Saint-André-de-Cubzac

Saint-André-de-Cubzac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-André.

Saint-André-de-Cubzac

Bâtiment principal de la mairie.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Cubzaguais
(siège)
Maire
Mandat
Célia Monseigne
2020-2026
Code postal 33240
Code commune 33366
Démographie
Gentilé Cubzaguais
Population
municipale
12 051 hab. (2018 )
Densité 521 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 59′ 44″ nord, 0° 26′ 41″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 73 m
Superficie 23,15 km2
Élections
Départementales Canton du Nord-Gironde
(bureau centralisateur)
Législatives Onzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-André-de-Cubzac
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Saint-André-de-Cubzac
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-André-de-Cubzac
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-André-de-Cubzac
Liens
Site web www.saintandredecubzac.fr

    Géographie

    La commune de Saint-André-de-Cubzac, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux et de son unité urbaine. Elle était auparavant la commune-centre de l'unité urbaine de Saint-André-de-Cubzac absorbée par celle de Bordeaux selon la délimitation de 2020.

    Localisation et accès

    Saint-André-de-Cubzac est située sur la rive droite de la Dordogne, lieu renommé pour son carrefour routier important et les ponts (le pont routier de Cubzac, le pont ferroviaire de Cubzac et le pont autoroutier de Cubzac) qui franchissent la Dordogne et qui sont les seuls passages routier et ferroviaire entre l'estuaire de la Gironde et Libourne. Ces ponts sont toutefois plus au sud, dans la commune voisine de Cubzac-les-Ponts.

    Située au nord de Bordeaux, Saint-André-de-Cubzac est le carrefour entre la RN 10 d'Hendaye à Paris entre Bordeaux et Angoulême et l'ancienne RN 137 de Saint-André-de-Cubzac à Saint-Malo, aujourd'hui route départementale, longe l'autoroute A 10 qui va vers Paris et se dirige vers Saintes. Autrefois rond-point entre la RN 10 et la RN 137, le carrefour entre l'A10 et la RN 10 est maintenant une jonction autoroutière.

    La route départementale 670 part du centre-ville et de ce carrefour pour aller vers l'est à Libourne.

    La route départementale 669 part du centre-ville et longe la rive droite de la Dordogne pour aller vers Bourg puis Blaye par l'estuaire. C'est le début de la Route touristique de la corniche.

    Communes limitrophes

    Toponymie

    Le nom de la commune est Sant Andrieu de Cubzac en gascon.

    Histoire

    La commune compte quelques vestiges préhistoriques et protohistoriques et plusieurs villas gallo-romaines qui témoignent de l’ancrage d’un habitat ancien qui s’est fixé dans cette zone dès la période antique[3].

    La période médiévale est surtout marquée par l’importance notable de la forteresse royale de Cubzac, construite en 1249 par Simon V de Montfort sur les bords de la Dordogne[4]. Son plan en bastide prévoyait un fonctionnement qui reposait principalement sur l’auto-suffisance et l’autarcie, essentiel pour une place forte. Cependant, la proche petite ville de Saint-André avait été dotée par l’abbaye de la Sauve, dès la fin du XIIe siècle, d’un prieuré. Il était le centre d'une mise en valeur des sols, l'habitat était déjà conçu comme une petite sauveté, et s'organisait avec des rues tracées à partir des deux premiers axes antiques, le cardo (axe nord-sud) et le decumanus (axe est-ouest)[5]. C’est au croisement même de ces deux voies qu’avait été érigée la première église Saint-André, agrandie depuis, et un peu plus haut dans le bourg une autre, plus modeste, l’église Saint-Étienne. Saint-André a toujours fondé son développement sur l’ouverture à l’économie locale et au commerce : dotée d’un marché important dès le XIIIe siècle, la ville s’ancrait fermement dans les échanges sur toute la rive droite de la Dordogne, voire avec l’Entre-deux-Mers. Elle apparaît comme un carrefour commercial dès la fin du XIIIe siècle et, à partir de là, elle ne cessera plus de prospérer, notamment avec le commerce de ses vins.

    En 1341, Édouard III d’Angleterre érigea la terre du Cubzaguais en châtellenie et la donna à Bérard III d’Albret, en raison de services rendus[6]. Un peu plus d’un siècle plus tard, après la victoire de Castillon en 1453, les places anglaises revenaient à la France et Cubzac –dont la vocation à l’origine était principalement militaire– n’avait plus véritablement de raison d’exister. À la suite de ce déclin, le siège de la châtellenie se déplaçait du château de Cubzac à la maison noble du Bouilh, qui donnait à la région une impulsion nouvelle, à dominante clairement économique[7]. Elle  devint si prospère que le puissant voisin, le marquis de Fronsac, chercha plus tard à l’acquérir, en vain.

    Les guerres de religion ont sévi dans cette zone. Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Montalon[8].

    Les archives départementales de la Gironde, notamment les terriers, présentent certains plans, parcellaires et croquis divers de lieux-dits, d’habitats et de routes du territoire de ce qui deviendra l’actuel Saint-André-de-Cubzac. Des plans originaux, inconnus jusqu'alors, levés par le célèbre et méticuleux géographe Claude Masse et colorés à la main, ont été découverts il y a quelques années[9] ; ils se sont avérés être les plus fidèles et les plus anciens à ce jour et ils apportent beaucoup. Leur précision permet d'observer l’emplacement de monuments aujourd’hui disparus en partie (cloître des Cordeliers) ou totalement (église Saint-Étienne, anciens cimetières), et prouve que le clocher carré de l’église, en 1723, portait déjà une horloge, ce qui était rare au début du XVIIIe siècle. Ces mêmes plans, très détaillés, permettent entre autres de comprendre les routes, les accès à la Dordogne, l’ancienne bastide de Cubzac et donnent une bonne indication de la mise en valeur du territoire. Pour la première fois il est possible d'examiner un relevé précis -et remarquable par sa rareté- de ce qu’était en 1723 l'ancienne maison forte du Bouilh (dont on sait qu'elle se trouvait sur une maison forte érigée dès 1331), ses jardins et ses dépendances agricoles avant qu’elle ne soit en très grande partie rasée vers 1780 et que les grands travaux de 1785-1790 n’en fassent l’édifice (château du Bouilh) que l’on connaît aujourd’hui[10]. Les plans en couleur les plus importants, en raison de leur intérêt, ont été repris et publiés dans un ouvrage consacré à l'étude d'ensemble de Cubzac et de sa région[11].

    Un certain nombre d'érudits locaux et d'historiens se sont penchés, depuis plusieurs années déjà, sur l’histoire plus récente de Saint-André-de-Cubzac[12], y compris par l’examen des cartes postales anciennes qui témoignent, dans le début du XXe siècle, d’une ville en plein essor et en activité. Le cœur de la ville était alors symbolisé par une magnifique halle de pierre, construite vers 1780 par Jean de La Tour Gouvernet, lieutenant-général de la région, halle malheureusement démolie depuis. L'ancien petit port de Plagne, qui a connu un certain succès grâce à la pêche et au transport de marchandises a subi de plein fouet la concurrence des moyens de transports modernes. Il connaît depuis quelques années un certain renouveau en raison, entre autres, de la navigation de plaisance.

    Médiathèque.

    Depuis quelques années, Saint-André-de-Cubzac, qui avait fréquemment eu peine à trouver sa voie entre ses deux grandes « rivales », Bourg à l’ouest et Libourne à l’est[13], ne semble qu'avec difficulté être parvenue à s’adapter à la période contemporaine dominée par une société de consommation et d’échanges, qui ne cesse de monter en puissance. Son centre historique est traversé par la rue Nationale qui a toujours constitué une sorte de poumon économique, où s’étaient fixés, parfois depuis longtemps, des commerces de proximité. Depuis l’étirement de la ville plus au nord, en direction de la Garosse, cette rue principale (cardo), dans sa partie basse et dans le centre de la vieille ville, a été transformée en voie à sens unique dotée d’une piste cyclable presque aussi large que la chaussée. En quelques années il semble que les nombreux commerces de proximité qui s’y trouvaient se déplacent ou disparaissent des anciens axes routiers, dont il convient de reconnaître qu'ils sont peu pratiques à la circulation automobile contemporaine alors que se créent, loin du cœur historique de la ville, des zones commerciales. 

    Partie basse de la Rue Nationale.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1951 Jean Métreaud   Médecin
    1951 1959 Christian Eyraud MRP Médecin
    1959 1977 Daniel Fournier   Viticulteur
    1977 2008 Jacques Maugein PS Professeur, conseiller général, ancien député (1967-1968)
    mars 2008 2011 Laurent Ricci †[14] PS Technicien supérieur
    octobre 2011[15] février 2015[16] Célia Monseigne PS Psychomotricienne
    février 2015 avril 2015 Délégation spéciale    
    avril 2015[17] En cours Célia Monseigne[Note 1] PS Psychomotricienne, conseillère départementale

    Jumelages

     Albatera (Espagne) depuis 2004[18]

     Telgte (Allemagne) depuis 1999

    Population et société

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Cubzaguais[19].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21]. En 2018, la commune comptait 12 051 habitants[Note 2], en augmentation de 14,83 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8005 2792 8283 0872 9573 3293 0103 3273 389
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 4323 6903 6113 5053 5433 5403 7373 8843 916
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    4 0914 0234 0193 9243 9744 0543 6413 4593 945
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    4 2384 5724 9845 2436 3417 2348 3068 45810 155
    2017 2018 - - - - - - -
    11 46412 051-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,7 %, 15 à 29 ans = 18,9 %, 30 à 44 ans = 23,2 %, 45 à 59 ans = 19,5 %, plus de 60 ans = 16,6 %) ;
    • 51,9 % de femmes (0 à 14 ans = 17,5 %, 15 à 29 ans = 18 %, 30 à 44 ans = 22,4 %, 45 à 59 ans = 18,6 %, plus de 60 ans = 23,6 %).
    Pyramide des âges à Saint-André-de-Cubzac en 2007 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    2,1 
    5,5 
    75 à 89 ans
    9,7 
    10,7 
    60 à 74 ans
    11,8 
    19,5 
    45 à 59 ans
    18,6 
    23,2 
    30 à 44 ans
    22,4 
    18,9 
    15 à 29 ans
    18,0 
    21,7 
    0 à 14 ans
    17,5 
    Pyramide des âges du département de la Gironde en 2007 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,2 
    6,1 
    75 à 89 ans
    9,4 
    12,3 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,7 
    45 à 59 ans
    20,4 
    21,5 
    30 à 44 ans
    20,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    19,1 
    18,5 
    0 à 14 ans
    16,2 

    Sports

    La commune compte parmi ses associations le Racing Club Cubzaguais[25], club de rugby à XV dont Heini Adams a notamment été le manageur sportif entre 2016 et 2018 en division honneur[26].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Frédéric de La Tour du Pin Gouvernet (1727-1794), ministre de la Guerre, seigneur du Cubzaguais.
    • Henri Hubert Delisle (1811-1881), gouverneur de l'île de La Réunion a été maire de Saint-André-de-Cubzac puis député et enfin sénateur.
    • Jean Honoré Olibet (1818-1891), fondateur des usines de biscuits Olibet.
    • Aristide Plumeau (1824-1904), médecin, adjoint au maire à Bordeaux, conseiller général de la Gironde, propriétaire viticulteur.
    • Jean Vigé (1842-1915), cafetier et animateur renommé en expression gasconne, il fut également chroniqueur, connu entre 1909 et 1914 pour sa chronique Lou Peysant daou Champ de Feyre dans le journal local Le Cubzaguais.
    • Jean-Marie de Lanessan (1843-1919), ministre de la Marine, gouverneur général de l'Indochine française.
    • François-Raoul Larche (1860-1912), sculpteur de l'Art nouveau.
    • Alexandre Nicolaï (1864-1952), écrivain, historien, président de la Société archéologique de Bordeaux, décédé au château Robillard.
    • Henri Bellivier (1890-1980), champion cycliste.
    • Joseph Allain (1891-1959), poète gascon, félibre[31], ce vigneron s'inscrit dans la tradition des poètes-paysans ou artisans chère au Félibrige. Poète agreste et bucolique, son œuvre, limitée à un cahier de pièces manuscrites, chante les charmes de la nature dans le parler gascon très caractéristique du pays cubzaguais
    • Pierre Traverse (1892-1979), sculpteur, né dans la commune.
    • André Dubourdieu (1901-1971), pilote aviateur de l’Aéropostale.
    • Pierre-Antoine Cousteau, né le 18 mars 1906, à Saint-André-de-Cubzac et mort le 17 décembre 1958 à Paris, est un journaliste françaisCollaborationniste convaincu pendant l'occupation allemande, il est l'une des plumes du journal Je suis partout. Condamné à la libération, il reprend ensuite sa carrière et travaille dans des journaux comme Rivarol. Il est le frère aîné de Jacques-Yves Cousteau.
    • Jacques-Yves Cousteau (1910-1997), est né au 83, rue Nationale à Saint-André-de-Cubzac le 11 juin 1910, au-dessus de la pharmacie de son grand-père, Ronan Duranthon. Il est issu d'une ancienne famille du Cubzaguais. Il est enterré au cimetière communal.
    • György Kurtág (1926), compositeur hongrois, y réside depuis les années 1990[32]
    • Jacques Maugein (1934), homme politique, maire de Saint-André-de-Cubzac de 1977 à 2008, conseiller général et ancien député de la Gironde.
    • Marc Marcillac (1952), auteur et réalisateur de cinéma.

    Héraldique

    Blason
    Parti, au premier d'azur à la tour d'argent maçonnée de sable, au chef de gueules chargé de trois heaumes aussi d'argent tarés de profil, au second d'or au dauphin contourné d'azur peautré et oreillé de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Petit, Saint André de Cubzac et Cubzac les Ponts, 1954.
    • Gérard et Claude Bardeau, Saint André en Cubzaguès, nóste péïs, 1980.
    • Pascal Reigniez, Une carte de 1723 de la région nord de la Guyenne comportant les plans des villes de Saint-André-de-Cubzac, Cubzac, Lormont, Libourne et de la place de Fronsac, Paris, Lepaintre, 1992, 57 pages + cartes + plans p.   (ISBN 2-9506789-0-4)
    • Office de Tourisme du Cubzaguais, Dis-moi, c'était comment le Cubzaguais il y a cent ans ?, 2000.
    • Claude Bardeau, Le Cubzaguais au XIXe et XXe siècles sous la coupe de quelques grandes familles, 2007.
    • Pascal Reigniez, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon - Ethno-histoire d’un habitat en basse vallée de la Dordogne, Paris, Les Indes Savantes, décembre 2009 (seule éd. reconnue, l'édition de mars 2009, non corrigée, est passée au pilon), 406 p., cartes et illustrations (présentation en ligne).
    • Christophe Meynard, Saint-André de Cubzac, éd. Alan Sutton, 2010.
    • Christophe Meynard, Phred, Le Cubzaguais, un siècle en 100 photos, éd. ARHAL, 2015.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Élue maire par le conseil municipal, en octobre 2011, à la suite du décès de Laurent Ricci, la liste de Célia Monseigne a remporté les élections de mars 2014 et Célia Monseigne a été élue maire ; à la suite d'une réclamation, le Conseil d'État a annulé, le 24 février 2015, ce dernier scrutin municipal et les électeurs ont été appelés aux urnes le 12 avril 2015 ; Célia Monseigne a remporté ce scrutin.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Saint-André-de-Cubzac sur Géoportail, consulté le 20 mai 2015.
    2. Saint-André-de-Cubzac sur Géoportail, consulté le 20 mai 2015.
    3. Boudet, Richard, L'âge du fer récent dans la partie méridionale de l'estuaire girondin, du Ve au Ier siècle avant notre ère, Périgueux, Vésuna, , 254 p.-222 pl. : ill., cartes p.
    4. Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon - Ethno-histoire d’un habitat en basse vallée de la Dordogne, Paris, Les Indes Savantes, décembre 2009 (l'édition de mars 2009, non corrigée, a été pilonnée), 406 p. (ISBN 978-2-84654-186-2, lire en ligne)
    5. Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), p. 150 et suiv ; 310 et suiv.
    6. Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon… (éd. déc. 2009), p. 114
    7. Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009)
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. Reigniez Pascal, Une carte de 1723 de la région nord de la Guyenne comportant les plans des villes de Saint-André-de-Cubzac, Cubzac, Lormont, Libourne et de la place de Fronsac, Paris, Lepaintre, , 57 pages + cartes + plans p. (ISBN 2-9506789-0-4)
    10. Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), Planche XVII concernant l'ancienne maison forte du Bouilh et ses dépendances.
    11. Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), planches couleur V, VI, IX
    12. Voir bibliographie
    13. Reigniez Pascal, Cubzac et le château des Quatre fils Aymon... (éd. déc. 2009), p. 161 à 170
    14. Laurent Ricci est décédé, Sud Ouest.fr du 7 octobre 2011.
    15. Célia Monseigne devient officiellement Mme le Maire,Sud Ouest.fr du 19 octobre 2011.
    16. Saint-André-de-Cubzac n’a plus de Conseil municipal, Sud Ouest.fr du 24 février 2015.
    17. Les résultats de l'élection municipale du 12 avril 2015 sur le site de la mairie, consulté le 20 mai 2015.
    18. Annuaire des villes jumelées
    19. Nom des habitants de Saint-André-de-Cubzac sur habitants.fr, consulté le 17 novembre 2011.
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Évolution et structure de la population à Saint-André-de-Cubzac en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    24. « Résultats du recensement de la population de la Gironde en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
    25. « RC Cubzaguais », sur Fédération Française de Rugby (consulté le )
    26. Nicolas Gosselin, « Heini Adams à Biarritz, c'est confirmé : "Il part de Saint-André-de-Cubzac en laissant son empreinte" », sur actu.fr, (consulté le )
    27. « Inscription de l'église », notice no PA00083712, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 17 novembre 2011.
    28. « Classement du groupe sculpté », notice no PM33000660, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 17 novembre 2011.
    29. « Classement du château », notice no PA00083711, base Mérimée, ministère français de la Culture et « Images », base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 17 novembre 2011.
    30. Christophe Meynard, Les châteaux du Bordelais, Saint-Avertin, éditions Sutton, , 128 p. p. (ISBN 978-2-8138-0788-5), p. 31.
    31. (oc) David Escarpit, « Lo Lugarn-Lou Lugar, no 101 », sur www.cieldoc.com, (consulté le ), p. 11[PDF]
    32. György Kurtág sur forward.com.
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