Balzac (Charente)
Balzac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour les articles homonymes, voir Balzac (homonymie).
Balzac | |||||
Mairie de Balzac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Courari 2020-2026 |
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Code postal | 16430 | ||||
Code commune | 16026 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Balzatois | ||||
Population municipale |
1 348 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 140 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 42′ 38″ nord, 0° 08′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 30 m Max. 102 m |
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Superficie | 9,64 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gond-Pontouvre | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.balzac.fr | ||||
Elle fait partie du Grand Angoulême. Ses habitants sont appelés les Balzatois et Balzatoises[1].
Géographie
Localisation et accès
La commune de Balzac est située à environ 7 km au nord-ouest d'Angoulême, dans un méandre du fleuve Charente, près de sa confluence avec l'Argence, formant une sorte de presqu'île.
La route d'Angoulême à Vars (D 737) est la principale voie de communication de la commune, qu'elle parcourt du sud au nord[2].
Hameaux et lieux-dits
Ses habitants, les Balzatois, vivent dans plusieurs lieux-dits tels que les Genins, les Rochiers, le Terrier de Bourguignol, les Chabots, les Essarts, les Texiers, les Bourdeix, etc., principalement situés sur les hauteurs.
Récemment, des noms de rues sont apparus tels que « rue des Genins », « rue des Essards », etc.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune de Balzac occupe l'intérieur d'un large méandre de la Charente. Le sol d'une grande moitié orientale de la commune, celle la plus en hauteur, est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien).
Le centre du bourg, entre les Labbés, les Génins et les Texier, est occupé par des alluvions anciennes du Quaternaire.
La partie occidentale de la commune, entre la Chapelle et les Chabots, est occupée par d'autres alluvions, qui forment une basse terrasse. Le lit du fleuve (zone inondable) est lui-même constitué d'alluvions encore plus récentes (limons, argile sableuse, tourbe)[3],[4],[5],[6].
Le dos de terrain qui sépare la vallée de la Charente de celle de l'Argence forme une sorte de longue falaise, très élevée et escarpée dans sa partie septentrionale qui est la rive concave du méandre du fleuve, aux environs des villages de Coursac et de la Font-Saint-Martin, et qui s'abaisse progressivement pour venir mourir au pied du château de Balzac.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 102 m, situé à Puylebin à l'est de Coursac. Le point le plus bas est à 30 m, situé au confluent de l'Argence en limite avec Gond-Pontouvre. Le bourg est à environ 60 m d'altitude[2].
Hydrographie
La Charente borde la commune à l'ouest, qui est située dans son large méandre ; elle forme de nombreux bras.
L'Argence, ruisseau en provenance de Tourriers et affluent de la Charente sur sa rive gauche, limite la commune à l'est en aval de Vouillac jusqu'à son confluent[2].
Climat
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Urbanisme
Typologie
Balzac est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angoulême, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[11] et 109 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), zones urbanisées (11,1 %), forêts (8,8 %), prairies (8,6 %), cultures permanentes (2,8 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Les formes anciennes sont Balazacum et Balazaco en 1298[17].
D'après Dauzat, l'origine du nom de Balzac remonterait à un personnage gallo-romain Ballitius, lui-même dérivant de Ballius, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Ballitiacum , ou « domaine de Ballitius »[18]. D'après une autre source, Balatius est un nom d'homme gaulois, délivré de Balatos[19],[20].
Histoire
L'archéologie aérienne a mis en évidence aux coteaux de Coursac un éperon barré du Néolithique et de l'âge du bronze, sur une position dominant la Charente[21].
Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Balzac se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Tusson, Marcillac-Lanville, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[22].
Un château a existé au XIIe siècle, et la terre de Balzac était un ancien fief relevant de l'évêché d'Angoulême et de la baronnie de Tourriers, laquelle fut acquise en 1398 par Guy de La Rochefoucauld. Du XIIe au XVIIe siècle, le château est passé en de multiples mains. Le château actuel a été reconstruit sur le même site vers 1600 par Guillaume Guez et son épouse, quittant de temps en temps pour la campagne leur maison d'Angoulême. C'était la résidence de la famille Guez de Balzac et Jean-Louis Guez de Balzac, le Restaurateur de la langue française, y a vécu.
Du 4 mars au , Marie de Médicis y fut hébergée par les Guez, « ne voulant point faire séjour autre part, jusqu'à la paix que lui donna son fils Louis Treizième ». Le château devint lors de ce séjour le carrefour de personnalités de l'époque, comme Richelieu, le duc d'Épernon, le cardinal de La Rochefoucauld, le comte de Béthune[23].
La route de Vars était un chemin saunier qui partait du port de Basseau et l'on y transportait le sel à dos d'âne[24]. Le toponyme la Montée des Sauniers en haut de Coursac est demeuré[2].
Autrefois, au Terrier de Bourguignol, appelé à l'époque plantier de Bourguignone, situé près du Pont Suraud sur l'Argence, était un dolmen appelé tombeau du Bourguignon, encore visible en 1760[25],[26].
Au tout début du XXe siècle, les cerises et les petits pois de Balzac étaient particulièrement appréciés, d'Angoulême jusqu'à Paris. Les prairies fournissaient du lait alimentant deux importantes laiteries de la commune, dirigées par M. Hortolan et M. Rochier[27].
Héraldique
Blason | Écartelé : Aux 1er et 4e de sinople à trois gousses de petits-pois, feuillées et posées en bouquet en ombre de sable, aux 2e et 3e d'argent au huchet d'or, le pavillon à senestre[28]. |
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Détails | Armes non conforme aux règles héraldiques. |
Administration
La commune de Balzac, créée dans le canton de Vars en 1793 est passée dans celui de Hiersac en 1801, d'Angoulême-2 en 1815, de Ruelle en 1973, et enfin de Gond-Pontouvre en 1982. Elle a donc appartenu à cinq cantons différents.
Balzac était aussi le lieu du siège de l'ancienne communauté de communes de Braconne et Charente.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].
En 2018, la commune comptait 1 348 habitants[Note 6], en augmentation de 1,28 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Remarques
Balzac qui avait perdu 30 % de sa population dans la deuxième moitié du XIXe siècle puis stabilisé sa démographie a retrouvé une augmentation constante durant le dernier quart du XXe siècle.
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[35].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Balzac et Vindelle. Balzac accueille l'école primaire (maternelle et du CP au CE2) et Vindelle l'école élémentaire (du CE2 au CM2). L'école Jean-Caillaud de Balzac est située aux Genins[36].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L'église paroissiale Saint-Martin, éloignée du bourg et située à côté du château, est de style roman et date du XIIe siècle[37]. Son nom viendrait de la fontaine Saint-Martin, pourtant éloignée, dont une légende dit qu'elle aurait été découverte par saint Martin; son cheval ayant soif, celui-ci aurait gratté le sol. Une autre légende dit que le saint lui-même, en tombant, aurait formé en tombant ce « caro », qui est en patois la cavité d'un crâne renversé. À l'origine, église et château étaient un bien offert par le comte d'Angoulême Guillaume Taillefer au XIIe siècle à Pierre Laumond, abbé de Saint-Amant-de-Boixe. L'ensemble a été reconstruit vers 1600 par Guillaume de Guez, seigneur de Balzac, mais l'abside reste romane. Le clocher a été reconstruit en 1760. Une sculpture représentant saint Martin surmonte le fronton de la façade[38].
Patrimoine civil
- Le château de Balzac, situé à côté de l'église, construit par le père de Jean-Louis Guez de Balzac date du XVIIe siècle. Ce château comprend un logis qui a vue sur la Charente entouré d'un parc et des communs le tout ceinturé de murs de clôture percé de portails. Un canal, un vivier, un lavoir et une église castrale complètent cet ensemble. Il est inscrit monument historique depuis 2007[39].
- L'église Saint-Martin.
- Le château de Balzac.
- La tombe de Jean Chabot (1773-1863), soldat de la République, né le 9 octobre 1773[40]. Il s’engage comme grenadier en 1792 au 4e Bataillon de Réserve de la Charente également appelé 11e Bataillon de Volontaires de la Réserve créé le 14 septembre 1792 qui sera intégré à la 72e demi-Brigade d'Infanterie de Ligne. Il est blessé d'un coup de feu à la jambe gauche le 8 messidor an VII (26 juin 1799) à Arnhem dans le département du Rhin en République batave (1795-1806) devenue les Pays-Bas. A Marengo, commune et province d'Alessandria en Italie, le 25 prairial an VIII (13 juin 1800) à la tête de quelques-uns de ses camarades il chargea un peloton autrichien de cavalerie qui fut mis en fuite et s'empara de deux chevaux. Il est nommé fusilier-grenadier le 26 thermidor an VIII (14 août 1800). Il se distingue le 4 nivôse an IX (25 décembre 1800) au passage de la rivière Mincio commune de Monzambano, province de Mantoue, région de Lombardie en Italie en contribuant à la prise de deux pièces d'artillerie, d'un officier et de dix-sept canonniers autrichiens. Le Premier consul Napoléon Bonaparte lui décerna, à titre de récompense nationale, un fusil d'honneur le 19 ventôse an XI (10 mars 1803)[41]. Le 14 avril 1803 il est promu Chevalier dans l'ordre de la Légion d'honneur[42]. Il prend sa retraite en 1804 pour revenir au hameau de la Chapelle et reprendre son exploitation agricole. Il y décède le 15 mars 1863[43] et est inhumé au cimetière de Balzac où sa tombe[44] est un monument surmonté d'un obélisque en pierre marqué par la sculpture d'un bicorne de grenadier, de son fusil d'honneur, de son sabre, de la croix de la Légion d'honneur et l’apposition d'une plaque résumant sa carrière[45].
- Le monument aux morts, qui commémore 30 soldats de la guerre 1914-1919, deux soldats de la guerre 1939–1945, ainsi que quatre civils juifs d'une seule et même famille, arrêtés puis déportés par l'État français vers Auschwitz où les nazis les ont exterminés[46] :
- Cwajgenbaum Abraham Juda né le 16 juillet 1905, assassiné le 5 octobre 1942 à 37 ans, chef de famille,
- Cwajgenbaum Raymonde Françoise, son épouse, née Guindine le 3 décembre 1914, assassinée le 15 février 1944 à 30 ans,
- Cwajgenbaum Éliane Régine Adeline, sa fille, née le 8 août 1942, assassinée le 15 février 1944 à 18 mois,
- Guindine René Albert, son beau-frère, né le 8 octobre 1927, assassiné le 8 février 1944 à 16 ans.
Personnalités liées à la commune
- Jean-Louis Guez de Balzac (1597-1654), écrivain français, a vécu au château.
- Martine Pinville (1958-), femme politique française, a été adjointe au maire à Balzac.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Son décès le 18 janvier 1826 met fin à son mandat
- Son décès le 23 mars 1874 met fin à son mandat
- Démissionne après le 29 février 1879
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises », (consulté le )
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Angoulême », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 96,228,253,274
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 50.
- Revue celtique, 1907, p.94
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Fouilles Claude Burnez et José Gomez de Soto en 2000 in Jacques Dassié, Archéologie aérienne. Patrimoine archéologique et touristique des Charentes, Joué-lès-Tours, éd. Alan Sutton, , 176 p. (ISBN 2-84253-607-X), p. 64 (photo)
- Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
- Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 91
- André Debord, La société laïque dans les pays de la Charente Xe-XIIe s., Picard, , 585 p. (ISBN 2-7084-0112-2, présentation en ligne), p. 356
- Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 139
- François Corlieu, Recueil en forme d'histoire, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 81 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 6
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 67
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=12393
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Balzac en 2009 », sur (consulté le )
- « Evolution et structure de la population de la Charente en 2009 », sur (consulté le )
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection d'académie de la Charente
- Mairie de Balzac, « Église Saint-Martin », (consulté le )
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 58
- « Château de Balzac », notice no PA00104236, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Archives Départementales de la Charente Balzac BMS 1737-1792 vue 257/451
- « Fusil d'honneur de Jean Chabot », sur osenat.com, (consulté le )
- Base Léonore cote LH/466/14
- Archives départementales de la Charente, Balzac NMD 1863-1872, vue 21/291
- Stéphane Calvet, « Tombes de grognards », (consulté le )
- Site communal de Balzac
- Céline Aucher, « Balzac: la mémoire revisitée d’une famille juive déportée », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Catillus Carol, « Balzac », (consulté le )
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