Salagnac
Salagnac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour le Grand-Bourg de Salagnac situé dans la Creuse, voir Le Grand-Bourg.
Salagnac | |||||
Le bourg de Salagnac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord | ||||
Maire Mandat |
Laurent Baronnet 2020-2026 |
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Code postal | 24160 | ||||
Code commune | 24515 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salagnacois | ||||
Population municipale |
749 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 82 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 18′ 41″ nord, 1° 11′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 176 m Max. 354 m |
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Superficie | 9,08 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton Isle-Loue-Auvézère | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Généralités
Limitrophe du département de la Corrèze et située à l'extrême nord-est du département de la Dordogne, la commune de Salagnac s'étend sur 9,08 km2. Elle est arrosée au sud par un ruisseau sans nom, principal affluent du Dalon et qui alimente l'étang de Born[1]. La partie occidentale du territoire communal se trouve en forêt domaniale de Born.
L'altitude minimale, 176 mètres, se trouve à l'extrême sud-ouest, là où l'affluent du Dalon quitte la commune et sert de limite entre celles de Génis et Sainte-Trie. L'altitude maximale avec 354 mètres est localisée à l'extrême nord-est, en forêt de Born, en limite des communes de Saint-Mesmin et Juillac.
Au niveau géologique, le sol se compose principalement de roches métamorphiques paléozoïques, et au sud-est de grès et d'argile permiens[2].
Le bourg de Salagnac, à l'intersection des routes départementales (RD) 5 et 72E3, se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-est de Hautefort et dix kilomètres au sud-est de Lanouaille.
Le territoire communal est également desservi par les RD 5E3, 5E5 et 72E2.
Communes limitrophes
Salagnac est limitrophe de quatre autres communes dont une dans le département de la Corrèze. Au sud-est, son territoire est distant d'environ 250 mètres de celui de la commune corrézienne de Segonzac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lubersac », sur la commune de Lubersac, mise en service en 1988[9] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 152,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 31 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Salagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,4 %), prairies (31,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), zones urbanisées (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %), eaux continentales[Note 5] (2,7 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1219 sous la forme « Salanac »[22].
Le nom de la commune correspond au nom d'un personnage gallo-roman Salanus auquel est ajouté le suffixe -acum indiquant le « domaine de Salanus »[22].
Histoire
Le village de Salagnac a été donné à l'abbaye de Dalon au début du XIIIe siècle[22].
Lors de la création des départements français en 1790, la commune de Salagnac a d'abord brièvement fait partie de la Corrèze avant d'être rattachée en 1793 à la Dordogne[22], avec neuf autres communes.
Après la Première Guerre mondiale, vient la nécessité de lutter activement contre le grand mal de l'époque qu'est la tuberculose et aussi d'aider à la réinsertion socio-professionnelle des soldats gazés durant le conflit.
La Fédération nationale des blessés du poumon et chirurgicaux (FNBPC), à l'instigation de son secrétaire général Albert Delsuc, souhaite la création d'une cité sanitaire unique en son genre, devant correspondre aux critères de la cité-jardin, et permettant aux pensionnaires de mener une vie familiale et professionnelle tout en étant soignés. Une subvention de 60 millions de francs est votée à l'unanimité par le Parlement pour parfaire le projet.
La « cité Clairvivre » sort de terre entre 1931 et 1933, sur les plans de l'architecte Pierre Forestier.
C'est une petite ville totalement autonome, organisée de part et d'autre d'une avenue principale et possédant notamment : un bâtiment de 200 chambres (réservé à l'accueil des tuberculeux célibataires et des visiteurs), 175 pavillons (soit 340 logements destinés aux malades et à leur famille), un hôpital (avec dispensaire et service social), une centrale d'épuration, un système d'adduction d'eau, une centrale électrique, des commerces, des grands magasins, des écoles, une ferme et des cultures.
La gestion de la cité est confiée à la société « La maison des blessés du poumon » (SMBP) dont l'administrateur était Albert Delsuc lui-même.
Avec la disparition progressive des soldats gazés lors de la guerre de 1914-1918, la cité se transforme progressivement en un sanatorium classique.
À partir de 1937, elle accueille, tout en continuant à fonctionner, de nombreux réfugiés tels que des blessés de la Guerre d'Espagne.
Puis en 1939 et 1940, les hospices civils de Strasbourg investissent les lieux, accompagnés de réfugiés alsaciens et lorrains. Ceux-ci quittent Clairvivre au début de l'année 1945[24].
À partir de 1966, la SMBP crée un Centre d’aide par le travail (CAT) destiné à accueillir des personnes handicapées adultes. Celui-ci s'agrandit progressivement au détriment du sanatorium (qui ferme définitivement ses portes en ), pour accueillir des personnes handicapées physiques de toute nature.
À la suite d'importantes difficultés financières, la SMBP doit abandonner la gestion de Clairvivre à l'Établissement public départemental constitué le .
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune de Salagnac a, dès 1790, fait partie du département de la Corrèze.
En 1793, elle est rattachée au canton de Genis qui dépend du district d'Excideuil dans le département de la Dordogne. En 1801, le canton de Genis est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton d'Excideuil dépendant de l'arrondissement de Périgueux[25].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée au canton Isle-Loue-Auvézère.
En 2017, Salagnac est rattachée à l'arrondissement de Nontron[27],[28].
Intercommunalité
En 2006, Salagnac rejoint la communauté de communes de Juillac-Loyre-Auvézère, intercommunalité du département de la Corrèze. Elle la quitte le pour rejoindre la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord[29]. Celle-ci est dissoute le et ses communes — hormis Savignac-les-Églises qui rejoint Le Grand Périgueux — sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille qui la même année prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[30],[31].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Salagnac relève[34] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
- Campagne-sur-Aude (France) depuis 2018[35]
Démographie
Les habitants de Salagnac se nomment les Salagnacois[36].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2018, la commune comptait 749 habitants[Note 6], en diminution de 9,76 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
En 2015[40], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 474 personnes, soit 59,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (79) a presque triplé par rapport à 2010 (27) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,7 %.
Établissements
Au , la commune compte vingt-six établissements[41], dont onze au niveau des commerces, transports ou services, onze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, un dans la construction, et un dans l'industrie[42].
Entreprises
Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « LRB montage » (travaux de montage de structures métalliques), implantée à Salagnac, se classe en 34e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 476 k€[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Martin[44] a d'abord appartenu à l'abbaye de Tourtoirac avant d'être cédée à l'abbaye de Dalon en 1219[45]. En 1463, elle est affranchie et dépend de l'évêché de Limoges[45]. L'église actuelle, édifiée en grès[45], a été reconstruite au XIXe siècle[22] ; elle comporte un clocher-mur à une seule baie campanaire, une nef unique et un chevet plat[45].
- La cité de Clairvivre est labellisée patrimoine architectural du XXe siècle depuis 2011[46].
- Le château de Born, ou château de Bellegarde, où serait né au XIIe siècle le troubadour Bertran de Born, existait encore au XVIIIe siècle mais il n'en restait plus rien en 1974[47].
- Le château de la Renaudie, ou de las Reynaudias, date du XVIIe siècle[48].
L'église Saint-Martin. Son portail. Le monument aux morts. Le centre de rééducation professionnelle de Clairvivre.
Patrimoine naturel
À l'est, la forêt domaniale de Born, une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 remarquable pour sa flore, se situe principalement sur les communes de Salagnac et de Saint-Mesmin[49],[50].
Personnalités liées à la commune
- Le troubadour Bertran de Born (v. 1140 - v. 1215) serait né au château de Born à Salagnac.
- Marc Lucius (1888-1962), administrateur des Hospices civils de Strasbourg évacués à la cité-sanitaire de Clairvivre, puis de l'Hôpital des réfugiés de Dordogne.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Moreau, Clairvivre, une ville à la campagne, postface de Françoise Choay, Éditions du Linteau, 2002.
- Christophe Woehrle, La cité silencieuse, Beaumontois en Périgord, Secret de Pays, (ISBN 978-2-9560781-4-2)
Articles connexes
Liens externes
- Établissement public départemental de Clairvivre
- Soins et secours à Clairvivre et dans la campagne environnante, 1939-1944, témoignages collectés et commentés en 2008 par quatre collégiens pour le Concours national de la Résistance et de la Déportation
- Salagnac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Sur les anciens cadastres, ce ruisseau portait le nom de Dalon pour Salagnac et de ruisseau de l'Étang pour Génis.
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lubersac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Salagnac et Lubersac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lubersac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Salagnac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 383-384.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 9 avril 2014.
- Christophe, ... Woehrlé, La cité silencieuse : Strasbourg-Clairvivre, 1939-1945, Éditions Secrets de pays, dl 2019 (ISBN 978-2-9560781-4-2 et 2-9560781-4-3, OCLC 1122825588, lire en ligne)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
- [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
- « Recueil des actes administratifs de l'État en Dordogne - Octobre 2012 - Arrêté préfectoral no 121058 du 4 octobre 2012, p. 10 »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la Préfecture de la Dordogne, consulté le 8 novembre 2012.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 13 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 1er septembre 2014.
- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Michel Pitout, « Campagne-sur-Aude, nouvelle jumelle », Sud Ouest édition Périgueux, 14 juin 2018, p. 22.
- Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 26 février 2017.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Dossier complet - Commune de Salagnac (24515) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Salagnac (24515) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 27 janvier 2019.
- « BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 37.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 42.
- Salagnac : L'église Saint-Martin, notice du Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise, vue le 19 février 2017 sur le portail de l'église.
- Notice no EA24000004, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 juillet 2014.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 30, 45.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 234.
- [PDF] Forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017.
- Carte de localisation de la forêt domaniale de Born sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 23 février 2017. Pour accéder à la carte administrative, aller en bas à gauche dans le pavé « Légende » ; ouvrir « REFERENTIELS » ; décocher la couche « Photographie IGN ».
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