Nersac

Nersac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine). Elle est située à l'ouest d'Angoulême dont elle fait partie de la communauté d'agglomération.

Nersac

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Barbara Couturier
2020-2026
Code postal 16440
Code commune 16244
Démographie
Gentilé Nersacais
Population
municipale
2 382 hab. (2018 )
Densité 258 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 37″ nord, 0° 03′ 06″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 72 m
Superficie 9,24 km2
Unité urbaine Angoulême
(banlieue)
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Couronne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Nersac
Géolocalisation sur la carte : Charente
Nersac
Géolocalisation sur la carte : France
Nersac
Géolocalisation sur la carte : France
Nersac
Liens
Site web www.nersac.fr

    Ses habitants sont les Nersacais et les Nersacaises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Nersac est située à 11 km à l'ouest d'Angoulême[2], sur la route d'Angoulême à Châteauneuf (la D 699) et sur la rive gauche de la Charente, en aval d'Angoulême. Nersac est à 10 km de Châteauneuf.

    Pont de la Meure

    Nersac est aussi traversée par la D 41, qui la relie à La Couronne au sud-est, et à Trois-Palis au nord par le pont de la Meure sur la Charente. Nersac est à km de La Couronne, chef-lieu de son canton.

    La N 10 d'Angoulême à Bordeaux passe à km au sud-est de la commune, et les échangeurs de La Couronne et Roullet permettent d'y accéder.

    La ligne Angoulême - Royan traverse aussi la commune, qui y possédait une gare, fermée depuis peu.

    La LGV Sud Europe Atlantique traverse la commune depuis 2015, à l'est de la zone industrielle, par un viaduc sur la Charente[3].

    Hameaux et lieux-dits

    Pombreton, sur la D 41 à mi-chemin entre Nersac et La Couronne, au bord de la vallée de la Boëme, est le hameau le plus important. Il est quasiment rattaché au bourg de Nersac, de même qu'à celui de La Couronne par une succession de maisons.

    Les autres hameaux, plus petits, sont parfois maintenant englobés dans l'urbanisation. On peut citer les Fleuranceaux, la Meure et son pont sur la Charente, les Fontenelles, la Fuie, le Pontreau. Chez Bernier, la Garde et l'Île sous Garde sont au sud-ouest de la commune. Fleurac, au nord-est, non loin de Saint-Michel, est connue pour son château et son moulin, ancienne papeterie.

    Le logis de l'Île d'Épagnac, dont le nom évoque la ville éponyme de l'agglomération angoumoisine, est située sur la Boëme juste à côté de son confluent[4].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Géologiquement, comme les trois quarts ouest du département, la commune occupe les terrains calcaires du Bassin aquitain. Elle se situe plus particulièrement à la limite nord du calcaire crétacé (Crétacé supérieur, Cénomanien inférieur et moyen). La base de la terrasse entre Fleurac, les Fleuranceaux et le vieux bourg est constituée de Jurassique supérieur (calcaire argileux du Portlandien).

    Les vallées (Charente et Boëme) sont occupées par des alluvions datant du Quaternaire. Les plus anciennes s'élèvent jusqu'à plus de 25 m au-dessus du lit du fleuve, comme au Bois Bedreuil[5],[6],[7].

    La commune se trouve principalement sur un bas plateau ou terrasse surplombant la vallée de la Charente, et coupé par la vallée de la Boëme. Son altitude est d'environ 60 m, alors que la Charente est à une altitude de 24 m. La vallée de celle-ci est moins large qu'en amont d'Angoulême, environ 500 m.

    Le point le plus bas est 21 m (la Charente à la sortie de la commune) et le point le plus haut, 71 m, situé au sud-ouest de Pombreton, mais aussi sur la route d'Angoulême 72 m[4].

    Hydrographie

    La Charente à l'écluse de la Mothe.

    La commune borde la Charente sur sa rive gauche et se trouve au confluent de la Boëme, affluent qui passe au sud du vieux bourg et Pombreton et qui a participé au riche passé industriel de Nersac.

    La Charente, navigable entre Angoulême et l'océan, est aujourd'hui empruntée par la navigation de plaisance. L'écluse de la Mothe est située sur la commune, et l'ancien chemin de halage y empruntait temporairement la rive gauche.

    Un minuscule affluent de la Charente de km fait la limite sud de la commune avec Roullet-Saint-Estèphe, et passe au pied des lieux-dits du Pas et de Chez Bernier.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Nersac est une commune urbaine[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[12] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,1 %), zones urbanisées (22,5 %), terres arables (22 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12 %), cultures permanentes (5,9 %), prairies (4,5 %), forêts (4,3 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne est Narciaco en 1328[18].

    L'origine du nom de Nersac remonterait à un nom de personne gaulois Nartius ou Narissius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Narciacum, « domaine de Nartius »[19].

    Histoire

    Avant 887, Ramnoul, vicomte d'Angoulême, possédait une curtis ou domaine comtal carolingien à Nersac, de l'ordre de 200 à 300 hectares selon André Debord[20].

    Sans doute faut-il y voir dans cette curtis les lointaines origines de la Foucaudie, en plein centre de Nersac et construit au XVIe siècle.

    On sait seulement qu'au XVIIe siècle, Étienne de Lubersac, qui avaient ses ancêtres à Lubersac près de Brives, seigneurs d'une terre considérable, possédait la Foucaudie, seigneurie de Nersac dont le fief dépendait alors de l'abbaye de Saint-Cybard.

    En 1743, Louis de Lubersac, chevalier, seigneur de l'Herse et de la Foucaudie, vend la terre de Nersac, et celle-ci passe entre plusieurs mains jusqu'en 1798 où la Foucaudie est acquise par Jean Marie du Tillet de Boisbedeuil[20],[21].

    Il existe sur la commune deux pigeonniers de seigneurs hauts-justiciers dont un au château de Fleurac.

    Les registres de l'état civil remontent à 1617[22].

    Des nombreux moulins, il reste la trace du moulin de Fleurac, moulin à blé et à huile au XVIe siècle, transformé en moulin à papier, en 1978, repris par l'association « les Amis de la tradition papetière d'Angoumois et des provinces voisines » qui a relancé son activité, la fabrication du papier à la cuve à partir de lin et de coton selon les techniques du XVIIIe siècle et devenu musée du papier.

    Nersac a été un des lieux de l'industrie du papier. Le moulin à papier situé à Pont-Huillier a été créé en 1628 et transformé en usine à papier en 1841, par Laroche Joubert et Cie et Sazerac de Forge. En 1890, elle est achetée par Deschamps, de Vœuil, et transformée en usine de feutre pour papeterie. En 1748, il y avait quatre roues et deux cuves. En 1935, la roue hydraulique de type Sagebien a été remplacée par deux turbines Francis.

    L'usine de pâte à papier, Laroche Joubert et Cie, sur la Boëme, a été construite vers 1850, sur l'emplacement d'un ancien moulin à blé pour Laroche Joubert, Dumergue, Lacroix et Cie. Dans les années 1880, il ne s'y fabriquait que de la pâte à papier pour les autres usines de la société. Vendue vers 1890, elle devient une fabrique de feutres coucheurs pour l'industrie papetière. Elle a arrêté ses activités vers 1920. Le parc a été réalisé dans les années 1880 par l'architecte paysagiste Montembœuf[23].

    Il a existé deux autres usines de feutre, une transformée en menuiserie et l'autre devenue la tannerie de Sireuil.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or au chêne arraché de sinople.
    • Blason de la Famille Florenceau de Boisbedeuil.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Maire actuel : André BONICHON, réélu. Sans étiquette.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    22 octobre 1944  ? Edward Dumousseau   Boulanger
    28 mars 1965 24 mars 1989 Guy Lepreux   Préparateur en pharmacie
    24 mars 1989 mars 2008 Bernard-Alain Charrier SE
    Centriste
    Directeur d'école
    Vice-président de la CA du Grand Angoulême
    mars 2008 En cours André Bonichon SE Pharmacien
    Vice-président du Grand Angoulême (2017 → )

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2018, la commune comptait 2 382 habitants[Note 3], en diminution de 2,89 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    6931 0059831 1031 0339511 2441 2451 247
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 3451 3391 3261 4101 4311 5751 4581 4321 454
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 2851 2341 1281 2331 2881 2851 3241 6581 774
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    1 8172 1182 1102 4332 3842 3202 3982 3982 382
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Nersac en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,3 
    5,4 
    75 à 89 ans
    8,5 
    15,4 
    60 à 74 ans
    14,2 
    22,2 
    45 à 59 ans
    23,1 
    21,8 
    30 à 44 ans
    20,8 
    16,5 
    15 à 29 ans
    15,1 
    18,4 
    0 à 14 ans
    16,9 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Agriculture

    La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

    Industrie

    La zone industrielle de Nersac est la dernière née des six zones industrielles de l'agglomération d'Angoulême.

    Commerces

    Pharmacie, boucherie, boulangerie, médecins (1), cabinet d'infirmiers, chirurgiens-dentistes (2), coiffeurs, kinésithérapeutes (2), restaurants (4) dont un bar, loto, PMU, garages VL PL carrossiers (3+), architectes, supérette (distributeur de billets, carburants, gaz, tickets de bus, tabac-journaux), bureau de poste (ouvert les après-midi sauf samedi-dimanche).

    Équipements, services et vie locale

    L'école primaire.

    Enseignement

    La commune compte une école élémentaire, Alfred-de-Vigny, comprenant six classes, et une école maternelle, Émile-Roux, comprenant quatre classes. Elles sont situées rue du Pontreau.

    Le collège public du secteur est à La Couronne[32].

    Jumelage

    Dans le cadre de son programme de jumelage avec d'autres villes du monde, la ville de Nersac est jumelée avec Cocentaina (Espagne)[33].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Pierre, construite aux XIIe et XIIIe siècles, a été inscrite monument historique depuis 1925[34]. La première église avait été consacrée en 887[35].

    Château de Fleurac

    Château de Fleurac.

    Le château de Fleurac, en direction de Saint-Michel, surplombe la Charente sur sa rive gauche. Il est entouré de terrasses à balustrades et de douves, dont la construction a débuté au XVIe siècle présente des façades surmontées de créneaux sur mâchicoulis qui cachent les toitures. Façades et toitures, douves et terrasses avec leurs balustrades ainsi que l'escalier de pierre à balustres et le grand salon orné de gypseries ont été inscrits monument historique en 1988[36].

    Château de la Foucaudie

    Le château de la Foucaudie a été construit au XVIe siècle. La Foucaudie a conservé une courtine du XVIIIe siècle encadrée de deux tourelles[37]. La façade ouest comporte deux tourelles carrées, l'une datant du XVIe siècle, portant échauguette, crénelage de fantaisie et trous de mousquets, et l'autre copiée au XIXe siècle. Elles encadrent une terrasse reposant sur des arcades et accessible par un bel escalier monumental également du XIXe siècle. Les deux tourelles extérieures, datant du XVIIe siècle, sont rondes et couvertes de poivrières. Elles sont l'œuvre de Jean-Louis de Lubersac. Leurs murs sont percés de meurtrières et de bouches à feu. Au XVIIIe siècle, le château est possédé par François de Lubersac.

    La Foucaudie est depuis 1952 l'hôtel de ville de Nersac[38], et il comprend aussi la poste.

    Logis

    Les logis de la Mothe et de Boisbedeuil sont des constructions du XVIIIe siècle correspondant à d'anciens fiefs.[image souhaitée].

    Logis de la Mothe

    La Mothe tire son nom probablement d'une ancienne motte féodale. Le fief de la Mothe est donné en 1240 à Geoffroy de Bouteville par Isabelle Taillefer, comtesse d'Angoulême et reine d'Angleterre. Le château a souffert des vissicitudes des guerres de Religion. Le logis actuel date du XVIIIe siècle et fait chambres d'hôtes[39].

    Moulin de Fleurac

    Le moulin de Fleurac, sur la Charente et au pied du château du même nom, est à l'origine un moulin à blé et à huile du XVIe siècle. Il a été presque entièrement reconstruit à la fin du XIXe siècle, transformé en 1978 en moulin à papier, puis acheté en 1983 par le Conseil général de la Charente et transformé en musée à papier. Le matériel de fabrication et la roue hydraulique ont été reconstruits selon les planches de l'Encyclopédie. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 1984[40].

    Moulin Papart

    Le moulin Papart, sur la Boëme, était un moulin à foulon, transformé en usine de feutre pour papeterie à la fin du XIXe siècle qui a fonctionné jusqu'en 1914 pour la papeterie de l'abbaye à La Couronne (Procop)[41].

    Patrimoine environnemental

    La Charente au moulin de Fleurac
    • La vallée de la Charente est en zone Natura 2000.
    • Un parc a été réalisé dans les années 1880 par l'architecte paysagiste Montembœuf autour de l'usine de pâte à papier Laroche Joubert et Cie[23].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. « ViaMichelin, chemin le plus court », Michelin, (consulté le )
    3. Réseau ferré de France, « [PDF] Carte du tracé LGV Sud Europe Atlantique entre Angoulême et Bordeaux », (consulté le )
    4. Carte IGN consultable sous Géoportail (cliquer sur les coordonnées dans l'infobox)
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. Carte du BRGM sous Géoportail
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 39,198
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 490.
    20. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 520
    21. Le logis de Boisbedeuil est aussi sur Nersac, entre le bourg et le château de Fleurac. La famille du Tillet l'a possédé jusqu'en 1839 (réf: Jean-Paul Gaillard).
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 261
    23. « Ancienne papeterie », notice no IA00066339, base Mérimée, ministère français de la Culture
    24. Mandats des maires de 1790 à 2001
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Evolution et structure de la population à Nersac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
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    33. « Nersac (16440, Charente) : la ville Nersac, sa mairie et son village sur Communes.com », sur www.communes.com (consulté le )
    34. « Église de Nersac », notice no PA00104444, base Mérimée, ministère français de la Culture
    35. Joseph Depoin, Les comtes héréditaires d'Angoulême de Vougrin Ier à Audoin II, Angoulême, Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, , 27 p. (lire en ligne [PDF]), p. 13
    36. « Château de Fleurac », notice no PA00104443, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)
    38. base Mérimée, patrimoine, « Château de la Foucaudie », www.chateau-fort-manoir-chateau.eu, (consulté le )
    39. « Historique du château de la Mothe », sur www.chateaulamothecharente.fr (consulté le )
    40. « Moulin de Fleurac », notice no PA00104445, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. « Moulin Papart », notice no IA00066343, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Le Château de Fleurac (Nersac) par Michel-Alexandre Mahy, in Bulletins et Mémoires de la Société Archéologique et Historique de la Charente, année 2003.

    Liens externes

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