La Roque-Gageac

La Roque-Gageac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir La Roque.

La Roque-Gageac

La Roque-Gageac, au bord de la Dordogne.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Sarlat-Périgord noir
Maire
Mandat
Jérôme Peyrat
2020-2026
Code postal 24250
Code commune 24355
Démographie
Population
municipale
426 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 38″ nord, 1° 11′ 00″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 218 m
Superficie 7,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sarlat-la-Canéda
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
La Roque-Gageac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
La Roque-Gageac
Géolocalisation sur la carte : France
La Roque-Gageac
Géolocalisation sur la carte : France
La Roque-Gageac
Liens
Site web laroquegageac.fr

    Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France.

    Géographie

    Généralités

    Comprise dans l'aire urbaine de Sarlat-la-Canéda, la commune de La Roque-Gageac est implantée en bordure de la Dordogne à 8 kilomètres au sud-ouest de Sarlat-la-Canéda.

    Elle fait partie de l'association Les Plus Beaux Villages de France[1].

    Le bourg bénéficie d'un microclimat dû à la falaise calcaire qui le domine et qui, exposée au sud, conserve sa chaleur, ce qui a permis l'implantation d'un jardin exotique[2].

    Communes limitrophes

    Carte de La Roque-Gageac et des communes avoisinantes.

    La Roque-Gageac est limitrophe de quatre autres communes.

    Communes limitrophes de La Roque-Gageac
    Vézac Vitrac
    Cénac-et-Saint-Julien Domme

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 925 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[15].

    Natura 2000

    La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait partie du réseau Natura 2000[16],[17]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[16] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur environ deux kilomètres carrés et se situe au nord de la route départementale 703, en un seul site.

    Urbanisme

    Typologie

    La Roque-Gageac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (27,9 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), zones urbanisées (16,9 %), eaux continentales[Note 6] (10,1 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention des risques (PPR) de mouvements de terrain a été approuvé en 2009 concernant une part importante du territoire communal, et notamment le bourg de La Roque-Gageac[24],[25].

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2011 pour la Dordogne amont et ses rives, qui concerne donc les zones basses du territoire de La Roque-Gageac[26],[27].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La Ròca de Gajac[28].

    Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA est baptisée d'après la commune, mais avec une erreur de transcription « La Rogue-Gageac »[29].

    Histoire

    La Roque-Gageac (au fond à gauche, sous la falaise) et la vallée de la Dordogne.

    Au Moyen Âge, La Roque Gageac a compté jusqu'à 1 500 habitants. À l'époque, la Dordogne faisait vivre pêcheurs et gabariers du port. De cette période demeure l'église recouverte de lauzes. Non loin se dresse, flanqué d'une tour ronde, le manoir de la famille Tarde, amie de Galilée. Pendant la guerre de Cent Ans, La Roque Gageac accueillit les évêques de Sarlat. Leur résidence, à l'extrémité du village, a été conservée. Dominant les maisons, les vestiges du château défient encore le temps.

    Le , un pan de la falaise s'éboule sur une partie du village, tuant trois personnes en détruisant six maisons et une grange, coupant la route et terminant sa course dans la Dordogne[30]. En 2007, une stèle et une plaque ont été implantées au pied de la falaise à la mémoire des victimes de 1957[30].

    Le , un pan du plafond du fort troglodytique s'effondre entraînant la chute d'une partie du mur de courtine du fort, accroché à la paroi de la falaise depuis le XIIe siècle, sur le côté du bâtiment d'accueil du site. Le , au début de la saison touristique, à la suite de la menace d'un rocher de 320 tonnes de s'effondrer sur le village et aux conclusions d'experts d'un danger imminent, la route départementale 703, traversant le village et surplombée par la falaise, est fermée pendant cinq semaines, avec évacuation des personnes les plus menacées. Des travaux de protection, notamment avec la pose de filets, sont effectués pour protéger les vies. À la suite de ces travaux, la RD 703 est rouverte le et les personnes ont pu regagner leur domicile.

    La conséquence de ce danger est que le fort troglodytique n'est plus visitable. D'autres chutes de pierre sont en effet à craindre dans les années à venir.

    À compter de , la route départementale 703 est fermée dans sa traversée du bourg de La Roque-Gageac pour une période de cinq mois, nécessaire à la création de voies piétonnes sécurisées de chaque côté de la route[31].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[32],[33].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    juin 1995[34]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jérôme Peyrat RPR, UMP[35]
    LR
    puis LREM
    Président de la communauté de communes du Périgord noir (1998-2010)
    Conseiller politique et parlementaire de la Présidence de la République française (2007-2009)
    Conseiller régional d'Aquitaine (2010-2015 et depuis 2021)

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, La Roque-Gageac relève[36] :

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2018, la commune comptait 426 habitants[Note 7], en diminution de 5,12 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    690474606661739741768750807
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    757712705667696651643643577
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    568505518438439415408421446
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    406357373404447449420416412
    2013 2018 - - - - - - -
    449426-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[42], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 199 personnes, soit 42,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt) est resté stable par rapport à 2010 et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,1 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 86 établissements[43], dont soixante-sept au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le fort troglodytique du XIIe siècle dont une partie de la voûte s'est effondrée en 2010. La commune a sécurisé les lieux en 2015[45]. Jean-Max Touron, déjà responsable de plusieurs autres sites touristiques du département, en est devenu propriétaire et a fait effectuer des travaux importants permettant sa réouverture au public à l'été 2020[46].
    • L'église paroissiale Notre-Dame de La Roque-Gageac, église romane construite en 1330.
    • Les ruines du château des Évêques de Sarlat.
    • Le manoir de Tarde (ou château de Tarde), XVe siècle, classé depuis 1951 au titre des monuments historiques[47].
    • Le Jardin exotique et sa bambouseraie[48].
    • Bien qu'attenant au bourg de La Roque-Gageac, le château de la Malartrie qui surplombe la Dordogne est implanté sur la commune de Vézac.

    Personnalités liées à la commune

    Cinéma

    La Roque-Gageac, tout comme le proche château de Beynac, ont servi de décor durant les vacances d'été de 2009, pour le tournage du film Camping 2.

    Bande dessinée

    Le village est cité dans le manga Flying Witch de Chihiro Ishizuka[52].

    Livre

    Le village est cité dans le livre Le Parchemin oublié de Béatrice Maré.

    Héraldique

    Blason
    D’azur à la bande d’or grillagée de sable, accompagnée de deux fleurs de lys aussi d’or
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Fiche de La Roque-Gageac sur le site des plus beaux villages de France, consulté le 12 février 2011.
    2. Hélène Lagardère, « Entre Dordogne et rocaille », Le Mag no 337, supplément à Sud Ouest, 15 septembre 2018, p. 23-25.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre La Roque-Gageac et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    12. « Orthodromie entre La Roque-Gageac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    17. Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. PPR mouvement de terrain - 24DDT19980006 - La Roque-Gageac, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
    25. [PDF] La Roque-Gageac - Plan de prévention du risque mouvement de terrain, DREAL Aquitaine, consulté le 19 mars 2019.
    26. PPR inondation - 24DDT20090002 - Dordogne Amont, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
    27. [PDF] La Roque-Gageac - Plan de prévention du risque inondation p. 21, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
    28. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 29 août 2013.
    29. (en) Sols 3010-3012: Bonjour, Nontron (Mars), NASA Science, Mars Exploration Program, 25 janvier 2021, consulté le 31 janvier 2021.
    30. Carole Trouvé, « La Roque-Gageac a su se reconstruire », Sud Ouest, édition Dordogne, 15 janvier 2017, p. 13.
    31. Franck Delage, « La vallée de la Dordogne barrée pour cinq mois », Sud Ouest édition Dordogne, 5 novembre 2013, p. 12.
    32. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 9 septembre 2020.
    33. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
    34. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 25 août 2014.
    35. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 24.
    36. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    37. « Dix ans de jumelage », Sud Ouest édition Dordogne, 5 juillet 2016, p. 33.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. Dossier complet - Commune de la Roque-Gageac (24355) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
    43. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    44. Dossier complet - Commune de la Roque-Gageac (24355) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
    45. Émilien Gomez, « Le village lorgne sur son fort », Sud Ouest édition Dordogne, 19 janvier 2018, p. 16.
    46. Tiphanie Naud, « Le fort dans la falaise », Sud Ouest édition Dordogne, supplément Sud Ouest et vous C'est l'été, 11 juillet 2020, p. 10.
    47. « Château de Tarde », notice no PA00082785, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 12 février 2011.
    48. « À la fraîcheur des bambous », Sud Ouest édition Dordogne, 15 août 2020, p. 9.
    49. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 888, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
    50. Auguste Molinier, « Les Chroniques de Jean Tarde..., par Gabriel Tarde », Bibliothèque de l'école des chartes, vol. 49, no 1, , p. 117-119 (lire en ligne).
    51. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 913, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
    52. « Flying Witch ISHIZUKA Chihiro 37 Comments », sur Manga Fox (consulté le ).
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