Roullet-Saint-Estèphe
Roullet-Saint-Estèphe est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Pour les articles homonymes, voir Roullet.
Roullet-Saint-Estèphe | |||||
Église Saint-Cybard de Roullet | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | GrandAngoulême | ||||
Maire Mandat |
Gérard Roy 2020-2026 |
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Code postal | 16440 | ||||
Code commune | 16287 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Roullet-Stéphanois | ||||
Population municipale |
4 251 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 102 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 35′ 02″ nord, 0° 02′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 22 m Max. 139 m |
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Superficie | 41,50 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angoulême (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Boëme-Échelle (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.roullet-saint-estephe.fr | ||||
Commune résidentielle, elle fait partie de l'aire urbaine d'Angoulême. Ses habitants sont les Roullet-Stéphanois et les Roullet-Stéphanoises[1].
Géographie
Localisation et accès
Roullet-Saint-Estèphe est situé à 11 km au sud-ouest d'Angoulême et au bord de la N 10, entre Angoulême et Bordeaux. La commune touche l'agglomération d'Angoulême à La Couronne.
La commune est en fait formée de deux communes récemment associées, Roullet sur la N 10 et Saint-Estèphe situé 2 km à l'ouest du bourg et 1 km au nord de la N 10.
La commune est aussi à 8 km à l'est de Châteauneuf-sur-Charente (6 km pour Saint-Estèphe), 12 km au nord de Blanzac et 20 km au nord-est de Barbezieux[2].
La N 10 a été déviée à deux reprises du bourg de Roullet (deux déviations concentriques, passant à l'ouest, construites respectivement vers 1960 et 2005).
La commune est aussi traversée par la D 22, route de Châteauneuf à Villebois-Lavalette, qui passe au sud-ouest de la commune et coupe la N 10 par un échangeur. La D 7, route de Blanzac à Sireuil et Hiersac, traverse aussi la commune du sud au nord, traverse aussi la N 10 par un échangeur, et passe entre les deux bourgs. La D 699, route d'Angoulême à Châteauneuf et Jonzac, passe en limite nord de la commune, ainsi que la ligne d'Angoulême à Saintes et Royan[3].
Hameaux et lieux-dits
La commune compte aussi de nombreux hameaux, souvent urbanisés de lotissements récents de par la proximité d'Angoulême : au nord et à l'est : les Châteliers, Fustifort, les Barbots, la Croix de Beaumont, la Raberie, les Aubreaux, la Goujarde, et au sud du bourg de Roullet : le Vignac, la Grange, les Rochereaux (lieu chargé d'histoire), etc. Enfin, sur la commune de Saint-Estèphe, Chardin, Chez Thibaud, Pondeville et Chez Magniez, Chez Paillou, etc.[3].
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune est dans le terrain calcaire du Bassin aquitain. Elle est entièrement dans le Crétacé qui occupe la moitié sud du département de la Charente.
La commune est située dans une plaine agricole, palier intermédiaire entre la vallée de la Charente au nord et le plateau au sud-est, séparés par une cuesta caractéristique aux affleurements rocheux, par exemple aux Chaumes de Vignac.
Cet escarpement faisant face au nord traverse le sud de la commune, se prolonge vers La Couronne et le plateau d'Angoulême à l'est, et vers Châteauneuf et Saint-Même à l'ouest. Elle sépare le Turonien supérieur (appelé aussi Angoumien), calcaire dur constituant le haut du plateau, du Turonien inférieur situé à sa base[Note 1]. La grande moitié nord de la commune est dans le Cénomanien. On trouve du Coniacien, calcaire plus graveleux, au sommet de ce plateau au sud-ouest et sud-est de la commune.
D'anciennes carrières exploitant l'Angoumien (pierre de taille, ...) sont situées sur ce plateau au sud-ouest de la commune, près de Chardin.
Les fonds des vallées sont occupés par des alluvions récentes, du Quaternaire[4],[5],[6].
Le relief du territoire communal est celui d'une plaine dans sa partie centrale, entourée au sud par des plateaux plus hauts, au sud de la cuesta qui traverse la commune d'ouest en est par Pondeville, Chardin, la Bouchardie, le Vignac, les Girauds. Ce palier supérieur est à une altitude moyenne de 100 m environ, mais la grande partie de la commune est à une altitude moyenne de 60 m, jusqu'à la Charente qui borde le nord de la commune. On trouve aussi la vallée de la Boëme qui limite la commune à l'est.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 139 m, situé à Clérignac en limite sud. Le point le plus bas est à 22 m, situé le long de la Charente. Le bourg de Roullet est à environ 50 m d'altitude, et celui de Saint-Estèphe à 60 m d'altitude[3].
Hydrographie
La Charente borde le nord de la commune. La Boëme traverse l'exrémité sud-est de la commune, en particulier la Petite Boëme et la Vieille Boëme. Le Claix, petit affluent de la Charente en rive gauche qui descend de la commune voisine qui lui a donné son nom, traverse la commune en passant au bourg de Roullet. La Vélude (ou Velude), autre petit affluent de la Charente, passe au sud-ouest près de Saint-Estèphe[3].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2 | 2,8 | 3,8 | 6,2 | 9,4 | 12,4 | 14,4 | 14 | 12,1 | 8,9 | 4,7 | 2,6 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,7 | 8,5 | 11,1 | 14,4 | 17,8 | 20,2 | 19,7 | 17,6 | 13,7 | 8,6 | 5,9 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,7 | 10,5 | 13,1 | 15,9 | 19,5 | 23,1 | 26,1 | 25,4 | 23,1 | 18,5 | 12,4 | 9,2 | 17,7 |
Ensoleillement (h) | 80 | 103,9 | 153,3 | 184,5 | 204,9 | 239,6 | 276,4 | 248,3 | 199,4 | 159 | 96,8 | 78,8 | 2 024,9 |
Précipitations (mm) | 80,4 | 67,3 | 65,9 | 68,3 | 71,6 | 46,6 | 45,1 | 50,2 | 59,2 | 68,6 | 79,8 | 80 | 783,6 |
Urbanisme
Typologie
Roullet-Saint-Estèphe est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), forêts (14,4 %), zones urbanisées (8,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), cultures permanentes (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %), prairies (1,3 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Pour Roullet, les formes anciennes sont Ruliaco minore en 582, Roures en 1060-1075, Rouret, parvum Roliacum au XIIe siècle[14], Roreto en 1150, Roleto en 1300[15].
Les formes latinisées Ruliaco minore et parvum Roliacum, explicites, nous indiquent que le nom de Roullet signifierait « le Petit Rouillac », nom dont l'origine remonterait à un nom de personne gallo-romain Rullius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Rulliacum, « domaine de Rullius »[16],[17]. Mais les formes Roret, Rouret évoquent aussi le nom commun roure, chêne en ancien occitan, suivi du diminutif -etum, signifiant ainsi « le petit chêne »[18],[Note 4].
Histoire
La vicairie perpétuelle de Roullet appartenait dès le temps de Charlemagne à l'abbaye de Saint-Cybard qui la perdit en 1162 mais y conservera divers droits jusqu'en 1791[réf. nécessaire]. Au XIIe siècle elle est unie à l'archidiaconé de la évêché d'Angoulême qui partage avec l'abbaye de La Couronne le gros des dîmes et lui fait la portion congrue[19].
Le château de Rocheraud était une des quatre Roches de l'Angoumois, avec La Rochefoucauld, La Rochebeaucourt et la Rochandry. Le château primitif a été construit au IXe siècle. Bien que peu d'archives le mentionnent, il a dû jouer un rôle important lors de la guerre de Cent Ans, comme son voisin de la Rochandry, alors en Saintonge et aux Anglais. Au XVIe siècle, il appartenait à la famille de Corlieu. Au début du XXe siècle, il était encore appelé localement le Château-Rompu et on pouvait encore en voir quelques ruines imposantes perchées sur un éperon, mais elles ont totalement disparu lors de l'extension de l'exploitation agricole qui en occupe l'emplacement. Le lieu-dit a conservé le nom : les Rochereaux.
Sous l'Ancien Régime, Roullet était une seigneurie qui appartenait à la famille de Langallerie. On peut encore voir les restes du donjon carré du château, datant du XIIe siècle, dans la cour d'un hôtel.
Au XIXe siècle, le ruisseau de Claix alimentait 11 petits moulins, dont il n'en restait que deux au début du XXe siècle. L'industrie papetière, surtout présente à Nersac et La Couronne, avait aussi permis d'implanter une petite usine de feutres. Les carrières du Vignac étaient exploitées pour tailler des meules à grain, le calcaire étant fin et robuste[20].
À la fin du XIXe siècle, à la suite de l'arrivée de la ligne Paris-Bordeaux qui passe à l'est de la commune, le bourg de Roullet perdit un peu de son importance, car celle-ci était liée en partie à la route royale de Paris à l'Espagne, dont Roullet était le premier relais en direction de Bordeaux au sud d'Angoulême.
Cependant, pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Blanzac et Barbezieux par Claix.
Des foires importantes avaient toujours lieu au bourg le 23 de chaque mois[21]. À partir de la seconde moitié du XXe siècle, la commune reprit aussi de son activité de par le trafic routier et la proximité d'Angoulême.
Politique et administration
Liste des maires
- Mairie de Roullet.
- Mairie annexe de Saint-Estèphe.
Roullet a absorbé Saint-Estèphe en 1972, qui est restée commune associée. Saint-Estèphe a donc une mairie annexe.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2018, la commune comptait 4 251 habitants[Note 5], en augmentation de 1,55 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
En 2008, Roullet-Saint-Estèphe comptait 3 747 habitants (soit une augmentation de 8 % par rapport à 1999). La commune occupait le 2 697e rang au niveau national, alors qu'elle était au 2 683e en 1999, et le 14e au niveau départemental sur 404 communes.
Pyramide des âges
Remarques
Roullet a absorbé la commune de Saint-Estèphe en 1972[26], qui est restée commune associée.
Au recensement de 2007, Saint-Estèphe comptait 689 habitants[30].
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Roullet-Saint-Estèphe possède trois écoles publiques.
- L'école maternelle Charles-Perrault, située à Roullet, possède cinq classes.
- L'école élémentaire Marcel-Pagnol, située à Roullet, possède six classes.
- L'école élémentaire Jean-Jacques-Rousseau, située à Saint-Estèphe, possède trois classes.
Le collège de secteur est le collège Élisabeth-et-Robert-Badinter, à La Couronne[32].
Autres services
En face de l'église Saint-Cybard, il y a une maison de retraite construite en 1998.
La poste de Roullet est un important centre de distribution.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Estèphe, située à Saint-Estèphe, maintenant partie ouest de la commune de Roullet-Saint-Estèphe, a été construite à la fin du XIe siècle et modifiée aux XIIe et XIIIe siècles. Elle est classée monument historique depuis 1939[33].
- L'église paroissiale Saint-Cybard située dans le bourg de Roullet est classée monument historique depuis 1840[34].
- Église Saint-Estèphe.
- Église Saint-Cybard.
- Église Saint-Cybard.
Patrimoine civil
- Le dolmen de la Boucharderie est situé à Saint-Estèphe et date du Néolithique; il appartient à une personne privée. Il est classé monument historique depuis 1927[35].
- Le domaine de la Forêt comporte un jardin inscrit monument historique par arrêté du [36].
- Dolmen de la Boucharderie.
- Les chaumes de Vignac.
Patrimoine environnemental
Les Chaumes de Vignac, plateau calcaire d'où on extrayait des meules pour les moulins, sont un espace naturel protégé.
Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune et passe à Saint-Estèphe.
Héraldique
Blasonnement :
Coupé: au 1er d'azur à deux clochers d'argent, au 2e d'argent à la diligence de sable, les fenêtres et la portes ouvertes du champ. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Elle est doublée au sud de la commune par une seconde cuesta, encore plus haute, qui s'étend entre Villebois-Lavalette et Segonzac par Jurignac et Bouteville et qui concerne le Campanien.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cognac, Charente(16), 30m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 65,127,129,168
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 105,283
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 564.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- (de) Heinrich Strobel, Die von Pflanzennamen abgeleiteten Ortsnamen einiger südfranzösischer Departements, Göbel, , 102 p. (lire en ligne), p. 51
- Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 150
- Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 135-137
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 287-288
- « Décès de l'ancien maire René Dexmier », Charente libre, (lire en ligne)
- « Roullet-Saint-Estèphe : Jean-Paul Kerjean passe la main », Charente libre, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Evolution et structure de la population à Roullet-Saint-Estèphe en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
- [xls] Insee : recensement 2007 : fiche de synthèse Excel, onglet Communes associées.
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Église de Saint-Estèphe », notice no PA00104477, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Cybard de Roullet », notice no PA00104476, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « dolmen de la Boucharderie », notice no PA00104475, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Domaine de la forêt », notice no PA00104587, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune de Roullet-Saint-Estèphe
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Catillus Carol, « Roullet-Saint-Estèphe », (consulté le )
- Amigos del Románico, fiche descriptive de l'église Saint-Cybard
- Amigos del Romanico, fiche descriptive de l'église Saint-Estèphe
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