Saint-Brice (Charente)

Saint-Brice est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Saint-Brice.

Saint-Brice

La mairie, au bourg.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Patrice Vincent
2020-2026
Code postal 16100
Code commune 16304
Démographie
Gentilé Saint-Briçois
Population
municipale
966 hab. (2018 )
Densité 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 20″ nord, 0° 16′ 34″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 57 m
Superficie 9,30 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Brice
Géolocalisation sur la carte : Charente
Saint-Brice
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Brice
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Brice
Liens
Site web www.saint-brice16.fr

    Ses habitants sont les Saint-Briçois et les Saint-Briçoises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Saint-Brice est une commune du Cognaçais situé à km à l'est de Cognac et 34 km à l'ouest d'Angoulême. Située à l'extrémité orientale du canton de Cognac-Nord, la commune est située au bord de la Charente.

    Bien que la commune franchisse légèrement le fleuve au sud, le bourg de Saint-Brice est situé sur sa rive droite. Il est aussi à km à l'ouest de Jarnac et 19 km au sud-ouest de Rouillac[2].

    La route principale de la commune est la D 15, qui va de Cognac à Rouillac. Elle franchit la Charente et passe à 0,5 km à l'ouest du bourg. Elle rattrape au sud la N 141 entre Angoulême et Cognac, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, qui passe sur la rive gauche de la Charente et contourne Cognac par le sud. La D 157 traverse le bourg et va vers l'est en direction de Jarnac par la rive droite[3].

    La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.

    Hameaux et lieux-dits

    Un des centres de population importants est le village des Mullons, sur la rive gauche de la Charente (ce village s'appelait autrefois Dorville). On trouve également la Maurie, près de la Charente ; la Roche, près de la Soloire ; Chez Guiard, la Trache ; Uffaut et les Vollauds, sur la rive gauche de la Charente ; la Soloire, etc[3]..

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune occupe le calcaire en limite du Jurassique au nord et du Crétacé au sud.

    Le Jurassique supérieur occupe une partie nord du territoire (l'Empire, la Maisonnette, l'abbaye de Châtre). Il s'agit du Purbeckien, marne riche en argile et en gypse de la fin du Jurassique mordant sur la période du Crétacé inférieur, et composant la dépression du Pays Bas, ancienne lagune.

    Le Crétacé supérieur occupe le plateau de la moitié sud du territoire communal. Il se compose du Cénomanien inférieur, composé de grès et sable pour une bande méridionale, et marne lignitifère pour la partie plus au nord-est. Le Cénomanien moyen occupe la grande partie restante et surplombe la vallée de la Charente.

    Les vallées (Charente et Soloire) sont occupées par des alluvions récentes du Quaternaire (parties inondables). On trouve aussi une terrasse d'alluvions plus anciennes au sud-est (Port Lachaud)[4],[5],[6].

    La Charente coule dans une vallée encaissée entre de hautes falaises, dont les flancs sont tapissés de chênes verts. Au nord du plateau gréseux de Garde-Épée, le terrain s'abaisse vers la plaine du Pays Bas.

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 57 m, situé au Rocher de la Vache à l'est de Garde-Épée. Le point le plus bas est à m, au confluent de la Soloire et de la Charente. Le bourg est à environ 25 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La commune s'étend sur les deux rives de la Charente, et est séparée par la Soloire, un affluent de la Charente sur sa rive droite, de la commune voisine de Boutiers-Saint-Trojan. Le Muellon, petit affluent de la Soloire, limite la commune au nord[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Brice est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cognac, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[10] et 26 621 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29 %), cultures permanentes (24,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), prairies (12,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8 %), zones urbanisées (6,9 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Une forme ancienne latinisée non datée est Sanctus Brictius prope Compiniacum (« Saint-Brice près de Cognac »)[16].

    Il s'agit de Brice de Tours (Brictius en latin), évêque de Tours du Ve siècle, successeur de saint Martin[17],[Note 3].

    Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Brice-Charente[18].

    Histoire

    Le site de Garde-Épée a été occupé depuis l'antiquité. La présence d'un site romain a été signalée avec, peut-être, des thermes[19]. Des tessons ont été trouvés près de la Charente à l'est du port de Lachaud, et sur le site de l'abbaye de Châtre.

    Au cours du Moyen Âge, Saint-Brice et l'abbaye de Châtre se trouvaient sur un itinéraire secondaire est-ouest fréquenté par les pèlerins qui allaient au sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle et aux reliques de saint Eutrope à Saintes[20]. Le chemin des Anglais, sur la rive droite de la Charente à partir d'Angoulême, traversait la Charente au « port du Chassier » (port de l'Échassier)[21].

    Le château de Saint-Brice est une construction du XVIe siècle, élevée sur terrasse, d'où la vue plonge sur la vallée de la Charente. Ce château était le siège d'une seigneurie dont le plus ancien possesseur connu est Messire Jehan de Lousme, qui vivait dans la seconde moitié du XIVe siècle ; on le connaît pour avoir rendu hommage au prince de Galles, prince d'Aquitaine, en 1363. C'est un de ses descendants, Jean de Lousme, qui vendit, en 1496, le domaine de Châtenay à Louise de Savoie.

    La seigneurie de Saint-Brice passa ensuite aux mains de la famille Poussard, de Fors, en Poitou. Un membre de cette famille, Jean Poussard, épousa Catherine Gasteuil, dame de Saint-Trojan. C'est très probablement à leurs fils aîné, Charles Poussard, qu'est due la construction du château actuel de Saint-Brice. Charles Poussard laissa Saint-Brice à son fils Daniel, qui eut l'honneur de recevoir Catherine de Médicis et sa cour, lors des conférences de 1586 avec le roi Henri III de Navarre.

    Le mariage de Suzanne Poussard, sœur de Daniel, avec Louis d'Ocoy, seigneur de Saint-Trojan, porta la terre de Saint-Brice dans la famille d'Ocoy, dont deux membres, Jean-Casimir d'Ocoy et François d'Ocoy, fils et petit-fils de Louis d'Ocoy, se distinguèrent pendant le siège de Cognac, lors de la Fronde du Grand Condé, en 1651. François d'Ocoy se joignit ensuite à l'escadron de volontaires formé par les gentilshommes de la contrée, sous le commandement de M. de Tracy, et prit part à l'affaire de Tonnay-Charente et au combat de Saint-André-de-Cubzac.

    Les seigneurs de Saint-Brice, protestants, redeviennent catholiques à la révocation de l'Édit de Nantes, en 1685.

    Vers 1734 ou 1736, la terre de Saint-Brice passa, avec Saint-Trojan, entre les mains de la famille de Maulevrier. À l'époque de la Révolution, Saint-Brice était possédée par messire Jean-Baptiste des Nanots, écuyer, conseiller au parlement de Bordeaux, qui avait épousé Anne-Rosalie de Maulevrier[22].

    Le , les représentants de Saint-Brice à l'assemblée préliminaire des États généraux qui se tient à la salle capitulaire des Récollets de Cognac sont Henry de Jarnac et Jean Douteau[23].

    Aujourd'hui, le château de Saint-Brice appartient à la famille Hennessy.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Échiqueté de deux tires de trois points de sinople et d’or, les points d’or chargés, celui de la première tire d’un dolmen, ceux de la seconde tire à dextre d’une façade d’église et à senestre d’un château, le tout de sable, l’échiqueté soutenu d’un divise d’azur ; à la champagne aussi d’or chargée d’une grappe de raisin aussi de sable[24].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1830 Michel Marie Delaunay    
    1830 1834 Alexandre Bureau    
    1834 1848 Michel Marie Delaunay    
    1848 1851 Pierre Quantin    
    1851 1871 Jean dit "Auguste" Sabouraud    
    1871 1883 Jean Sabouraud    
    1883 1888 Pierre Alphonse Luantin    
    1888 1892 Auguste Métayer    
    1892 1900 Pierre Alphonse Luantin    
    1900 1902 Léon Robinaud    
    1902 1906 Jules Sabouraud    
    1906 1912 Charles Sabouraud    
    1989 2014 André Pelletant SE Clerc de notaire
    2014 2020 Jean-Claude Tessendier   Ancien adjoint au maire de Jarnac
    2020 En cours Patrice Vincent    

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 15,80 % sur le bâti, 39,56 % sur le non bâti, et 7,78 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2018, la commune comptait 966 habitants[Note 4], en diminution de 0,82 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    591523540608608661669670714
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    687677677690676627597625582
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    619657553547535531525636775
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    7789509631 0029691 061997966966
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, Saint-Brice comptait 1 095 habitants (soit une augmentation de 13 % par rapport à 1999). La commune occupait le 8 753e rang au niveau national, alors qu'elle était au 8 874e en 1999, et le 59e au niveau départemental sur 404 communes.

    Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du , dite loi de démocratie de proximité[29], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.

    Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[30]. Pour Saint-Brice, le premier recensement a été fait en 2006[31], les suivants étant en 2011, 2016, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Saint-Brice, est un recensement exhaustif[Note 5]. Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 1 095 habitants.

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Saint-Brice en 2007 en pourcentage[32].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    0,4 
    7,0 
    75 à 89 ans
    8,8 
    16,3 
    60 à 74 ans
    17,7 
    26,8 
    45 à 59 ans
    27,6 
    18,0 
    30 à 44 ans
    20,3 
    12,3 
    15 à 29 ans
    11,1 
    19,1 
    0 à 14 ans
    14,1 
    Pyramide des âges du département de la 'Charente en 2007 en pourcentage[33].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Saint-Brice est une commune viticole d'appellation cognac située pour sa partie rive gauche de la Charente en région délimitée Grande Champagne et pour sa partie rive droite en région délimitée Fins Bois[34].

    Par ailleurs c'est plutôt une commune résidentielle sans commerces ni artisans où ne sont présents qu'un architecte et un architecte paysagiste.

    Le tourisme tient à la présence du Golf du cognac et au restaurant du golf.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Julienne et Saint-Brice. Julienne accueille l'école élémentaire et Saint-Brice l'école primaire, avec une classe de maternelle et deux classes d'élémentaire. Le secteur du collège est Cognac (Félix-Gaillard)[35].

    Sports et activités

    Le Cognac Tennis Club ainsi que le golf du Cognac sont à Saint-Brice.

    Saint-Brice animation Loisirs a une section football.

    Autres équipements

    Services de santé et tous autres services sont à Cognac

    Lieux et monuments

    Abbaye de Châtre

    L'abbaye de Châtre.

    L'abbaye Notre-Dame-de-l'Assomption de Châtre, ancienne abbaye d'Augustins fondée par un seigneur de Bourg-Charente au XIe siècle, avec ajout de l'église Notre-Dame de l'Assomption de Châtre au XIIe siècle : église et petit bâtiment conventuel désaffectés. Édifice roman avec trois coupoles sur pendentifs sur la nef, une coupole sur pendentif sur la croisée, et chœur refait au XIVe siècle. Elle a été ruinée pendant les guerres de Religion au XVIe siècle. L’élément le plus remarquable est sa façade ouest, à arcatures, ajourée par un arc polylobé, au portail avec des motifs sculptés ornant frises, arc et arcatures[36].

    Elle est classée monument historique depuis 1948[37].

    Église Saint-Brice

    L'église Saint-Brice.

    L'église paroissiale Saint-Brice du XIIe siècle dont l'abside a été remplacée par un chœur au XIIIe siècle et dont la nef a été remaniée au XVe siècle. Prieuré-cure de chanoines réguliers de saint Augustin, elle dépendait de l'abbaye de Châtre[38].

    Elle est inscrite monument historique depuis 1964[39].

    Dolmen de Garde-Épée

    Le dolmen de Garde-Épée, à Garde-Épée date du Néolithique. Il est édifié sur une butte de grès gris, et il est lui-même dans cette pierre[Note 6].

    Il est classé monument historique depuis 1926[40],[41].

    Rocher de la Vache.

    Le Rocher de la Vache est situé à 200 m à l'est du dolmen sur un tumulus boisé[42]. Le site est classé depuis 1934[43].

    Château de Garde-Épée

    Le Château de Garde-Épée, un logis construit de 1553 à 1562 avec ouvrage d'entrée et pigeonnier remarquables.

    Château de Saint-Brice

    Le château de Saint-Brice dont la tour date du XIIIe siècle et le logis du XVIe siècle plusieurs fois remanié. Son parc en pente vers la Charente et son labyrinthe de buis taillé sont classés jardin historique.

    Saint-Brice compte aussi tout un ensemble de patrimoine bâti : manoirs, logis, maisons[44].

    Patrimoine environnemental

    Les bords de la Charente et ceux de la Soloire situés en zone Natura 2000 sont remarquables par leurs paysages, leur flore et leur faune.

    Un parcours de santé a été balisé ainsi qu'un sentier de randonnée.

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques Delamain (1874-1953), ornithologue et écrivain. A vécu à Saint-Brice et y est mort.
    • Christophe Jallet (1983-), footballeur professionnel international, est originaire de Saint-Brice.

    Jumelages

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. D'après A.Dauzat, il a donné le nom à une quinzaine de communes en France : Saint-Brice , mais aussi Saint-Bris , Saint-Brès .
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales publiées.
    6. C'est le même grès qu'à Fontainebleau dans le Bassin parisien, dans une zone de calcaire crétacé.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    5. Carte du BRGM sous Géoportail
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Cognac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 431
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 590.
    18. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, , « Toponymie révolutionnaire en Charente », p. 272-278 [lire sur le site d'André J.Balout (page consultée le 19 juillet 2012)] [PDF]
    19. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 123
    20. Joël Guitton et al., Les chemins de Saint-Jacques en Charente, éditions Sud Ouest, , 254 p. (ISBN 978-2-8177-0053-3, présentation en ligne), p. 9,186
    21. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 164
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 319
    23. Histoire de Cognac, Jarnac et Segonzac, Abbé Cousin, 1882, réédition 2007, (ISBN 2-84618-496-8)
    24. Jean-Paul de Gassowski, « OLDJP - La banque du blason 2 », (consulté le )
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V "des opérations de recensement".
    30. INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009
    31. « Calendrier des recensements des communes du département de la Charente », sur www.insee.fr, Insee (consulté le )
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    38. « Église de Saint-Brice (notice) », notice no IA00059297, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Église de Saint-Brice », notice no PA00104492, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « Dolmen de Garde-Épée », notice no PA00104491, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. « Dolmen de Garde-Épée (notice) », notice no IA00059320, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. Carte IGN
    43. « Deuxième dolmen de Garde-Épée », notice no IA00059321, base Mérimée, ministère français de la Culture
    44. « Saint-Brice », base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

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