Paunat

Paunat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Paunat

Le village de Paunat et son église abbatiale.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Didier Marc
2020-2026
Code postal 24510
Code commune 24318
Démographie
Population
municipale
310 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 17″ nord, 0° 51′ 32″ est
Altitude Min. 44 m
Max. 216 m
Superficie 18,28 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Paunat
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Paunat
Géolocalisation sur la carte : France
Paunat
Géolocalisation sur la carte : France
Paunat
Liens
Site web paunat.fr

    Géographie

    Généralités

    Paunat se situe à la limite du Périgord noir et du Bergeracois, tout près des sites préhistoriques de la vallée de la Vézère, qui font la réputation de la région.

    Communes limitrophes

    Carte de Paunat et des communes avoisinantes en 2015, avant la création des communes nouvelles de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons, puis de Val de Louyre et Caudeau.

    Paunat est limitrophe de sept autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 900 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 30 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

    Natura 2000

    La zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, qui s'étend au total sur 3 686 hectares et est partagée avec vingt-quatre autres communes, fait partie du réseau Natura 2000[14],[15]. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[14] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur une trentaine d'hectares et correspond aux coteaux situés en bordure de la Dordogne, au nord de Sors, ainsi que depuis le Moulin de Sors jusqu'à la Borie.

    Urbanisme

    Typologie

    Paunat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,7 %), zones agricoles hétérogènes (37,5 %), prairies (9,2 %), eaux continentales[Note 5] (0,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Paunat[22],[23].

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu est inscrite dans le cartulaire de l'abbaye de Saint-Cybard sous la forme Possessio Palnatensis (possession de Paunat)[24] puis ultérieurement Monasterium nomine Palmatus (monastère nommé Palmat) dans les registres de l'abbaye de Vabres[25]. En 1090, le cartulaire de l'abbaye de La Sauve-Majeure recense Paunac et le nom de Palnato est relevé en 1546[24].

    Le nom du lieu dérive du nom d'un personnage gallo-roman : Paulinus, suivi du suffixe -acum signifiant « le domaine de Paulinus »[24].

    En occitan, la commune porte le nom de Paunac[26].

    Histoire

    Le territoire communal a fait l'objet d'une occupation dès le Paléolithique[24].

    L'origine du nom indique l'existence sur le site d'un domaine rural dans l'Antiquité ou à l'époque mérovingienne. Le lieu doit son développement au Moyen Âge à un monastère fondé durant l'époque carolingienne par une famille aristocratique, sans doute sur son propre domaine. Dans le courant du IXe siècle, le monastère est donné avec toutes ses dépendances situées en Périgord, en Quercy et probablement dans d'autres comtés voisins à l'abbaye Saint-Martial de Limoges par un certain David, faisant vraisemblablement partie de l'entourage du roi Pépin Ier d'Aquitaine, et par sa femme Benedictana[27]. Selon un récit écrit au Xe siècle par un abbé de Vabres, les moines et leur abbé Adalgasius ont alors quitté Paunat, erré pendant plusieurs années et finalement trouvé refuge en Rouergue où ils ont fondé l'abbaye de Vabres sous les auspices du comte de Toulouse. Plusieurs prieurés étaient subordonnés à l'abbaye de Paunat : Le Fleix, Montfaucon, Ribagnac, Saint-Nazaire et Tayac[25]. En 1316, le bourg de Paunat avait le titre de « ville » (Communitas villae de Palnaco), avec un repaire noble dépendant de la châtellenie de Limeuil[25].

    L'église Saint-Martial de Paunat a relevé jusqu'au XVIIIe siècle, de l'abbaye Saint-Martial de Limoges dont elle constituait une des principales possessions.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Paunat a, dès 1790, été rattachée au canton de Limeuil qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-Alvère (devenu canton de Sainte-Alvère en 1972), dépendant de l'arrondissement de Bergerac[28].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[29]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central.

    En 2017, Paunat est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[30],[31].

    Intercommunalité

    Fin 2001, Paunat intègre dès sa création la communauté de communes du Terroir de la truffe. Celle-ci est dissoute le et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe. Elle est elle-même dissoute le et la plupart de ses communes, dont Paunat, sont intégrées à la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux le .

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[32],[33].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 2001 avril 2014 Roger Chapotot UMP[34] Retraité
    avril 2014[35] mai 2020 Francis Mérillou    
    mai 2020 En cours Didier Marc    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Paunat relève[36] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[37].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

    En 2018, la commune comptait 310 habitants[Note 6], en augmentation de 0,32 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0809711 0069121 002901908950861
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    800791763717768682669637607
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    553505452384405401399346273
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    298282226217246271302314305
    2018 - - - - - - - -
    310--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fin juillet, début août, festival de musique et de chant classiques « Musique en Sol », à l'intérieur de l'église abbatiale[41] (28e édition en 2019[42]).

    Économie

    Emploi

    En 2015[43], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 114 personnes, soit 37,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (seize) a augmenté par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-neuf établissements[44], dont vingt-deux au niveau des commerces, transports ou services, huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martial[46] fait la réputation de Paunat, car c'est une des rares églises à être millénaire (elle a été consacrée en 991).

    Édifiée une première fois au VIIIe siècle, elle a été donnée au IXe siècle, sans doute en 848[47], à l'abbaye Saint-Martial de Limoges dont elle dépend jusqu'au XVIIIe siècle. Elle est saccagée en 849, puis en 860 par les Normands.

    Plusieurs fois ruinée puis rétablie, elle est rattachée en 1703 au séminaire de Périgueux.

    L'église actuelle présente un chœur rectangulaire qui date du XIIe siècle et qui a été voûté d'ogives au XIVe siècle. La nef actuelle a été construite au XVe siècle et les voûtes d'ogives qui la couvrent ont été refaites en briques au XIXe siècle. Quant au clocher-porche, il n'a subi aucun remaniement depuis son édification au XIIe siècle. Elle est classée depuis 1956 au titre des monuments historiques et ses abords sont inscrits depuis 1959[48].

    Une centaine de mètres au nord de l'église, la maison dite La Recette, du XIIe – XIIIe siècle, est inscrite depuis 1998 au titre des monuments historiques pour son avant-corps de bâtiment sud[49].

    La chartreuse du Colombier édifiée au XVIIe siècle présente des jardins labellisés « jardin remarquable »[50].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à l'arbre au naturel, au pèlerin de Saint-Jacques d'or, coiffé et chaussé de gueules, tenant son bâton du même, brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Paunat et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Paunat et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. PPR inondation - 24DDT20070002 - Dordogne Centre, DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
    23. [PDF] Paunat - Dordogne centre - Plan de prévention du risque inondation p. 13, DREAL Aquitaine, consulté le 18 février 2019.
    24. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 256.
    25. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Paunat », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 20 août 2019.
    26. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 août 2019.
    27. Jean François Boyer, « La donation du monastère de Paunat en Périgord et l’institution de l’abbaye bénédictine de Saint-Martial de Limoges en 848 », dans Regards croisés sur le monument médiéval. Mélanges Claude Andrault-Schmitt, M. Angheben, P. Martin, E. Sparhubert (dir.) Brepols, Turnhout, 2018, p. p. 17-25.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    30. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
    31. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
    32. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
    33. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 6 novembre 2020.
    34. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 23.
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    36. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    37. Site des villes et villages fleuris, consulté le 17 décembre 2020.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    41. « Musique en Sol » sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 1er août 2015.
    42. Benoît Martin, « Avec Musique en sol, la jeunesse au firmament », Sud Ouest édition Dordogne, 29 juillet 2019, p. 12.
    43. Dossier complet - Commune de Paunat (24318) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 décembre 2018.
    44. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    45. Dossier complet - Commune de Paunat (24318) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 décembre 2018.
    46. Anne-Marie Pêcheur, L'église de Paunat, p. 97-111, dans Congrès archéologique de France. 137e session, Périgord Noir, 1979, Société française d'archéologie, Paris, 1982.
    47. Jean François Boyer, « La donation du monastère de Paunat en Périgord et l’institution de l’abbaye bénédictine de Saint-Martial de Limoges en 848 », dans Regards croisés sur le monument médiéval. Mélanges Claude Andrault-Schmitt, M. Angheben, P. Martin, E. Sparhubert (dir.) Brepols, Turnhout, 2018, p. 17-25.
    48. « Église Saint-Martial et abords », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2019.
    49. « Maison dite La Recette », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2019.
    50. Boris Rebeyrotte, « Dolce vita en Dordogne », Le Mag no 449, supplément à Sud Ouest, , p. 21-25.
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