La Force (Dordogne)

La Force est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de la Force.

Pour les articles homonymes, voir La Force.

La Force

Le château de la Force.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bergeracoise
Maire
Mandat
Serge Pradier
2020-2026
Code postal 24130
Code commune 24222
Démographie
Gentilé Forcelais, Forcelaises[1]
Population
municipale
2 665 hab. (2018 )
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 10″ nord, 0° 22′ 34″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 116 m
Superficie 15,60 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de la Force
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
La Force
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
La Force
Géolocalisation sur la carte : France
La Force
Géolocalisation sur la carte : France
La Force
Liens
Site web http://www.laforce-dordogne.fr/

    Géographie

    Situation et description

    Située dans le Périgord pourpre et dans l'unité urbaine de Bergerac, 10 kilomètres à l’ouest de Bergerac, la commune a été le chef-lieu du canton de la Force jusqu'en 2015. Son accès se fait par trois routes départementales : les RD34, RD4, RD16.

    Communes limitrophes

    Carte de La force et des communes avoisinantes.

    La Force est limitrophe de quatre autres communes.

    Hydrographie

    Elle est bordée au sud sur plus de deux kilomètres par la Dordogne et traversée sur cinq kilomètres du nord-est au sud-ouest par son affluent l'Eyraud.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 820 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    La Force est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[18] et 64 145 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (39,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), zones urbanisées (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), prairies (10,7 %), terres arables (5,6 %), cultures permanentes (5 %), eaux continentales[Note 6] (1,2 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2006 pour le Bergeracois, donc pour la zone basse du territoire de La Force[24],[25].

    De plus, la commune est incluse dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac  composé de 22 communes : 15 en Dordogne et 7 en Gironde  dont la validation a fait l'objet en d'un arrêté du préfet de la région Midi-Pyrénées, responsable du bassin Adour-Garonne[26],[27].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La Fòrça[28].

    Histoire

    Blason : « d'azur à trois léopards couronnés d'or » La seigneurie de Laforce revient en 1554 à la Maison de Caumont, déjà en possession des fiefs de Caumont en Agenais et de Castelnaud en Périgord. Elle est érigée en marquisat en 1609 puis en duché en 1637. La Maison de Caumont conservera Laforce jusqu'à la Révolution et en porte encore le titre aujourd'hui. Durant la période révolutionnaire, Lakanal fait abattre le château de Laforce, siège du duché.

    En 1958, la commune de Laforce prend le nom de La Force.

    Liste des seigneurs, marquis et ducs de La Force depuis 1554

    • 1554 à 1572 François de Caumont (1524-1572), seigneur de La Force. Tué lors du massacre de la Saint-Barthélemy.
    • 1572 à 1652 Jacques-Nompar Ier de Caumont (1558-1652), 1er marquis en 1609, 1er duc de La Force en 1637, maréchal de France, son fils
    • 1652 à 1675 Armand-Nompar Ier de Caumont (1580-1675), 2e duc de La Force, maréchal de France, son fils
    • 1675 à 1678 Henri-Nompar de Caumont (1582-1678), 3e duc de La Force, son frère
    • 1678 à 1699 Jacques-Nompar II de Caumont (1632-1699), 4e duc de La Force, son petit-fils
    • 1699 à 1726 Henri-Jacques Ier de Caumont (1675-1726), 5e duc de La Force, académicien, son fils
    • 1726 à 1764 Armand-Nompar II de Caumont (1679-1764), 6e duc de La Force, son frère. À sa mort, le titre ducal s'éteint.
    • 1764 à 1773 Bertrand-Nompar de Caumont (1724-1773), marquis de La Force, son cousin
    • 1773 à 1838 Louis-Joseph de Caumont (1768-1838), marquis puis 7e duc de La Force en 1784, son fils et arrière-petit-fils en ligne féminine du 6e duc. Le titre ducal est rétabli en sa faveur
    • 1838 à 1854 François-Philibert de Caumont (1772-1854), 8e duc de La Force, son frère
    • 1854 à 1857 Edmond-Nompar de Caumont (1818-1857), 9e duc de La Force, son petit-fils
    • 1857 à 1882 Auguste-Nompar Ier de Caumont (1803-1882), 10e duc de La Force, son oncle
    • 1882 à 1909 Olivier-Nompar de Caumont (1839-1908), 11e duc de La Force, son fils
    • 1909 à 1961 Auguste-Nompar II de Caumont (1878-1961), 12e duc de La Force, académicien, son fils
    • 1961 à 1985 Jacques-Nompar III de Caumont (1912-1985), 13e duc de La Force, son fils
    • depuis 1985 Henri-Jacques II de Caumont, né en 1944, 14e duc de La Force, son fils

    Les asiles de Laforce

    En août 1844, le pasteur John Bost est appelé par les paroissiens du village de Laforce. Les habitants protestants ont refusé de suivre le pasteur désigné par le Consistoire de Bergerac, car pour eux, il n'était pas « évangélique ». John Bost est ordonné pasteur le à Orléans.

    Le , grâce aux recommandations des professeurs de la faculté protestante de Montauban et aux souscriptions recueillies à Paris et à l'étranger, ce pasteur ouvre un orphelinat pour jeunes filles dénommé « La Famille évangélique ». Cette création sera suivie par sept autres pavillons généralement dénommés sous le terme d'« asiles » et qui se dénomment « Bethel », « Bethesda », « Eben-Hézer », « la Miséricorde », « le Repos », « la Retraite » et « Siloé »

    En 1861, le compositeur Franz Liszt apprend alors qu'il est installé à Weimar que son ancien élève John Bost avait abandonné la musique pour devenir pasteur et consacrer sa vie à créer et à diriger des asiles de charité lance cette première phrase[29] : « Eh bien, il a fait ce qu'il y a de mieux à faire », puis se reprend, en ajoutant : « Il a fait ce qu'il y a à faire. »

    En 1877, dans un ouvrage publié pour présenter les divers établissements de son institution, le pasteur John Bost présente l'ensemble de cette œuvre qui préfigure l'action médico-sociale publique en ces termes[30] :

    «  L'enfance abandonnée, les infirmes, les incurables, les aveugles, les sourds-muets, les idiots, les épileptiques, les veuves, les institutrices malades, l'humble servante infirme, usées par le travail, viennent vous raconter leurs souffrances, vous bénir pour tout le bien que déjà vous leur avait fait et se recommander à votre sympathie, votre charité — ne soyez pas sourd à leurs cris. Leur histoire se résume en un mot : souffrir et la votre en deux mots : soulager, consoler, n'est-ce-pas ?  »

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de La Force est rattachée au canton de la Force qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Bergerac[31].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[32]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de la Force, dont le bureau centralisateur est localisé à Prigonrieux.

    Intercommunalité

    Fin 2001, La Force intègre dès sa création la communauté de communes Dordogne-Eyraud-Lidoire dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[33],[34].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1944 mars 1977 Jean Miquel SE Jardinier
    mars 1977 mars 1983 Jean-Jacques Révillé SE Médecin généraliste
    mars 1983 mars 2001 Jean-Paul Chaume SE Professeur de collège
    mars 2001 mai 2020 Armand Zaccaron PCF[35] Instituteur retraité
    Vice-président de la communauté de communes
    Conseiller général du canton de La Force (2004-2015)
    Conseiller départemental du canton du Pays de la Force (2015-2021)
    mai 2020[36] En cours Serge Pradier    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, La Force relève[37] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2018, la commune comptait 2 665 habitants[Note 7], en augmentation de 3,78 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    695768836944957891893765812
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9108978949021 1611 2411 2281 2481 162
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2221 2951 2061 0261 0601 0681 1881 2401 396
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 5731 8031 8462 1012 2612 3362 4912 5202 603
    2018 - - - - - - - -
    2 665--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Omelette à l'Aillet (le 1er mai)
    • Fête Nationale (Samedi précédent le )
    • Fête de la Citrouille (1er Dimanche d'octobre)
    • Fête de la fondation John Bost (en juin)
    • Marché de Noël

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de La Force ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2015[41], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 150 personnes, soit 44,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (173) a fortement augmenté par rapport à 2010 (104) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,0 %.

    L'emploi sur la commune

    Au , la commune offre 1 336 emplois pour une population de 2 603 habitants[42]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est ultra-majoritaire avec 82,0 % des emplois.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

      Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Nombre d'emplois 10 21 42 167 1 095
    Pourcentage 0,7 % 1,6 % 3,2 % 12,5 % 82,0 %
    Source des données[42].

    Établissements

    Au , la commune compte 151 établissements[43], dont 79 au niveau des commerces, transports ou services, trente-neuf relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, seize dans la construction, onze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et six dans l'industrie[44].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine culturel

    • Foyer Socio-culturel.
    • Place des monuments aux morts.

    Activités culturelles

    Un concert organisé à l'occasion du centenaire de l'armistice de 1918 par l'association Paroles et musiques dans le temple protestant John Bost a permis d'aborder un aspect de la vie des poilus lors de la Grande Guerre. Pierre Hamel, premier violon à l'Orchestre Colonne de Paris a joué d'un instrument peu commun : un violon en métal utilisé par les soldats dans les tranchées pour se distraire. Fabriqué par un maître-luthier de Mirecourt avec des bidons de margarine et des plaques de métal assemblées et soudées, le violon possède un système de chevilles qui fait qu'il peut être accordé et qu'on peut en jouer, même s'il est plus lourd et si le son est un peu métallique. C'est un instrument dont il n'existe que cinq ou six exemplaires connus[46].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de La Force se blasonnent ainsi : « D'azur à trois léopards couronnés d'or, l’un sur l’autre. »

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. http://www.habitants.fr/habitants_la-force_24222.html
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre La Force et Saint-Laurent-des-Vignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Laurent Vign - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre La Force et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Bergerac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
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    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
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    25. [PDF] La Force - Bergeracois - Plan de prévention du risque inondation (p. 2), DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
    26. [PDF] Arrêté no 2014337-0002 portant approbation des cartes des surfaces inondables et des cartes des risques d'inondation pour les territoires à risque important d'inondation du bassin Adour-Garonne, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
    27. Plan de zonage du TRI de Bergerac, DREAL Aquitaine, consulté le 10 mars 2019.
    28. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 4 mars 2014.
    29. Site lexilogos.com, page "John Bost et sa cité prophétique", consulté le 12 décembre 2020
    30. Site gallica.bnf.fr, livre "Les asiles de Laforce", Imprimerie Faisandier Bergerac 1877, consulté le 12 décembre 2020.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
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    45. « Château de La Force », notice no PA00082562, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 avril 2012.
    46. Emeline Ferry, « Un concert à La Force, en Dordogne, avec un violon fabriqué pour les soldats dans les tranchées », France Bleu Périgord et France Bleu, (lire en ligne).
    47. Trombinoscope de l'Assemblée nationale
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