Saint-Michel (Charente)

Saint-Michel est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Michel.

Saint-Michel

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Fabienne Godichaud
2020-2026
Code postal 16470
Code commune 16341
Démographie
Gentilé Saint-Michaéliens ou Saint-Mickaëliens
Population
municipale
3 223 hab. (2018 )
Densité 1 310 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 34″ nord, 0° 06′ 26″ est
Altitude Min. 25 m
Max. 62 m
Superficie 2,46 km2
Unité urbaine Angoulême
(banlieue)
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Couronne
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Michel
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Michel
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Michel
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Michel
Liens
Site web stmichel-entraygues.fr

    Peu étendue en surface, elle est située à l'ouest d'Angoulême dont elle fait partie de l'agglomération.

    Ses habitants sont les Saint-Michaéliens et les Saint-Michaéliennes, ou les Saint-Mickaëliens et les Saint-Mickaëliennes[1].

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Localisation et accès

    Plus petite commune du Grand Angoulême en superficie, Saint-Michel est située à km à l'ouest d'Angoulême[2], sur la rive gauche de la Charente.

    La N 10 entre Angoulême et Bordeaux limite la commune au sud-est. La D 699, route d'Angoulême à Nersac, Châteauneuf et Jonzac, bifurque de la N 10 à Girac et traverse le bourg d'est en ouest. L'échangeur de Girac, important carrefour, permet d'accéder à la N 10 qui joue aussi le rôle de rocade ouest d'Angoulême, ainsi qu'à la rocade sud et est.

    La D 103, de La Couronne à Fléac, traverse aussi le bourg et contourne l'agglomération par l'ouest. La D 72, route de Basseau, d'Angoulême à Linars, traverse le nord de la commune et franchit la Charente. La D 104 qui arrive de Puymoyen et Girac passe au pied du bourg à Puygrelier[3].

    Saint-Michel est aussi desservie par les transports en commun d'Angoulême qui desservent l'agglomération, les lignes no 6 et 7.

    Le train ne s'arrête plus à la gare de Saint-Michel-sur-Charente, et la gare la plus proche est celle d'Angoulême (lignes Paris-Bordeaux et Limoges-Saintes-Royan).

    Hameaux et lieux-dits

    On trouve le quartier des Saujets (ou Saugets) et des Sicauds à l'ouest, les Brandes au sud, et, au-delà de la gare, le Bois Personnier en haut et le Pont de Basseau en bas, quartier de la papeterie.

    L'hôpital de Girac occupe l'extrémité sud de la commune.

    Plus près du bourg, on trouve Puygrelier à l'est et les Douhauds à l'ouest[3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Michel
    Fléac
    Nersac Angoulême
    La Couronne

    Géologie et relief

    Le terrain communal est calcaire et appartient à la zone du Crétacé du Bassin aquitain.

    On trouve toutefois une minuscule zone de Jurassique supérieur (Portlandien) sur le bord de la vallée de la Charente aux Saujets.

    Le calcaire crétacé occupant les plateaux date du Cénomanien, avec une petite zone de Turonien inférieur (appelé aussi Ligérien) au sud-est de la commune.

    Les fonds des vallées (Charraud, Eaux Claires et Charente) sont occupés par des alluvions récentes, du Quaternaire. On trouve des alluvions plus anciennes et plus en hauteur à Basseau[4],[5],[6].

    La commune occupe un plateau bas sur la rive gauche de la Charente et dans sa vallée, entrecoupé par les vallées de la Charraud au sud et des Eaux Claires au nord, formant un promontoire sur lequel le bourg est construit, prolongeant le plateau de la Tourette situé à l'extérieur de la commune au sud-est. Le point culminant de la commune est à une altitude de 62 m, situé en limite de commune près de Girac. Le point le plus bas est à 25 m, situé le long de la Charente. Le bourg est à environ 52 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune est située sur la rive gauche de la Charente en aval d'Angoulême, et elle est traversée par les Eaux Claires au nord, et la Charreau au sud, qui se jettent dans la Charente à l'ouest.

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,7
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Michel est une commune urbaine[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[11] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (79,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (62,4 %), zones agricoles hétérogènes (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,6 %), prairies (5,6 %), forêts (1,1 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Les formes anciennes, en latin, sont Inter duas Aquas en 1110[17] ; Sanctus Michael inter aquas en 1297, Sanctus Michael en 1405[18].

    C'est l'archange Michel qui a donné son nom à la paroisse[19].

    Pendant la Révolution, Saint-Michel s'est appelé Michel d'Antraigue[20]. La commune a été créée Saint-Michel en 1793 à partir du nom de la paroisse[21].

    Du fait de sa position entre trois cours d'eau, la commune s'appelle aussi Saint-Michel-d'Entraigues[22],[23] ou Saint-Michel-d'Entraygues[24],[25].

    Histoire

    L'existence de vestiges préhistoriques atteste de l'ancienneté de l'occupation humaine.

    De l'époque gallo-romaine, une ancienne villa dont les vestiges ont été retrouvés au XIXe siècle surplombait le pont de Basseau.

    Près du pont de Basseau actuel, un peu en aval, une ancienne voie supposée romaine reliant Angoulême à Cognac et Saintes appelée plus tard le chemin des Anglais traversait la Charente par un pont en bois dont on pouvait voir encore quelques piles au XIXe siècle lorsque les eaux étaient basses.

    L'ancien port d'Angoulême[Note 3], situé sur la rive gauche un peu en amont du pont de Basseau, est supposé d'origine antique[26].

    L'église de Saint-Michel est une église-refuge construite en 1137 par le fondateur de l'abbaye de La Couronne pour accueillir les pèlerins sur la route de Compostelle[27],[28].

    Au cours du Moyen Âge, Saint-Michel se trouvait en effet sur un itinéraire transversal est-ouest et un itinéraire secondaire nord-sud de la via Turonensis fréquentés par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle mais aussi aux reliques de saint Eutrope à Saintes depuis le Limousin et le Périgord[29].

    Les moulins à papier datent du XVIIe siècle. Ainsi au moulin du Petit Saint-Michel, le moulin à papier, construit en 1644, fut entièrement reconstruit en 1747 pour Sazerac de Forge[30].

    Le moulin à papier de Chantoiseau, mentionné en 1656, devient à la fin du XIXe siècle, une annexe à la papeterie de Basseau[31].

    L'usine à papier du Martinet, situé sur la Charreau, a fait suite au moulin à papier de la fin du XVIIIe siècle construit par la famille Sazerac de Forge. Il a été transformé en usine à papier en 1837 et employait 200 personnes en 1846. L'activité a continué jusque vers 1960[32]. L'usine appartenait au début du XXe siècle à Alamigeon frères. L'ancien moulin devait son nom à une fabrique de chaudronnerie située à son emplacement, dans laquelle les pièces de cuivre étaient battues par un énorme marteau mû par la force de l'eau[23].

    L'écluse de Basseau sur la Charente à Saint-Michel.

    Un des quatre moulins à blé de Basseau est transformé en annexe de la papeterie du Martinet par Laroche frère, en 1857, puis devient à partir de 1888 l'usine à papier Laroche-Joubert qui est rachetée en 1988, par Godard de Cognac, et transformée en cartonnerie. En 1885, ces quatre moulins à blé de Basseau sont l'objet d'un essai de transformation en usine de pâte de bois[33].

    Le Grand-Girac était aussi une papeterie, à cheval sur la commune de La Couronne[23].

    La ligne d'Angoulême à Cognac et Saintes a été mise en service en 1867, desservant la commune par une gare. Elle a appartenu d'abord à la Compagnie des Charentes, puis à l'État en 1878, et la SNCF en 1938. Elle écoulait les produits des papeteries, qui étaient acheminés auparavant par le fleuve et les deux routes, de Châteauneuf et de Bordeaux[23].

    Au tout début du XXe siècle, il y avait aussi une fabrique de sabots au Petit Saint-Michel. À cette époque, la poudrerie d'Angoulême a été reliée par un embranchement à la gare de Saint-Michel, ce qui lui a donné un nouvel essor.

    La Colonie était une suite de maisons, construites au bord de la route de Bordeaux par les soins de la famille Laroche-Joubert, servant de logements aux ouvriers de leur usine de l'Escalier. Pendant la première moitié du XXe siècle, l'Escalier était aussi desservi par une halte sur la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Blanzac appelée le Petit Mairat, qui longeait plus ou moins la route de Bordeaux jusqu'à La Couronne.

    Le Petit-Girac appartenait à un philanthrope angoumoisin, M. Leclerc-Chauvin, qui à sa mort, en fit don à la ville d'Angoulême, sous la condition qu'elle en ferait une annexe de l'hôpital. Elle a alors été transformée en maison de retraite[23],[Note 4].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 1938 Honoré Marquais[34]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1983 André Compain[34] FGDS Chef de culture
    1983 1995 Michel Beaudut[34]    
    1995 2008 Jean Bougette PS  
    2008 En cours Fabienne Godichaud DVG Professeure des écoles
    Conseillère départementale du canton de La Couronne (2015 → )
    Vice-présidente du Grand Angoulême (2017 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué une fleur à la commune[35].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2018, la commune comptait 3 223 habitants[Note 5], en diminution de 1,44 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    391501346491491591569519553
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    6767827738829851 0681 3021 3111 246
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 2091 2621 2961 3681 5341 7691 9601 8492 305
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    2 7022 8463 2383 1252 9603 1133 1333 2613 223
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Saint-Michel en 2007 en pourcentage[39].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9 
    90  ans ou +
    3,8 
    10,6 
    75 à 89 ans
    16,4 
    15,9 
    60 à 74 ans
    16,1 
    21,2 
    45 à 59 ans
    18,2 
    18,5 
    30 à 44 ans
    16,0 
    18,1 
    15 à 29 ans
    17,3 
    14,8 
    0 à 14 ans
    12,3 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[40].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Saint-Michel a bénéficié de l'industrialisation et sa population a augmenté à partir de 1851.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Le collège d'enseignement secondaire Puygrelier regroupe 515 élèves de la 6e à la 3e répartis dans 19 classes (en 2011)[41],[42].

    Saint-Michel possède une école élémentaire, Louis-Pasteur, comprenant six classes, et une école maternelle, Charles-Perrault[43].

    Santé

    Jumelages

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    Saint-Michel est un édifice roman du XIIe siècle de forme octogonale, entouré de huit absidioles ouvrant sur la rotonde. La date de la construction est connue par un document de l'abbaye de La Couronne. Elle est dédiée en 1137 « en l'honneur et pour la gloire de Dieu et de la Vierge Marie, afin d'accueillir les pauvres du Christ »[44]. Elle est désignée comme église paroissiale dès la fin du XIIIe siècle. Suite aux troubles des guerres de Religion, la voûte s'effondre au début du XVIIe siècle. L'église, réduite à son rez-de-chaussée, est couverte d'une simple charpente vers 1644. Elle est classée monument historique sur la première liste de 1840[45] et restaurée par l'architecte Paul Abadie de 1848 à 1853. Dès 1852 elle est à nouveau consacrée. L'ensemble de l'étage des baies hautes et de la coupole de 13 mètres de diamètre, à huit pans, surmontée d'un lanternon, furent créés par Abadie, selon ses conceptions de l'architecture romane, sans rapport avec l'élévation originelle, beaucoup plus simple, que l'archéologie permet d'envisager. Il est aussi intervenu sur les sculptures du niveau des absidioles[44].

    Le tympan roman du portail présente saint Michel terrassant le dragon[46].

    Un clocher séparé est érigé en 1898, puis remplacé par l'actuel au début du XXe siècle.

    Une tradition du XIXe siècle y vit un refuge pour les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle, par confusion avec un relais qui se trouvait en face de l'église, détruit au XIXe siècle[réf. nécessaire].

    Patrimoine civil

    Le logis de Puygrelier possède une tour carrée avec échauguette en encorbellement qui est sa partie la plus ancienne et date du XVIe siècle Le logis a été très remanié depuis[47].

    Héraldique

    Les armoiries de Saint-Michel se blasonnent ainsi :

    Écartelé au 1) et au 4) d’azur aux trois fasces ondées d’argent, au 2) et au 3) de gueules au rouleau à papier d’argent ; le tout sommé d’un chef d’or à saint Michel terrassant un dragon, le tout soudé d’argent.

    Création Michel Beaudut. Devise: « inter aquas civium virtutibus » (d'entre les eaux, mérite des vertus civiques).

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Avant 1280, date d'établissement du port de l'Houmeau dit Saint-Roch au pied de la ville.
    4. Un autre asile d'indigents a été fondé par M. Leclerc-Chauvin, au Gond-Pontouvre.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. La naissance de ces athlètes à Saint-Michel est simplement due à la présence de l'hôpital de Girac.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    7. « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 127
    18. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 70,390
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 618.
    20. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Charente - Géographie, histoire - V.A. Malte-Brun, édition du Bastion, 1882
    23. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 343
    24. Site de la commune
    25. Charles Daras, Saint-Michel d'Entraygues, impr. de Daupeley-Gouverneur, , 16 p. (présentation en ligne)
    26. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 222
    27. Charles Daras, Angoumois roman, Abbaye Sainte-Marie de la Pierre-qui-Vire, , 259 p. (lire en ligne), Saint-Michel-d'Entraygues
    28. Philippe Sénac, Aquitaine-Espagne (VIIIe-XIIIe siècle), vol. 12, Poitiers, Centre d'études supérieures de civilisation médiévale, coll. « Civilisation médiévale », , 240 p. (ISBN 2-9514506-5-6, lire en ligne), p. 211
    29. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9
    30. « Moulin du Petit Saint-Michel », notice no IA00066390, base Mérimée, ministère français de la Culture
    31. « Moulins de Chantoiseau », notice no IA00066389, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. « Usine du Martinet », notice no IA00066388, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. « Papeterie Laroche-Joubert », notice no IA00066387, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. [PDF] « Flânerie au fil des rues », L'Entraygues Bulletin municipal n°8, , p. 5
    35. Site des villes et villages fleuris, consulté le 7 février 2021.
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Evolution et structure de la population à Saint-Michel en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    40. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges » (consulté le )
    42. Site officiel du collège Puygrelier
    43. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    44. Pierre Dubourg-Noves, « Saint-Michel d'Entraigues », in Congrès archéologique de France, 1995, p.329-338, (lire en ligne).
    45. « L'église de Saint-Michel », notice no PA00104508, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. Charles Daras (président honoraire de la Société archéologique et historique de la Charente), « Archeologia, no 39 », (consulté le )
    47. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Portail de la Charente
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.