Châteaubernard

Châteaubernard est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente dans la banlieue sud de Cognac, en région Nouvelle-Aquitaine.

Châteaubernard

Mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Pierre Yves Briand
2020-2026
Code postal 16100
Code commune 16089
Démographie
Gentilé Castelbernardins
Population
municipale
3 738 hab. (2018 )
Densité 281 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 24″ nord, 0° 18′ 47″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 53 m
Superficie 13,31 km2
Unité urbaine Cognac
(banlieue)
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Châteaubernard
Géolocalisation sur la carte : Charente
Châteaubernard
Géolocalisation sur la carte : France
Châteaubernard
Géolocalisation sur la carte : France
Châteaubernard
Liens
Site web www.ville-chateaubernard.fr

    Ses habitants sont les Castelbernardins[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Située à l'ouest du département de la Charente, la commune de Châteaubernard est une commune faisant partie de l'agglomération de Cognac au sud de celle-ci. Elle est aussi située à 37 km d'Angoulême[2].

    La commune est traversée par la route nationale 141, déviation de Cognac et maillon de la Route Centre-Europe Atlantique en direction d'Angoulême et Limoges à l'est, Saintes, La Rochelle et Royan à l'ouest. Elle est aussi traversée par la D 731 vers Archiac et Barbezieux en direction de Bordeaux, et la D 24 en direction de Segonzac. La D 149 contourne aussi Cognac par le sud et dessert le vieux bourg et l'aérodrome, et relie Châteaubernard à Merpins et la sortie est de Cognac[3].

    La ligne Angoulême - Saintes fait la limite nord de la commune avec Cognac, et la gare de Cognac est desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.

    Quartiers et hameaux

    L'aérodrome Cognac-Châteaubernard occupe une importante partie sud de la commune. La zone urbanisée prolonge le sud de l'agglomération cognaçaise, et les principaux quartiers sont, d'est en ouest : l'Échassier, la Cité de la Plante, le Fief du Roi, la zone industrielle, Beauregard, les Pierrières, les Quillettes, la Croix Landolle, le bourg, la Pierre Levée, la Cité de la Combe des Dames, Didezon, Tout-Blanc[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune occupe le calcaire datant du Crétacé, comme les zones situées au sud et sur la rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac.

    Le Turonien supérieur (appelé aussi Angoumien supérieur) constitue une falaise dominant la vallée de la Charente près de l'Échassier. Puis on trouve le Coniacien, au sommet, sur toute la zone au nord de la route d'Angoulême.

    Tout le reste de la commune est constitué de Santonien qui forme une plaine basse, qui s'étend entre la vallée du à l'ouest et Saint-Même-les-Carrières à l'est, mais qui se prolonge en se rétrécissant et en s'élevant jusqu'au sud de Châteauneuf.

    La vallée de la Charente est couverte d'alluvions récentes du Quaternaire[4],[5],[6].

    Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement relevée au nord, d'une altitude moyenne de 30 m. Le point culminant est à une altitude de 53 m, situé au nord de la commune près du Bois du Breuil et du cimetière de l'Échassier. Le point le plus bas est à m, situé aussi au nord-est, mais le long de la Charente en limite de commune, où le rebord du plateau fait un à-pic de 45 m. Le vieux bourg est à 27 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    Châteaubernard est située sur la rive gauche de la Charente qui lui sert de limite au nord-est.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. La station météorologique départementale est située dans la commune.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Châteaubernard est une commune urbaine[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cognac, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[11] et 26 621 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (62,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (40,3 %), zones urbanisées (22,1 %), cultures permanentes (16 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %), terres arables (8,3 %), prairies (2,1 %), forêts (1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne est de Castro Bernadi (non daté)[17].

    L'origine du nom de Châteaubernard remonterait au latin castellum (château), diminutif de castrum qui signifie « place forte », et d'un nom de personne d'origine germanique Bernard, probablement le seigneur[18],[19].

    Histoire

    Des vestiges de constructions gallo-romaines près du site de la Pierre levée avec des fossés comblés au IIe siècle montrent l'ancienneté de l'occupation[20].

    L'histoire de Châteaubernard croise une très ancienne famille noble dont le nom est Bernard. Originaire de la région, elle est mentionnée dès 1070, avec Jean Bernard, suivi par Jacques Bernard en 1100 dont le fils Jehan Michel 1er Bernard est seigneur de Chasteau Bernard. Né en 1126 à Angoulême et mort en 1205, il était écuyer en 1146 et prit les armes en 1147 avant son départ pour la deuxième croisade. Son fils Jehan 1er est également seigneur de Chasteau Bernard, il est né à Angoulême en 1161. Vient ensuite Jehan II Bernard qui est né en 1189 à Cognac. Son fils Jehan III Bernard né en 1234 à Angoulême participera à la septième croisade qui a lieu entre 1248 et 1254. Vient ensuite Jehan Michel II Bernard qui naît en 1249, il est lui aussi seigneur de Chasteau Bernard. Son fils est né à Cognac en 1274, Jehan IV Bernard, seigneur de Chasteau Bernard, de la Mothe et de la Lande. Il est aussi échevin de Cognac. Vient ensuite Jehan Michel III Bernard, seigneur de Chasteau Bernard de la Mothe et de la Lande, il naît en 1304 à Cognac. Il donne un fils lui aussi, Pierre Jean Michel Bernard, seigneur de Chasteau Bernard de la Mothe et de la Lande qui est né en 1357 à Cognac. Il sera écuyer dans une compagnie d'hommes du connétable Bertrand du Guesclin en 1378, participera à une expédition contre Jean IV de Bretagne. Il réussira à prendre un étendard aux Anglais et obtiendra du roi Charles V le Sage la confirmation de ses armoiries : d'azur orle d'or à trois étoiles en chef, l'écu accoste de deux épées d'argent entrecroisées, à la poignée d'or, la pointe relevée.

    Tous ces détails prouvent que l'histoire de Châteaubernard est très anciennement et très fortement liée à cette famille Bernard et à Cognac[21],[22].

    De 1295 à 1789, Angles et Châteaubernard restèrent unis. Le les représentants de Châteaubernard et d'Angles à l'assemblée préliminaire des états généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont l'avocat Isaac Chauvin, J. Blais et J. Bienassis[23].

    La commune de Châteaubernard a été créée en 1793, dans le canton et dans le district de Cognac, dans le département de la Charente. Pendant la Révolution, elle s'est appelée provisoirement Bernard-Champagne ou Bernard-de-Champagne[24].

    En 1801 elle existe toujours dans le canton et dans l'arrondissement de Cognac mais en 1847 elle est réunie à Saint-Martin et disparaît pour être recréée en 1867. Depuis 1973 elle fait partie du canton de Cognac-Sud[25].

    Au début du XXe siècle, une spécialité de Châteaubernard était la fabrication de caillebottes au lait de brebis[26].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Les Templiers furent les premiers seigneurs de Châteaubernard, puis ce furent les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem du grand prieuré d'Aquitaine, avant que la commanderie soit annexée à celle de Beauvais-sur-Matha[23],[26].

    L'église paroissiale est celle de la commanderie de Châteaubernard, avec la chapelle Saint-Jean de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem du XVe siècle.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? 1977 Raymond Buzin    
    1977 2001 Marcel Trufflandier    
    2001 2008 Jean-Claude Fayemendie DVG Retraité de l'État
    mars 2008 2014 Daniel Boyer MoDem Médecin
    mars 2014 En cours Pierre-Yves Briand[27] MoDem Retraité de la DDE
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 12,54 % sur le bâti, 36,83 % sur le non bâti, et 5,77 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[28].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2018, la commune comptait 3 738 habitants[Note 3], en augmentation de 3,69 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1872 1876 1881
    252264250261305314898982914
    1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
    1 0231 1401 2801 4081 4631 4621 4151 4371 451
    1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
    1 3831 9152 8693 4593 4863 8523 9573 7693 532
    2006 2007 2008 2013 2018 - - - -
    3 8693 8843 8993 6053 738----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Châteaubernard en 2007 en pourcentage[32].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,8 
    9,3 
    75 à 89 ans
    13,5 
    17,6 
    60 à 74 ans
    18,6 
    20,3 
    45 à 59 ans
    23,5 
    17,8 
    30 à 44 ans
    17,5 
    18,8 
    15 à 29 ans
    12,9 
    15,7 
    0 à 14 ans
    13,2 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[33].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    En 1791 elle est notée avoir 250 habitants[23].

    En 1847 Châteaubernard est absorbée par Saint-Martin puis recréée en 1867[25].

    Châteaubernard comporte 1 528 logements dont 1 437 résidences principales et seulement 14 résidences secondaires 12 logements occasionnels et 65 logements vacants. Ce sont pour 1 412 soit 92,4 % des logements individuels.

    Ce sont pour la région des logements récents avec seulement 303 logements soit 21,1 % construits avant 1949, alors que 572 logements soit 39,8 % ont été construits de 1949 à 1974, 461 logements 32,1 % de 1975 à 1989 et 101 logements de 1990 à 1999.

    Économie

    Agriculture

    La viticulture reste une activité importante de Châteaubernard, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[34].

    De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de Pays charentais sont installés dans la commune.

    Industries et commerces

    Base aérienne 709 Cognac-Châteaubernard.
    • La base aérienne 709 Cognac-Châteaubernard se trouve sur la commune.
    • Usine et siège de la société Grégoire, leader mondial des machines à vendanger.
    • Usine Saint-Gobain (devenue Verallia) au cœur d'une vaste zone industrielle.
    • Deux importantes zones commerciales : le Fief du Roy accueillant un hypermarché et de nombreuses enseignes nationales, et le Mas de la Cour, en cours d'aménagement dans le prolongement de la précédente, qui font de Châteaubernard le plus grand parc commercial de l'agglomération cognaçaise.

    Équipements et services

    Transports urbains

    Les transports publics sont intercommunaux et assurés par Transcom, filiale de Véolia.

    Néanmoins, les tournées sont peu fréquentes et très limitées.

    Enseignement

    Châteaubernard possède deux écoles maternelles, le Petit-Prince et la Combe-des-Dames, et deux écoles élémentaires, Jules-Vallès et Pablo-Picasso.

    Le secteur du collège et lycée est Cognac[35].

    Santé

    Il y a deux pharmacies, deux médecins généralistes, un kinésithérapeute et deux dentistes en 2008.

    La clinique, neuve, s'est installée à Châteaubernard et l'hôpital public a quitté Cognac pour Châteaubernard en 2013. Le permis de construire a été instruit par la mairie et par la DDE, et signé en janvier 2007 par le maire Jean-Claude Fayemendie après de fermes négociations auprès des services de l'État, concernant les infrastructures et la sécurité des accès au nouveau pôle hospitalier, dont la construction débutera en 2010.

    Culture locale et patrimoine

    Culture

    Bibliothèque-Médiathèque

    Le fonctionnement général en Médiathèque avec accès au multimédia a été installé entre 2001 et 2002.

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale est celle de la commanderie de Châteaubernard, avec la chapelle Saint-Jean de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem du XVe siècle, l'édifice a été entièrement restauré en partenariat entre la ville de Châteaubernard et la communauté de communes de Cognac entre 2001 et 2008.

    Patrimoine civil

    • Dolmen rue de la Pierre levée
    • Four communal XVIIIe siècle, entièrement restauré entre 2001 et 2008.
    • Fontaine de l'Echassier XVIIIe siècle, entièrement restauré entre 2001 et 2008.

    Patrimoine environnemental

    Le fleuve Charente est zone Natura 2000 avec des espèces remarquables présentes.

    Jumelages

    Héraldique

    Blasonnement :
    De gueules à un château d'or posé sur une champagne de sinople, la terrasse chargée d'une croix de Malte d'argent.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper, de mairie à mairie
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Cognac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 339
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 178.
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 228
    21. Paul Daeleman, « Pierre Jean Michel Bernard », sur gw.geneanet.org (consulté le )
    22. « Quelques illustrations de la lignée des Bernard », (consulté le )
    23. Histoire de Cognac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    24. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 120-121
    27. « Châteaubernard : Pierre-Yves Briand dans la continuité de Daniel Boyer », sur charentelibre.fr, (consulté le ).
    28. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Evolution et structure de la population à Châteaubernard en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    33. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    34. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    35. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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