Puymoyen
Puymoyen est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Puymoyen | |||||
Vallée des Eaux-Claires. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Gérard Bruneteau 2020-2026 |
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Code postal | 16400 | ||||
Code commune | 16271 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Puymoyenais | ||||
Population municipale |
2 381 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 328 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 36′ 52″ nord, 0° 10′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 51 m Max. 149 m |
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Superficie | 7,26 km2 | ||||
Unité urbaine | Angoulême (banlieue) |
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Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Couronne | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.puymoyen.fr | ||||
Elle est située au sud d'Angoulême dont elle fait partie de l'agglomération. En zone résidentielle, ses maisons sont souvent disséminées parmi les chênes. Ses habitants sont les Puymoyenais et les Puymoyenaises[1].
Géographie
Localisation et accès
Le bourg de Puymoyen est situé à 4 km au sud-est de la ville d'Angoulême, 6 km à l'est de La Couronne et 3 km au sud de Soyaux[2].
La commune est traversée par la route départementale 104, qui va de Saint-Michel à Dirac et dessert le bourg. La rocade est d'Angoulême (D 1000) passe au nord de la commune, la route d'Angoulême à Libourne (D 674) passe à l'ouest, et la route d'Angoulême à Villebois-Lavalette (D 81) passe à l'est[3].
Puymoyen est aussi desservie par les transports en commun d'Angoulême qui desservent l'agglomération, avec des connexions aux lignes de bus no 8 et 22.
Hameaux et lieux-dits
La partie occidentale de la commune compose une partie du quartier de Ma Campagne, en limite avec Angoulême, ainsi que la zone économique.
À l'ouest du bourg, on trouve le Petit Rochefort, lotissements dont le cœur est un ancien hameau, ainsi que le Verger. Au nord du bourg, non loin de la route D 81, on trouve les Reclos, les Creusilles et le Petit Peusec.
Enfin, dans la vallée des Eaux Claires, on trouve d'ouest en est Clairgon, le Moulin du Verger, et le Petit Chamoulard au sud[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est occupée par des plateaux calcaires datant du Crétacé. On trouve le Turonien (aussi appelé Angoumien) sur une grande moitié ouest, ainsi que dans la vallée des Eaux Claires. Le plateau à l'est du bourg compris, ainsi que le Petit Peusec, est occupé par le Coniacien (calcaire plus graveleux).
L'Angoumien a été exploité par des carrières de pierre de taille souterraines, souvent reconverties en champignonnières ou abandonnées (vallée des Eaux Claires)[4],[5],[6].
Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 130 m, entaillé par la vallée des Eaux Claires qui passe au sud du bourg, et de la combe de Clairgon à l'ouest. Le point culminant est à une altitude de 149 m, situé au nord-est du bourg. Le point le plus bas est à 51 m, situé le long des Eaux Claires au pont de la route de Libourne. Le bourg est à environ 135 m d'altitude[3].
La vallée des Eaux Claires est bordée de falaises réputées pour l'escalade.
Hydrographie
Les Eaux Claires, ruisseau se jetant dans la Charente à Saint-Michel-d'Entraigues en aval d'Angoulême, traverse la commune.
Climat
Comme dans les trois-quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Végétation
La vallée des Eaux Claires est bordée de chênes verts, et la flore y est pré-méditerranéenne.
Urbanisme
Typologie
Puymoyen est une commune urbaine[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[11] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (26,9 %), forêts (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), prairies (14,1 %), terres arables (10,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes sont Poimea en 1147, Podiomea avant 1160[17], Podio Medio au XIIIe siècle[18].
L'origine du nom de Puymoyen est issue du latin podium medianum, « le sommet du milieu », le sommet d'entre vaux : Puymoyen est en hauteur entre les vallées de l'Anguienne et des Eaux-claires, ou un sommet au midi par rapport à Angoulême[19],[20].
Histoire
Préhistoire
Un gisement du Moustérien existe au Petit-Puymoyen[Note 3], et un os temporal apparenté à un homme de Néandertal a été trouvé[21].
Ancien Régime
La vallée des Eaux Claires a vu se développer une activité papetière artisanale et industrielle. On peut citer le moulin du Verger dès le XVIe siècle[22], la papeterie du Petit Chamoulard qui a exercé son activité entre 1670 et le début du XXe siècle[23], et le moulin du Petit Rochefort qui a été une usine de pâte à papier puis cartonnerie pour les papeteries Laroche-Joubert à Nersac et qui a exercé entre le XIXe siècle et 1985[24].
Le château du Diable occupait un château plus ancien qui avait été occupé puis détruit lors de la guerre de Cent Ans par les Anglais. Le château actuel fut construit au tout début du XVIe siècle et possédé alors par Pierre de Montjean, seigneur du Petit Rochefort[25].
Temps modernes
Au début du XXe siècle, la commune était encore très rurale. Le phylloxéra avait détruit des nombreuses vignes qui produisait un bon vin, et le vignoble n'a pas été reconstitué. Les vallées favorisaient l'élevage de vaches, et le lait était vendu sur les marchés, en particulier celui d'Angoulême.
Des carrières de pierre de taille (appelée « pierre dure » au XIXe siècle) étaient exploitées à Pierre Dure. Elles seront transformées en champignonnières plus tard dans le XXe siècle.
Au milieu du XIXe siècle, un bloc de rochers s'effondra dans la vallée des Eaux Claires, et on put en retirer suffisamment de matériaux pour la construction de l'école et de la mairie.
Au logis de Charsé, au XIXe siècle, une école d'agriculture pour jeunes délinquants avait été fondée par l'abbé Blancheton, mais elle a été abandonnée au début du siècle suivant[25].
Le quartier de Ma Campagne (Chaumes de Crage) et les grottes de Saint-Marc, le long de l'Anguienne, appartenaient alors à la commune de Puymoyen. Ma Campagne, échelonné le long de la route de Montmoreau, comprenait le tiers de la population communale. L'endroit était bien connu des habitants d'Angoulême, qui s'y rendaient souvent en promenade le dimanche[25].
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé : au premier losangé d'or et de gueules, au deuxième d'azur au moulin à papier terrassé d'argent, ouvert et ajouré de sable, accompagné de deux arbres de sinople et d'une falaise d'or, au troisième d'argent à la grappe de raison de pourpre, feuillé de sinople, au quatrième d'or au diable de gueules tenant une fourche de trois pointes de sable. |
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].
En 2018, la commune comptait 2 381 habitants[Note 4], en diminution de 1,2 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Économie
Une zone d'emploi se trouve à la limite d'Angoulême, près du quartier de Ma Campagne.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Puymoyen possède une école maternelle comprenant deux classes et une école élémentaire publique comprenant cinq classes. Le secteur du collège est Angoulême (Pierre-Bodet, à Ma Campagne)[34]. Les lycées sont aussi à Angoulême.
Sports et activités
- Badminton : Association sportive des Eaux Claires.
- Basket-ball : Basket Club Puymoyen
- Courses nature : Association sportive des Eaux Claires.
- Cyclisme : Cyclo club de Puymoyen.
- Danse de salon : Foyer d'animation.
- Football : L'amicale sportive Puymoyen et Footloisirs.
- Pétanque : Amicale pétanque Puymoyen.
- Tennis : Tennis club de Puymoyen.
- Tennis de Table : Tennis de table puymoyennais.
- Volley : Puymoyen volley.
Par ailleurs, le siège de la Ligue de football Nouvelle-Aquitaine est domicilié dans la commune[35].
Associations et vie sociale
- Maison de la petite enfance
- Centre de loisirs de Clairgon, de la ville d'Angoulême
- Club des aînés
Lieux et monuments
Église Saint-Vincent
L'église paroissiale Saint-Vincent est romane et date du XIIe siècle, à coupoles.
Elle est inscrite monument historique depuis 1969[36].
L'église comporte des fonts baptismaux du XIIIe siècle, classés monument historique à titre objet depuis 1911[37], ainsi qu'une cloche en bronze de 70 kg datant de 1676, classée elle aussi[38]. Il y a aussi une statue de la Vierge à l'enfant datant du XIVe siècle, assez mutilée, inscrite monument historique depuis 2004[39].
Un fragment de statue a aussi été donné en 1917 au musée archéologique d'Angoulême[40].
- Vue d'ensemble
- La façade.
- Le chevet et le clocher.
- Les fonts baptismaux.
- Statue de la Vierge.
Le moulin du Verger
Une ancienne papeterie, toujours parmi les deux en activité en Charente. Elle est située sur le ruisseau des Eaux-Claires[22].
Le moulin du Verger est inscrit monument historique depuis 1991[41].
Le château du Diable
Au pied du hameau du Petit Rochefort, ce manoir est situé dans la rue à laquelle il a donné son nom. Le château du Diable est une ancienne place forte anglaise de la guerre de Cent Ans. Les Anglais étaient alors surnommés les diables rouges, ce qui lui a donné son nom. Il reste du château du XVIe siècle une vaste salle voûtée en berceau brisé qui permet de le classer dans la catégorie des manoirs-salles jadis fréquents en Angoumois comme en Gascogne[42]. Le portail avec les diables sculptés a été ajouté par son propriétaire, M. Boeglen, en 1937. L'édifice jouit d'une vue imprenable sur la vallée qu'il surplombe. On aperçoit très nettement le "château" lorsque l'on se promène dans la vallée, sa facade blanche se détachant nettement parmi les chênes verts qui constituent partie de la végétation des versants protégés de la vallée.
- Les piliers sculptés à l'entrée.
- Le château vu de la vallée des Eaux-Claires
Le château de Clairgon
Manoir du XIXe siècle, propriété de la ville d'Angoulême et utilisé comme centre aéré[43]. Le bâtiment lui-même est fermé depuis 1988[44].
La vallée des Eaux-Claires
La vallée des Eaux-Claires sépare Puymoyen de Vœuil-et-Giget. Il y coule le ruisseau qui lui donne son nom.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Grotte ornée située 500 mètres à l'ouest du moulin du Verger.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 139
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 28
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 522.
- Comptes rendus de l'Académie des Sciences, vol.325 Issue 11, déc.1997, éd.Elsevier SAS, p.905-908 - voir en ligne
- « Moulin du Verger (notice) », notice no IA00066348, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Papeterie du Petit Chamoulard », notice no IA00066349, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Papeterie du Petit Rochefort », notice no IA00066350, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 276
- « Mais le maire, Jean Gabaud, se rappelle de cette idée et relève le défi de créer un club de football. »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Puymoyen en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- Pierre Dubourg-Noves (dir.), Histoire d'Angoulême et de ses alentours, Toulouse, Éditions Privat, coll. « Univers de la France et des pays francophones », , 319 p. (ISBN 2-7089-8246-X, notice BnF no FRBNF35072424, présentation en ligne), p. 295
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- Fédération française de fottball, « Ligue de football Nouvelle-Aquitaine », (consulté le )
- « Église Saint-Vincent », notice no PA00104462, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Fonts baptismaux », notice no PM16000212, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Cloche de l'église », notice no PM16000213, base Palissy, ministère français de la Culture
- « Vierge à l'enfant », notice no PM16000616, base Palissy, ministère français de la Culture
- Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1917, p. LIV
- « Moulin du Verger », notice no PA00104569, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 375
- Amicale laïque d'Angoulême, « Centre de loisirs », (consulté le )
- François Goubault, « Le château fantôme de Clairgon », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 560-561
Liens externes
- Puymoyen sur le site de l'Institut géographique national (archive), concernant les coordonnées géographiques, altitudes mini et maxi et superficie dans l'infobox.
- Catillus Carol, « Puymoyen », (consulté le )
- Amigos del Románico, fiche d'inventaire de l'église romane Saint-Vincent
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