Boutiers-Saint-Trojan
Boutiers-Saint-Trojan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Boutiers-Saint-Trojan | |||||
Mairie de Boutiers-Saint-Trojan. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
Jean-François Bruchon 2020-2026 |
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Code postal | 16100 | ||||
Code commune | 16058 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Boutiérois | ||||
Population municipale |
1 419 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 199 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 42′ 49″ nord, 0° 17′ 52″ ouest | ||||
Altitude | Min. 5 m Max. 49 m |
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Superficie | 7,13 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cognac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cognac-1 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Boutiérois et les Boutiéroises[1].
Géographie
Localisation et accès
Boutiers-Saint-Trojan est une commune de l'ouest du département de la Charente située à 3 km au nord-est de Cognac et 36 km d'Angoulême[2]. La population y est dense, tenant au fait du voisinage de la ville de Cognac, dont Boutiers est presque un faubourg.
Située sur la rive droite de la Charente, la commune de Boutiers-Saint-Trojan est formée par la réunion des deux anciennes communes de Boutiers et de Saint-Trojan. Le bourg de Boutiers se dresse au sommet d'une colline dominant le fleuve. Saint-Trojan est situé au sud de la commune, au-dessus de la vallée de la Soloire.
À l'écart des grandes routes, la commune est traversée par la D 24, route de Cognac à Sainte-Sévère et Macqueville, qui franchit la Charente à Saint-Marmet, et par la D 156 qui passe au bourg[3].
La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.
Hameaux et lieux-dits
Il y a peu de hameaux dans la commune ; on peut toutefois citer les Tuileries sur la route de Macqueville, Port-Boutiers le long de la Charente, l'Étang, le Solençon à l'ouest, etc.[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune occupe le calcaire en limite du Jurassique au nord et du Crétacé au sud.
Le Jurassique supérieur occupe une moitié nord-est du territoire communal. Il s'agit du Purbeckien, marne riche en argile et en gypse de la fin du Jurassique mordant sur la période du Crétacé inférieur, et composant la dépression du Pays Bas, ancienne lagune.
Le Crétacé supérieur occupe le plateau de la moitié sud-ouest du territoire communal. Il se compose du Cénomanien inférieur, composé de grès, sable et calcaire détritique. Le Cénomanien moyen occupe la grande partie restante et surplombe la vallée de la Charente.
Les vallées (Charente, Soloire et Solençon) sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire (parties inondables). On trouve aussi une basse terrasse d'alluvions sableuses plus anciennes au sud (les Sablons)[4],[5],[6].
La commune de Boutiers-Saint-Trojan occupe un plateau allongé bordé au sud par la vallée de la Charente, à l'est par celle de la Soloire, à l'ouest par le Fossé du Roi et au nord par la plaine du Pays bas. Ce plateau est couvert de vignobles. Le point culminant de la commune est à une altitude de 49 m, situé au bourg. Le point le plus bas est à 5 m, situé le long de la Charente et du Fossé du Roi. Le bourg de Saint-Trojan est à environ 35 m d'altitude, surplombant la Soloire[3].
Hydrographie
Cette commune est limitée, au sud-ouest, par la Charente et au sud-est, par un affluent de ce fleuve, la Soloire.
Le Solençon est un bras de la Charente, ainsi que les Eaux Mortes qui limite la commune, et le ruisseau de Corbières alimenté par la Soloire.
Le Fossé du Roi limite la commune à l'ouest[3].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Boutiers-Saint-Trojan est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cognac, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[10] et 26 621 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,3 %), zones urbanisées (21,5 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), forêts (14,8 %), prairies (11,2 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Boutiers
Les formes anciennes pour Boutiers sont Boteriis, Boteriaco (non datées)[16], et un nom de personne Botterius ou Boterius[17].
L'origine du nom de Boutiers remonterait à un nom de personne germanique Botthar latinisé auquel a été apposé le suffixe -acum (ou fundus sous-entendu), ce qui correspondrait au « domaine de Botterius »[18].
Saint-Trojan
Une forme ancienne est Sanctus Trojanus prope Compiniacum (non datée, signifiant « Saint-Trojan près Cognac »[19]. Le nom vient de Trojan, évêque de Saintes mort vers 532[20].
Pendant la Révolution, la commune de Saint-Trojan s'est appelée provisoirement Trojan-la-Montagne[21].
Histoire
Boutiers était habité à l'époque gallo-romaine : on a dégagé des vestiges de plusieurs villas gallo-romaines, situées aux lieux-dits les Sablons, les Coulées et les Frugères[22],[23].
Le premier château du Solençon qui a totalement disparu est attesté dès le Moyen Âge. En 1775, il est acheté par le comte d'Artois qui construit un immense logis rectangulaire qui a lui aussi disparu, mais dont il reste des gravures. Il ne construit pas la raffinerie de sucre qu'il avait prévu. Le château est vendu et détruit après la Révolution. Il ne subsiste qu'un pigeonnier circulaire couvert d'un dôme, ainsi que des écuries transformées en habitations et dont les ouvertures en anse de panier du rez-de-chaussée ont été murées et repercées de nouvelles baies[24].
Saint-Trojan était uni à Saint-Brice et les deux terres n'ont été séparées qu'au XVIIIe siècle. Puis, en 1793, Saint-Trojan est devenu une commune séparée.
Le , les représentants de Boutiers à l'assemblée préliminaire des états généraux, qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac, sont Jean Bonnin et Jean Cormenier, et ceux de Saint-Trojan Jean Sabouraud et Jean Chaillot[25].
En 1859, la commune de Boutiers absorbe celle de Saint-Trojan[26].
Le soir de Noël 1972, une famille entière de Boutiers-Saint-Trojan disparaît sans laisser de trace : Jacques Méchinaud, Pierrette son épouse et leurs deux enfants Bruno quatre ans, et Éric sept ans, ainsi que leur véhicule familial, une Simca 1100. L'affaire Méchinaud n'est toujours pas résolue[27].
Les Antonins et les Hospitaliers
La terre de Boutiers fait partie des premières donations faites à l'ordre hospitalier de Saint-Antoine en 1095 et qui venait d'être créé six ans plus tôt. Cette donation provient des familles qui, avec leurs suzerains, les seigneurs de Cognac et les comtes d'Angoulême se croisaient[réf. nécessaire]. Le bourg de Boutiers devient alors le chef-lieu d'une commanderie appelée Saint-Antoine de Boutiers dans le diocèse de Saintes, dont l'église du XIIe siècle a été détruite vers 1855 à la suite d'un procès perdu par la commune[28]. Les registres de Boutiers commencent en l'année 1600.
Une déclaration fut reçue par notaire le , à la demande du commandeur Guillaume de Franchiliens, en présence de Bernard de Cazelon, prieur de Saint-Léger de Cognac, et de Simonet de Vaucelles, capitaine du château de Merpins qui stipule que Bernard, évêque de Saintes, y est accueilli comme pèlerin et non en vertu d'un droit.
La commanderie de Saint-Antoine de Boutiers a appartenu à partir de 1777 à l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem à la suite de l'intégration de l'ordre dit des Antonins sur le déclin au sein de cet ordre hospitalier[29].
Le fut parrain dans l'église de Boutiers « honorable homme Philippe Desmarais, sieur de la Grave de Saint-Vivien, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, chevalier et commandeur de Saint-Antoine de Boutiers. »
L'église de la commanderie servait d'église paroissiale, et il est mentionné que Porchaire, propriétaire du domaine de Bel-Air, mort au mois de , y fut enterré[30].
Administration
La fiscalité est d'un taux de 15,17 % sur le bâti, 38,37 % sur le non bâti, et 6,08 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007). Boutiers-Saint-Trojan fait partie de la communauté de communes de Cognac qui prélève 12,14 % de taxe professionnelle.[réf. nécessaire]
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].
En 2018, la commune comptait 1 419 habitants[Note 3], en diminution de 2,94 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Remarques
En 1859, Boutiers a absorbé Saint-Trojan[26].
Les pertes de la Première Guerre mondiale (252 soit 30 %) mettront 60 ans à être surmontées, puis la croissance va continuer comme dans toutes les communes péri-urbaines de Cognac et d'Angoulême.
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[40].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
La commune possède une école primaire comprenant cinq classes.
Le secteur du collège est Cognac (collège Félix-Gaillard)[41].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Trojan dont la nef et le chœur sont du XIe siècle, l'abside et le clocher du XIIe siècle, tout comme les sculptures des corniches de l'abside et le tombeau. Autrefois Saint-Urjan, c'était un ancien prieuré-cure dédié à Trojan, évêque de Saintes du VIe siècle. Elle est inscrite comme monument historique depuis 1952[42].
Les ruines de l'église Saint-Marmet, des XIe et XIIe siècles, dominent le promontoire qui surplombe la Charente. Jadis Saint-Marmert, elle aurait été construite par la commanderie d'Antonins de Boutiers. Elle fut dévastée à la Révolution et ne fut pas vraiment restaurée[43]. Elle est inscrite comme monument historique depuis 1986[44].
L'église Saint-Antoine, de Boutiers, date du XIXe siècle. Elle a été édifiée par la municipalité pour remplacer l'ancienne église Notre-Dame, fondée en 1095 par les Antonins et qui était à l'origine une commanderie hospitalière, ruinée et vendue comme bien national à la Révolution[43],[45].
- Vestiges de l'église Saint-Marmet.
- L'église Saint-Antoine de Boutiers.
Patrimoine civil
Le patrimoine bâti est divers : pigeonniers, lavoir, moulin, fermes, maisons...
- Saint-Trojan.
- Monument aux morts.
- Pigeonnier médiéval.
Il existe plusieurs vestiges de tuileries et de briqueteries du XIXe siècle[46].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Cognac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 429
- Cartulaire de Saint-Jean-d'Angély
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 107.
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 451
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 121-122
- « Villa romaine des Coulées », notice no IA00059000, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Château du Solençon », notice no IA00058999, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Les disparus de Boutiers, Philippe Dumas
- « Commanderie », notice no IA00058977, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Christian Corvisier, « Saint-Marc-La-Lande - Ancienne commanderie de La Grande-Lande [Guide du congrès, p. 374-377] », dans Congrès archéologique de France : Monuments des Deux-Sèvres, vol. 159, Société française d'archéologie, , 382 p. (OCLC 57515849, présentation en ligne), p. 375
- Paul Lacroix, Les anciens châteaux des environs de Cognac, 1906
- Vincent Dewitte, « "Je me fiche de la politique politicarde" », Sud Ouest, 13 mars 2011.
- « Robert Richard était maire depuis 1980 », Sud Ouest, 2 avril 2014.
- « Philippe Nifenecker reprend le flambeau », Sud Ouest, (lire en ligne).
- Pierre Barreteau, « Jean-François Bruchon nouveau maire de Boutiers-Saint-Trojan », Sud Ouest, 6 juin 2020.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Boutiers-Saint-Trojan en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Église Saint-Trojan », notice no IA00058978, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 85
- « Église Saint-Marmet », notice no IA00058980, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Antoine », notice no IA00058979, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Tuileries et briqueteries », base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Boutiers-Saint-Trojan (patrimoine architectural) », base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Boutiers-Saint-Trojan (objets mobiliers) », base Palissy, ministère français de la Culture
- Balades à Boutiers-Saint-Trojan...
- Catillus Carol, « Boutiers-Saint-Trojan », (consulté le )
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