Trémolat

Trémolat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Trémolat

Le village de Trémolat.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Éric Chassagne
2020-2026
Code postal 24510
Code commune 24558
Démographie
Population
municipale
645 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 33″ nord, 0° 49′ 50″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 186 m
Superficie 14,03 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Trémolat
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Trémolat
Géolocalisation sur la carte : France
Trémolat
Géolocalisation sur la carte : France
Trémolat

    Géographie

    Généralités

    Le village de Trémolat au bord de la Dordogne.

    Au sud du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Trémolat est entièrement située en rive droite de la Dordogne qui limite la commune sur environ six kilomètres. Le large méandre constitué par la Dordogne à cet endroit porte le nom de « cingle de Trémolat ». Le barrage de Mauzac implanté en aval, entre Calès et Mauzac-et-Grand-Castang, y forme une retenue d'eau calme, propice aux sports nautiques.

    L'altitude minimale, 41 mètres, se trouve au nord-ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Calès et Mauzac-et-Grand-Castang. L'altitude maximale avec 186 mètres est également localisée au nord-ouest, en limite de la commune de Pezuls, au nord du lieu-dit le Monteil.

    Le village de Trémolat se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest du Buisson-de-Cadouin et huit kilomètres au nord-est de la bastide de Lalinde. Il est établi à l'intersection des routes départementales 30 et 31.

    La commune est également desservie par la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson en gare de Trémolat.

    Le chemin de grande randonnée GR 6 traverse le territoire communal au nord.

    La commune est rattachée administrativement au canton de Sainte-Alvère dans l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda.

    Communes limitrophes

    Carte de Trémolat et des communes avoisinantes.

    Trémolat est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 854 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Liées à la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.

    Natura 2000

    La Dordogne entre Trémolat (à gauche) et Calès.

    Deux zones Natura 2000 sont délimitées sur le territoire de Trémolat :

    • la Dordogne[14], protégée pour différentes espèces de poissons ;

    ZNIEFF

    La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I :

    • appelé « cingle de Trémolat », le large méandre qu'effectue la Dordogne présente en rive droite une paroi calcaire ensoleillée d'une centaine de mètres de hauteur où nichent des milans noirs et où peut s'épanouir une flore de type méditerranéen[17],[18].
    • à l'est et au sud-est de la commune, le « cingle de Limeuil », un autre méandre de la Dordogne présente, toujours en rive droite, un coteau calcaire ensoleillé pouvant atteindre 80 mètres de haut où peut s'épanouir une flore de type méditerranéen[19],[20].

    Protection du biotope

    Comme l'ensemble des communes du département de la Dordogne baignées par la Dordogne, Trémolat est soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[21].

    Sites remarquables

    La Dordogne et ses « cingles » (méandres) présentent trois sites naturels protégés, aussi bien terrestres qu'aquatiques, en partie sur le territoire de Trémolat.

    Le cingle de Trémolat offre deux zones qui se recouvrent en partie :

    • plus récemment, un site classé en 1985[24],[25], plus restreint, s'étend depuis la limite communale avec Mauzac-et-Grand-Castang jusqu'au pont de la route départementale 31.

    Le cingle de Limeuil quant à lui est un site classé depuis 1985[26],[27], depuis les Bretoux et Viaunet, en limite de la commune de Limeuil, jusqu'au Rocq, en passant par les Flaments.

    Urbanisme

    Typologie

    Trémolat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[28],[29],[30]. La commune est en outre hors attraction des villes[31],[32].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,9 %), forêts (29,9 %), terres arables (17,9 %), eaux continentales[Note 5] (6 %), prairies (5,8 %), zones urbanisées (2,4 %), cultures permanentes (2 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Trémolat[34],[35].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Tremolat[36].

    Histoire

    Préhistoire

    La grotte de Lestruque est signalée par Peyrony. D'après Peyrony (1949[37]) puis plus tard Denise de Sonneville-Bordes (1960[38]), elle a fourni des industries du Solutréen, Magdalénien supérieur. Peyrony mentionne également de l'Azilien[39].

    G.[39] ou Louis[40] Peyrille aurait effectué une fouille dans ce gisement. Michel Lenoir fait une étude typologique et statistique du matériel de la grotte ramassé en surface[39].

    Moyen-Âge

    Trémolat serait la patrie de saint Cybard (Eparchius), né au VIe siècle[41], ermite qui vivait dans une grotte au-dessus de la Charente. De ce refuge désert, naît le monastère de Saint-Cybard d'Angoulême. Au IXe siècle, les moines de ce monastère viennent fonder une dépendance à Trémolat. L'église actuelle de Trémolat, fortifiée, date du XIIe siècle. Elle a remplacé des édifices plus anciens détruits lors des invasions normandes.[réf. nécessaire]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Trémolat a, dès 1790, été rattachée au canton de Limeuil qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-Alvère (devenu canton de Sainte-Alvère en 1972), dépendant de l'arrondissement de Bergerac[42].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Trémolat intègre dès sa création la communauté de communes du Terroir de la truffe. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe.

    Au , Trémolat quitte la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe  qui est dissoute le même jour  pour rejoindre la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord[43].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 1977 mars 1989 Michel Labroue PRG puis MRG Avocat
    Conseiller général (1964-1988)
    1989 1995 Jeanette Beiringer DVG  
    1995
    (réélu en mai 2020)
    En cours Éric Chassagne SE[46] Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Trémolat relève[47] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].

    En 2018, la commune comptait 645 habitants[Note 6], en augmentation de 8,4 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    967893819839918910914859917
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9059189639231 055909904876793
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    776754714670648637670604575
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    516566508542625571656576637
    2018 - - - - - - - -
    645--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[51], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 235 personnes, soit 36,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (34) a augmenté par rapport à 2010 (31) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-sept établissements[52], dont trente-sept au niveau des commerces, transports ou services, onze dans la construction, sept dans l'industrie, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[53].

    Entreprises

    Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, « Le Vieux Logis » (restauration traditionnelle) implanté à Trémolat se classe en 39e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 460 k€[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le cingle de Trémolat, est l'une des particularités du village. La route suit la falaise et offre aux visiteurs une vue saisissante sur la vallée et la boucle que forme la Dordogne.

    La commune dispose d'un bassin nautique et attire chaque été de nombreux visiteurs venus essentiellement des Pays-Bas, d'Angleterre et d'Allemagne.

    Elle possède également deux églises du XIIe siècle : l'église Saint-Hilaire, inscrite au titre des monuments historiques en 2010[55] et l'église Saint-Nicolas, classée au titre des monuments historiques depuis 1913[56],[57].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Tremolat
    Blason
    D'azur au croissant d'or ; au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Trémolat et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Trémolat et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. FR7200660 - La Dordogne : SIC sur le site de l'INPN, consulté le 11 décembre 2011.
    15. [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    16. Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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    19. Cingle de Limeuil sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 11 décembre 2011.
    20. Carte de la ZNIEFF 26240000 sur le site de la DIREN Aquitaine, consulté le 11 décembre 2011.
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    22. « Cingle de Trémolat sur le site de la DIREN Aquitaine »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), consulté le 11 décembre 2011.
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    55. « Ancienne église Saint-Hilaire », notice no PA00083029, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 décembre 2011.
    56. « Église Saint-Nicolas », notice no PA00083030, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 décembre 2011.
    57. Pierre Dubourg-Noves, Saint-Nicolas de Trémolat, pp. 112-129, dans Congrès archéologique de France. 137e session. Périgord Noir. 1979, Société Française d'Archéologie, Paris, 1982
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