS+ME+FRANÇOIS CAZIER+PRETRE+CURE+DE L'EGLISE+DE+NOSTRE+DAME+DE+MONTIGNAC+CHARANTE+PARRIN+TRES+HAUT+TRES PUISSANT+ET+TRES ILLUSTRE+MESSIRE CHARLES+DUC DE LA ROCHEFOUCAULD+PAIR+DE+FRANCE+MARRINE+TRES HAUTE+ET+TRES PUISSANTE DAME AGNES+DUPLESSIS+DE+LEANCOURT+PRINCESSE+DE+MARSILLAC FABRICEURS+MES+CHARLES+THINON+ET PIERRE+PAPPOT P.CHARPENTIER M'A FONDU EN 1666 ». Elle est classée monument historique au titre objet depuis 1944[31].

    Patrimoine civil

    • Le donjon du XIIe siècle avec ses tours portières du XIIIe siècle sont les vestiges du château; ils ont été inscrits monuments historiques en 1962[32].
    • Le logis de Lugérat, situé sur la rive gauche de la Charente en amont de Montignac, date du XVIe siècle et a été remanié au XVIIIe siècle. Le corps de logis est accolé de deux tours cylindriques et d'une tour polygonale[33].

    Patrimoine environnemental

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. En Charente, il y a aussi Montignac-le-Coq, et Montigné au nord de la ligne des noms en -ac / -é,-ey,-ay,-y qui coupe la France d'est en ouest.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 30,90,108,112,263
    14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 477.
    15. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 190-191
    16. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 247
    17. François Marvaud, Étude historique sur l'Angoumois, Cognasse, (lire en ligne), p. 48
    18. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 156
    19. François Corlieu, Recueil en forme d'histoire, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 81 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 6
    20. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
    21. Jean-Paul de Gassowski, « OLDJP - La banque du blason 2 », (consulté le )
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Sénateur René Gounin »
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Evolution et structure de la population à Montignac-Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    28. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    29. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    30. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    31. « Cloche de l'église », notice no PM16000196, base Palissy, ministère français de la Culture
    32. « Le château de Montignac », notice no PA00104430, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Lydie Foulon, Belles demeures de la Charente, éditions Patrimoine et médias, , 69 p. (ISBN 2-910137-13-9), p. 15-16
    34. « Hippodrome René-Gounin de Montignac-Charente », Les Courses Hippiques, (consulté le )
    35. Natura 2000 : Fiche du site FR5412006 (vallée de la Charente en amont d'Angoulême)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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