Angeac-Champagne

Angeac-Champagne est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Angeac et Champagne.

Angeac-Champagne

Mairie d'Angeac-Champagne.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Lydie Blanc
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16012
Démographie
Gentilé Angeacais
Population
municipale
507 hab. (2018 )
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 36′ 30″ nord, 0° 17′ 47″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 84 m
Superficie 14,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Angeac-Champagne
Géolocalisation sur la carte : Charente
Angeac-Champagne
Géolocalisation sur la carte : France
Angeac-Champagne
Géolocalisation sur la carte : France
Angeac-Champagne
Liens
Site web 16012.campagnol.fr

    Elle est constituée des villages d'Angeac-Champagne et de Roissac. Ses habitants sont appelés les Angeacais et Angeacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Angeac-Champagne est une commune située à l'ouest du département de la Charente, proche de la Charente-Maritime, en Grande Champagne, premier cru du cognac.

    La commune est située à 10 km au sud de Cognac, km à l'ouest de Segonzac et à km à l'est de Salles-d'Angles. Angoulême, la préfecture charentaise, est à 35 km à l'est. Angeac est aussi à km au nord d'Archiac et 12 km de Jarnac, 19 km de Barbezieux[2].

    La commune est en dehors des grands axes de circulation. La D 731, route de Barbezieux à Cognac par Archiac, passe à l'ouest de la commune. Le bourg est desservi par la D 150 qui arrive de Saint-Fort-sur-le-Né et se dirige vers le nord-est, pour rattraper la D 44 de Juillac-le-Coq à Roissac en direction de Cognac et Gensac-la-Pallue. Une route vicinale mène du bourg à Salles-d'Angles, et une autre à Genté, vers le nord-ouest[3].

    La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER entre Angoulême, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    De nombreux hameaux parsèment la commune. En particulier, Roissac, situé au nord-est de la commune était une ancienne paroisse, et le village est aussi important que celui d'Angeac.

    Le Bois d'Angeac est situé à l'ouest de la commune, à km du bourg[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Comme toute cette partie rive gauche de la Charente entre Angoulême et Cognac, c'est une zone calcaire datant du Crétacé avec cuestas.

    La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente. On trouve le Santonien sur une petite bordure nord, aux Longées.

    La cuesta du Campanien traverse la commune. Cet escarpement, démarrant à l'ouest à Salles-d'Angles et passant au pied du bourg de Genté, traverse tout le département et va vers l'est en direction de Bouteville, Jurignac et Plassac-Rouffiac. Sur le territoire communal, cet escarpement pénètre à l'est en détachant une butte-témoin située au nord-est de Roissac. Il sépare au nord la plaine de Châteaubernard de la Champagne au sud[4],[5],[6].

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 84 m, situé au nord-ouest de Roissac. Un autre sommet de 83 m lui fait face, à l'est (borne IGN). Le point le plus bas est à 17 m, situé au Pas de la Tombe en limite sud-ouest de la commune près d'Angles. Le bourg s'étage entre 40 et 70 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    Gué de la Fontaine des Trois Pierres.

    Le ruisseau de la Motte, petit affluent du et donc sous-affluent de la Charente, limite la commune au sud. Aucun autre cours d'eau traverse la commune, mais de nombreux bassins sont à signaler dans une combe à l'ouest du bourg et qui descend de Roissac[3], ainsi que quelques fontaines dont celle des Trois Pierres à l'est du Bois d'Angeac (localisation à confirmer).

    Climat

    Le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Angeac-Champagne est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (57,9 %), terres arables (30,3 %), zones urbanisées (5 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), forêts (2 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Andiacum avant le VIIIe siècle[13], Angiaco en 1150[14],[15], Angeaco in Campania (à dater)[16].

    Angeac serait issu du latin Andiacum ou villa Andii ce qui signifie que le village aurait été construit autour de la propriété d'un riche gallo-romain nommé Andius[17]. Le terme Champagne a été rajouté au nom de la commune en 1801 pour la différencier de son homonyme Angeac-Charente. En Saintonge, le terme champagne désigne une plaine calcaire fertile. Il est issu du latin campus qui signifie champ ou plaine.

    Roissac serait issu du latin Riatacum ou villa Riatii ce qui signifie que le village aurait été construit autour de la propriété d'un riche gallo-romain nommé Riatus, avec le suffixe -acum indiquant le lieu[18].

    Histoire

    Des fossés protohistoriques circulaires existent aux lieux-dits Penchant de Lorimont et l'Houme, carrés et circulaires au lieu-dit les Chirons. Des villas romaines sont supposées au Puits d'Angeac, à la Chabanne et une demeure médiévale aux Branges[19].

    Les vestiges d'une villa gallo-romaine pouvant dater de la 1re moitié du IXe siècle ont été trouvés en 1904 au lieu-dit la Chabanne. Elle aurait été une résidence de Louis le Débonnaire[20],[19],[Note 3]. Ces vestiges ont disparu.

    Angeac, d'abord dépendance des Templiers, a dû être un poste militaire important. C'était une seigneurie qui dépendait du château de Bouteville. Elle passe ensuite au marquisat d'Archiac. Après la mort d'Aymar d'Archiac, elle demeure une terre indivise entre les seigneuries d'Archiac et d'Ambleville. Vers le milieu du XVIe siècle, elle passe en totalité à la seigneurie d'Ambleville à la suite du mariage de François de Jussac, seigneur d'Ambleville avec une demoiselle d'Archiac. Puis la terre d'Angeac, par ventes successives, devint la propriété de César Boscal de Réals, sieur de Mornac, puis de René de la Tour, seigneur de Saint-Fort, avant de passer par héritage à la famille Brémond d'Ars. En 1770, Angeac fut acquis par Jean Roy, ancien procureur du roi à Bouteville, et secrétaire du roi au parlement de Bordeaux.

    La famille Roy d'Angeac s'est alliée en 1755 à la famille Dupuy d'Angeac. En 1795, Jean et Léon Dupuy ont fondé, avec Jacques O'tard de la Grange, la maison de cognac O'tard, Dupuy et Cie[21].

    Au Moyen-Âge, Roissac appartenait aux comtes d'Angoulême. En 1231, à la suite d'une transaction entre Hugues de Lusignan et Itier II de Barbezieux, Roissac passe de la maison d'Angoulême à celle de Barbezieux.

    Dans la seconde moitié du XIVe siècle, faute de successeur mâle du côté d'Henri de Barbezieux, Roissac passe aux La Rochefoucauld en la personne de Geoffroi Ier (fils d'Agnès de Barbezieux et petit-fils d'Itier II).

    À la fin du XVe siècle, Roissac s'allia par mariage à Salles et Genté (famille de Mortimer). Les droits sur les marais entraînaient des rixes et des procès avec le seigneur de Gademoulin[21].

    La commune d'Angeac est créée en 1793, elle appartient alors au canton de Salles, au district de Cognac et au département de la Charente. En 1801 elle prend le nom d'Angeac-Champagne et se trouve rattachée au canton de Segonzac.

    La gare de Roissac sera desservie de 1910 à 1939 par les Chemins de fer économiques des Charentes, sur voie métrique, de Cognac à Barbezieux avec trois allers-retours par jour à la vitesse de 20 km/h. Cette ligne desservait aussi les gares de Cognac, Genté, Segonzac, Juillac-le-Coq, Saint-Fort-sur-le-Né, Archiac et Barbezieux.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à l'écusson d’or.
    Commentaires : Blason d’Angeac-Champagne.

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988  ? Rémy Piron    
    2001 2008 Bernadette Jullien    
    2008 2020 Gérard Faurie SE Juriste
    2020 En cours Lydie Blanc    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2018, la commune comptait 507 habitants[Note 4], en diminution de 0,39 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    315319293279300396400409429
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    887912878845666634606607594
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    589606528523508504493493498
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    489470439473479497499502509
    2018 - - - - - - - -
    507--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Angeac-Champagne en 2007 en pourcentage[26].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90  ans ou +
    0,4 
    8,0 
    75 à 89 ans
    9,7 
    13,7 
    60 à 74 ans
    11,8 
    24,4 
    45 à 59 ans
    24,9 
    20,2 
    30 à 44 ans
    21,5 
    11,5 
    15 à 29 ans
    14,8 
    21,4 
    0 à 14 ans
    16,9 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[27].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture est une activité importante d'Angeac-Champagne, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[28].

    De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de Pays charentais sont installés dans la commune.

    Distillateurs

    La commune d'Angeac-Champagne comporte l'une des plus importantes concentration de distilleries de la région d'appellation du Cognac avec ses quatre bouilleurs de profession et près de 100 chaudières installées sur la commune[29]. La Distillerie Michel Boinaud est la plus importante distillerie de la commune mais aussi de la région avec ses 41 alambics charentais traditionnels[30].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Angeac-Champagne et Salles-d'Angles. Angeac-Champagne accueille l'école maternelle et Salles-d'Angles l'école élémentaire[31].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Vivien.

    L'église paroissiale Saint-Vivien a été construite au XIe siècle puis reconstruite en partie en 1534 et réparée vers 1748 aux frais du curé, Jean Marcus[réf. nécessaire], et enfin revoûtée en 1875. Elle est en forme de croix latine à un vaisseau, couverte en voûte d'ogives[32].

    Patrimoine civil

    Il existe un souterrain-refuge datant de l'antiquité dont un escalier a été recensé ; mais sa localisation reste inconnue[33].

    Fontaine François-1er à Roissac.

    L'ensemble fontaine, lavoir, abreuvoirs de Roissac figurait déjà sur le cadastre de 1850[34]. Elle est liée à François Ier qui se serait rendu au château de Roissac pour des rendez-vous de chasse.

    Un moulin à vent se trouve à la Millière et un moulin à eau, en ruine, à la Motte, collé à celui de Saint-Fort-sur-le-Né[35].

    Le logis d'Angeac est un manoir qui daterait en partie du XVIe siècle et quand René de la Tour l'achète en 1657 le logis était au nord. Des dépendances portent la date de 1733. Un autre logis a été construit à l'ouest et remanié au XIXe siècle ainsi que des dépendances au sud. Le portail d'entrée porte la date de 1882[36].

    Le manoir de Lorimont qui selon certains érudits (dont Martin Civat) existait déjà au XVIe siècle a été reconstruit au XIXe siècle, et porte l'inscription « Fait en 1831. Chaillou Paul »[37].

    Le château de Roissac.

    Le château de Roissac porte la date de 1830, mais ce serait un château construit au Moyen Âge pour les La Rochefoucauld, à l'emplacement d'une villa gallo-romaine. Le château actuel aurait été bâti pour les Beauchamp vers 1770 et la date de 1830 accompagnée des initiales I.P. correspond à des remaniements des dépendances[38]. Il présente des décors et en particulier dans le salon, des lambris ornés de toiles peintes avec oiseaux, fleurs, fruits, paysages, scène avec un semeur, Moïse et les tables de la Loi. Il a été inscrit comme monument historique le [39].

    La mairie a été construite en 1897 et 1898 sur les plans de l'architecte de Cognac Lucien Roy, par Locussol entrepreneur à Cognac[35].

    Il a été recensé trois fermes datant du XVIIe siècle, dix datant du XVIIIe siècle, et vingt-trois du XIXe siècle. Elles comportent des dépendances puits, lavoirs, distilleries[35].

    Le monument aux morts.

    Le monument aux morts de la guerre 1914-18 date de 1920[35].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Sa résidence Andiacum avait d'abord été supposée à Angeac-Charente. Mais en 1904, ces découvertes ont affermi l'hypothèse d'Angeac-Champagne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
    14. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 172
    15. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. XIII
    16. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 334
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 18.
    18. Jean-Marie Cassagne et Stéphane Seguin, Origine des noms de villes et villages de Charente, Jean-Michel Bordessoules, , 311 p. (ISBN 978-2-913471-06-1), p. 14 et 229
    19. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 200-201
    20. A. Favraud, Une villa à Angeac-Champagne, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, annexe X, , p. CX-CXIII [Lire en ligne [PDF] Site d'André Balout]
    21. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 42-43
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Evolution et structure de la population à Angeac-Champagne en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    27. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    28. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    29. « L’alambic y est roi », sur SudOuest.fr (consulté le )
    30. « Campagne de distillation du Cognac : dompter le temps », sur SudOuest.fr (consulté le )
    31. Site de l'inspection académique de la Charente
    32. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 19
    33. « Souterrain refuge », notice no IA00041979, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Fontaine de Roissac », notice no IA00042032, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. « Angeac-Champagne », base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. « Logis d'Angeac », notice no IA00041977, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. « Lorimont », notice no IA00041992, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. « Château de Roissac (notice) », notice no IA00042033, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Château de Roissac », notice no PA00104551, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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