Gond-Pontouvre

Gond-Pontouvre est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Gond-Pontouvre

Carrefour du Pontouvre.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Gérard Dezier
2020-2026
Code postal 16160
Code commune 16154
Démographie
Gentilé Gonpontolviens
Population
municipale
6 057 hab. (2018 )
Densité 813 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 09″ nord, 0° 09′ 51″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 94 m
Superficie 7,45 km2
Unité urbaine Angoulême
(banlieue)
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gond-Pontouvre
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Gond-Pontouvre
Géolocalisation sur la carte : Charente
Gond-Pontouvre
Géolocalisation sur la carte : France
Gond-Pontouvre
Géolocalisation sur la carte : France
Gond-Pontouvre
Liens
Site web www.gond-pontouvre.fr

    Elle est située au nord de la ville d'Angoulême dont elle fait partie de l'agglomération.

    Ses habitants sont les Gonpontolviens et les Gonpontolviennes[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Elle est traversée du sud au nord par la N 10 entre Paris et Bordeaux (déviation d'Angoulême), l'ancienne route de Paris (D 910), la route d'Angoulême à Aigre dite route de Vars (D 737) et la ligne ferroviaire Bordeaux-Paris qui franchit la Touvre au viaduc de Foulpougne.

    Au sud de la commune la ligne ferroviaire Angoulême-Limoges se sépare de celle de Bordeaux-Paris et longe la Touvre.

    Cette situation privilégiée permet aux automobilistes d'accéder facilement à la déviation Bordeaux-Paris (N 10, aussi rocade ouest d'Angoulême), à celle d'Angoulême à Limoges (N 141) et à la rocade Est, achevée en .

    Quartiers et lieux-dits

    La ville est formée de deux villages anciens : Le Gond, au confluent de la Touvre et de la Charente, situé sur la route de Vars, et Le Pontouvre, situé plus en amont de la Touvre, au pont de la route de Paris.

    La commune comprend de nombreaux quartiers : au sud, près du Gond, on trouve Pisany, Rochine, et le Terrier. Sur la rive droite de la Touvre, au Gond, il y a le Petit Vouillac, les Bourguets, et Roffit près du pont sur la Charente en direction de Saint-Yrieix. Au Pontouvre, il y a la Basse Ville, la Garenne et Bourlion. La zone industrielle n° 3 borde la commune au sud-est.

    Le Treuil est un nouveau quartier dominant la rive droite de la Touvre. Plus au nord, le hameau de Chalonne est au bord de la Charente.

    La zone commerciale des Montagnes, le long de l'ancienne route nationale 10, est presque entièrement dans la commune de Champniers[2].

    Communes limitrophes

    À l'ouest, la Charente sépare la commune de Saint-Yrieix.

    Géologie et relief

    La commune est située dans le calcaire du Bassin aquitain datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien et Portlandien) dans sa plus grande partie et du Crétacé (Cénomanien) dans une petite partie sud-est. Quant aux vallées, elles sont recouvertes d'alluvions du Quaternaire, plus anciennes lorsqu'elles sont plus hautes (quartier du Gond).

    Dans la partie jurassique, il existe une faille orientée est-ouest séparant le Kimméridgien au nord du Portlandien au sud et se terminant à Bourlion[3],[4],[5].

    Les vallées de la Charente et de la Touvre occupent principalement le sol communal. La plus grande partie de la commune est comprise en dessous d'une altitude de 50 m. Le point culminant est à une altitude de 94 m, situé sur la colline du Treuil, en limite avec Champniers. Le point le plus bas est à 27 m, situé en aval du conflent de la Touvre et de la Charente[2].

    Hydrographie

    Gond-Pontouvre est située au confluent de la Charente et de la Touvre. La Charente limite la commune à l'ouest et la Touvre traverse la commune, en passant d'abord au Pontouvre puis au Gond où se situe son confluent.

    La Font Noire et la Font de Lunesse en provenance de Soyaux et l'Isle-d'Espagnac traversent le sud de la commune pour se jeter dans la Touvre sur sa rive gauche. Sur sa rive droite, on peut trouver le ruisseau de Viville en provenance de Champniers et limite avec Ruelle qui se jette aussi dans la Touvre, et l'Argence qui se jette dans la Charente au nord de la commune sur sa limite avec Balzac. Quelques fontaines sont aussi à signaler comme celle de Pisse-Menu à Chalonne[2].

    Climat

    Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

    Données climatiques
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
    Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
    Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,1
    Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
    Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
    Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Gond-Pontouvre est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[10] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (57,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (46,3 %), terres arables (16,2 %), forêts (11,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), prairies (4,3 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La Touvre au Pontouvre.

    Le Gond est attesté par les formes anciennes Algonno peu avant 1028, Algunt vers 1028-1030, Algont[16], terra deu Gont au XIIIe siècle[17], Agunt (non daté)[18], Algunz, Ougont (non datés)[19].

    L'origine du nom Le Gond remonterait à un nom de femme germanique Algundis avec confusion possible entre al et l'article le[20],[Note 3].

    L'origine de Pontouvre est tout simplement la contraction de « pont sur la Touvre », rivière qui traverse la commune[20],. Ce pont était très ancien et antérieur à celui de Ruelle[21].

    Créée en 1793 commune de Lhoumeau dans le canton d'Angoulême, elle devient Le Houmeau dans le canton d'Angoulême-2 puis L'Houmeau-Pontouvre en 1801, Le Gond-Pontouvre en 1904[Note 4], puis Gond-Pontouvre dans le canton de Ruelle en 1973, enfin érigée en chef-lieu de canton en 1982[22].

    Le centenaire du nom de Gond-Pontouvre a donné lieu en 2004 à l'organisation de manifestations.

    Histoire

    Des vestiges préhistoriques ont été trouvés au XIXe siècle : une défense d'éléphant, des ossements.

    L'occupation humaine est ancienne. Un dolmen ou pierre levée dans le plantier de Roffit a été mentionné par Corlieu sous la dénomination de Tombeau du Bourguignon; il n'en reste plus de traces. Près de Roffit, au village des Blanchards, dans une sablière, ont été retrouvées des sépultures avec tegulae et poterie sigillée[23],[24].

    Au Moyen Âge, déjà des moulins situés sur la Touvre devaient redevance aux comtes d'Angoulême, dont les principaux étaient situés au Gond, au Pontouvre et à Bourlion. Dès le XVe siècle, ces moulins ont réussi à s'affranchir de cet impôt onéreux.

    Le territoire possédaient de nombreux fiefs, comme celui de Chalonne, possédé au XVIIIe siècle par le sieur Prévost de Touchimbert, capitaine de cavalerie.

    Au XVIe siècle le Pontouvre possédait un temple, à l'époque où les protestants se réunissaient lorsqu'il leur était interdit d'exercer leur religion à l'intérieur des villes, mais lors de la Révocation de l'édit de Nantes en 1685 il a été détruit par les écoliers d'Angoulême échaudés par leurs professeurs jésuites.

    Depuis l'époque de François Ier jusqu'au début du XXe siècle, le mercredi des Cendres donnait lieu à un carnaval, où un mannequin représentant Mardi gras était juché sur un âne puis jeté dans la Touvre par des jeunes gens déguisés. De nombreuses barques se dirigeaient vers lui pour le repêcher, car c'était un honneur pour celui qui y arrivait le premier. Il y avait même parfois un second mannequin, représentant sa femme Mardi Grelle. Cette étrange coutume attirait une foule importante d'Angoulême et de ses environs[25],[26].

    Aux XIXe et XXe siècles, en plus des minoteries existantes, des industries se sont implantées dans la commune, comme des fours à chaux aux Fontenelles près du Pontouvre, l'usine de feutres au Gond (devenue COFPA), etc.[27].

    Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était aussi traversée par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Saint-Angeau, et qui passait par Champniers, appelée le petit Mairat, qui traversait la Touvre au Pontouvre, ainsi que par la voie métrique des Chemins de fer départementaux appelée le petit Rouillac, qui allait à Rouillac par Fléac et traversait la Charente au Gond. La commune hébergeait aussi le dépôt et l'usine électrique des tramways d'Angoulême, situés près du cimetière du Gond à Rochine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    L'hôtel de ville.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1926 août 1944 Henri Guionnet[28] PSdF
    puis USR
    Cultivateur, conseiller d'arrondissement du Canton d'Angoulême-2 (1935-1940)
    Les données manquantes sont à compléter.
    Maire en 1979 mars 1983 Jean Nebout PS puis DVG  
    mars 1983 mars 2014 Jean-Claude Beauchaud[29] PS Enseignant retraité
    Député de la 4e circonscription de la Charente (1993 → 2007)
    mars 2014 En cours Gérard Dezier[30] PS Retraité de la DCN
    Vice-président du Grand Angoulême (2017 → )

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2018, la commune comptait 6 057 habitants[Note 5], en augmentation de 2,96 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    8679059991 1101 2581 3921 4291 5031 403
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 7441 8511 8282 1652 3572 5462 5672 8842 958
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    3 1253 3633 5523 6853 8684 1364 7365 0325 399
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    5 4265 3106 2866 0195 9715 8215 9055 9956 057
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Gond-Pontouvre en 2007 en pourcentage[34].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    2,6 
    7,4 
    75 à 89 ans
    12,8 
    15,4 
    60 à 74 ans
    16,3 
    20,9 
    45 à 59 ans
    21,2 
    20,1 
    30 à 44 ans
    18,1 
    19,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    15,9 
    0 à 14 ans
    14,2 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[35].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Industrie

    La partie orientale de la commune est occupée par la zone industrielle no 3, en limite avec la commune de L'Isle-d'Espagnac.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Sports et activités

    • Le club de tennis de table est le TTGP.
    • Le club de pétanque (ALGP) 1er club en Charente en nombre de licenciés.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • L'église paroissiale Notre-Dame-de-la-Paix est située au Gond, sur la route de Vars, non loin du confluent de la Touvre et de la Charente. Elle fut construite entre 1950 et 1956 grâce aux fonds d'une association paroissiale. Sa paroisse est celle de Saint-Jacques de l'Houmeau à Angoulême.
    • L'ancienne chapelle du Pontouvre était située à côté du pont sur la Touvre, près de la route de Paris. Elle s'appelait l'Immaculée-Conception et a été construite en 1875 et offerte par une habitante, Augustine Tardieu. Son clocheton a été enlevé lorsqu'elle a été transformée en entrepôt au XXe siècle.
    • La chapelle de la Providence est située près d'Angoulême, sur la route de Paris. Elle a été construite en 1868 et faisait partie d'un asile pour indigentes de la commune d'Angoulême de la famille Leclerc-Chauvin. C'est maintenant la chapelle de la maison de retraite de la Providence[38].

    Patrimoine civil

    Patrimoine environnemental

    La Touvre offre de belles promenades en canoë. Un parc ombragé est situé entre l'hôtel de ville et le viaduc de Foulpougne, sur des îles de la rivière.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Claude Beauchaud (1936- ) : homme politique français, né au Gond-Pontouvre dont il a été le maire.
    • Daniel Bœuf (XXe siècle) : peintre paysagiste, né à Gond-Pontouvre.
    • Francis Delage (1950-), chef cuisinier français, né à Gond-Pontouvre.

    Jumelages

    La commune a développé une association de jumelage avec :

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. L'étymologie de Les Gonds (Charente-Maritime), aussi situé au bord de la Charente, est la même.
    4. Elle est déjà écrite Gond-Pontouvre (sans l'article) en 1917, dans le livre Géographie communale de la Charente, de Martin-Buchey.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    4. « Carte géologique du BRGM » sur Géoportail.
    5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
    6. « Cognac, Charente (16), 30 m - [1961-1990] », sur Infoclimat (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 13,59,126
    17. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 184
    18. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 39
    19. Louis Adolphe Terracher, Étude de géographie linguistique: Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), H. Champion, , 700 p. (lire en ligne), p. 17
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 324.
    21. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 233
    24. Bulletins de la Société archéologique et historique de la Charente, 1892, 1897, 1958
    25. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 188,189
    26. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 140,141
    27. « Gond-Pontouvre », base Mérimée, ministère français de la Culture
    28. Notice GUIONNET François, Henri , version mise en ligne le 2 novembre 2010, dernière modification le 2 novembre 2010
    29. « Jean-Claude Beauchaud, élu depuis un demi-siècle », Sud Ouest, (lire en ligne)
    30. « Municipales Gond-Pontouvre 2014 », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Evolution et structure de la population à Gond-Pontouvre en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    36. Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges publics », (consulté le )
    37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles publiques », (consulté le )
    38. Site de la commune
    39. Site web de Boticas

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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