Prigonrieux

Prigonrieux est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Prigonrieux

La place du Groupe-Loiseau à Prigonrieux.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bergeracoise
Maire
Mandat
Olivier Dupuy
2020-2026
Code postal 24130
Code commune 24340
Démographie
Gentilé Prigontins, Prigontines
Population
municipale
4 160 hab. (2018 )
Densité 159 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 18″ nord, 0° 24′ 15″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 118 m
Superficie 26,12 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de la Force
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Prigonrieux
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Prigonrieux
Géolocalisation sur la carte : France
Prigonrieux
Géolocalisation sur la carte : France
Prigonrieux
Liens
Site web ville-prigonrieux.fr

    Géographie

    Généralités

    Incluse dans l'unité urbaine de Bergerac[1], la commune de Prigonrieux se situe au sud-ouest du département de la Dordogne, en Bergeracois. Elle est limitée au sud par la Dordogne qui la sépare des communes de Lamonzie-Saint-Martin et Saint-Laurent-des-Vignes. Elle est également bordée au nord-ouest par l'Eyraud, et arrosée par la Gouyne, qui borde la commune à l'est sur près de trois kilomètres avant de pénétrer sur le territoire communal où elle se jette dans la Dordogne.

    Au sud, près de la moitié du territoire communal se situe dans la plaine alluviale de la Dordogne. L'altitude minimale, 12 mètres, se trouve au sud-ouest, au lieu-dit Russel, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de La Force et Lamonzie-Saint-Martin. L'altitude maximale avec 118 mètres est localisée sur les coteaux nord, entre les lieux-dits Cantemerle et Coite[2].

    Desservie par les routes départementales (RD) 32 et 34E et arrosée par la Gouyne, la ville de Prigonrieux se situe, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'ouest de Bergerac et quinze kilomètres à l'est de Sainte-Foy-la-Grande.

    Le territoire communal est également traversé par la ligne ferroviaire entre Libourne et Bergerac au sud-est de la commune, et par les RD 4, 13, 16 et 34.

    Communes limitrophes

    Carte de Prigonrieux et des communes avoisinantes.

    Prigonrieux est limitrophe de sept autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 796 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Prigonrieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[19] et 64 145 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,7 %), forêts (21 %), zones urbanisées (18,1 %), terres arables (14,6 %), cultures permanentes (7,1 %), prairies (6,8 %), eaux continentales[Note 6] (1,7 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2006 pour le Bergeracois, donc pour les zones basses du territoire de Prigonrieux incluant les parties aval du Guel sur ses 400 derniers mètres et de la Gouyne sur ses 300 derniers mètres[25],[26].

    De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac  composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde  dont la validation a fait l'objet en d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[27],[28].

    Toponymie

    Le nom de la commune est tiré de l'ancien occitan preon ou pregon(d) signifiant « profond », et de riu correspondant à un ruisseau[29]. Le nom du lieu signifierait donc « ruisseau profond ».

    En occitan, la commune porte le nom de Prigond Riu[30].

    Histoire

    Une opération de diagnostics archéologiques menée par l'INRAP en 2006 dans la rue du Commandant-Pinson, a permis de découvrir des indices d'une occupation gauloise (fin de l'Âge du fer). Ont été observés notamment des fossés, dont l'un bordé d'une palissade, des fosses, des trous de poteaux et un four de potier bien conservé. Ces indices tendent à prouver l'existence d'une petite agglomération de la fin du IIe-début du Ier siècle av. J.-C. sur le territoire de Prigonrieux[31].

    La plus ancienne mention écrite connue du lieu se réfère à son église et remonte au XIIe siècle sous la forme Ecclesia de Prionriu[29]. En 1382, le lieu est mentionné sous le nom de Profundo rivo et au XVIIe siècle, sous les graphies Prigondrieu puis Prigontrieu[29].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Prigonrieu[32].

    La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[33].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 2001, Prigonrieux intègre dès sa création la communauté de communes Dordogne-Eyraud-Lidoire. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 3 500 et 4 999 habitants au recensement de 2017, vingt-sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[34],[35].

    Liste des maires

    L'hôtel de ville.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1977 mars 2008 François Lasternas PS puis
    MRC puis PS
    Chef technicien à France Télécom
    Conseiller général du canton de la Force (1979-2004)
    mars 2008 mai 2020 Jean-Paul Rochoir PS Directeur d'école retraité
    mai 2020[36] En cours Olivier Dupuy SE  

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Prigonrieux relève[37] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage de Prigonrieux.

     Charlemagne (Canada) depuis 1978

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2018, la commune comptait 4 160 habitants[Note 7], en diminution de 0,38 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1551 0451 1201 1951 1951 2291 2091 2131 193
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2071 2241 2001 1771 1871 1261 1111 1161 243
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2791 2511 2181 2801 1551 1741 3011 3821 399
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 4981 7282 4613 0933 7213 9563 8504 1134 148
    2018 - - - - - - - -
    4 160--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Prigonrieux ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2015[42], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 629 personnes, soit 39,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (222) a fortement augmenté par rapport à 2010 (180) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,6 %.

    L'emploi sur la commune

    En 2015, la commune offre 866 emplois pour une population de 4 154 habitants[43]. Le secteur secteur tertiaire prédomine avec 36,4 % des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 30.3 %.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

      Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Nombre d'emplois 109 124 55 315 262
    Pourcentage 12,6 % 14,3 % 6,3 % 36,4 % 30,3 %
    Source des données[43].

    Établissements

    Au , la commune compte 331 établissements[44], dont 181 au niveau des commerces, transports ou services, cinquante-deux dans la construction, cinquante-deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et vingt-deux dans l'industrie[45].

    Entreprises

    Dans l'agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la « SARL des établissements Bernard » (cultures non permanentes) implantée à Prigonrieux se classe en 38e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 020 k€[46].

    Le , l'entreprise Sollice Biotech spécialisée dans les cosmétiques, est ravagée par un incendie qui détruit la totalité des locaux[47]. Ses 45 employés se retrouvent en chômage technique et 15 intérimaires perdent leur emploi[47].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chartreuse de Coucombre de la fin du XVIIIe siècle[48] (devenue une propriété viticole portant le nom de « château de Combrillac »[49]).
    • Chartreuse de Simondie de la fin du XVIIIe siècle[50].
    • Château de Cavalerie, au lieu-dit Peymilou, reconstruit après son incendie en 1885[51].
    • Château Meynard, détruit en par les Allemands[52].
    • Église Notre-Dame-de-la-Nativité[53], XVIIIe et XIXe siècles.
    • Chapelle Sainte-Marie-des-Anges du XIXe siècle, au lieu-dit Peymilou[53]. Une plaque apposée sur un mur extérieur à l'initiative des habitants (décision approuvée à l'unanimité par le conseil municipal en 1881) « pour perpétuer le souvenir des illustres bienfaiteurs de cette commune » rappelle que cette chapelle « érigée en chapelle de secours par décrets impérial du  » a été édifiée grâce à la générosité de la marquise et du marquis Charles de La Valette[54].
    • Le « pigeonnier » de Prigonrieux est en fait un ancien grenier à grains. Inauguré en 2011 sur la place du Groupe-Loiseau, il est la reconstruction à l'identique et in situ d'un ancien petit édifice à colombages élevé sur des piliers, initialement érigé sur la place du bourg au XVe siècle, puis démonté et déplacé vers le site de Borie-Basse en 1970. Le chantier a été mis en place à la suite d'une action de l’association Culture et Patrimoine et financé par le fonds communal d'initiative citoyenne. Il a été mené par dix bénéficiaires d'un programme de réinsertion initiés au métier par des compagnons du Devoir[55]. Compte tenu des travaux de réfection de la place du Groupe-Loiseau, l'édifice est démonté en pour être remonté à 300 mètres au sud-est, le long de la route départementale 32, face au carrefour avec l'allée du Rieu-Profond[56].

    Personnalités liées à la commune

    • Adeline Fowle (1800-1869), marquise de La Valette par son mariage, bienfaitrice de la commune[54],
    • Charles Jean Marie Félix de La Valette (1806-1881), marquis de La Valette, homme politique, membre du conseil privé de l’empereur Napoléon III, ministre de l'Intérieur et des Affaires étrangères, grand'croix de la Légion d'honneur, propriétaire du château de Cavalerie, bienfaiteur de la commune[54],
    • Samuel Welles de Lavalette (1834-1892), homme politique français décédé à Prigonrieux, fils d'Adeline Fowle et fils adoptif du marquis de La Valette qui précède.

    Héraldique

    Blason
    Coupé d'argent et d'azur, un chaussé ployé brochant sur le tout, au chef d'azur chargé d'une ancre d'argent accostée de deux anilles du même, surmonté d'une trangle de sinople[57].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Insee, unité urbaine 2010 de Bergerac », Insee (consulté le ).
    2. « 118 » sur Géoportail (consulté le 15 septembre 2014)..
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Prigonrieux et Saint-Laurent-des-Vignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Prigonrieux et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    27. [PDF] Arrêté no 2014337-0002 portant approbation des cartes des surfaces inondables et des cartes des risques d'inondation pour les territoires à risque important d'inondation du bassin Adour-Garonne, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
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    29. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 276.
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    45. Dossier complet - Commune de Prigonrieux (24340) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 15 décembre 2018.
    46. « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
    47. Grégoire Morizet, « Biotech part en fumée », Sud Ouest édition Dordogne, 10 juillet 2020, p. 23.
    48. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 140.
    49. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 87.
    50. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN 2-912347-11-4), p. 144.
    51. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 67.
    52. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 177.
    53. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 179-180.
    54. Photographie de la plaque apposée sur le mur d'une des façades latérales de la chapelle Sainte-Marie-des-Anges (en ligne).
    55. Le pigeonnier a été inauguré, Sud Ouest numérique, 18 janvier 2011 (lire en ligne).
    56. Jacques Boujou, « Le pigeonnier change de quartier », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 23.
    57. D'hier à aujourd'hui sur le site de la ville de Prigonrieux, consulté le 27 août 2013.
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