Merpins
Merpins est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Merpins | |||||
Mairie de Merpins. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
Didier Gallau 2020-2026 |
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Code postal | 16100 | ||||
Code commune | 16217 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Merpinois | ||||
Population municipale |
1 103 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 105 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 40′ 27″ nord, 0° 21′ 55″ ouest | ||||
Altitude | Min. 4 m Max. 33 m |
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Superficie | 10,46 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cognac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cognac-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation et accès
Merpins est une commune de l'Ouest du département de la Charente, limitrophe avec la Charente-Maritime, située sur la rive gauche de la Charente à 3,5 km au sud-ouest et en aval de Cognac dont elle prolonge l'agglomération.
Merpins est aussi à 18 km de Pons, 23 km de Saintes et 40 km d'Angoulême[2].
Le bourg de Merpins jouxte la ville de Cognac le long de la D 732, qu'il faut continuer pour atteindre le vieux bourg de Merpins où la D 732 continue vers Pons et la D 144 permet de traverser le fleuve. La D 149 contournant l'agglomération cognaçaise par Châteaubernard et la D 47 en direction de Gimeux traversent aussi la commune et rejoignent la D 732. La D 147, qui emprunte l'ancienne voie romaine de Saintes à Périgueux, le chemin Boisné, limite la commune au sud[3].
La ligne Angoulême-Saintes traverse la commune, autrefois les trains s'arrêtaient à la halte de Merpins. Désormais la gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.
Hameaux et lieux-dits
Le bourg de Merpins s'étend le long de la route de Pons, et agglomère les lieux-dits la Vie et Montignac. La zone industrielle de Merpins occupe le sud-est de la commune.
Vieux Bourg, à l'ouest, est l'ancien village, qui comprend le château et l'église.
Plus au sud, la Frenade comprenait une ancienne abbaye cistercienne[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est située sur un bas plateau calcaire datant du Crétacé, qui appartient au Santonien et consiste en calcaires tendres et crayeux.
La vallée de la Charente, au nord de la commune, ainsi que la vallée du Né, à l'ouest, sont occupées par des alluvions modernes du Quaternaire. Des alluvions plus anciennes constituent une haute terrasse, épandage à gros galets, recouvrant le plateau surplombant la vallée entre Vieux-Bourg et la Vie[4],[5],[6],[7].
Le relief de la commune est celui d'une plaine légèrement inclinée vers le sud-est, d'une altitude moyenne de 20 m. Le sol de calcaires friables forme un plateau qui appartient à la région de la Grande Champagne et domine la vallée de la Charente. La combe de Chasserenard permet à la voie ferrée de descendre dans la vallée du Né pour la traverser.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 33 m, situé à 0,5 km à l'est du Vieux Bourg. Le plateau forme un promontoire entre les vallées de la Charente et du Né, sur lequel est édifié le Vieux Bourg, à 29 m d'altitude. Le point le plus bas est à 4 m, situé au confluent du Né et de la Charente[3].
Hydrographie
La commune est bordée par la Charente au nord et à l'ouest par le canal du Né, son affluent en rive gauche, qui marque la limite avec la Charente-Maritime.
La partie inondable de la vallée s'appelle la Prée. Le Charenton est un petit bras de la Charente qui passe le long du flanc de la vallée et délimite ainsi une grande île, l'île Marteau[3].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et Châteaubernard abrite la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Urbanisme
Typologie
Merpins est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cognac, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[12] et 26 621 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,4 %), cultures permanentes (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,6 %), forêts (10,4 %), zones urbanisées (8,7 %), prairies (2,9 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes sont Merpens vers 1081[18], Merpis en 1214, Melpino en 1216, Merpisio en 1234[19], Mirpinium[20].
L'origine du nom de Merpins est assez obscure. Elle remonterait au gaulois *Maropennos, « le grand promontoire », issu des mots maro-, grand, et penno-, tête[21],[22]. En effet Merpins est construit sur une colline avancée qui domine la Charente[23].
Histoire
La présence d'une nécropole à fossés circulaires aux Fontenelles atteste d'une occupation à la période protohistorique.
Un site de tegulæ été signalé à proximité du hameau de la Vie[24]. Il y avait donc une activité de fabrication de tuiles à l'époque romaine ou une villa romaine.
Le camp du Vieux-Merpins présente des vestiges d'habitat et de mobilier sur une période s'étendant du bronze final IIIb (IXe siècle av. J.-C.) au 1er âge du fer (Ve siècle av. J.-C.).
Le site, proche de la voie romaine de Saintes à Périgueux et du confluent du Né et de la Charente, figure parmi les lieux possibles pour la dénomination Condate le long de cette voie. Toutefois, les distances en lieues romanisées indiquées sur la carte de Peutinger sont incohérentes entre elles[Note 3].
Dans la Charente ont été trouvés des amphores, des tegulæ, des fragments de céramique. Merpins fut un port saunier gaulois puis romain.
Ce site, qui domine la Charente a été un oppidum protohistorique puis castrum qui a été pris par les Vikings lorsqu'ils ont remonté le fleuve en 850.
Vers l'an mil, un seigneur de la contrée, nommé Foulques, probablement parent des comtes d'Angoulême, fit construire l'église de Merpins qui devint le siège d'un important prieuré bénédictin. Ce prieuré avait droit de justice et percevait la dîme du sel sur toutes les gabares qui montaient à Cognac. Au début du XIIe siècle l'évêque de Saintes lui adjoignit l'église de Gimeux.
Devenue possession anglaise en 1152 avec toute l'Aquitaine, la seigneurie de Merpins est rendue à Hugues X de Lusignan, comte d'Angoulême, par le roi d'Angleterre Henri III, malgré l'opposition d'Itier II de Barbezieux qui prétendait avoir des droits antérieurs. Un compromis eut lieu en 1231 : Itier renonça à perpétuité à la seigneurie de Merpins, et de leur côté, Hugues de Lusignan et sa femme Isabelle lui cédèrent tous les droits féodaux sur les terres de Roissac, Marville et Gensac. À partir de cette époque, la seigneurie de Merpins fut rattachée à celle de Cognac.
Durant la guerre de Cent Ans le château fort qui contrôlait le passage vers Cognac a été l'objet de plusieurs sièges. Pris par Richard Cœur de Lion, réparé par Jean sans Terre (premier mari d'Isabelle), perdu par les Anglais puis repris en 1360 (traité de Brétigny) il est finalement assiégé puis détruit en 1387 par ordre du maréchal de Sancerre.
En 1421, les ruines furent vendues aux enchères et acquises par un habitant.
Lors des guerres de Religion, ce point stratégique fut tour à tour occupé par les catholiques et les protestants. Au début de 1577, les protestants s'y étaient installés mais furent délogés la même année par le duc de Mayenne. Au mois de janvier 1652 qui suivit la levée du siège de Cognac par le prince de Condé, le comte d'Harcourt défit, près de Merpins, 500 cavaliers de l'armée du prince. À partir de cette époque, Merpins ne joua plus aucun rôle militaire[25].
L'abbaye de la Frenade, fondée au XIIe siècle, eut aussi à souffrir de la guerre de Cent Ans et des guerres de Religion. Elle subsista jusqu'à la Révolution.
Les registres de l'état civil de Merpins remontent à 1623[25].
Le les représentants de Merpins à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont Guill. Frouin et Th. Mesnard[26].
Administration
Fiscalité
La fiscalité est d'un taux de 8,18 % sur le bâti, 33,91 % sur le non bâti, et 7,36 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).
La communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2018, la commune comptait 1 103 habitants[Note 4], en augmentation de 6,67 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
En 2008, Merpins comptait 1 028 habitants (soit une augmentation de 10 % par rapport à 1999). La commune occupait le 9 247e rang au niveau national, alors qu'elle était au 9 148e en 1999, et le 68e au niveau départemental sur 404 communes.
Le maximum de la population a été atteint en 2007 avec 1 039 habitants.
Pyramide des âges
Économie
Agriculture
La viticulture est une activité importante de Merpins, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[33].
De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de Pays charentais sont installés dans la commune.
Industries et commerces
Port saunier depuis les temps protohistoriques, Merpins a gardé au long des siècles une activité commerciale et industrielle.
L'entreprise Distillerie de la Tour engage en 2019 un investissement de 20 millions d'euros pour 20 000 m² de chais à Merpins qui permettra d'éviter une dispersion sur une quinzaine de sites[34].
Une des zones industrielles de la communauté d'agglomération du Grand Cognac se trouve sur la commune de Merpins.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Merpins possède une école primaire publique, Charles-Baudelaire, comprenant six classes : deux de maternelle et quatre d'élémentaire. Le secteur du collège est Cognac (Élisée-Mousnier)[35].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- Située au Vieux Bourg, l'église paroissiale a été donnée en 1030 à l'abbaye de Souvigny (Allier) qui fonda le prieuré Saint-Remi Saint-Alban dont il reste peu après une restauration en 1774 et une reconstruction au XIXe siècle[36].
- L'abbaye de la Frenade, fondée vers 1140 par l'abbaye de Cîteaux avec l'aide des seigneurs de Cognac. Elle est détruite lors des guerres de religion et il ne reste que le mur sud de la nef du XIIe siècle et la salle capitulaire du début du XVIe siècle[37]. Les vestiges sont classés monument historique depuis 1987[38].
- Salle capitulaire.
- Mur sud de la nef.
- Murs et puits.
- Porte.
Patrimoine civil
- Le château de Merpins est un château fort qui a été pris par les Normands en 850. Une tour date du Xe siècle et la muraille nord du XIIe siècle. Pris par Richard Cœur de Lion, il fut réparé par Jean sans Terre. Repris par le roi de France, il repasse aux Anglais en 1360 pour être assiégé puis détruit en 1387.
- Les ponts sur le Charenton, les maisons, les fermes, en particulier dans le vieux bourg de Merpins, forment un ensemble de bâti très ancien.
- Petit pont sur le Charenton.
- Autre petit pont au pied du château.
- La vue depuis le château.
Patrimoine environnemental
Le Charenton et la Charente avec leurs chemins sur berge (les anciens chemins de halage) forment un patrimoine remarquable. Dans cette zone humide et inondée régulièrement a été montrée la présence de la loutre et du vison d'Europe. Elle est dans la zone Natura 2000 de Charente aval[39].
Au niveau du seuil de Merpins, une passe à poisson est en construction (2009).
Sur l'île Marteau se trouve le forage qui alimente en eau potable Cognac et une grande partie des communes de la communauté d'agglomération du Grand Cognac.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Voir Voie romaine Saintes-Périgueux#Localisation de Condate.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Pons », sur Infoterre, (consulté le )
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Cognac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
- Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne), p. 205-208,254
- Cartulaire de Saintes
- Georges Dottin, La langue gauloise, , 381 p. (lire en ligne)
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 452b
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 230
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 238,239
- Histoire de Cognac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Merpins en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
- Frank Niedercorn, « Distillerie de la Tour concentre ses eaux-de-vie », Les Échos, (lire en ligne)
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Église de Merpins », notice no IA00059251, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Abbaye de la Frenade (notice) », notice no IA00059255, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Abbaye de la Frenade », notice no PA00104420, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Fiche Natura 2000
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Merpins », base Mérimée, ministère français de la Culture
- Catillus Carol, « Merpins », (consulté le )
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