Cherval
Cherval est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Cherval | |||||
L'église de Cherval. | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Prunier 2020-2026 |
||||
Code postal | 24320 | ||||
Code commune | 24119 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
263 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 23′ 44″ nord, 0° 22′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 93 m Max. 183 m |
||||
Superficie | 18,71 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.chervalenperigord.fr | ||||
Géographie
Localisation et accès
Située en bordure de la plaine céréalière du Périgord blanc, Cherval est une petite commune située à 5 km au nord de Verteillac et 35 km au nord-ouest de Périgueux.
Le bourg est aussi à 17 km au nord de Ribérac, 27 km au sud-ouest de Nontron et 33 km au sud-est d'Angoulême[1].
La commune est traversée par la route de Ribérac à Angoulême et Nontron, la D.708, nord-sud, ainsi que par d'autres routes départementales de moindre importance, la D.102 qui passe dans le bourg et la D.100, est-ouest[2].
Géologie et relief
Géologiquement, la commune de Cherval est dans le calcaire crétacé du Bassin aquitain.
Le bourg est au pied d'une butte-témoin et d'une cuesta qui fait face à l'est, en haut de laquelle se trouvent Grésignac, et les hameaux du Breuil et de Vicrose.
Le nord de la commune est occupé par la vallée de la Pude.
Le point culminant de la commune est à une altitude de 186 m (borne IGN), situé au sud-est près des Mouyaux. Le point le plus bas est à 93 m, situé le long de la Pude en limite nord-ouest. Le bourg, construit en bord de plaine, est à environ 120 m d'altitude[2].
Hydrographie
Le territoire communal est dans le bassin versant de la Dordogne.
La Pude, affluent de la Lizonne, arrose le nord de la commune. Ses deux sources sont dans la commune voisine de Gout-Rossignol et leurs bras se rejoignent à l'Étang des Faures. La Sauvanie, autre affluent de la Lizonne passant au pied de Verteillac, prend sa source au sud-ouest près du hameau du même nom[2].
Communes limitrophes
Cherval est limitrophe de six autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martial Viveyrols », sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol, mise en service en 1988[9] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 859,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 61 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].
Milieux naturels et biodiversité
La commune présente sur la presque totalité de son territoire, hormis au nord, une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, le plateau de Cherval, remarquable pour sa variété d'oiseaux dont plusieurs font l'objet d'une protection par la directive européenne : Bruant ortolan (Emberiza hortulana), Busard cendré (Circus pygargus), Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), Grande Outarde (Otis tarda), Pie-grièche écorcheur (Lanius collurio), Pipit rousseline (Anthus campestris)[16],[17].
La vallée de la Pude est protégée dans sa traversée de la commune au titre d'une autre ZNIEFF de type II « Vallée de la Nizonne »[18],[19].
Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :
- vingt mammifères, dont la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola) et dix-huit espèces de chauves-souris : la Barbastelle d'Europe (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à moustaches (Myotis mystacinus), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Murin de Daubenton (Myotis daubentonii), le Murin de Natterer (Myotis nattereri), la Noctule commune (Nyctalus noctula), la Noctule de Leisler (Nyctalus leisleri), l'Oreillard gris (Plecotus austriacus), l'Oreillard roux (Plecotus auritus), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros), la Pipistrelle de Kuhl (Pipistrellus kuhlii), la Pipistrelle de Nathusius (Pipistrellus nathusii) et la Sérotine commune (Eptesicus serotinus) ;
- sept insectes dont quatre papillons : l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), et trois libellules : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii) et le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii) ;
- deux amphibiens, la Rainette verte (Hyla arborea) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un reptile : la Cistude d'Europe (Emys orbicularis).
Sa flore est également riche de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).
Sur le territoire communal, deux zones réduites formant un total d'une dizaine d'hectares (près des lieux-dits les Écuyers et Soulet) font partie de la ZNIEFF de type I « Vallée de la Pude » composée « d'anciennes tourbières et les petits vallons dominés par les milieux humides "naturels" (prairies, roselières, sources, boisements de saules »[20],[21] dans laquelle ont été recensés deux espèces déterminantes d'odonates, le Gomphe semblable (Gomphus simillimus) et le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus)[20]. Trente-sept autres espèces animales y ont également été répertoriées (seize odonates et 21 oiseaux) ainsi qu'une trentaine d'espèces végétales[20].
Urbanisme
Typologie
Cherval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,8 %), forêts (3,7 %), prairies (1,5 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
La commune comporte de nombreux hameaux, comme Vicrose, Génilblanc, le Breuil, la Sauvanie, Beuil, la Sauvanie, les Maines, Chanceau, chez Itou, la Guide, le Recours, etc.
Histoire
En 1827, la commune de La Chapelle-Grésignac a été intégrée à celle de Cherval lors d'une fusion. Cette fusion a été annulée en 1841 et La Chapelle-Grésignac a été rétablie[29].
Politique et administration
Rattachements administratifs
Dès 1790, la commune de Cherval a été rattachée au canton de Champaigne qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Verteillac dépendant de l'arrondissement de Ribérac. Ce dernier étant supprimé en 1926, ses communes sont alors rattachées à l'arrondissement de Périgueux[29].
Intercommunalité
Fin 2001, Cherval rejoint la communauté de communes du Verteillacois créée cinq ans plus tôt. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par un intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Cherval relève[34] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
L'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac, dont faisait partie Cherval, est jumelé avec la commune italienne de Fontanetto Po depuis 1988[35].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2018, la commune comptait 263 habitants[Note 5], en diminution de 6,74 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Remarque
Les recensements de 1831 à 1841 inclus font ressortir un nombre d'habitants plus important, dû à la population de la commune de La Chapelle-Grésignac, qui avait alors fusionné avec Cherval.
Économie
Emploi
En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 120 personnes, soit 43,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt) a augmenté par rapport à 2010 (douze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,7 %.
Établissements
Au , la commune compte quarante-quatre établissements[40], dont dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, dix-neuf au niveau des commerces, transports ou services, trois dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église romane fortifiée Saint-Martin. Construction romane du XIIe siècle, l'église suit un plan rectangulaire. Quatre coupoles surplombent la nef et le chœur, celui-ci étant orné d'une couronne de pointes de diamants. L'étage présente une chambre de défense bâtie au XIIIe siècle par les moines guerriers de Saint-Jean de Jérusalem, accessible par un escalier à vis. Classée monument historique en 1913[42],[43]. Elle a fait l'objet d'une rénovation concernant l'assainissement, le clocher, les toitures et ses façades Nord et Est en 2019, qui se poursuit en 2020-2021 avec ses deux autres façades[44].
- Le château du Bourbet, XVIIe et XIXe siècles. Les seigneurs de Bourbet étaient à l'origine de ce château, composé alors d'un corps de logis ceint de deux tours fortifiées, ainsi que de deux pavillons en retour d'équerre. Ce château était protégé par un fossé, nivelé durant la Révolution française, période qui a également emporté les derniers vestiges du pont-levis, ainsi que l'ancienne prison qui jouxtait les caves. Le pavillon nord a vraisemblablement été détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que les tours carrées qui cantonnaient le corps de logis, déjà en partie rasées pendant la Révolution. En effet, le château a servi de kommandantur, car la ligne de démarcation passait entre Cherval et Gout qui était en zone libre[45].
- Le château de Clauzuroux (ou du Clauzurou) est situé sur la commune de Champagne-et-Fontaine, mais une partie du domaine, à l'est du château et du bief (aujourd'hui asséché) du moulin, est située sur Cherval[46].
- Le moulin du Potager, sur la Pude
L'intérieur de l'église. Le château du Bourbet. Les jardins du Clauzuroux, principalement situés sur Cherval.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martial Viveyrols - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cherval et Saint-Martial-Viveyrol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martial Viveyrols - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cherval et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- [PDF] Plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 27 novembre 2014.
- Carte du plateau de Cherval sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 27 novembre 2014.
- [PDF] Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 19 octobre 2019.
- Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
- [PDF] 720008182 - Vallée de la Pude, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte de la ZNIEFF 720008182, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 19 février 2014.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 16 août 2014.
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 30.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Jean-Louis Savignac, « Les 30 bougies du jumelage franco-italien », Sud Ouest édition Périgueux, 27 avril 2018, p. 21.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Cherval (24119) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 septembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Cherval (24119) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 septembre 2018.
- « Eglise de Cherval », notice no PA00082488, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Guide du tourisme Vadélis, « Église fortifiée Saint-Martin », (consulté le ).
- Jean-Louis Savignac, « La grande toilette de l'église Saint-Martin », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 24.
- « Château du Bourbet », notice no IA24000868, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Domaine du château du Clauzurou », notice no PA00082463, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Portail de la Dordogne
- Portail des communes de France