Nercillac
Nercillac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Nercillac | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
Bernard Dupont 2020-2026 |
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Code postal | 16200 | ||||
Code commune | 16243 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Nercillacais | ||||
Population municipale |
1 064 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 65 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 42′ 58″ nord, 0° 14′ 42″ ouest | ||||
Altitude | Min. 8 m Max. 34 m |
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Superficie | 16,35 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Cognac (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Jarnac | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont les Nercillacais et les Nercillacaises[1].
Géographie
Localisation et accès
Nercillac est une commune de l'ouest du département de la Charente située à 6,5 km au nord-est de Cognac et la même distance au nord-ouest de Jarnac, le chef-lieu de son canton. Nercillac est aussi 16 km au sud-ouest de Rouillac et 32 km à l'ouest d'Angoulême[2].
Nercillac est traversé par la D 15 et la D 156 qui avec les D 158 et D 159 forment six routes qui partent du bourg. La D 15 vers le sud-ouest permet de rejoindre Cognac et la RN 141 entre Angoulême et Saintes. Vers l'est, la D 15 va en direction de Rouillac par Sigogne. La D 156 vers l'est permet de rejoindre Jarnac[3].
La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est très dispersé avec de nombreux hameaux, dont les plus importants sont le Ballet, le Petit Frouin, Chez Frouin, les Varennes, le Terrier Pichon, la Loge, le Tignoux, Montour, la Pichonnerie, le Terrier Rullot, les Brandes, la Chagnaie, Varaize[3].
Communes limitrophes
Géologie
Le sol de la commune est calcaire et appartient au Jurassique supérieur. Comme toute cette partie de la rive droite de la Charente, géologiquement, Nercillac date du Tithonien (anciennement appelé Portlandien).
C'est en grande partie du Purbeckien, ancienne zone lagunaire résiduelle de la fin du Jurassique (s'étant évaporée au début Crétacé inférieur, étage Berriasien), caractéristique du Pays Bas et riche en gypse, et qui présente des affleurements de marnes et d'argiles. Le sud de la commune, ancien étang, est occupé par des alluvions du Quaternaire[4],[5],[6],[7].
Le relief de la commune est celui d'une plaine d'une altitude moyenne de 20 m. Le point culminant est à une altitude de 34 m, situé en limite sud-est. Le point le plus bas est à 8 m, situé sur la limite sud sur la Soloire. Le bourg est à environ 15 m d'altitude[3].
Hydrographie
Nercillac fait partie du bassin versant du fleuve Charente. Elle est traversée par la Soloire, un affluent de la Charente rive droite et qui passe au bourg, et son extrémité occidentale est bordée par le Fossé du Roi dans la zone de l'ancien étang créé au XVIIe siècle et supprimé à la fin du XIXe siècle.
Les terres argileuses et la faible pente concourent à ce que la partie la plus basse de la commune soit inondable.
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,1 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Toponymie
Une forme ancienne est Narcilhaco (non datée, Moyen Âge)[9].
L'origine du nom de Nercillac remonterait à un nom de personne gallo-romain Narcillius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Narcillacum, « domaine de Narcillius »[10]. On peut aussi proposer Nertiliacum, qui viendrai de Nertillus, nom propre gaulois, composé de nerto- et de la finale -illus, qui se rencontre dans plusieurs noms propres gaulois. Nertilla est un cognomen gallo-romain féminin[11],[Note 1].
Histoire
Près de Varaize, au bord de la Soloire un site de tegulæ et de tessons de céramique signe une activité de poterie gallo-romaine[12].
Le prieuré de Clunisiens Notre-Dame situé à Montour a été fondé au XIe siècle par les seigneurs de Cognac et remanié au XVe siècle. Il a fait l'objet de pèlerinages à certaines époques de l'année jusqu'à la Révolution, date à laquelle il a été vendu à un particulier. Il a été détruit au début du XXe siècle[13],[14].
La seigneurie de Nercillac a longtemps appartenu à la famille de Chièvres. Au milieu du XVIIe siècle, cette terre passa à la famille de Saint-Marsault, puis par mariage, à Gaspard Pandin, seigneur de Romefort et du Treuil, qui réunit aussi la seigneurie de Tignoux[15],[16].
Les seigneurs de Nercillac habitaient le logis de Tignoux. Le comte de Nercillac, Louis-Pharamond Pandin, émigra puis revint à Paris sous la Restauration[13]. Un de ses descendants, Ernest Pandin, comte de Nercillac, fut sous-préfet de Cognac de 1862 à 1867.
Au début du XXe siècle, la commune comptait des carrières d'argile réfractaire[15].
Héraldique
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Les armoiries de Nercillac se blasonnent ainsi : |
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Administration
Situation administrative
La commune de Nercillac a été créée en 1793 dans le canton de Jarnac, le district devenu arrondissement de Cognac et le département de la Charente.
La commune de Nercillac fait partie du canton et de la communauté de communes de Jarnac. Celle-ci appartient au Pays Ouest-Charente Pays du cognac (qui ne se recoupe pas avec la circonscription législative).
La sous-préfecture est à Cognac. Le SIVOM, syndicat intercommunal, a gardé les compétences d'entretien de la Soloire, des fossés du Pays bas, de l'ancien syndicat de cylindrage, de l'eau et de l'assainissement. Le SVDM, syndicat départemental, lui a repris la compétence déchets ménagers (collecte et traitement).
Élections
En 2007, Nercillac avait 874 électeurs inscrits et au second tour de l'élection présidentielle, l'abstention était de 17,96 %, avec 45,95 % pour Nicolas Sarkozy et 54,05 % pour Ségolène Royal.
Fiscalité
La fiscalité en 2007 est d'un taux de 20,40 % sur le bâti, 39,78 % sur le non bâti, et 13,26 % pour la taxe d'habitation.
La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.
Urbanisme
Typologie
Nercillac est une commune rurale[Note 2],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
La commune présente 430 logements, tous individuels. Ce sont 384 résidences principales et seulement 17 résidences secondaires, 4 logements occasionnels et 25 logements vacants. Les résidences principales ont été construites avant 1949 pour 162, de 1949 à 1974 pour 46, de 1975 à 1989 pour 145 soit 37,8 % et 31 de 1990 à 1999[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (38,9 %), zones agricoles hétérogènes (32,1 %), forêts (9,6 %), terres arables (8,5 %), prairies (7,1 %), zones urbanisées (3,6 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].
En 2018, la commune comptait 1 064 habitants[Note 4], en diminution de 0,19 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Remarques
Nercillac après avoir vu sa population augmenter au XIXe siècle s'est retrouvé avec moins d'habitants en 1936 qu'en 1800. Le dernier quart du XXe siècle a vu avec la construction de nombreuses maisons individuelles, la population augmenter à nouveau.
Économie
Agriculture
Nercillac est une commune rurale située en Fins Bois, cru classé du vignoble d'appellation d'origine contrôlée cognac[30].
C'est avant tout une commune viticole, plus de 400 hectares de la commune sont plantés de vignes et les pépinières sont plus de dix ce qui est l'activité qui caractérise la commune.
Emploi
La commune comporte 484 actifs ayant un emploi dont 412 sont salariés et 72 non salariés.
Seuls 119 des résidents de la commune y travaillent[22]
Commerces
Tous les commerces de proximité sont présents : supérette, boulangerie-pâtisserie, boucherie-charcuterie, hôtel-pension et quelques artisans, un salon de coiffure, un couvreur, une scierie, deux menuisiers, une entreprise de terrassement, une entreprise parcs et jardins, un dépanneur TV.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Nercillac possède une école primaire publique comprenant quatre classes, dont une de maternelle. Elle est située au 270 rue des Écoles. Le secteur du collège est Cognac (Félix-Gaillard)[31].
Santé
Nercillac dispose de deux médecins généralistes, d'une pharmacie et d'une infirmière.
L'hôpital le plus proche est à Cognac et la clinique la plus proche à Châteaubernard.
Sports
Il y a un terrain de foot et un terrain de tennis.
L'ESNR, entente sportive Nercillac Réparsac est le club de foot.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Germain est une ancienne vicairie perpétuelle du diocèse de Saintes, unie à l'abbaye de Bassac. L'église était commune à la paroisse et au prieuré du lieu, fondé au XIe siècle. C'était un long rectangle très endommagé par les protestants, faiblement réparé, même en 1850, mais beaucoup mieux de 1878 à 1890, époque où des voûtes en briques ont été montées, ainsi qu'une chapelle latérale et une tribune à l'ouest[32],[33].
L'ancien bâtiment conventuel devenu presbytère présente un soubassement voûté en berceau éclairé par un triplet qui a pu être une grange dîmière datant du XIIe siècle[34],[33].
- La façade.
- Le clocher.
- La cour du presbytère.
- Le presbytère
- ou grange dîmière.
Patrimoine civil
Le logis du Tillet, appelé autrefois les Mabilles, porte la date de 1733 mais a été très remanié. Il appartenait à la famille de Fé qualifiés de seigneur de Saint-Martin, du Tillet, de Nercillac et de La Laigne[35],[36],[37].
Une des fermes de Nercillac est du XVIIIe siècle et beaucoup sont du début du XIXe siècle[38].
Patrimoine environnemental
La Soloire et sa vallée inondable forment un environnement où l'on trouve une faune et une flore de grand intérêt et en particulier des fritillaires pintades des poissons, des batraciens et des oiseaux.
Personnalités liées à la commune
- Armand Pinsard, aviateur, as français de la Première Guerre mondiale avec 27 victoires confirmées, né à Nercillac le , décédé à Ceyzériat, dans le département de l'Ain, le .
- Gilbert Charles-Picard, historien et archéologue français, né à Nercillac le , décédé le .
- Renaud Lavillenie, perchiste, né à Barbezieux-Saint-Hilaire, le , a grandi à Nercillac où son père, ancien perchiste également, est ferronnier d'art. En 2009, lors des Championnats d'Europe d'athlétisme en salle à Turin, il remporte la médaille d'or, puis la médaille de bronze lors des Mondiaux de Berlin. Il est depuis le , détenteur du record de France de saut à la perche avec 6,01 mètres, et depuis le , celui du record mondial avec 6,16 mètres.
- Christophe Jallet, footballeur, né à Cognac le , a grandi à Nercillac et a débuté au sein du club local. Après avoir évolué à Niort puis au FC Lorient, il s'est engagé en avec le Paris-Saint-Germain.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Voir aussi Nersac.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cognac, Charente (16), 30 m - [1961-1990] », sur Infoclimat (consulté le )
- Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 441
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 490.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 137
- Histoire de Cognac, Jarnac, Segonzac, abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
- « Prieuré de Montour », notice no IA00049622, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 261
- Jean-Marie Ouvrard, « Armoiries de Charente, Pandin », (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Nercillac sur le site de l'Insee
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Nercillac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
- « Église Saint-Germain », notice no IA00049621, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Presbytère ou grange dîmière », notice no IA00042608, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Logis du Tillet », notice no IA00042607, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Commune de Nercillac, « Logis du Tillet », (consulté le )
- Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de la Charente, famille de Fé », (consulté le )
- « Nercillac », base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- « Nercillac », base Palissy, ministère français de la Culture
- Catillus Carol, « Nercillac », (consulté le )
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