Montignac-Lascaux

Montignac-Lascaux, également appelée Montignac-sur-Vézère ou Montignac (précédente appellation officielle), est une commune française située sur la Vézère, dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Chef-lieu du canton de Montignac de 1790 à 2015, la commune est devenue à cette date le bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Homme.

Pour les articles homonymes, voir Montignac.

Montignac-Lascaux

La Vézère à Montignac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Laurent Mathieu
2020-2026
Code postal 24290
Code commune 24291
Démographie
Gentilé Montignacois(es)
Population
municipale
2 752 hab. (2018 )
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 00″ nord, 1° 09′ 41″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 273 m
Superficie 37,15 km2
Élections
Départementales Vallée de l'Homme
(bureau centralisateur)
Localisation
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Montignac-Lascaux
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Montignac-Lascaux
Liens
Site web ville-montignac.com

    Au cœur de la vallée de la Vézère, la grotte de Lascaux est son site emblématique, mondialement connu.

    Géographie

    Généralités

    Le pont de Montignac sur la Vézère.

    À l'est du département de la Dordogne, Montignac-Lascaux est une commune du nord Sarladais, d'une superficie de 3 715 hectares[1], anciennement chef-lieu du canton de Montignac. Elle est arrosée par la Vézère et son affluent la Laurence qui se rejoignent sur le territoire communal.

    L'altitude minimale se trouve au sud-ouest, là où la Vézère quitte la commune pour servir de limite entre celles de Thonac et Valojoulx. L'altitude maximale est localisée au nord-ouest, au lieu-dit les Quatre Bornes.

    La ville de Montignac-Lascaux se situe, en distances orthodromiques, 11 km au sud-est de Thenon , 13 km au sud-ouest de Terrasson-Lavilledieu et 19 km au nord de Sarlat-la-Canéda, dans la vallée de la Vézère, au carrefour des routes départementales 65, 704, 704e et 706.

    La commune est également desservie au nord par les routes départementales 46 en direction des Farges, et 67 en direction d'Auriac-du-Périgord.

    Le territoire communal est traversé par les sentiers de grande randonnée GR 36 et GR 461.

    Communes limitrophes

    Carte de Montignac et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle de Coly-Saint-Amand.

    Montignac-Lascaux est limitrophe de sept autres communes. Au nord-ouest, elle n'est éloignée du territoire de Bars que par une trentaine de mètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 880 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[8]et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 58 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour la Vézère  qui traverse la commune de l'est au sud-ouest  à Montignac, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant atteindre 700 mètres à l'est de la ville, ainsi que la partie aval de son affluent la Laurence (les 650 derniers mètres)[15],[16].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Montignacum au XIe siècle[17], puis Montignac, la commune a changé de nom officiel en Montignac-Lascaux à la suite du décret no 2020-175 du [18].

    Elle est également qualifiée localement de « Montignac sur Vézère ».

    En occitan, la commune porte le nom de Montinhac[19].

    Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman extrêmement fréquent *Montaniacum, composé du suffixe d'origine gauloise en -(i)acum, qui soit sert à localiser, auquel cas il est généralement précédé d'un appellatif à valeur topographique, soit indique une propriété, cas dans lequel il est précédé d'un anthroponyme. Ce nom de personne serait *Montanius qui n'est pas attesté, contrairement à Montanus. Cependant on distingue le type Montaniacum du type Montiniacum, sur le nom de personne *Montinius, variante de Montinus[17]. Conscient de la fréquence de ce nom de lieu que ce soit sous les formes Montigny, Montignac, etc., Albert Dauzat envisage aussi l'hypothèse d'un nom à caractère topographique, à savoir montinus (cité sans astérisque), relatif à une élévation, une colline, un mont, dérivé de mons[17] (comprendre gallo-roman MONTE « élévation, colline, mont »). Cependant, Montaniacum a très bien pu aboutir à Montiniacum, et le premier élément Montan- représenterait alors *montanea qui a donné montagne en français (latin classique montanus). Les toponymes Montagnac, Montagny, etc. sont tout aussi fréquents.

    Histoire

    Tour du château de Montignac.

    La présence humaine est attestée à Montignac dès le Paléolithique. La cité possède sur son territoire le site préhistorique de Lascaux et le gisement du Régourdou (homme de Néandertal). La ville entre dans l'histoire avec la colonisation romaine. Deux villas sont attestées : la villa des Olivoux (lieu-dit du Chambon au nord de Montignac) et la villa de Brenac.

    À l’époque médiévale, la ville est pourvue d'une forteresse importante. Elle passe de main en main par mariage, vente, héritage avant de passer dans le giron de la famille d'Albret. Elle y demeure jusqu'en 1603, date à laquelle le roi de France Henri IV la cède à François de Hautefort, seigneur de Thenon.

    Le château de la ville est détruit en 1825. Il en reste aujourd'hui une tour et une partie de son infrastructure. Ville de gué qui permet de franchir la Vézère, le pont actuel date de 1766-1767. Chacune des rives témoigne encore aujourd'hui de l'histoire de la ville. Sur la rive droite, on trouve encore quelques ruelles médiévales étroites avec des témoignages architecturaux des XIVe, XVe et XVIe siècles : maisons sur pilotis, à colombages, lavoirs, fontaines.

    Sur la rive gauche, le faubourg avec son couvent, son prieuré et ses quais, rappelle quant à lui la vocation religieuse et commerciale (port marchand) de la ville sous l'Ancien Régime.

    Montignac fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.

    La gare de Montignac en 1905.

    Sur la ligne de Condat - Le Lardin à Sarlat, la gare de Montignac a ouvert ces portes en octobre 1899 ; elle fut utilisée jusqu'en 1940 pour les voyageurs et 1955 pour les marchandises[réf. nécessaire].

    Pendant de la Seconde Guerre mondiale, le maquis va installer des PC départementaux, reconstitués en mai 1944, avec Édouard Valéry, Jean Garraud, et Marcel Serre, vers Saint-Geyrac, Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac, Plazac et Montignac où ils vont occuper successivement trois maisons ou fermes isolées avant de s'installer dans le château de Laudonie où il resteront jusqu'à la libération de Périgueux[20].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Montignac est le chef-lieu du canton de Montignac qui dépend du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[21].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[22]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée de l'Homme, dont elle devient le bureau centralisateur.

    Intercommunalité

    Fin 2001, Montignac intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Vézère dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme dont le siège est aux Eyzies-de-Tayac-Sireuil.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[23],[24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mai 1972 mars 2001 Jacques Cabanel PS  
    mars 2001 octobre 2002 Jean Labeille[Note 4] DVG  
    octobre 2002 mars 2008 Paul Azoulai PS Médecin
    mars 2008
    (réélu en mai 2020[25])
    En cours Laurent Mathieu UMP[26]-LR Chef d'entreprise

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Montignac-Lascaux relève[27] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage de Montignac.

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Montignac sont appelés les Montignacois.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

    En 2018, la commune comptait 2 752 habitants[Note 5], en diminution de 2,2 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 6003 0003 2953 5203 9223 7903 7523 7944 010
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 9483 8983 9023 7733 6883 5123 5523 3663 442
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 1023 0573 0862 9263 0172 8132 9432 7412 706
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 8092 9493 0813 1352 9383 0232 8882 8702 852
    2013 2018 - - - - - - -
    2 8142 752-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • La « Journée de l'arbre, du bois et de la fleur » se tient dans la première quinzaine de mars (6e édition en 2017[31]).
    • Créé au début des années 1980 par l'Amicale laïque du Montignacois[32], le « Festival de danses et musiques du monde » prend en 2012 le nom de « Cultures aux cœurs ». Il rassemble fin juillet-début août, pendant une semaine, les musiciens et danseurs de plusieurs pays ou régions. En 2019, pour la 39e édition, des troupes d'Algérie, du Bénin, de Biélorussie, du Kazakhstan, du Laos, d'Ouganda, du Paraguay, de la Serbie, ainsi que les Amérindiens Micmacs du Canada, et plusieurs groupes traditionnels français (Corrèze, Nice, Nouvelle-Calédonie) figurent parmi les invités[33]. En raison de la pandémie de Covid-19, l'édition 2020 s'est déroulée en format réduit sur trois jours avec uniquement des groupes français ou des formations étrangères basées en France[34],[35]. L'édition 2021 est prévue du au [35].
    • En novembre, sur trois journées, festival du film « DocumenTerre » qui présente des films et des débats sur l'environnement et la nature (10e édition en 2018)[36].

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Montignac ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 094 personnes, soit 39,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (187) a fortement augmenté par rapport à 2010 (132) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,1 %.

    L'emploi sur la commune

    Au , la commune offre 1 379 emplois pour une population de 2 807 habitants[38]. Le secteur tertiaire prédomine avec 44,4 % des emplois mais le secteur administratif est également très présent avec 35,9 %.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

      Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Nombre d'emplois 43 78 151 612 495
    Pourcentage 3,1 % 5,6 % 10,9 % 44,4 % 35,9 %
    Source des données[38].

    Établissements

    Au , la commune compte 550 établissements[39], dont 393 au niveau des commerces, transports ou services, 62 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 43 dans la construction, 31 dans l'industrie, et 21 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[40].

    Entreprises

    « Pastels Girault », la plus ancienne fabrique artisanale de pastels secs en activité au monde, est née en 1780 à Montreuil, en région parisienne. En 1998, l'entreprise s'installe en Dordogne à La Chapelle-Aubareil puis à Montignac en 2016[41]. En 2019, les pastels sont toujours produits par la quatrième génération de la même famille[42],[43]. Elle est labellisée Entreprise du patrimoine vivant[43].

    Dans le secteur du commerce, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Medea » implantée à Montignac se classe en 29e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 20 777 k€[44].

    Monnaie locale

    Une monnaie locale, l'Aqui, a été lancée en avril 2018[45],[46].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Sur 144 hectares, la colline de Lascaux est un site naturel inscrit en 1969[61] avant de devenir classée en 1982[62]. En 1987, neuf hectares supplémentaires sont également classés[63].

    Depuis 1966, la Vézère en aval du pont de Montignac, fait partie d'un site naturel inscrit[64],[65].

    Personnalités liées à la commune

    Buste de Pierre Lachambeaudie, œuvre de Ferdinand Taluet à Montignac.

    Héraldique

    Blason
    De gueules à trois lionceaux couronnés d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Démissionnaire.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Montignac sur le site de l'Institut géographique national (archive), consulté le 2 juillet 2012.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Montignac-Lascaux et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le Mois invalide (sarlat)).
    11. « Orthodromie entre Montignac-Lascaux et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. PPR inondation - 24DDT20000016 - Montignac - Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 10 avril 2019.
    16. [PDF] Vallée de la Vézère – Montignac – Révision du plan de prévention du risque inondation, DREAL Aquitaine, consulté le 10 avril 2019.
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 477ab
    18. Décret no 2020-175 du portant changement du nom de communes, Légifrance, consulté le 8 mars 2020.
    19. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 12 mars 2014.
    20. https://castellan-valery.pagesperso-orange.fr/E_valery_resistanceBR_pr.pdf
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    23. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 6 septembre 2020.
    24. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
    25. « Ils ont aussi été élus », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 13.
    26. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 15.
    27. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Jean-Luc Kokel, « La 6e Journée de l'arbre, du bois et de la fleur », Sud Ouest édition Périgueux, 7 mars 2017, p. 20d.
    32. Sud Ouest édition Périgueux, 27 juillet 2009.
    33. Hervé Chassain, « Un festival à vivre avec ses cinq sens », Sud Ouest édition Dordogne, 24 juillet 2019, p. 20-21.
    34. Chantal Gibert, « Les festivals au pied du mur », Sud Ouest, 16 avril 2020, p. 20.
    35. Clément Bouynet, « Quarante ans de métissage des cultures au pied de Lascaux », Sud Ouest édition Dordogne, 21 juillet 2021, p. 20d-20e.
    36. « 10e festival DocumenTerre », Sud Ouest édition Périgueux, 30 octobre 2018, p. 20a.
    37. Dossier complet - Commune de Montignac (24291) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
    38. Dossier complet - Commune de Montignac (24291) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
    39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    40. Dossier complet - Commune de Montignac (24291) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 2 décembre 2018.
    41. Jean-Luc Kokel, « 240 ans de savoir-faire pour les Pastels Girault », Sud Ouest édition Dordogne, 17 juin 2021, p. 25.
    42. « La plus ancienne fabrique artisanale de pastels au monde est en Dordogne », La France pittoresque, 9 février 2019, consulté le 13 février 2019.
    43. Lucie Mouillaud, « Des couleurs et un savoir-faire », Sud Ouest édition Dordogne, 26 juillet 2019, p. 12-13.
    44. « Commerce », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 40.
    45. « L' Aquí : la nouvelle monnaie locale en Dordogne | Montgolfières du Périgord », sur www.montgolfiere-du-perigord.com (consulté le )
    46. « Monnaie Locale | Monnaie Aqui | Périgord | Monnaie locale du Périgord », sur aqui (consulté le )
    47. « Château de Coulonges », notice no PA00082692, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 31 juillet 2010.
    48. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 188-189, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X)
    49. « Grotte de Lascaux », notice no PA00082696, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    50. « Gisement préhistorique du Régourdou », notice no PA00082695, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    51. « Gisement préhistorique de La Balutie », notice no PA00082694, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    52. « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00082693, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    53. Bulletin n°107 - 4e trimestre 2006 de la Société d'Art et d'Histoire de Sarlat et du Périgord Noir consultée le 1er juillet 2012.
    54. « Tableau : mort de saint Bruno », notice no PM24000238, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    55. « Hôtel de Bouilhac », notice no PA24000068, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    56. « Ancien hôpital Saint-Jean ou ancien prieuré », notice no PA00082697, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    57. « Hôpital », notice no PA00082698, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 4 février 2018.
    58. « Maison Duchêne », notice no PA24000078, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 1er juillet 2012.
    59. J. Mandin, Bouley. Un sanctuaire dans les bois en Sarladais, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1900, tome XXVII, p. 92-93 (lire en ligne)
    60. Communes : Ruine de la chapelle de Bouley
    61. Site inscrit Colline de Lascaux sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
    62. Site classé Colline de Lascaux sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
    63. Lascaux (extension) sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
    64. Vallées de la Beune, de la petite Beune et de la Vézère. sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
    65. Carte du site inscrit 0000116 sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 3 juillet 2012.
    66. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 299.
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