Vindelle
Vindelle est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Vindelle | |||||
Le village de Vindelle. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Moufflet 2020-2026 |
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Code postal | 16430 | ||||
Code commune | 16415 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vindellois | ||||
Population municipale |
1 086 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 99 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 43′ 16″ nord, 0° 07′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 31 m Max. 125 m |
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Superficie | 10,93 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Val de Nouère | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.vindelle16.fr | ||||
Géographie
Localisation et accès
Bien qu'à seulement 8 km au nord d'Angoulême et faisant partie de son aire urbaine, Vindelle conserve cependant intacts tous les caractères de la ruralité.
Le bourg de Vindelle est aussi à 4 km au nord de Saint-Yrieix-sur-Charente et 5 km au sud de Vars[2].
Il faut d'abord rejoindre la D 737 ou la D 139 qui passent en hauteur sur les deux bords de la large vallée de la Charente, car Vindelle est à l'écart des grands axes routiers. La D 37, la D 117 et la D 406 desservent la commune, et franchissent la Charente par respectivement trois ponts, dont celui en direction de Balzac vers le sud situé à côté du bourg. La D 939, route d'Angoulême à Rouillac et Saint-Jean-d'Angély passe en limite occidentale de commune[3].
La gare la plus proche est celle d'Angoulême.
Hameaux et lieux-dits
Les hameaux les plus importants de la commune sont Guissalle au nord, Chapelot à l'est, Tonne et le Cluzeau à l'ouest.
L'habitat est assez dispersé et la commune compte par ailleurs d'autres hameaux de moindre importance : Puant, les Gélinards, les Moreaux, ainsi que de nombreuses fermes et quelques lotissements récents[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le sol de la commune est composé de calcaire datant du Jurassique supérieur (Kimméridgien et Portlandien). Le Portlandien est en limite ouest de la commune et forme une cuesta faisant face au nord-est qui correspond aussi au versant occidental de la vallée de la Charente, très large au nord d'Angoulême. On trouve quelques petites zones de grèzes datant du Quaternaire sur le flanc de cet escarpement.
La vallée elle-même, soit une grande moitié est de la commune, correspond à la rive convexe d'un large méandre de la Charente. Elle est composée de couches successives d'alluvions qui se sont déposées, lors du Quaternaire, en terrasses de sable, argiles et galets, jusqu'à 10 m de hauteur, comme à l'est de Guissalle. Le lit du fleuve (zone inondable) est lui-même constitué d'alluvions plus récentes (limons, argile sableuse, tourbe)[4],[5],[6],[7].
Le territoire communal de Vindelle occupe l'intérieur d'un large méandre, dans la vallée de la Charente, le terrain s'élevant en pente douce de l'est vers l'ouest. Le point culminant se situe en limite ouest de la commune, après Tonne, à une altitude de 125 m. Le point le plus bas, avec 31 m, est situé sur la Charente, au lieu-dit la Côte, en limites de Balzac et Saint-Yrieix-sur-Charente. Le bourg est à environ 38 m d'altitude[3].
Hydrographie
Vindelle se situe au creux d'un large méandre de la Charente, en amont d'Angoulême. La Méronne, un bras de la Charente long de 2,5 km, arrose le sud du village[8].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
Typologie
Vindelle est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,1 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), prairies (14 %), cultures permanentes (5,5 %), zones urbanisées (3,8 %), forêts (1,2 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le lieu est attesté sous les formes anciennes Vincella, puis Vinzella en 919, Vincellae avant 1020, Vinzella en 1298[15], Vindella en 1491[16],[17], et sous sa forme actuelle au XVIe siècle.
L'origine du nom de Vindelle remonterait au bas latin vinicella qui signifie « petite vigne », devenu vincella par contraction, puis Vindella par altération tardive[17].
Histoire
Les comtes d’Angoulême, auxquels Vindelle appartenait, lui ont procuré durant plusieurs siècles une vie paisible. C'est Guillaume IV Taillefer, cinquième comte héréditaire d'Angoulême de 988 à 1028, qui fit donation du prieuré de Vindelle aux moines bénédictins de l'abbaye de Saint-Amant-de-Boixe[18]..
Un château dominant la vallée de la Charente s'élevait au Cluzeau. Il n'en reste qu'une estampe nommée "Petit château d'Escluseau" dessinée par Claude Chastillon (1559-1616) topographe du roi Henri IV et éditée, post mortem, en 1641 dans le recueil de planches titré "Topographie française des villes, bourgs, châteaux, maisons de plaisance, remises et vestiges de l'antiquité du royaume de France"[19]. Le contour de cet édifice apparaît aussi sur une vue du cadastre napoléonien de 1828 conservé aux archives Départementales de la Charente et confirme l'emplacement de cette construction dans le hameau avant son complet démantèlement vers 1830. Le Puy du Maine abritait un prieuré. La tradition prétend que ses moines étaient des brigands… Leur monastère, habité aujourd’hui, conserve certains vestiges intéressants de cette lointaine époque. On peut voir aussi, de la route, de belles demeures comme le Maine Joli, le Logis Cassé (ancienne ferme dite aussi le Logis de Guissalle), le Logis de la Motte, trois moulins respectivement situés à Guissalle, Coursac et au Bourg. Mais le principal témoin de l’histoire de Vindelle est le prieuré Saint-Christophe qui dépendait de l’abbaye de Saint-Amant-de-Boixe. Des sarcophages datant probablement du VIIe siècle ont été découverts dans la nef entre 1970 et 1980 lors de travaux effectués par le curé et ses paroissiens[réf. nécessaire].
Au Moyen Âge, principalement aux XIIe et XIIIe siècles, Vindelle se trouvait sur une variante nord-sud de la via Turonensis, itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par Nanteuil-en-Vallée, Tusson, Marcillac-Lanville, Saint-Amant-de-Boixe, Angoulême, Mouthiers, Blanzac et Aubeterre[20].
Sous l'Ancien Régime, les fiefs les plus importants étaient ceux de Vindelle et de Guissale. Celui-ci appartenait au XVIIe siècle à Jean Regnauld, seigneur de Pondeville à Saint-Estèphe et enfin à Salomon Chapiteau, seigneur de Guissalle, à la fin de cette époque.
Au début du XXe siècle, le vignoble a été reconstitué à la suite de la crise du phylloxéra et fournissait 3 000 hl d'un vin apprécié. Les cultures maraîchère (asperges, petits pois) , mais aussi fruitière (abricotiers, pêchers, pruniers) étaient une source importante de revenus. L'industrie consistait en trois minoteries sur la Charente, l'une au bourg, les autres à Guissale et à Coursac.
Administration
Vindelle a été créée dans le canton de Vars puis est passée en 1801 dans celui de Hiersac. En 2015, elle appartient à celui de Val de Nouère.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2018, la commune comptait 1 086 habitants[Note 7], en augmentation de 6,58 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Remarques
Vindelle a retrouvé à la fin du XXe siècle sa population de la première moitié du XIXe siècle.
Économie
Agriculture
Les coteaux, à l’ouest, et certaines parties de la plaine, permettent la culture d’une vigne donnant un vin de pays, servant aussi à l’élaboration de pineau blanc et rouge et de cognac d’appellation Fins Bois[27].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école publique consiste en un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) entre Balzac et Vindelle. Vindelle accueille l'école élémentaire, avec quatre classes du CE1 au CM2, et Balzac l'école primaire. Le secteur du collège est Gond-Pontouvre[28].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Christophe est un ancien prieuré, composé d'une nef du XIe siècle prolongée au XIIe siècle d'une travée sous clocher couverte d'une coupole sur trompes. La nef a été surélevée durant la guerre de Cent Ans (sans doute pour créer un chemin de ronde). Elle a été restaurée au XVIIe puis au XIXe siècle. Les travaux effectués entre 1970 et 1980 ont permis de retrouver aussi des peintures murales. Elle a été inscrite au titre des monuments historiques le [18].
L'édifice présente un clocher à fenêtres doublement géminées et une arbalétrière, ainsi que des modillons, mieux conservés sur sa façade occidentale qu'au chevet.
L'escalier du XVIIe siècle permet d'accéder à trois des plus vieilles cloches du département : 1603, 1604 et 1787. En effet le prieuré Saint-Christophe possède une cloche en bronze datée de 1604 et gravée de l'inscription « + IHS+MRA IE SVIS FAICTE POVR ST CHRISTOPHLE DE VINDELLE EN L'AN 1604. BENITE PAR et à la ligne suivante ++ M.B. BRVNELIERE. PARIN NOBLE HOMME M. MESNEAV ; MESRINE C. CONSTANT ». La plus ancienne dite de 1603 porte la dédicace suivante « + SANCTVS BARBARA ORA PRO NOBIS » mais certains experts la font dater du XIVe siècle ou XVe siècle. La plus jeune a été datée en 1623 par l'arrêté de classement alors que la dédicace indique en première ligne « + M. GUILLAVME BALLOTHE CVRE DE VINDELLE ROVSELOT ADIVDICATAIRE L'AN 1787 » et en seconde ligne « FAITE PAR N. BOVLANGER MERLIN CORNILLON FRP AVAN BT GARAT DRFP ». L'inscription de sa bénédiction dans le registre paroissial le confirme cette date. Les trois cloches sont classées monuments historiques au titre d'objets depuis le [29].
Patrimoine civil
Le Monument aux Morts pour la France
Érigé à l'époque sur la place Beaulieu, devenue place de l'église, après délibération en session extraordinaire du conseil municipal du et inauguré le par le député de la circonscription Henri Poitou-Duplessy et le maire de la commune Antonin Vincent.
Après plus de 100 ans, la particularité qui le marquait dans la liste des soldats morts pour la France durant la guerre 1914-1918 où deux poilus manquaient à l'appel[30] a été corrigée le 5 du mois d'. L'édifice affiche, désormais, les noms de Jean-Baptiste Beaulieu mort pour la France le à Le Transloy dans le Pas de Calais, premier mort de la commune où il résidait avec sa famille dans le hameau de Chapelot qui ferait expliquer, peut-être, le baptême à son nom de la dite place du parvis de l'église et Julien Edmond Adonis Lussaud né dans le hameau des Moreaux à Vindelle mort pour la France le à Oeuvy dans la Marne qui en fait, chronologiquement, le quatrième Vindellois mort au champ d'honneur.
Il existe aussi à Vindelle d’autres témoignages architecturaux du passé : trois moulins hydrauliques, fermes, porches, ponts, lavoirs, fontaines…
Patrimoine environnemental
Les bords de la Charente et de la Méronne sont propices à la flânerie, la pêche, le pique-nique. Une baignade a été aménagée, jouxtée par une aire de détente. La Méronne peut être traversée sur des grosses pierres à Puits-Marot et la Charente dans un bateau à chaînes appelé La Paperote. Le territoire communal offre des circuits de randonnée balisés.
Personnalités liées à la commune
- Jean Condat (1824-1908), dit Jean Chapelot, né dans le hameau de Chapelot, décédé à Bordeaux où il est inhumé dans le cimetière « de la Chartreuse ». Écrivain, photographe, publiciste, folkloriste, inventeur des petites photographies dites « portraits-timbres » précurseurs de la photographie d'identité, fondateur de journaux et de revues il est l'auteur, entre autres contes patoisants, des Contes balzatois (1871) qu'il écrit sous le pseudonyme de Jean Chapelot. Le tronçon de la route départementale 37 entre le bourg et le hameau de Chapelot a été nommé « route Jean-Chapelot » pour lui rendre hommage[31],[32],[33].
- Eugène Napoléon Étienne (1844-1921), homme politique français, député (de 1881 à 1919), sénateur (de 1919 à 1921), ministre de l'intérieur en 1905, ministre de la guerre de 1905 à 1906 puis de nouveau en 1913. Fils du capitaine du Train des Équipages Jean Baptiste Étienne (1803-1856) né dans le hameau des Moreaux à Vindelle. Ministre de l'intérieur, il présida, le le banquet donné par la commune en son honneur alors que sa charge ministérielle le faisait visiter la ville d'Angoulême.
- Louis Adolphe Terracher (1881-1955), linguiste, universitaire, recteur successif des académies de Dijon, Bordeaux et Strasbourg entre 1925 et 1945 et homme politique français du régime de Vichy de 1940 à 1944, né à Vindelle. Il décède à Vichy pour être inhumé dans le cimetière de Vindelle. Une voie du bourg lui est dédiée sous le nom de « rue du Recteur Terracher ».
- Yves Moraud (1934-2014), homme de lettres, professeur de littérature à l'Université de Bretagne occidentale (Brest), spécialiste international de l'œuvre d'André Malraux, fondateur du Centre dramatique universitaire de Brest, fondateur de l'Orchestre universitaire de Brest, metteur en scène, fondateur de l'Institut de préparation à l'administration générale (IPAG) de Brest, né à Vindelle, il décède à Brest et est inhumé dans le cimetière de Vindelle[34].
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Son décès le 7 septembre 1801 met fin à son mandat.
- Son décès le 26 janvier 1916 met fin à son mandat.
- Transcrit de cette façon dans le registre des comptes rendus de délibérations du conseil municipal de la période.
- Démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- La Méronne (R2220532) sur le site du Sandre, consulté le 4 septembre 2011.
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 58
- Louis Adolphe Terracher, Étude de géographie linguistique: Les aires morphologiques dans les parlers populaires du nord-ouest de l'Angoumois (1800-1900), H. Champion, , 700 p. (lire en ligne), p. 17
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 725.
- « Église Saint-Christophe », notice no PA00135583, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 4 septembre 2011.
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b55010081r/f347.item
- Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Vindelle en 2009 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Evolution et structure de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Cloche de l'église », notice no PM16000301, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 4 septembre 2011.
- Livre d'or des Soldats Morts pour la France de la guerre 14-18 édité par le ministère des pensions (R-854 commune de Vindelle)
- Fonds Achille Millien, « Jean Condat Chapelot », (consulté le )
- Jean Chapelot, « Contes balzatois », sur BNF/Gallica, (consulté le )
- Henry Carnoy, Dictionnaire biographique international des écrivains, Georg Olms Verlag, (ISBN 3487410583, lire en ligne), pages 245 à 247
- « Yves Moraud tire sa révérence », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Vindelle sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Catillus Carol, « Vindelle », (consulté le )
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