Libourne

Libourne est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde dont elle est une des sous-préfectures, en région Nouvelle-Aquitaine.

Cet article possède un paronyme, voir Livourne.

Libourne

Le pont de pierre sur la Dordogne et la flèche de l'église Saint-Jean.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
(sous-préfecture)
Arrondissement Libourne
(chef-lieu)
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Libournais
(siège)
Maire
Mandat
Philippe Buisson (PS)
2020-2026
Code postal 33500
Code commune 33243
Démographie
Gentilé Libournais
Population
municipale
24 511 hab. (2018 )
Densité 1 188 hab./km2
Population
agglomération
36 601 hab. (2018)
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 58″ nord, 0° 14′ 34″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 28 m
Superficie 20,63 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Libourne
(ville-centre)
Aire d'attraction Libourne
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton du Libournais-Fronsadais
(bureau centralisateur)
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Libourne
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Libourne
Géolocalisation sur la carte : France
Libourne
Géolocalisation sur la carte : France
Libourne
Liens
Site web www.ville-libourne.fr

    Cette ancienne bastide fondée au XIIIe siècle par Roger de Leybourne, sénéchal de Gascogne pour le roi d'Angleterre, est aujourd'hui la principale ville du nord du département. Forte de 24 511 habitants en 2018, au cœur d'une unité urbaine de 34 856 habitants[1] en 2012 et d'une aire urbaine de 36 144 habitants[2], elle s'inscrit dans l'axe Arcachon-Bordeaux-Libourne, aire métropolitaine concentrant près de 1 250 000 habitants.

    La cité, qui s'est développée au confluent de l'Isle et de la Dordogne, au centre d'une riche région viticole, est dès l'origine un port important par où transitent des marchandises en provenance de toute l'Europe. Longtemps deuxième ville du nord de la Guyenne après Bordeaux, elle est sa rivale en matière de commerce ou de fiscalité. Importante ville de garnison (elle abritera notamment plusieurs régiments de cavalerie et d'infanterie, ainsi que l'école nationale des officiers de réserve de santé) jusqu'à une date assez récente, elle est aujourd'hui un pôle économique et commercial rayonnant sur le nord du département, fortement influencé par une agglomération bordelaise en constante progression.

    Commune péri-métropolitaine de Bordeaux, Libourne s'est dotée en 2015 d'un projet urbain, « Libourne 2025-La Confluente », pour accompagner son développement de manière coordonnée.

    Libourne compte également sur un patrimoine monumental varié : pont de pierre, église Saint Jean-Baptiste, tour du Grand Port, hôtel de ville, immeubles à arcades de la place Royale, témoignent ainsi de la prospérité de la ville au cours des siècles.

    Géographie

    Libourne en Gironde.

    La ville de Libourne se trouve au confluent de l'Isle et de la Dordogne, au cœur des célèbres vignobles de Saint-Émilion et de Pomerol.

    Communes limitrophes

    Libourne est limitrophe de neuf autres communes.

    OpenStreetMap Limite communale.

    Infrastructures routières

    Libourne est située sur l'axe allant de Bordeaux à Clermont-Ferrand. L'A89 permet de faciliter les communications entre l'Aquitaine et l'Auvergne, Lyon et la Suisse. L'autoroute contourne la ville par l'ouest via le viaduc des Barrails et le viaduc du Mascaret. La ville se situe à 31 km par la route nationale 89 (voie express à 2×2 voies) du centre de Bordeaux et à 98 km d'Arcachon.

    Infrastructures ferroviaires

    Contrairement à la ligne TGV Atlantique de Paris à Bordeaux, la ligne classique Paris-Bordeaux, la ligne de Libourne au Buisson et la ligne de Lyon à Bordeaux passent par la gare de Libourne.

    Transports en commun

    Libourne possède 9 lignes de bus :

    • 4 lignes urbaines
    • 5 lignes non-urbaines.

    La municipalité, après avoir rendu gratuit l'usage du réseau pour les moins de 18 ans depuis le , a généralisé cette gratuité des transports en commun à l'ensemble des Libournais à compter du [3],[4]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 871 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Émilion », sur la commune de Saint-Émilion, mise en service en 1995[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 802,1 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 33 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[15], à 13,8 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Libourne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Libourne, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[21] et 36 601 habitants en 2018, dont elle est ville-centre[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (42,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (37,7 %), cultures permanentes (27,1 %), prairies (11,4 %), eaux continentales[Note 6] (10,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), forêts (2,2 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La localité est attestée sous la forme Condate à l'époque romaine[27]. Il s'agit du gaulois condate « confluent » qui a donné les nombreux Condé, Candé du nord de la France, Condat etc. du sud[27]. Elle est effectivement située au confluent de l'Isle et de la Dordogne[27].

    C'est à partir de 1275 est mentionné le nom de Leyburne[27]. Il s'agit d'un seigneur anglais Roger de Leybourne, gouverneur de Gascogne au XIIIe siècle[27] et qui tient son qualificatif du village de Leybourne dans le comté de Kent, qui, sur l'emplacement du village romain de Fozera, en réalisa le tracé en 1270. Au cours des années, son nom fut légèrement altéré. Il se transforma en Libourne.

    En occitan/gascon, le nom de la commune est Liborna.

    Ses habitants sont appelés les Libournais[28].

    Histoire

    À l'époque de sa fondation, la vocation de Libourne était celle d'un port maritime pour le commerce du vin et fluvial pour le commerce du bois, ultime destination des gabares descendant la Dordogne chargées, entre autres, de bois de noisetier destiné aux vignobles.

    La bastide de Libourne, au confluent de la Dordogne et de l’Isle, avec un port fluvial et maritime sur la Dordogne, a été conçue en 1268-1270 pour devenir le débouché naturel des vins de la vallée de la Dordogne – vins du Saint-Émilionnais, du Bergeracois, etc. – exportés dès la fin du XIIIe siècle en Angleterre. Les rois d’Angleterre octroyèrent à la ville de Libourne, de même qu’ils l’avaient fait pour Bordeaux, une « coutume » exemptant de droits de douane l’exportation de ces vins. La grande période de ce trafic se situe entre 1305 et 1336.

    Pour la petite histoire, il se dit que le pavage du port est en pierre anglaise transportée dans les bateaux qui venaient chercher du vin. En effet, ceux-ci ne pouvant venir d'Angleterre à vide, il fallait les lester pour qu'ils puissent naviguer sur l'Atlantique.

    Libourne fait partie du type de villes construites autour d'une place entourée d'arcades pour créer un marché, les bastides.

    De par son adhésion, en 1379, à l'hypothétique alliance bordelaise de défense contre les troupes françaises, la ville fortifiée de Libourne aurait été qualifiée de filleule de Bordeaux[29], alliance qui aurait favorisé de nombreux échanges commerciaux avec la capitale girondine. L'existence de cette alliance est désormais contestée, aucun document médiéval ne prouvant son existence. Seul aurait été signé un accord entre Bordeaux et Bourg, en juillet 1379, tandis que la prétendue ligue serait une invention postérieure du XVIIe siècle, issue d'une relecture mémorielle des relations entre les villes concernées [30]

    Afin de la récompenser de sa "fidélité" (davantage pour se l'attacher définitivement, Libourne ayant été plus fidèle aux Anglais qu'aux Français durant la guerre de Cent Ans) Louis XI confirma encore ses privilèges par les lettres patentes en [31] ainsi qu'en à la suite de la mort du duc Guyenne, son frère[32],[33],[34].

    Libourne est touchée par la révolte des pitauds en 1548 : en 1541, la gabelle est imposée à la Saintonge et à l’Angoumois, provinces qui ne payaient pas cet impôt sur le sel. La révolte éclate près d’Angoulême, et Libourne est prise par les révoltés pendant l’été[35]. Lors des guerres de la Fronde (1648 à 1652), Bernard de Nogaret de La Valette, duc d'Épernon gouverneur de Guyenne, fit fortifier Libourne dans le but d’affaiblir Bordeaux dont les échanges dépendaient de deux fleuves, la Garonne mais aussi la Dordogne. La ville est à nouveau assiégée par les troupes françaises en 1652[36]. Le commerce du port de Libourne, de même que celui de Bordeaux, eut à souffrir du blocus continental opéré lors de la guerre de la Ligue d’Augsbourg (1688-1697) par les Puissances maritimes (Angleterre, Provinces-Unies, Empire et Espagne). Pour avoir du vin, elles firent appel davantage qu’auparavant au Portugal et à l’Espagne. Après la révocation de l'édit de Nantes (1685), la « diaspora » des protestants a renoué des liens commerciaux privilégiés, ainsi entre Bergerac et la Hollande (les vins de Bergerac étaient expédiés depuis Libourne).

    À l’époque de Tourny, intendant de Guyenne au milieu du XVIIIe siècle, Libourne se dota d’allées, de fontaines, de lavoirs et améliora ses quais et ses ports.

    Libourne, commune péri-métropolitaine de Bordeaux, s'est dotée en 2015 d'un projet urbain, « Libourne 2025-La Confluente », pour accompagner son développement de manière coordonnée. Cinq sites de projet majeurs sont mis en valeur : la revitalisation du cœur de la bastide, l'aménagement des quais de la confluence et le développement du Port de Libourne-Saint-Émilion, la reconversion des casernes en pôle événementiel et hôtelier, la gare-Épinette et son pôle multimodal, le site naturel des Dagueys avec son centre aquatique et son pôle nautique[37].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 octobre 1947 Jean Bernardet SFIO Conseiller général (1945-1949, 1955-1979)
    octobre 1947 mars 1959 Abel Boireau DVD Conseiller général (1949-1955)
    mars 1959 octobre 1979 Robert Boulin RPR Député de la Gironde (1958-1961 / 1973-1976)
    Secrétaire d'Etat (1961-1968) puis Ministre (1968-1973 / 1976-1979)
    novembre 1979 mars 1989 André Teurlay UDF Conseiller général (1979-1989)
    mars 1989 novembre 2011[38] Gilbert Mitterrand PS Député de la Gironde (1981-1993, 1997-2002)
    Conseiller général (2004-2011)
    Conseiller régional d'Aquitaine (1986-1989)
    Président de la communauté d'agglomération (2012-2014)
    novembre 2011 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Philippe Buisson PS Conseiller régional d'Aquitaine (2004-2015)
    Ancien vice-président du conseil régional
    Président de la communauté d'agglomération du Libournais depuis 2014

    Jumelages

    Au , Libourne est jumelée[39] avec :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[40],[Note 7] En 2018, la commune comptait 24 511 habitants[Note 8], en augmentation de 2,36 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9 1008 0768 2938 7879 8389 7149 81411 81312 650
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    13 29013 56514 63914 96015 23115 98116 73617 86718 016
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    19 17519 32320 08518 08318 45319 10319 49120 16619 474
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    19 83422 12321 65122 11921 01221 76123 29623 68124 880
    2018 - - - - - - - -
    24 511--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[43] 1975[43] 1982[43] 1990[43] 1999[43] 2006[44] 2009[45] 2013[46]
    Rang de la commune dans le département 7 8 7 12 11 10 9 10
    Nombre de communes du département 548 543 543 542 542 542 542 542

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54,5 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 45,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 23 %, 30 à 44 ans = 19,4 %, 45 à 59 ans = 20,6 %, plus de 60 ans = 19,7 %) ;
    • 54,5 % de femmes (0 à 14 ans = 13,9 %, 15 à 29 ans = 18,5 %, 30 à 44 ans = 18,2 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 29,3 %).
    Pyramide des âges à Libourne en 2007 en pourcentage[47]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ans ou +
    2,0 
    7,7 
    75 à 89 ans
    13,1 
    11,5 
    60 à 74 ans
    14,2 
    20,6 
    45 à 59 ans
    20,2 
    19,4 
    30 à 44 ans
    18,2 
    23,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    17,3 
    0 à 14 ans
    13,9 
    Pyramide des âges du département de la Gironde en 2007 en pourcentage[48]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,2 
    6,1 
    75 à 89 ans
    9,4 
    12,3 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,7 
    45 à 59 ans
    20,4 
    21,5 
    30 à 44 ans
    20,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    19,1 
    18,5 
    0 à 14 ans
    16,2 

    Cultes

    • église catholique : trois églises (église Saint-Jean-Baptiste, église Notre-Dame de l'Epinette, église Saint-Ferdinand) et plusieurs chapelles (dont la principale est la chapelle de Condat) ;
    • temple protestant ;
    • synagogue ;
    • église évangélique : assemblée de Dieu ;
    • mosquée ;
    • témoins de Jéhovah.

    Enseignement

    Libourne compte plusieurs collèges et lycées :

    • Collège Eugène-Atget
    • Collège Marguerite-Duras
    • Collège des Dagueys
    • Collège Saint-Joseph (privé)
    • Lycée Max-Linder
    • Lycée Polyvalent Jean-Monnet
    • Lycée Professionnel Henri-Brulle
    • Lycée Montesquieu (privé)

    Ainsi que plusieurs lieux d'enseignement supérieur :

    • Un institut de formation en soins infirmiers (IFSI)
    • 3 brevets de technicien supérieur (BTS) en établissement public : maintenance industrielle ; management des unités commerciales ; assistant de direction.
    • 3 BTS en établissement privé : assistant de gestion PME/PMI ; négociation relation clientèle ; management des unités commerciales.
    • le centre de formation de l'Insee (Cefil).
    • 1 BTSA technico-commercial.

    Sports

    La ville compte un certain nombre de clubs :

    Équipements sportifs

    • 7 stades dont :
    • 7 salles et gymnases dont :
      • Palais des sports Georges-Kany
      • Gymnase Jean-Mamère
      • Salle de Gymnastique des Bleus de Saint-Ferdinand
      • Dojo municipal
      • Salle d'escrime René-Legendre
    • Piscine municipale
    • Hippodrome de Cantereaux
    • Pôle nautique international des Dagueys

    Culture

    • Musée des beaux-arts de Libourne qui présente une remarquable collection de peintures, sculptures, dessins etc. datant du XIVe au XXe siècle.
    • Fest'arts - Festival de théâtre de rue. Tous les ans, en août[52].
    • Chapelle du Carmel, ancien couvent de carmélites, expositions temporaires.
    • Médiathèque municipale Condorcet.
    • Théâtre le Liburnia.
    • Cinéma grand écran 10 salles.
    • Festival Invasions de Lucanes, organisé par l'association Lucanes Musiques[53].

    Secrétariat du Père Noël

    En 1962, après que deux receveuses (Odette Ménager dans un bureau de poste de Maine-et-Loire et Magdeleine Homo dans la Seine-Maritime[54]) ont fait connaître leur frustration de ne pouvoir acheminer le courrier destiné au Père Noël jusqu’à ce dernier et ont pris l'initiative d'ouvrir le courrier[55], le ministre des PTT, Jacques Marette, décide de créer le secrétariat du Père Noël, un service spécialement chargé de répondre aux enfants envoyant des lettres au Père Noël[56], seul service de la Poste autorisé à ouvrir le courrier[57]. Il confie la création de la carte-réponse du Père Noël à une rédactrice, sa propre sœur qui n'était autre que la célèbre pédiatre et psychanalyste Françoise Dolto (la première « secrétaire du père Noël ») et à un illustrateur qui garde l'apparence du Père Noël (barbe blanche et houppelande rouge[58]) mais change régulièrement au cours des années ses moyens de locomotion (satellite des télécommunications, hélicoptère, nuage, étoile, etc.). Le secrétariat se situe alors au sixième étage de l'hôtel des Postes du 52, rue du Louvre à Paris, au service des « rebuts » (le rebut désigne un objet postal dont la distribution est impossible) où les postiers « secrétaires » sont spécialement sélectionnés pour rompre un dogme de la poste, l'inviolabilité du secret de la correspondance[59].

    Dans le cadre de la décentralisation, ce service des rebuts des PTT doit être transféré en province. Robert Boulin, alors secrétaire d'État au Budget et maire de Libourne, use de son influence pour obtenir le déménagement de ce service dans sa ville en 1967, offrant aux PTT un terrain pour accueillir le centre de recherche du courrier et le secrétariat du Père Noël. Depuis lors, le Père Noël reçoit son courrier à Libourne[59].

    Dans les années 1940, la Poste estimait le flux annuel de courrier destiné au Père Noël à 3 000. En 1962, ce secrétariat a reçu le courrier de deux mille enfants. Le nombre de lettres reçues a augmenté régulièrement de 10 % par an, pour atteindre 1 430 000 plis et 181 200 courriels en 2007, les missives arrivant de 130 pays différents[57]. Cette évolution se stabilise depuis la fin des années 2000[54]. Il s'agit principalement des lettres d'enfants de 3 à 9 ans mais une recrudescence de lettres envoyées par des adultes (liée à leur isolement, leur solitude) a conduit le secrétariat à abandonner en 2011 les cartes-réponses personnalisées au profit de réponses-type uniquement pour les adultes[59]. La France est un des rares pays avec la Finlande (Rovaniemi) et le Canada à disposer d'un secrétariat de ce type[55].

    En 2014, toute l'histoire du secrétariat du Père Noël de La Poste est racontée pour la première fois dans un livre scientifique[60].

    Médias

    Quatre radios émettent sur Libourne[61] :

    Politique internet et numérique

    En 2013, la commune de Libourne a été récompensée par le label « Ville Internet @@[62] ».

    Économie

    Libourne est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Libourne. Elle gère l’aérodrome de Libourne - Artigues-de-Lussac.

    Plusieurs grandes entreprises sont présentes à Libourne :

    Le , le ministère de l'intérieur a annoncé la fermeture de l'École de sous-officiers de la gendarmerie nationale[63].

    Libourne envisage de tester des « lampadaires absorbeurs de CO2 ». Munis d'un réservoir contenant des algues, ils absorberaient le dioxyde de carbone et émettraient de l'oxygène[64].

    Libourne a sa propre monnaie locale complémentaire, la Monnaie d'intérêt économique local, dont les prestataires se trouvent dans une zone comprenant les pays Libournais, Créonnais, Castillonnais, Pays de Coutras et Landes girondines.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La tour du grand port vers 1905.
    Vestiges du Couvent des Cordeliers vers 1905
    • L'INSEE y a aussi son centre de formation. Le CEFIL (Centre de formation de l'Insee à Libourne), reçoit chaque année les lauréats des concours d'adjoints administratifs, et de contrôleurs de l'Insee, ainsi que certains attachés et des réunions de réseaux de l'Institut.

    Le Cefil se trouve sur les bords le l'Isle.[Où ?]

    Nées à Libourne

    Maison natale d'Eugène Atget, 51, rue Clément-Thomas.
    XVIIIe siècle
    XIXe siècle
    XXe siècle

    Par dates de naissances :

    XXIe siècle

    Décédés à Libourne

    Héraldique

    Les armes de Libourne se blasonnent ainsi :

    D'azur au vaisseau équipé d'argent, les voiles ferlées, voguant sur des ondes du même mouvant de la pointe, les trois mâts sommés chacun d'une fleur de lys d'or, les ondes chargées d'un croissant de sable.

    En 1462, Louis XI vint à Libourne où il reçut un accueil des plus chaleureux. En signe de reconnaissance, il concéda à la ville le droit de surmonter d’une fleur de lys chacun des mâts du vaisseau que portaient les armes de la ville.
    Les voiles doivent être ferlées, c'est-à-dire roulées et attachées sur les vergues, en guise d'hommage au roi.
    Le croissant symbolise la confluence de l'Isle et de la Dordogne et rappelle également que la ville est filleule de Bordeaux (qui porte également un croissant en pointe sur son blason).

    La devise latine de la ville est « INSULA LIBURNIUM DURANIUS » (Libourne entre l'Isle et la Dordogne)[67].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Charles Higounet, Histoire de l'Aquitaine, éd. Privat, 1971.
    • Hélène Nosvini, Traversée historique de Libourne, éd. Pumbo, 2020.
    • Christophe Luc Robin, Dictionnaire des rues de Libourne, éd. Sud-Ouest, 2004.
    • Jean Royer, Libourne, son passé, son état actuel, son avenir - étude d'évolution de la ville, éd. Nelson Seguin, 1929.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Unité urbaine de Libourne (33401) sur le site de l'Insee, consulté le 11 avril 2016.
    2. Aire urbaine de Libourne (177) sur le site de l'Insee, consulté le 11 avril 2016.
    3. « Libourne plonge dans la gratuité », Ville, rail & transports, no 502, , p. 14 (ISSN 2104-0028).
    4. « Libus, un service de la ville de Libourne », sur http://www.ville-libourne.fr, (consulté le ).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Saint-Émilion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Libourne et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Saint-Émilion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Libourne et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Libourne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6)
    28. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    29. (fr1835) Gabriel de Lurbe et Jean Darnalt, Chronique Bourdeloise, Bordeaux, Simon Millanges, , 65 p. (lire en ligne), p. 33.
    30. Nathalie Crouzier-Roland, « Des villes fluviales du Bordelais aux XIIIe-XVe siècles : Bordeaux, Bourg sur Gironde, Saint-Macaire et Libourne, des pôles économiques et politiques entre rivalités et alliances », Les villes au Moyen Âge en Europe occidentale (ou comment demain peut apprendre d’hier), sous la direction de Marie-Françoise Alamichel, collection électronique Mémoire et Territoires, laboratoire LISAA, Université Paris Est Marne-la-Vallée,, (lire en ligne).
    31. Lettres patentes de Louis XI, Tours, octobre 1461 (lire en ligne).
    32. Lettres patentes de Louis XI, Saintes, mai 1472 (Louis XI était à Saintes en mai et juin 1472, non en juin 1471.) (lire en ligne).
    33. Eusèbe de Laurière, France et Bréquigny, Ordonnances des Rois de France de la 3e Race, recueillies par ordre chronologique..., , 844 p. (lire en ligne).
    34. Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, le 24 janvier 1478 (1477 avant Pâques) (lire en ligne).
    35. Suzanne Citron, Le Mythe national : l’histoire de France en question, Paris : coédition Les Éditions ouvrières/Édition et documentation internationale, 1991, p. 229. (ISBN 2-85139-100-3), (ISBN 2-7082-2875-7).
    36. Martin Barros, Nicole Salat et Thierry Sarmant (préf. Jean Nouvel), Vauban - L’intelligence du territoire, Paris, Éditions Nicolas Chaudun et Service historique de l'armée, , 175 p. (ISBN 2-35039-028-4), p. 166.
    37. Libourne 2025 - Un projet urbain.
    38. Démissionnaire à cette date.
    39. Jumelages de Libourne sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, consulté le 14 décembre 2014. Celui avec Pu'er n'est pas encore référencé.
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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    46. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    47. « Évolution et structure de la population à Libourne en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    48. « Résultats du recensement de la population de la Gironde en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    49. Etape 20 : Bordeaux - Libourne (c.l.m.) sur le site La Grande Boucle, consulté le 1er mai 2013.
    50. Etape 21 : Libourne - Tours sur le site La Grande Boucle, consulté le 1er mai 2013.
    51. Etape 4 : Libourne - Libourne (c.l.m. par équipes) sur le site La Grande Boucle, consulté le 1er mai 2013.
    52. Site officiel de Fest'Arts
    53. « En images. Libourne : l’Invasion de lucanes prend de l’ampleur », sur SudOuest.fr (consulté le ).
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    55. Hajdenberg, « Un service pour des lettres et des perles par milliers », sur liberation.fr, .
    56. Jean-Pierre Guéno, Cher Père Noël ! : un siècle de lettres au Père Noël, Télémaque, , 300 p. (ISBN 2753301638).
    57. « Le secrétariat du Père Noël a repris son service », sur lefigaro.fr, .
    58. En 2001, l'illustrateur ose le déshabiller pour faire apparaître son prénom en rouge sur son caleçon : Alphonse
    59. « Les 50 ans du secrétariat du Père Noël », documentaire d'Olivier Chaumelle et Françoise Camar sur France Culture, 4 décembre 2012
    60. Valérie-Inés de La Ville & Antoine Georget, Le Père Noël de la Poste : La surprenante histoire de son secrétariat (1962-2012), Bruxelles, PIE Peter Lang, , 197 p. (ISBN 978-2-87574-231-5, lire en ligne).
    61. Fréquence Radio Libourne, consultée le 26 août 2011.
    62. Palmarès 2013 des villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 7 mai 2013.
    63. Le Monde
    64. Archives du Monde lampadaires à algues-absorbeurs de CO2 de Libourne, proposés par la sté Tyca
    65. Auguste Perdonnet, Notions générales sur les chemins de fer: suivies Des biographies de Cugnot, Séguin et George Stephenson; d'un mémoire sur les avantages... et d'une bibliographie raisonnée, E. Lacroix, 186?, p. 56 intégral (consulté le 22 mai 2011).
    66. La famille de Brinon portait « d'azur au chevron d'or au chef denté du même » (Charles d'Hozier, Armorial général de France, rééd. 1876)
    67. Blog Libourne, histoire d'en parler, consulté le 28 janvier 2010.
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