Segonzac (Charente)

Segonzac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine). La commune est la capitale de la Grande Champagne, premier cru du cognac.

Pour les articles homonymes, voir Segonzac.

Segonzac

La mairie de Segonzac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Jérôme Froin
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16366
Démographie
Gentilé Segonzacais
Population
municipale
2 082 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 05″ nord, 0° 13′ 03″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 141 m
Superficie 35,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Segonzac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Segonzac
Géolocalisation sur la carte : France
Segonzac
Géolocalisation sur la carte : France
Segonzac
Liens
Site web www.segonzac.fr

    Ses habitants sont les Segonzacais et les Segonzacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Segonzac est un chef-lieu de canton de l'ouest du département de la Charente, situé à 12 km au sud-est de Cognac et 29 km à l'ouest d'Angoulême.

    Segonzac est aussi à km au sud de Jarnac, 13 km à l'ouest de Châteauneuf et 17 km au nord de Barbezieux[2].

    Bien qu'à l'écart des routes nationales, Segonzac est situé à un important carrefour de routes départementales : la D 736 entre Jarnac et Saint-Fort-sur-le-Né, la D 1 venant de Barbezieux, et la D 24 se dirigeant vers Cognac. La D 18 et la D 49 complètent ce carrefour. La D 95 traverse le nord de la commune d'est en ouest. La N 141 entre Angoulême et Saintes, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, aménagée en voie express entre Jarnac et Cognac, passe à km au nord de Segonzac[3].

    La gare la plus proche est celle de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreux hameaux : Deux Villes et Biard à l'ouest, Chez Barraud, la Nérolle et Garancille au nord sur la D 95, Chez Richon et les Courades à l'est, le Pible, Mortefond et Voix plus au sud dans les coteaux, Puyguiller, Champagnoux, Péron Jarnac, la Brée, Mazotte au sud, et Bouchet, Recharville, la Gore un peu plus au nord-ouest, etc.

    La commune compte aussi de nombreuses fermes dans cette partie particulièrement viticole du département[3].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune de Segonzac occupe la zone calcaire du Bassin aquitain, comme les trois quarts sud et ouest du département de la Charente.

    Elle est plus particulièrement dans le Crétacé, qui occupe la moitié sud du département. Le Santonien occupe le centre de la commune, correspondant à la plaine de Châteaubernard, et le Campanien, calcaire plus crayeux, qui donne les paysages de Champagne, la moitié sud.

    La commune est traversée par une cuesta est-ouest, située dans le Campanien, qui fait face au nord et au pied de laquelle le bourg est situé. On peut suivre cet escarpement vers l'ouest en direction de Genté, et vers l'est en direction de Bouteville, Jurignac et Villebois-Lavalette. On peut aussi en voir une butte-témoin à l'ouest du bourg (entre Deux-Villes et Biard). Cette cuesta forme la limite sud de la plaine de Cognac.

    Une terrasse d'alluvions du Quaternaire recouvre la dépression santonienne au nord de la commune, entre la Nérolle et Mainxe, avec, au centre, une petite zone d'alluvions loessoïdes[4],[5],[6]. Ces sables et galets calcaires ont été exploités pour faire le ballast de la voie ferrée Angoulême-Saintes (la Balastière).

    La moitié nord du territoire communal est occupée par la plaine qui s'étend entre le sud de Cognac et Bouteville, et dont l'altitude moyenne est d'une trentaine de mètres dans la commune. La moitié sud est beaucoup plus vallonnée. Le point culminant de la commune est à une altitude de 141 m, situé à l'est en limite avec Saint-Preuil près de chez Allard. Le point le plus bas est à 19 m, situé au nord en limite de commune avec Bourg-Charente. Le bourg est à environ 55 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    Aucun cours d'eau ne traverse la commune. On peut néanmoins signaler quelques sources et fontaines, en particulier celle du centre bourg de Segonzac, derrière l'église, qui fournit une eau relativement abondante.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Segonzac est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (66,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), terres arables (4,1 %), zones urbanisées (3,1 %), forêts (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom est attestée par la forme ancienne Secundiacum en 1097[14].

    L'origine du nom de Segonzac remonterait à un nom de personne gallo-romain Secundius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Secundiacum, « domaine de Secundius »[15],[Note 2].

    Histoire

    L'archéologie aérienne a mis en évidence en 1989, au Terrier de Font Belle, un éperon barré du Néolithique[16]. Des fouilles d'un village de la fin du Néolithique jusqu'à l'Âge de Bronze (3000 à 1900 av. J.-C. sont entreprises en 2019[17]. De nombreux autres vestiges protohistoriques ont aussi été révélés par l'archéologie aérienne, ainsi que des sites à tegulae (le Breuil, les Plantes du Roi, les Terres de Font-Belle avec une villa du IIe siècle), témoignant d'une occupation gallo-romaine[18].

    La commune est en effet bordée au nord par le chemin Boisné, ancienne voie romaine de Saintes à Périgueux[3].

    Au Moyen Âge, Segonzac était une dépendance de la châtellenie de Bouteville, et faisait donc partie des domaines des comtes d'Angoulême. Elle n'avait ni château ni logis[19].

    Un souterrain-refuge au lieu-dit Chez Voix a été utilisé[20].

    Segonzac fut un des premiers centres du protestantisme en Angoumois. Son église réformée fut constituée en 1558, en même temps que celle de Cognac. Après la bataille de Jarnac, une compagnie protestante, commandée par Montgomery, y fut défaite par les troupes du comte de Brissac.

    Après la Révocation de l'édit de Nantes, le temple protestant de Segonzac fut rasé, et, comme les protestants continuaient à s'y réunir clandestinement, un détachement de dragons (auteurs des dragonnades contre les protestants) vint en 1711 établir ses quartiers d'hiver à Segonzac.

    Les registres de l'état civil conservés à Segonzac remontent à 1636.

    Dans le sud de la commune, le logis de Mazotte était autrefois le siège d'une seigneurie que, par lettres patentes du 27 décembre 1365, le roi de Navarre, Charles II, comte d'Angoulême, avait donnée à Hugues des Moustiers pour bons et loyaux services. Le domaine passa ensuite entre les mains de plusieurs familles : Foucaut de Pons, de Lousme, seigneur d'Ardenne; en 1495, Hélix de Saint-Martin, puis Green de Saint-Marsault.

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Saint-Angeau à Segonzac, et qui passait par Mansle, Rouillac et Jarnac[19]. Contournant la commune à l'ouest, elle était prolongée au sud vers Saint-Fort-sur-le-Né où la jonction avec le réseau de Charente-Maritime par était assurée[21].

    À cette époque, des foires se tenaient le premier dimanche de chaque mois[19].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à deux branches de châtaignier posées en fasce, l'une en chef fruitée de deux marrons hérissonnés et l'autre en pointe fruité d'un seul à dextre, à une croisette en abîme, le tout d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1947 1971 Robert Bonnaud DVG Médecin
    Conseiller général du canton de Segonzac (1953 → 1973)
             
    juin 1995 mars 2008 Gérard Raby DVD Viticulteur
    mars 2008 mai 2020 Véronique Marendat UDI (NC) Professeure d'économie et gestion
    Conseillère régionale de Poitou-Charentes (2010 → 2015)
    Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine (2015 → )
    1re vice-présidente de la CA du Grand Cognac (2017 → 2020)
    mai 2020[22] En cours Jérôme Froin SE Viticulteur retraité
    Conseiller délégué de la CA du Grand Cognac (2020 → )

    Label « cittaslow »

    Segonzac est la première commune française à obtenir le label « Cittaslow » le [23]. Les actions portent sur le « bien-vivre », le respect de l'autre et de l'environnement : aménagement d'un petit parc public, ruelles devenues piétonnes et cyclistes, choix de plantes limitant les besoins en eau dans les espaces verts publics, vie locale renforcée (équipements publics, associations, maison de retraite HQE...)[24].

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[25].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

    En 2018, la commune comptait 2 082 habitants[Note 3], en diminution de 1,7 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    2 5502 5492 4532 5002 6022 6202 6702 6002 784
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    2 9652 9772 8802 8092 5702 3842 1652 1242 122
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 2732 2862 0282 0562 0992 0902 0032 1302 253
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    2 1822 2302 2122 1762 2972 1972 1462 1082 082
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Segonzac en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,4 
    9,5 
    75 à 89 ans
    13,6 
    15,8 
    60 à 74 ans
    15,2 
    23,5 
    45 à 59 ans
    23,1 
    18,7 
    30 à 44 ans
    17,5 
    14,7 
    15 à 29 ans
    13,6 
    17,5 
    0 à 14 ans
    15,7 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[31].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture est l'activité principale de la commune. Segonzac est la capitale de la Grande Champagne, premier cru du cognac[32].

    De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de pays sont installés dans la commune.

    Équipements, services et vie locale

    Cycle scolaire

    Le collège d'enseignement secondaire Font-Belle regroupe environ 350 élèves de la 6e à la 3e répartis dans 15 classes[33].

    Segonzac possède une école élémentaire, l'école des Millevignes, qui comprend quatre classes, ainsi qu'une école maternelle, les Tilleuls argentés[34].

    Université des eaux de vie

    Segonzac abrite l'Université Internationale des Eaux de Vie et Boissons Spiritueuses.

    Le diplôme est un master en droit, gestion et commerce des eaux-de-vie et boissons spiritueuses, qui s’adresse à des étudiants d’un niveau bac+4 et fortement motivés par la filière, mais également à des professionnels dans le cadre de la formation continue.

    Il est délivré par les universités de Poitiers et de Paris V et dispensé sur le site de Segonzac. Ces étudiants peuvent également coupler avec un master professionnel en commerce international, de l'IAE de Poitiers.

    Accessoirement, cela fait de Segonzac la plus petite cité universitaire de France.

    Lieux et monuments

    Église Saint-Pierre

    Du XIIe au XVe siècle, l'église Saint-Pierre-aux-Liens faisait partie de l'ancien diocèse de Saintes ; elle a été détruite en grande partie en 1562 et n'a conservé d'ancien que son chœur, son clocher de façade et son bas-côté sud. Tout l'intérieur a été refait de 1865 à 1868[35]. Elle présente, à l'ouest, un porche sous berceau, comprenant une sorte de couloir d'entrée, accompagné, au nord, d'un baptistère.

    Le chœur, du milieu du XVIe siècle est voûté d'ogives; la clef porte les armes des Valois d'Orléans; une baie à quatre meneaux et réseau flamboyant à l'est, et une baie simple en lancette sur les autres côtés l'éclairent. Une tribune du XIIe siècle existe au-dessus du porche, de la largeur de la nef ; à l'origine cette tribune s'étendait sur les bas-côtés qui se prolongeaient sur l'alignement du porche.

    Sur la façade, établie en avancée et de la largeur du porche, ouvre la porte à trois rouleaux, formés de boudins et de cavets, sur colonnes, aux chapiteaux à feuillages et rinceaux, entourés d'un cordon chargé de festons. Au-dessus, est le clocher carré, présentant à l'ouest une frise feuillagée, une corniche et une arcature aveugle, reçue par sept colonnes à chapiteaux. En retrait, existent deux étages ornés de cinq colonnes sur les angles et de deux intermédiaires, montant jusqu'au sommet. Le premier est percé, sur chaque face, de deux arcs en plein cintre. Le second étage est ouvert de deux baies en tiers-point, sur colonnes. Une flèche conique termine le clocher[36].

    Elle est classée monument historique depuis 1932[37].

    Le temple

    La commune possède, comme certaines autres communes des Charentes, un temple protestant. Il succède à deux temples antérieurs, et a été construit en 1864 par l'architecte cognaçais Deménieux. Il est un des plus imposants de la région. Son fronton et son décor intérieur sont remarquables. Sur le fronton est écrit un verset de l'évangile de saint Matthieu : « Les cieux et la Terre passeront, mes paroles ne passeront pas »[38]. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 1998[39].

    Les Courades

    La maison forte des Courades dit Château de la famille Philibert avec son entrée qui comporte encore l'emplacement de la herse, les meurtrières et les consoles de l'ancien chemin de ronde, daterait du XVe siècle. Le logis qui a été remanié XVIIe siècle présente encore des baies en plein-cintre et une en arc trilobé[40].

    Lavoir

    Derrière l'église est situé un lavoir alimenté par une importante fontaine. Il a été construit entre 1812 et 1849[41].

    Patrimoine environnemental

    Le hameau de Chez Bordin est un remarquable hameau fleuri.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Segonzac (Dordogne) et Segonzac (Corrèze) ont la même étymologie.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 76
    15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 649.
    16. Fouilles de Claude Burnez 1990-92 in Jacques Dassié, Archéologie aérienne. Patrimoine archéologique et touristique des Charentes, Joué-lès-Tours, éd. Alan Sutton, , 176 p. (ISBN 2-84253-607-X), p. 31-33
    17. Segonzac (16) : un village d'agriculteurs vieux de 4000 ans !, francebleu.fr, 22 janvier 2020
    18. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 206-208
    19. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 376
    20. « Souterrain-refuge », notice no IA00042421, base Mérimée, ministère français de la Culture
    21. Photographies aériennes IGN des années 1945 à 1960
    22. Samuel Méchain « Toute première séance », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 25.
    23. Slow food France, « Segonzac, Première Città Slow de France », (consulté le )
    24. Aude Roux, « Laisser du temps au temps avec le label « cittaslow » », La Gazette,
    25. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Evolution et structure de la population à Segonzac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    32. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
    33. Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges » (consulté le )
    34. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    35. « Église Saint-Pierre (notice) », notice no IA00042366, base Mérimée, ministère français de la Culture
    36. Bull. Soc. arch. Charente, 1862
    37. « Église Saint-Pierre », notice no PA00104513, base Mérimée, ministère français de la Culture
    38. « Temple protestant (notice) », notice no IA00042379, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Temple protestant », notice no PA16000012, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « Château de la famille Philibert », notice no IA00042422, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. « Lavoir », notice no IA00042405, base Mérimée, ministère français de la Culture

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