Ve siècle av. J.-C.

Voir aussi : Liste des siècles, Numération romaine


Millénaires :

IIe millénaire av. J.‑C. Ier millénaire av. J.‑C. Ier millénaire


Siècles :
VIe siècle av. J.-C. Ve siècle av. J.-C. IVe siècle av. J.-C.


Décennies :

-490-480-470-460-450
-440-430-420-410-400


Années :

-500-499-498-497-496
-495-494-493-492-491

-490-489-488-487-486
-485-484-483-482-481

-480-479-478-477-476
-475-474-473-472-471

-470-469-468-467-466
-465-464-463-462-461

-460-459-458-457-456
-455-454-453-452-451

-450-449-448-447-446
-445-444-443-442-441

-440-439-438-437-436
-435-434-433-432-431

-430-429-428-427-426
-425-424-423-422-421

-420-419-418-417-416
-415-414-413-412-411

-410-409-408-407-406
-405-404-403-402-401

Le Ve siècle av. J.-C., surnommé, pour la Grèce, le siècle de Périclès, commence le et finit le

Événements

Le monde vers 500 av. J.-C.
Sculpture de civilisation Nok.
  • 500-200 av. J.-C. : les peuples de la civilisation Nok, centrés sur le plateau de Jos, au Nigeria pratiquent la métallurgie du fer en exploitant le minerai de fer latéritique très abondant dans la région[5]. En 1943, des mineurs d’étain découvrent à Nok des statuettes de terre cuite d’une grande beauté et d’une indéniable unité de style, qui pour la plupart représentent des têtes ou des personnages. On découvre à leurs côtés des traces d’industrie du fer remontant aux environs de 500 av. J.-C. pour les plus anciennes. Un peu plus tard sont exhumés une dizaine de hauts-fourneaux qui ont servi à la fonte des minerais (Taruga, 440 à )[6]. L’usage du fer reste cependant assez limité, et le peuple de Nok utilise encore des haches de pierre polie. L’hypothèse selon laquelle le peuple de Nok aurait découvert sans aide extérieure la manière de traiter le minerai de fer est vraisemblable, mais l’influence de Méroé ne peut être totalement écartée, des contacts existant entre le Soudan nilotique et le Soudan tchadien[7].
  • 475-221 av. J.-C. : période des Royaumes combattants en Chine[9]. Au début du siècle, l’autorité des rois Zhou n’a cessé de s’affaiblir depuis pour ne plus s’exercer que sur les environs de Luoyang. Hors de ce mince territoire la royauté n’est plus qu’un symbole. À l’issue de la période des Printemps et Automnes, sept royaumes émergent, qui se combattent pendant 280 ans (403 à 221), jusqu’à la victoire finale de Qin et l’unification de la Chine en Du Ve au IIIe siècle av. J.-C., le paysage et les conditions naturelles de la Chine connaissent une transformation rapide et complète : d’immenses superficies de forêts sont défrichées, asséchées, mises en culture et souvent irriguées. Les terres cultivées en viennent à se toucher aux frontières des royaumes. La population de la Chine jusqu’au bassin du Yangzi Jiang s’accroît rapidement en dépit des guerres meurtrières. Les villes agrandissent leurs murailles, se peuplent et s’entourent d’une deuxième enceinte de remparts. Des murailles défensives (Changcheng) sont construites dans les États de Chu et de Qi (Grande muraille de Qi), ainsi que des barrages, des digues et des canaux pour irriguer et contenir les crues. Les forgerons chinois utilisent à grande échelle le procédé de la fonte de fer pour produire d’énormes quantités d’armes et d’outils, ce qui va permettre d’accroître considérablement la productivité des terres agricoles et permettre le développement des villes et des agglomérations[10]. L’utilisation de la monnaie commence, avec au départ l’utilisation d’épées, de couteaux miniatures et de bêches de bronze portant une inscription indiquant leur origine[11]. La période est considérée comme celle du premier âge d’or de la philosophie chinoise, celle des « Cent écoles de pensée » dont les principaux courants sont le confucianisme, le légisme, le moïsme, cosmologisme Yin-Yang[12].
  • 450 av. J.-C.-1 : période Yayoi moyen au Japon[13]. La population dans le nord de Kyushu se regroupe en villages agricoles. Un réseau de production et d’échanges (haches, faucilles de pierre) et un système de chefferies se mettent en place. Des miroirs de bronze originaires de Corée, puis de Chine, se retrouvent dans les tombes des élites japonaises à partir du Yayoi moyen jusqu’au Kofun ancien[14].
  • Vers 450 av. J.-C. : Méroé, capitale du Royaume de Koush, devient un centre majeur pour le travail du fer (un morceau de charbon de bois et des débris de poteries trouvés à la base d'un important tas de scories de fer est daté de 514 ± 73 av. J.-C. À [6].
  • Du Ve au IVe siècle av. J.-C., grâce aux libertés qui règnent dans l'empire Perse, la Judée et la Samarie deviennent plus florissantes. Les Juifs restaurent Jérusalem (reconstruite à partir de ) et son Temple (reconstruit dès ). Le grand prêtre de Jérusalem est nommé administrateur de la province perse de Judée, ce qui fait d’elle une théocratie[15].

Europe

Le vin, transporté sous forme de concentré aromatisé dans des amphores, remplace l’hydromel dans la cérémonie traditionnelle celtique du symposium. Des traces en sont présentes dans le fond de la gourde du prince de Hallein. Des vaisselles grecques et étrusques (œnochoé) sont utilisées lors des repas de fête et de funérailles princières[16].
  • 525- : civilisation de La Tène A[17] ; début du second âge du fer, considérée comme l’apogée de la civilisation celtique. Les sépultures comprennent des chariots et des armes, mais sont moins riches que celles de la période de Hallstatt. La plus forte densité de tombes princières de La Tène A1a, (480 à 450 av. J.-C. environ), se trouve sur la rive gauche du Rhin, dans les collines de l’Hunsrück et de l’Eifel, et dans la vallée de la Sarre[18]. Un groupe de Celtes se distingue par son dynamisme et son conservatisme (fin VIe siècle-milieu IVe siècle). La concentration de tombes riches y est la plus grande pour l’époque, sous des tumulus souvent groupés, et parfois en relation avec des habitats fortifiés. Les princes y sont inhumés suivant le rite des Celtes anciens. Torques, bracelets, fibules en or, éléments de ceinture, de char en bronze ou en fer, y abondent. La même civilisation s’épanouit en Bohême, où des bourgades fortifiées, comme Zavist, s’édifient ou se reconstruisent, en Champagne (Somme-Bionne, Lavau), dans les Ardennes (Altrier au Luxembourg, Eygenbilsen dans le Limbourg) et en Autriche Occidentale (Dürrnberg près de Hallein). Les sépultures princières féminines fournissent des vestiges étonnants : celle de Bad Dürkheim au Ve siècle (trépied et stamnos étrusque, torques et bracelet en or), de la tombe princière de Reinheim (début IVe siècle), de Waldalgesheim (fin IVe siècle)[16]. Le géographe grec Hécatée de Milet (548/475 av. J.-C.) mentionne pour la première fois les Celtes au VIe siècle av. J.-C. ; la première mention certaine est faite par Hérodote (V. 480/425 av. J.-C.)[19].
Phalère du Ve siècle av. J.-C., tombe à char de Bourcq.
    • Au Ve siècle, grâce aux innovations techniques, l’art celte sort définitivement de l’art géométrique. Les lignes se courbent, se libèrent. Les thèmes orientaux sont introduits : l’arbre de vie entouré d’oiseaux, de gardiens monstrueux ou de dragons ; le maître des animaux ; la palmette ; la fleur de lotus ; le thème du masque humain. Présent de la Champagne jusqu’en Bohême et aux confins des Carpates, ils trahissent des modifications profondes dans les croyances. Le nouvel emploi du compas à pointe sèche permet de réaliser des décors complexes (phalères). Les thèmes se différencient selon les régions : fibules à double face symétriques produites dans le Rhin moyen, fibules à arc asymétrique dans l’Est ; sangliers, oiseaux en vol ou fibules en forme de chaussures à Dürrnberg ; décors figuratifs fantastique en Bohême, mais rares en Suisse et en Champagne ; vases à pied fait à la tournette et peint en rouge de larges décors curvilignes en Champagne et dans les Ardennes, poteries noires d’Armorique, qui reproduisent les vaisselles métalliques et s’ornent de petits motifs poinçonnés ou de décors incisés à base de palmettes[16].
  • Vers 505-400 av. J.-C. : colonisation de la Frise ; apparition d’une culture homogène et isolée, attribuée à des proto-Frisons[20]. Confrontés à la remontée des eaux, ils s’établissent sur des collines artificielles, les terpen, sites de défense, d’habitat et de stockage, qui sont le centre d’une économie complexe fondée sur l’élevage, la pêche, le commerce maritime et l’exploitation du sel marin.
  • Vers 500 av. J.-C. : disparition de l’âge prospère du Bronze danois, peut-être liée à la détérioration subatlantique du climat qui devient plus froid et plus humide. Début de l’âge du fer pré-romain en Scandinavie (500-0 av. J.-C.)[21].
  • Vers 500 av. J.-C. : multiplication des trésors de torques et des sites fortifiés celtiques dans le centre et l’ouest de l’Espagne à partir de 500 av. J.-C.. Des sculptures massives, dites celtibériques, proviennent de ces castros ; elles représentent des sangliers, des taureaux et des guerriers hiératiques tenant un bouclier et arborant un torque[16].
À Athènes, les femmes sont frappées d’incapacité juridique. Elles n’ont ni le droit de cité, ni la libre disposition des biens fonciers, mais transmettent cependant la citoyenneté et la propriété[22]. Leur rôle religieux est important et elles participent à plus de 40 cultes majeurs, à des manifestations principalement féminines (Arrhéphories, Scirophories, Thesmophories, Adonies) ou mixtes (Panathénées). Maîtresses de la maison, elles passent, notamment dans les classes moyennes, la plus grande partie de leur vie dans le gynécée, où les étrangers ne pénètrent pas.
  • L’agglomération de Kamenskoïe, un centre d’artisanat et de commerce scythe sur les rives du Dniepr, au nord de la mer Noire, a une enceinte fortifiée et 12 km² de superficie[28]. Elle est occupée sans interruption du Ve au IIe siècle av. J.-C.[29].

Personnages significatifs

Inventions, découvertes, introductions

  • Vers 500-400 av. J.-C. :
    • premières inscriptions hiéroglyphiques à Monte Albán, au Mexique[30].
    • la technique du travail du fer est introduite en Corée à partir de la Chine[31].
  • Vers 500 av. J.-C. :
    • en Chine, le légiste Fan Li, ministre du roi de Yue, préconise « l’enrichissement de l’État et le renforcement des armées »[32].
    • adoption de l’alphabet grec avec les voyelles et se lisant de gauche à droite[33].
Garçon jouant au yo-yo. Médaillon d'un kylix attique à figures rouges, v.
  • Vers 450 av. J.-C. : le jeu de la toupie grimpante, ou yo-yo, est connu en Grèce.

Notes et références

  1. Emmanuel Le Roy Ladurie, Le Territoire de l'historien, Gallimard, (présentation en ligne)
  2. Jean-Claude Margueron, Le Proche-Orient et l'Égypte antiques, Hachette Éducation Technique, , 416 p. (ISBN 978-2-01-140096-3, présentation en ligne)
  3. Susan Milbrath, A Study of Olmec Sculptural Chronology, Dumbarton Oaks, , 75 p. (ISBN 978-0-88402-093-6, présentation en ligne)
  4. Richard E. W. Adams, Prehistoric Mesoamerica, University of Oklahoma Press, , 521 p. (ISBN 978-0-8061-3702-5, présentation en ligne)
  5. Paul G. Bahn, Archaeology : The Essential Guide to Our Human Past, Smithsonian Institution, , 576 p. (ISBN 978-1-58834-591-2, présentation en ligne)
  6. Hamady Bocoum, « Fer et forgeron au sud du lac Tchad (Cameroun, Nigeria) », Journal des Africanistes, no 2, , p. 107-122 (présentation en ligne)
  7. Hamady Bocoum, Aux origines de la métallurgie du fer en Afrique : une ancienneté méconnue. Afrique de l’Ouest et Afrique centrale, UNESCO, (ISBN 978-92-3-203807-4, présentation en ligne)
  8. Jacques de Guerny, Les Tambours de Bronze de l'Asie du Sud-Est : L’odyssée des tambours de bronze., Hémisphères Éditions, , 232 p. (ISBN 978-2-37701-029-5, présentation en ligne)
  9. Pierre Drapeaud, Chine : Chronologie simplifiée. Des origines à 1949, Paris, L'Harmattan, , 448 p. (ISBN 978-2-343-11450-7, présentation en ligne)
  10. Les Grands Articles d'Universalis. Histoire de la Chine jusqu'en 1949, vol. 44, Encyclopaedia Universalis, (ISBN 978-2-85229-928-3, présentation en ligne)
  11. David Graeber, Dette : 5000 ans d'histoire, Éditions Les Liens qui libèrent, , 623 p. (ISBN 979-10-209-0072-2, présentation en ligne), p.241.
  12. Nicolas Zufferey, Introduction à la pensée chinoise, Marabout, , 288 p. (ISBN 978-2-501-06905-2, présentation en ligne)
  13. Neil Asher Silberman, Alexander A. Bauer, The Oxford Companion to Archaeology, vol. 1, OUP USA, , 2128 p. (ISBN 978-0-19-973578-5, présentation en ligne)
  14. Olivier Brunet, Les marqueurs archéologiques du pouvoir, Publications de la Sorbonne, , 320 p. (ISBN 979-10-351-0005-6, présentation en ligne)
  15. Simon Claude Mimouni, Le judaïsme ancien du VIe siècle avant notre ère au IIIe siècle de notre ère : des prêtres aux rabbins, Presses Universitaires de France, , 976 p. (ISBN 978-2-13-073951-7, présentation en ligne), p. 316
  16. Christiane Éluère, L'Europe des Celtes, Paris, Gallimard, coll. « Découvertes Gallimard / Histoire » (no 158), (présentation en ligne)
  17. Reinhard Bernbeck, Randall H. McGuire, Ideologies in Archaeology, University of Arizona Press, , 410 p. (ISBN 978-0-8165-2673-4, présentation en ligne)
  18. Jacques-Pierre Millotte, Éléments de pré- et protohistoire européenne : Hommage à Jacques-Pierre Millotte, Presses Univ. Franche-Comté, , 697 p. (ISBN 978-2-251-60299-8, présentation en ligne)
  19. Venceslas Kruta, Les Celtes : « Que sais-je ? » n° 1649, Presses Universitaires de France, (ISBN 978-2-13-062369-4, présentation en ligne)
  20. Dennis Howard Green et Frank Siegmund, The Continental Saxons from the Migration Period to the Tenth Century : An Ethnographic Perspective, Boydell Press, , 393 p. (ISBN 978-1-84383-026-9, présentation en ligne)
  21. Vagn Fabritius Buchwald, Iron and Steel in Ancient Times, Kgl. Danske Videnskabernes Selskab, , 372 p. (ISBN 978-87-7304-308-0, présentation en ligne)
  22. Paul Gide, Étude sur la condition privée de la femme : Dans le droit ancien et moderne et en particulier sur le senatus-consulte velléien, Collection XIX, (ISBN 978-2-346-02772-9, présentation en ligne)
  23. François Châtelet, Périclès et son siècle, Éditions Complexe, , 295 p. (ISBN 978-2-87027-332-6, présentation en ligne)
  24. Sophie Descamps-Lequime, Les antiquités grecques, Réunion des musées nationaux, (ISBN 978-2-7118-4024-3, présentation en ligne)
  25. Jean-Paul Thuillier, Les Étrusques : Histoire d'un peuple, Armand Colin, , 240 p. (ISBN 978-2-200-25871-9, présentation en ligne)
  26. Jean-Paul Demoule, Dominique Garcia, Alain Schnapp, Une histoire des civilisations : comment l'archéologie bouleverse nos connaissances, Paris, Éditions La Découverte, , 601 p. (ISBN 978-2-7071-8878-6, présentation en ligne), p. 335
  27. Ian Morris, Francoise Audouze et Cyprian Broodbank, Classical Greece : Ancient Histories and Modern Archaeologies, Cambridge University Press, , 244 p. (ISBN 978-0-521-45678-4, présentation en ligne)
  28. Murielle Faudot, Arlette Fraysse et Evelyne Geny, Pont-Euxin et commerce : la genèse de la "route de la soie" : actes du IXe Symposium de Vani, Colchide, 1999, Presses univ. Franche-Comté, , 314 p. (ISBN 978-2-84627-079-3, présentation en ligne)
  29. Andrew Bell-Fialkoff, The Role of Migration in the History of the Eurasian Steppe : Sedentary Civilization vs. 'Barbarian' and Nomad, Springer, , 355 p. (ISBN 978-1-349-61837-8, présentation en ligne)
  30. Peter T. Daniels, The World's Writing Systems, Oxford University Press, , 920 p. (ISBN 978-0-19-507993-7, présentation en ligne)
  31. Chai-Shin Yu, The New History of Korean Civilization, iUniverse, , 352 p. (ISBN 978-1-4620-5559-3, présentation en ligne)
  32. Jacques Gernet, Le monde chinois, A. Colin, (présentation en ligne)
  33. Florent Chavand, Des données à l’information : De l’invention de l’écriture à l’explosion numérique, ISTE Editions, , 466 p. (ISBN 978-1-78405-268-3, présentation en ligne)
  34. Louis Piguier, Les merveilles de la science : Télégraphie aérienne, électrique et sousmarine--cable transatlantique--galvanoplastie--dorure et argenture--électro-chimiques--aérostats--éthérisation, Furne, Jouvet et Cie, (présentation en ligne)
  35. Histoire de l'humanité, vol. 3, UNESCO, (ISBN 978-92-3-202812-9, présentation en ligne), p. 770-790
  36. Adrienne Mayor, Les Amazones : Quand les femmes étaient les égales des hommes (VIIIe siècle av. J.-C. – Ier siècle apr. J.-C.), La Découverte, , 551 p. (ISBN 978-2-7071-9782-5, présentation en ligne)
  37. Paul Picavet, « Les meules romaines de sept chefs-lieux de cité de Gaule Belgique occidentale, étude du matériel et synthèse bibliographique », Revue du Nord, no 393, , p. 167 - 226 (présentation en ligne)
  38. Dictionnaire des Notions : (Les Dictionnaires d'Universalis), vol. 3, Encyclopaedia Universalis, , 3456 p. (ISBN 978-2-85229-935-1, présentation en ligne)
  39. Régis Laurent, Métaphysique du temps chez Aristote, vol. 1, Paris, Villegagnons-Plaisance éd., , 241 p. (ISBN 978-2-9533846-0-4, présentation en ligne)
  40. Yves Denis Papin, Chronologie de l'histoire ancienne, Éditions Jean-paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 978-2-87747-346-0, présentation en ligne)
  41. Robert Flacelière, La Grèce au siècle de Périclès : Ve siècle avant J.-C., Hachette, , 375 p. (ISBN 978-2-01-235236-0, présentation en ligne)
  • Portail du temps
  • Portail de l’histoire
  • Portail du monde antique
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.