Sainte-Foy-la-Grande
Sainte-Foy-la-Grande est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Sainte-Foy.
Sainte-Foy-la-Grande | |||||
La rue de la République. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du pays Foyen | ||||
Maire Mandat |
Christelle Guionie 2020-2026 |
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Code postal | 33220 | ||||
Code commune | 33402 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Foyens, Foyennes | ||||
Population municipale |
2 577 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 5 154 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 50′ 28″ nord, 0° 13′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 7 m Max. 20 m |
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Superficie | 0,5 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Bergerac (banlieue) |
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Aire d'attraction | Pineuilh (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Réolais et des Bastides | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintefoylagrande.net | ||||
Géographie
Commune située dans l'unité urbaine de Bergerac, Sainte-Foy-La-Grande est une bastide fondée en 1255 sur les rives de la Dordogne. Elle est aussi appelée « Porte du Périgord ». La bastide se situe sur les bords de la rivière Dordogne qui permet de pratiquer de nombreuses activités nautiques (canoë, bateau promenade et baignade en saison estivale). Elle est le cœur du vignoble AOC de Sainte-Foy-Bordeaux. La bastide de Sainte-Foy-la-Grande est située à la confluence des départements de la Dordogne et de Lot-et-Garonne.
Sainte-Foy-la-Grande est l'une des plus petites communes de France : elle s'étend sur 51 hectares presque totalement urbanisés[1].
Communes limitrophes
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Du fait de sa superficie réduite, la commune n'est entourée que de deux communes limitrophes : au nord et au nord-ouest Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt (en Dordogne), et dans les autres directions, Pineuilh.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Port Ste Foy », sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[8] et qui se trouve à 1 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 802,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Sainte-Foy-la-Grande est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[18] et 64 145 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pineuilh, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (86,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (86,8 %), eaux continentales[Note 6] (13,2 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
En occitan, la commune se nomme Senta Fe la Granda.
Histoire
Du Moyen Âge à la Révolution
Le Sud-Ouest compte environ 350 bastides, érigées à partir du XIIIe siècle. Il s'agit de villes neuves dont le plan architectural orthonormé est ordonné autour d'une vaste place centrale[1].
La bastide de Sainte-Foy-la-Grande (qui s'appelle à l'origine Sainte-Foy-en-Agenais) est fondée en 1255 sur un territoire presque vierge situé sur les bords de la Dordogne, par Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis. L'année suivante, il accorde une charte de coutumes aux habitants[1]. Bernard de Saint Astier cède à Alphonse de Poitiers par acte de paréage signé à Gaillac, le , la terre limitée par les ruisseaux la Rance à l'est et le Vinairols à l'ouest[24]. En 1326, Alfonse d’Espagne, seigneur de Lunel et lieutenant du roi, accorde aux consuls de la ville le droit de la fortifier (ce qui ne signifie pas qu'elle ne l'était pas déjà auparavant)[25]. Sa position stratégique de ville frontalière avec les possessions anglaises en a fait une place forte importante. Elle est un temps conquise par les Anglais au XVe siècle durant la guerre de Cent Ans[26] puis devint un bastion protestant au XVIe siècle[27].
Construite au XIIIe siècle, l'église Notre-Dame est détruite en 1561 par les Huguenots, peu avant les guerres de Religion, lors desquelles la majorité de la population est désormais protestante. Un temple est même inauguré en 1587. Cependant, la défaite des troupes protestantes face aux armées royales sous Louis XIII et les conversions forcées opérées sous Louis XIV retournent la situation : le temple est détruit en 1683 et une nouvelle église, construite au même emplacement que l'ancienne est achevée en 1686[28].
De nombreux bâtiments de la bastide datent de l'époque médiévale, comme une des maisons de la rue Alsace-Lorraine, étudiée par le musée du Pays foyen. Datant des XIIIe et XIVe siècles, l'édifice en pierre élevé sur trois niveaux a eu dans le passé des fonctions religieuses et militaires ; au XXe siècle, il sert de commerce, puis de garage. Des inscriptions sur les poutres, graffitis datant de la Révolution, traces de tapisserie et dessins de saints sur les murs sont encore visibles[29].
Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Bonne-Foy[30]. Devenu député, le Foyen Pierre-Anselme Garrau s'oppose à la volonté du maire, qui souhaite transformer l'église en magasin à fourrage[25].
Depuis le XIXe siècle
L'église Notre-Dame est agrandie en 1850, la première pierre étant posée par Pierre-Henri Gérault de Langalerie, ancien curé de la ville, devenu archevêque. Elle devient l'épicentre des tensions entre catholiques et républicains sous la Troisième République, notamment lors de la querelle des inventaires en 1906, lors de laquelle l'opération doit être effectuée de nuit, après que de nombreux fidèles se sont barricadés dans l'église[25].
La gare de Sainte-Foy-la-Grande est mise en service en 1875, date de l'arrivée de la ligne de chemin de fer en ville. Elle participe de son développement économique, qui se manifeste jusqu'au début des années 1910 par une vague d'environ 300 nouvelles constructions autour de la mairie, dans les rues commerçantes et près de la Dordogne. Ces demeures remplacent souvent des maisons à colombages remontant aux années 1500. Surnommé le « Petit Nice », le nouveau quartier de la gare situé au sud de la bastide, édifié autour de l'avenue éponyme (de nos jours l'avenue Paul-Bert), s'urbanise : bordée de palmiers, cette voie accueille des villas bourgeoises rappelant celles des stations balnéaires, la salle Linard (spectacles) et le café de l'Orient. Les palmiers gèlent lors de l'hiver 1956 et disparaissent[28].
Plus à l'ouest est aménagée la place Broca, où une statue du célèbre médecin Paul Broca, né à Sainte-Foy, est inaugurée en 1888. Œuvre du sculpteur Choppin, second exemplaire de la statue installée à Paris place Broca un an plus tôt, elle est fondue en 1942 sous le régime de Vichy. En 1972, les descendants de Broca offrent un buste à la municipalité qui le place dans l'hôtel de ville[31]. Au no 3, la place accueille le café Proca, qui a du changer son nom après un procès intenté par la famille du médecin ; initialement orné de fenêtres de type mauresque, son bâtiment abrite de nos jours une agence d'assurances. 5 avenue Paul-Broca est édifié en 1906 le casino Rey, dont le bâtiment existe encore de nos jours ; en face sont érigées des bains-douches. Le boulevard Charles-Garrau accueille pour sa part des maisons simples, qui se distinguent des demeures cossues de l'avenue Paul-Bert[28].
En 1919, le maire Ernest Flageol annonce l'édification future d’un monument aux morts de la Première Guerre mondiale, désirant qu'il soit commun avec Pineuilh. Le projet traîne cependant en longueur ; initialement confié au sculpteur Marcel Bouraine (en), il échoit finalement à Jean Camus. Au sein du monument est incrustée une sculpture figurant, selon le contrat établi à l'époque, le « seuil d’un foyer dont le fils est parti là-bas pour toujours… Sur le seuil restent l’aïeul et le petit ; un casque troué sur le genou, l’aïeul lègue à l’orphelin le culte du passé héroïque que, plus tard à son tour l’enfant transmettra ». Au dos sont gravés 86 noms de Foyens (dont une femme) et 52 habitants de Pineuilh. Il est inauguré en 1924, face à l'école élémentaire (sur l'actuelle place Aristide-Briand) afin, selon le projet initial de perpétuer « de façon durable aux yeux et au cœur des générations futures le souvenir de cette période de trouble mondial et de sacrifice si noblement acceptés par leurs aînés »[32].
Au XXe siècle, les Foyens édifient des maisons à l'extérieur de la bastide, d'abord pour y passer les fins de semaines, près de jardins où des riverains modestes cultivaient des légumes. Plusieurs mouvements de construction se succèdent, avant la Grande Guerre, dans l'entre-deux-guerres et à partir des années 1950. Le développement de l'automobile contribue aussi grandement à modifier la circulation des habitants, les modes de vie et les connaissances inter-communautaires[28].
- Monument aux morts de la Première Guerre mondiale, commun avec Pineuilh, place Aristide-Briand.
- Plaque sur les quais au sujet du pont détruit en 1940.
- Monument boulevard Laregnère en hommage au maquisard André Lavaud, tué en 1944.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, le , au lendemain de l'armistice, le pont suspendu menant à Port-Sainte-Foy est détruit. Un pont suspendu est alors édifié en amont, finalement emporté par une crue le de la même année. Sur les quais, une plaque apposée sur un vestige rappelle cet évènement.
En 1948 est créée sous l'impulsion de Jean Corriger la Société historique du Cercle des Amis de Sainte-Foy. Le cercle publie des fascicules sur l'histoire du pays foyen et organise des conférences. Les statuts associatifs sont déposés en 1966 et le cercle devient Les Amis de Sainte-Foy et sa région. L'association est rattachée à la Fédération historique du Sud-ouest. Deux fois par an, elle publie des Cahiers sur l'histoire de la bastide et de ses environs (culturelle, religieuse, architecturale, personnalités, etc.), travaux réalisés à partir d'archives privées et publiques (archives municipales, bibliothèque municipale de Sainte-Foy, office du tourisme, archives départementales). L'association s'investit aussi lors des Journées européennes du patrimoine, organise des sorties, des conférences et des colloques[33].
- Mairie.
- Arcades.
- Rue de la République.
- Halles et allées de Coblentz.
- Gare.
- Boulevard Garros et école communale (à gauche).
- Église.
- Monument à Paul Broca.
- Bords de la Dordogne et pont suspendu.
- Pont du chemin de fer.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de Sainte-Foy-la-Grande sont les suivantes :
Élection | Territoire | Titre | Nom | Tendance politique | Début de mandat | Fin de mandat | |
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Municipales 2020 | Commune de Sainte-Foy-la-Grande | Maire | Christelle Guionie | PS | |||
Départementales 2015 | Canton du Réolais et des Bastides | Conseillers départementaux | Bernard Castagnet et Christelle Guionie | PS | |||
Législatives 2017 | 10ème circonscription de la Gironde | Député | Florent Boudié | LREM |
Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 1995 : 51,72 % pour Lionel Jospin (PS), 48,28 % pour Jacques Chirac (RPR). Le taux de participation était de 78,84 %.
- Élection présidentielle de 2002[34] : 80,90 % pour Jacques Chirac (RPR), 19,10 % pour Jean-Marie Le Pen (FN). Le taux de participation était de 80,67 %.
- Élection présidentielle de 2007[35] : 50,64 % pour Ségolène Royal (PS), 49,36 % pour Nicolas Sarkozy (UMP). Le taux de participation était de 83,21 %.
- Élection présidentielle de 2012[36] : 55,69 % pour François Hollande (PS), 44,31 % pour Nicolas Sarkozy (UMP). Le taux de participation était de 71,56 %.
- Élection présidentielle de 2017[37] : 66,95 % pour Emmanuel Macron (REM), 33,05 % pour Marine Le Pen (FN). Le taux de participation était de 67,57 %.
Élections législatives
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 1993 : 52,30 % pour Jean-Claude Bireau (RPR), 47,70 % pour Gilbert Mitterrand (PS). Le taux de participation était de 71,29 %.
- Élections législatives de 1997 : 55,82 % pour Gilbert Mitterrand (PS), 45,18 % pour Jean-Claude Bireau (RPR). Le taux de participation était de 69,09 %.
- Élections législatives de 2002[38] : 51,65 % pour Gilbert Mitterrand (PS), 48,35 % pour Jean-Paul Garraud (UMP). Le taux de participation était de 65,83 %.
- Élections législatives de 2007[39] : 56,13 % pour Philippe Buisson (PS), 43,87 % pour Jean-Paul Garraud (UMP). Le taux de participation était de 65,51 %.
- Élections législatives de 2012[40] : 57,99 % pour Florent Boudié (PS), 42,01 % pour Jean-Paul Garraud (UMP). Le taux de participation était de 57,13 %.
- Élections législatives de 2017[41] : 69,49 % pour Florent Boudié (LREM), 30,51 % pour Sandrine Chadourne (FN). Le taux de participation était de 44,69 %.
Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 1994 : 24,38 % pour Dominique Baudis (UDF), 23,71 % pour Michel Rocard (PS). Le taux de participation était de 57,80 %.
- Élections européennes de 1999 : 29,78 % pour François Hollande (PS), 12,58 % pour Charles Pasqua (RPFIE). Le taux de participation était de 51,04 %.
- Élections européennes de 2004[42] : 33,65 % pour Kader Arif (PS), 16,29 % pour Alain Lamassoure (UMP). Le taux de participation était de 46,33 %.
- Élections européennes de 2009[43] : 28,50 % pour Dominique Baudis (UMP), 21,65 % pour Kader Arif (PS). Le taux de participation était de 41,33 %.
- Élections européennes de 2014[44] : 25,00 % pour Louis Aliot (FN), 22,81 % pour Michèle Alliot-Marie (UMP). Le taux de participation était de 46,27 %.
- Élections européennes de 2019[45] : 21,94 % pour Jordan Bardella (RN), 18,55 % pour Nathalie Loiseau (LREM). Le taux de participation était de 48,94 %.
Élections régionales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections régionales de 2004[46] : 56,07 % pour Alain Rousset (PS), 29,69 % pour Xavier Darcos (UMP), 14,25 % pour Jacques Colombier (FN). Le taux de participation était de 68,58 %.
- Élections régionales de 2010[47] : 56,52 % pour Alain Rousset (PS), 33,56 % pour Xavier Darcos (UMP), 9,92 % pour Jean Lassalle (MoDem). Le taux de participation était de 48,50 %.
- Élections régionales de 2015[48] : 43,27 % pour Alain Rousset (PS), 35,44 % pour Virginie Calmels (LR), 21,29 % pour Jacques Colombier (FN). Le taux de participation était de 55,57 %.
Élections départementales
Résultats des deuxièmes tours :
Élections cantonales
Résultats des deuxièmes tours :
- Élections cantonales de 1994 : 52,35 % pour Michel Maumont (PS), 47,65 % pour Jean-Pierre Chalard (RPR). Le taux de participation était de 68,76 %.
- Élections cantonales de 2001 : 38,57 % pour Michel Maumont (PS), 33,33 % pour Jean-Pierre Chalard (RPR), 28,10 % pour Philippe Collas (DIV). Le taux de participation était de 67,57 %.
- Élections cantonales de 2008[50] : 64,89 % pour Robert Provain (PS), 35,11 % pour Jean-Pierre Chalard (RPR). Le taux de participation était de 59,79 %.
Élections municipales
- Élections municipales de 2014[51] : 51,08 % pour Christophe Chalard (DVD), 48,92 % pour Florent Boudié (PS). Le taux de participation était de 69,13 %.
- Élections municipales de 2020[52] : 52,28 % pour Christelle Guionie (PS), 47,72 % pour Bruno Beltrami (LR). Le taux de participation était de 51,95 %.
Liste des maires
Au fil de l'histoire qu'il dresse de l'église Notre-Dame, le musée du Pays foyen liste le nom de plusieurs maires (les dates d'entrée et de cessation de fonctions ne sont pas précisées) : Sambellie en 1793, L. de Brugière en 1851, Borderie en 1871, Flageol en 1916, Chastel en 1925, Faucher en 1928 et Bertin-Rouleau en 1938[25].
Lors de la Première Guerre mondiale, le maire est Ernest Flageol. François Mazelle lui succède en 1919 puis Gabriel Chastel le [32].
Démographie
Les habitants de Sainte-Foy-la-Grande sont les Foyens[58].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[60].
En 2018, la commune comptait 2 577 habitants[Note 7], en augmentation de 11,03 % par rapport à 2013 (Gironde : +6,4 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Vie pratique
Cultes
- Église catholique Notre-Dame, 24 rue des Frères-Reclus ;
- Temple protestant de l'Église Unie de France, 26 rue Louis-Pasteur ;
- Assemblée des « frères », deux églises protestantes de tendance darbyste.
Enseignement
- Public
- Groupe scolaire Paul-Bert (école maternelle et primaire)
- Collège Élie-Faure / Mézières (Port-Sainte-Foy)
- Lycées Paul-Broca (professionnel) et Élisée-Reclus (général et technologique)
- Privé sous contrat
- Groupe scolaire Anglade-Langalerie[62] :
- École maternelle et primaire Langalerie
- Collège Anglade (mixte depuis 1960, il compta un internat jusqu'en 1983)
Culture
- Bibliothèque municipale, 8 rue Jean-Louis-Faure.
Santé
- Centre hospitalier de Sainte-Foy-la-Grande, 1 avenue Charrier.
Activités sportives
Le Stade foyen, club de rugby à XV créé en 1909 qui a été :
Le long de l'allée Jean-Raymond-Guyon (anciennes allées de Coblentz), se trouvait autrefois la piscine municipale, construite dans les années 1950-1960 et finalement comblée dans les années 2000 pour laisser place à un terrain de basket. Certains éléments d'origine ont toutefois été conservés (gradins, cabines, buvette). Le terrain de basket est lui-même détruit à la fin de la décennie suivante.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Vestige des remparts médiévaux,
- Place centrale à arcades (place Gambetta, ancienne place d'Armes, ou place de l'Hôtel de ville),
- Tour du Temple, du XIIIe-XIVe siècle. Elle est inscrite aux Monuments historiques depuis 1967, tout comme les maisons aux n°53, n°58, n°94–96 et n°102 rue de la République (depuis 1955) et le monument aux morts de la place Aristide-Briand (depuis 2014).
- Église Notre-Dame, construite au XIIIe siècle, détruite en 1561, reconstruite au XVIIe siècle puis agrandie en 1850,
- Temple protestant, rue Louis-Pasteur, à l'angle de la rue Chanzy,
- Hôtels particuliers du XVIIIe siècle,
- Le point de départ du sentier de grande randonnée 6 (GR6) — qui traverse latéralement la France jusqu'aux Alpes-de-Haute-Provence — est situé sur la commune.
- L'aérodrome de Sainte-Foy-la-Grande, sur la commune de Fougueyrolles, à 3 km.
- Église Notre-Dame.
- L'intérieur de l'église.
- La « tour du Temple ».
- Quais sur la Dordogne.
- Arcades de la place Gambetta.
- Ancienne demeure à colombages.
- Ancienne demeure à colombages.
- Tourelle.
- La halle.
- Vieilles tombes dans le cimetière communal.
Personnalités liées à la commune
Par ordre alphabétique du nom de famille.
Nées à Sainte-Foy-la-Grande
- Gérard Ansaloni (1958 -), poète, auteur-compositeur.
- Manuel Bibes (1976 -), physicien
- Paul Broca (1824 - 1880), médecin, anatomiste et anthropologue.
- Pierre Cassignard (1965 -), acteur.
- Élie Faure (1873 - 1937), historien de l'art et essayiste.
- Yannick Fischer (1974-), footballeur.
- Jean-Marc Furlan (1957-), footballeur et entraîneur de football.
- Pierre-Anselme Garrau (1762-1829), homme politique.
- Pierre-Henri Gérault de Langalerie (1810 - 1886), archevêque.
- Louis Pierre Gratiolet (1815 - 1865), anatomiste et zoologue.
- Christian Jourdan (1954 -), coureur cycliste.
- Christophe Lafont (1966 -), écrivain et historien.
- Rémi Lamerat (1990-), rugbyman.
- Pierre Larthomas (1915-2000), théoricien du théâtre.
- Julien Le Devedec (1986-), joueur de rugby à XV français.
- Ugo Mola (1973 -), vainqueur en 1996 avec le Stade toulousain de la coupe d'Europe de rugby à XV.
- Élisée Reclus (1830 - 1905), géographe libertaire[64].
- Brigitte Roy (1959 -), tireuse française au pistolet 10 et 25 mètres.
- Jean Vircoulon (1947-2019), historien[65].
Mortes à Sainte-Foy-la-Grande
- Gaston Aumoitte (1884 - 1957), joueur français de croquet champion olympique.
- Jacques Dejean (1919 - 2013), violoniste, professeur au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, y possédait une maison.
- Roger Lanzac (1920 - 1996 à Sainte-Foy-la-Grande), animateur de télévision et de radio.
- Peter Warr (1938 - 2010), ancien directeur sportif de l'écurie de Formule 1 Team Lotus, y vécut avant sa mort en 2010.
Ayant vécu à Sainte-Foy-la-Grande
- Jeanne Barret (1740-1807), exploratrice.
- Roby Bois (1926-2009), pasteur protestant (à Sainte-Foy-la-Grande de 1964 à 1969), secrétaire général de la Cimade (de 1973 à 1984).
- Jean-Raymond Guyon (1900-1961), homme politique, élu conseiller général dans le canton de Sainte-Foy-la-Grande en 1937.
- Philippe Henriot (1889-1944), homme politique français, qui a enseigné les lettres et l'anglais au collège catholique Charrier de Sainte-Foy à partir de 1909[66].
- Jean-Didier Vincent (1935-), neuropsychiatre, neurobiologiste et écrivain, directeur de l'Institut de neurobiologie Alfred-Fessard du CNRS de 1991 à 2004.
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Bertin-Roulleau, Sainte-Foy-la-Grande. Vieilles maisons, vieux documents, Feret & Fils Éditeurs, 1927.
- Jean-Michel Boudié, La vie publique à Sainte-Foy-la-Grande au début du XXe siècle.
- Jean Corriger, La libération de Sainte-Foy, sous les auspices du Comité de libération de Sainte-Foy-la-Grande, Delmas et Cie, 1945.
- Jean Corriger, « Le VIIe Centenaire de la fondation de la bastide de Sainte-Foy », Revue historique de Bordeaux et du département de la Gironde, 1955.
- Jean Corriger, Sainte-Foy-la-Grande, les noms des rues, Cahier Les Amis de Sainte-Foy, 1966.
- Jean Corriger, Sainte-Foy-La-Grande : 700 ans de souvenirs ; mon village au grand coeur, Groupe girondin des études locales de l'enseignement public, 1976.
- Jean Corriger, Sainte-Foy-la-Grande, son histoire, Groupe girondin des études locales de l'enseignement public, 1988, postface de Pierre Lart.
- André Prunis et Jean Vircoulon, Histoire de l'hôpital de Sainte-Foy-la-Grande, Amis de Sainte-Foy, 1994.
- Félix de Verneilh, Architecture civile au Moyen Âge dans le Périgord et le Limousin : Sainte-Foi, p. 83-88, dans Annales archéologiques, 1847, tome 6 (lire en ligne)
- Ghislain Verral, Sainte-Foy-la-Grande, une ville protestante (1852-1905), éditions Jean-Jacques Wuillaume, 2017.
- 750 ans de la bastide de Sainte-Foye-la-Grande, actes du colloque tenu les 3 et , Les Amis de Sainte-Foy et sa région.
- Publications de la société d'histoire « Les Amis de Sainte-Foy et sa région ».
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Site officiel de la commune
- Site de l'office de tourisme
- Résultats du recensement de la population de Sainte-Foy-la-Grande sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sainte-Foy-la-Grande », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Société d'Histoire Les amis de Sainte-Foy et sa région
- Sainte-Foy-la-Grande sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Historique », sur saintefoylagrande.net (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Port Ste Foy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sainte-Foy-la-Grande et Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Port Ste Foy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sainte-Foy-la-Grande et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Les Amis de Sainte-Foy et sa région, Fondation de la bastide
- « Autour de l'église Notre-Dame », sur musée du Pays foyen (consulté le ).
- Les Amis de Sainte-Foy et sa région, L'essor de la bastide XIIIe - XVIe
- Les Amis de Sainte-Foy et sa région, revue no 82, 2003, cahier no 1, Catholiques, Protestants XVIe siècle
- « « La maison du 2, place Broca, à Sainte-Foy », sur paysfoyen.canalblog.com, (consulté le ).
- Pierre Lamothe, « Trésor caché de la bastide », sur museedupaysfoyen.com (consulté le ).
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- « Qui sommes nous? », sur Les Amis de Sainte-Foy et sa région (consulté le ).
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- « Résultat des élections européennes de 2019 à Sainte-Foy-la-Grande », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Résultat des élections régionales de 2004 à Sainte-Foy-la-Grande », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Résultat des élections régionales de 2010 à Sainte-Foy-la-Grande », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
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- « Résultat des élections départementales de 2015 à Sainte-Foy-la-Grande », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Résultat des élections cantonales de 2008 à Sainte-Foy-la-Grande », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Résultat des élections municipales et communautaires de 2014 à Sainte-Foy-la-Grande », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- « Résultat des élections municipales et communautaires de 2020 à Sainte-Foy-la-Grande », sur Le site du Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- Commune de Sainte-Foy-la-Grande sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 11 janvier 2012.
- « Christophe Chalard maire à l’unanimité », Sud Ouest, 7 avril 2014.
- « Christelle Guionie, première femme maire de la bastide », Sud Ouest, 29 mai 2020.
- Annuaire des villes jumelées
- Jean-Claude Faure, La fin du jumelage, faute de bénévoles, Sud Ouest édition Périgueux du 11 octobre 2014, p. 28.
- Nom des habitants de Sainte-Foy-la-Grande sur habitants.fr, consulté le 11 janvier 2012.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « L'abbé Anglade », sur college-anglade.com (consulté le ).
- « 2006 - Pose d'une plaque commémorative Charles Pierre Anselme Garrau », sur saintefoylagrandehistoire.com (consulté le ).
- Jean-Claude Faure, Les Reclusiennes ont convaincu , Sud Ouest, 22 juillet 2013, texte intégral.
- « Jean Vircoulon n’est plus », sur sudouest.fr (consulté le ).
- « Philippe Henriot au collège catholique de Sainte-Foy » (consulté le ).
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