Trélissac

Trélissac est une commune française de la banlieue est de Périgueux située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Trélissac

Vue générale du bourg de Trélissac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Francis Colbac
2020-2026
Code postal 24750
Code commune 24557
Démographie
Gentilé Trélissacois
Population
municipale
6 821 hab. (2018 )
Densité 298 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 48″ nord, 0° 47′ 00″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 239 m
Superficie 22,88 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Périgueux
(banlieue)
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trélissac
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Trélissac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Trélissac
Géolocalisation sur la carte : France
Trélissac
Géolocalisation sur la carte : France
Trélissac
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Généralités

    Incluse dans l'unité urbaine de Périgueux, la commune constitue, à l'est de Périgueux, sa banlieue immédiate.

    Elle est bordée par l'Isle et traversée par la route nationale 21.

    Communes limitrophes

    Carte de Trélissac et des communes avoisinantes en 2015, avant la création des communes nouvelles de Boulazac Isle Manoire puis de Bassillac et Auberoche.

    Trélissac est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 904 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 32 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Trélissac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[17] et 65 208 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (44,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,8 %), zones urbanisées (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), prairies (6,5 %), terres arables (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour l'Isle  qui délimite la commune au sud  à Trélissac, impactant ses rives, jusqu'à une largeur pouvant atteindre 600 mètres au nord-ouest de Chancel, et concernant une grande partie du quartier des Maurilloux[23],[24]. Ce PPRI a été révisé et intégré en 2014 dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de la vallée de l'Isle autour de Périgueux[25],[26].

    Un plan de prévention des risques naturels (PPRN) a été approuvé en 2006 pour trois communes dont Trélissac, dont la majeure partie du territoire est exposée aux risques de mouvements de terrain et de retrait-gonflement des sols argileux[27],[28].

    Logement social

    En 2012, la commune dispose de 6,11 % de logements sociaux, taux largement inférieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine, ce qui a valu à la commune de payer en 2013 des pénalités pour un montant de 100 000 euros[29].

    Début 2021, la commune dispose de 11 % de logements sociaux[30]. Elle a jusqu'à 2025 pour atteindre ce quota et plusieurs projets sont en cours, notamment un dans le parc du château Magne[30].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Trelhissac[31].

    Histoire

    Une occupation du site au Néolithique puis au Moyen Âge a été constatée en 2011 lors de fouilles archéologiques au niveau du parc d'activités de Borie Porte[32].

    Le village est identifié sous le nom de Traillissac sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789.

    Au XIXe siècle, les bâtiments communaux, situés en zone humide, nécessitaient de nombreuses et couteuses réparations[33].

    De 1870 à 1874, un nouveau centre bourg (église, presbytère, mairie, école, avec leurs dépendances et jardins) fut alors construit de l'autre côté de la route nationale 21, à la suite d'une proposition d'Alfred Magne et à ses frais[33].

    À la fin des travaux, Alfred Magne est devenu propriétaire des anciens bâtiments et terrains situés en bordure de l'Isle et sur lesquels il fera ensuite ériger le Château Magne et son parc.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Trélissac a été rattachée, dès 1790, au canton de Périgueux qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795. Le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux en 1800. Celui-ci est scindé en trois en 1973 et Trélissac fait partie du nouveau canton de Périgueux-Nord-Est[34].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[35]. La commune est alors rattachée au canton de Trélissac, avec bureau centralisateur fixé à Trélissac.

    Intercommunalité

    Le , elle intègre dès sa création la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 5 000 et 9 999 habitants au recensement de 2017, vingt-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[36],[37].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1947 1951 Hervé Lothaire[Note 6]    
    mai 1951 mars 1971 Firmin Daudou    
    mars 1971 mars 1977 Jean-Louis Soustre UDR puis PS Conseiller général du canton de Périgueux-Nord-Est (1973-1979)
    mars 1977 mars 1983 Michel Grandou PCF  
    mars 1983 janvier 2009 Francis Colbac[Note 8] PCF[38] Conseiller général du canton de Périgueux-Nord-Est (1979-1985 puis 1992-2015)
    janvier 2009 mars 2009 Délégation spéciale[Note 9]    
    15 mars 2009[39]
    (réélu en mai 2020[40])
    En cours Francis Colbac [41] PCF Conseiller général du canton de Périgueux-Nord-Est (1992-2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Trélissac relève[42] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[43].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

    En 2018, la commune comptait 6 821 habitants[Note 10], en diminution de 0,22 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    9181 1321 1721 2171 1041 1291 0921 1351 181
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 1281 2031 1631 2171 2211 3071 3881 2881 329
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 3281 3461 2481 2651 4831 8662 4412 4803 847
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    5 0375 5026 1866 6606 4226 5417 0976 6286 821
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Stade Firmin-Daudou.

    Festivités et manifestations culturelles ou sportives

    La « Caussadaise[Note 11] » est une épreuve de course nature qui propose différents parcours (15e édition en 2019 avec courses de 5, 12 ou 17 km pour les adultes ou adolescents, et de 800 m, 1 200 m et km pour les enfants.)[50],[51].

    Économie

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de la commune ou qu'il est proposé sur le territoire de celle-ci.

    L'emploi des habitants

    En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 2 873 personnes, soit 43,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (355) a augmenté par rapport à 2010 (285) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,4 %.

    L'emploi sur la commune

    En 2015, la commune offre 3 173 emplois pour une population de 6 628 habitants[53]. Le secteur tertiaire prédomine avec 67,3 % des emplois.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

      Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Nombre d'emplois 28 65 183 2 134 763
    Pourcentage 0,9 % 2,1 % 5,8 % 67,3 % 24,0 %
    Source des données[53].

    Établissements

    Au , la commune compte 641 établissements[54], dont 452 au niveau des commerces, transports ou services, 109 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quarante-quatre dans la construction, vingt-sept dans l'industrie, et neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[55].

    Entreprises

    Au on recense 406 entreprises  hors agriculture  dans la commune dont 158 dans le commerce, le transport, l'hébergement ou la restauration (38,9 %), 114 dans les services aux particuliers (28,1 %), 73 dans les services aux entreprises (18,0 %), 38 dans la construction (9,4 %), et 23 dans l'industrie (5,7 %)[56].

    Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, cinq situées à Trélissac se classent parmi les cinquante premières en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[57] :

    • Trelidis (hypermarché), 3e avec 113 783 k€ ;
    • Garage moderne Serreau SA (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 8e avec 50 104 k€ ;
    • SA réparation distribution auto (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 11e avec 46 813 k€ ;
    • Jean Lagarde (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 25e avec 34 363 k€ ;
    • H. Deluc et compagnie (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 38e avec 27 218 k€.

    Avec cinq entreprises parmi les cinquante premières de Dordogne, Trélissac est la deuxième commune la mieux représentée dans ce classement, derrière Boulazac Isle Manoire et ses onze entreprises.

    Parmi les cinquante premières entreprises de chaque secteur économique dans le département, classées en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, on trouve implantées à Trélissac :

    • dans le commerce, sept entreprises[58] :
      • Trelidis en première position ;
      • Garage moderne Serreau SA, 4e ;
      • SA réparation distribution auto, 5e ;
      • Jean Lagarde, 11e ;
      • H. Deluc et compagnie, 18e ;
      • ABM Périgueux (commerce de voitures et de véhicules automobiles légers), 32e avec 19 569 k€ ;
      • Les Romains (supermarché), 39e avec 16 695 k€ ;
    • dans les services, SA Clinique du Parc (activités hospitalières), 17e avec 6 152 k€[59] ;
    • dans le BTP, Stelso (construction de réseaux électriques et de télécommunications), 47e avec 2 549 k€[60] ;
    • dans l'agroalimentaire, Fournil des Jalots (boulangerie-pâtisserie), 44e avec 1 454 k€[61].

    En nombre total d'entreprises classées parmi les 50 premières de la Dordogne pour chaque secteur économique, la commune occupe avec 10 entreprises la quatrième place  ex aequo avec Périgueux  derrière Boulazac Isle Manoire (26), Bergerac (21) et Sarlat-la-Canéda (16).

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Château de la Jarthe, XVIIe et XXe siècles.
    • Château de Lauterie, XVe et XVIIe siècles.
    • Chartreuse de la Mothe.
    • Château du Murat, XVIIIe siècle.
    • Repaire de Montignac, XVIIIe siècle, au bord de l'Isle.

    Patrimoine religieux

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption, édifiée dans le nouveau centre bourg au début des années 1870[33], et consacrée le [65].
    • Juste à côté du château Magne se trouvent les vestiges de l'ancienne église Notre-Dame-de-l'Assomption, XVe siècle, inscrite au titre des monuments historiques depuis 2004[66].
    • Chapelle des Maurilloux, XXe siècle, sorte de bunker implanté au pied d'une falaise.

    Patrimoine naturel

    Le site d'orchidées sauvages de Trélissac.

    La forêt domaniale de Lanmary, au nord-est de la commune, est classée comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2, site où s'épanouissent nombre d'orchidées et de fougères[67],[68].

    De plus, un site sur lequel ont été observées vingt espèces différentes d'orchidées sauvages a été délimité au nord du bourg de Trélissac[69].

    Culture

    Trélissac fait partie des communes ayant reçu l'étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste Clergerie (1854-1927), général; est décédé à Trélissac. C'est lui qui, en tant que chef d'état-major du général Gallieni, donna l'ordre de réquisition des taxis de la Marne en [70].
    • Pierre Magne (1806-1879), homme politique, ministre des finances de Napoléon III, était propriétaire du vieux château de Trélissac. Son fils, Alfred Magne, fit ériger juste à côté le château Magne.
    • Thierry Dusautoir a commencé sa carrière de rugbyman dans le club du SAT (Sport Athlétique Trélissac) à l'âge de 20 ans (2001) avant de progresser rapidement dans les grands clubs d'Aquitaine.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Décédé en fonctions.
    7. Démissionnaire.
    8. Le tribunal administratif de Bordeaux annule le 10 juin 2008 les élections de mars 2008, Sud Ouest, édition Périgueux du 11 juin 2008. M. Colbac ayant fait appel, le Conseil d'État confirme le 31 décembre 2008 cette invalidation. Elle entraîne la révocation du maire et du conseil municipal, une mise sous tutelle de la commune à compter du 14 janvier 2009 et de nouvelles élections en mars 2009 Sud Ouest, édition Périgueux, du 1er, du 14 et du 20 janvier 2009.
    9. Délégation spéciale chargée de gérer la commune dans l'attente de nouvelles élections. « Commission spéciale pour gérer Trélissac », Sud Ouest, édition Périgueux, du 15 janvier 2009
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    11. Le nom de Caussadaise est dérivé du château de Caussade situé sur les hauteurs de Trélissac.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Trélissac et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Trélissac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    24. [PDF] Vallée de l'Isle- Agglomération de Périgueux - Trélissac - Plan de prévention du risque inondation, DREAL Aquitaine, consulté le 29 mars 2019.
    25. Carte de synthèse des aléas - Trélissac, DREAL Aquitaine, consulté le 31 mars 2019.
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    70. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 254, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4).
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