Saint-Geniès (Dordogne)

Saint-Geniès est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Geniès.

Saint-Geniès

Le château et l'église de Saint-Geniès.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fénelon
Maire
Mandat
Michel Lajugie
2020-2026
Code postal 24590
Code commune 24412
Démographie
Population
municipale
926 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 59′ 39″ nord, 1° 15′ 06″ est
Altitude Min. 149 m
Max. 303 m
Superficie 33,59 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Terrasson-Lavilledieu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Geniès
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Geniès
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Geniès
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Geniès
Liens
Site web saintgenies.com

    Géographie

    Généralités

    Lavoir sur la Chironde, à l'est du bourg de Saint-Geniès.

    La commune de Saint-Geniès, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Elle se situe en Périgord noir, au sud-ouest du département de la Dordogne. Elle est traversée du sud au nord-est par la Chironde, petit affluent du Coly et sous-affluent de la Vézère. La Beune, affluent de la Vézère, prend sa source au nord-ouest du territoire communal et s'écoule en direction du sud-ouest.

    L'altitude minimale, 149 mètres[1], se trouve tout au nord de la commune, au nord-est du lieu-dit Vialard, sur la route départementale 64, en limite de la commune de Saint-Amand-de-Coly. L'altitude maximale avec 303 mètres[2], est localisée à l'extrême sud-est, à proximité de la commune de Saint-Crépin-et-Carlucet, au sud-ouest du lieu-dit Combe Tenergue.

    Le bourg, implanté en rive gauche de la Chironde et traversé par les routes départementales 61 et 64, se situe, en distances orthodromiques, onze kilomètres au sud-est de Montignac-Lascaux et douze kilomètres au nord-nord-est de Sarlat-la-Canéda.

    La principale voie d'accès à la commune reste la route départementale 704, de direction nord-sud, qui passe 500 mètres à l'ouest du bourg. À l'ouest, la commune est également desservie par la route départementale 48, qui fait prolongement à la route départementale 61.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Geniès et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle de Coly-Saint-Amand.

    Saint-Geniès est limitrophe de sept autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 922 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 908,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 29 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Geniès est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,1 %), zones agricoles hétérogènes (43 %), prairies (5,2 %), terres arables (4,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le lieu tire son nom de Sanctus Genesius[22], nom de plusieurs martyrs[23].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Giniés[22].

    Histoire

    La première mention écrite connue du lieu, Beata Maria de Sancto Genesio en 1178, se réfère à son église[23].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Geniès a, dès 1790, été rattachée au canton de la Cassagne qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Salignac (devenu canton de Salignac-Eyvignes en 1965, puis renommé en canton de Salignac-Eyvigues en 2001), dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[24].

    Intercommunalité

    Fin 1998, Saint-Geniès intègre dès sa création la communauté de communes du Salignacois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays de Fénelon.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[25],[26].

    Liste des maires

    La mairie de Saint-Geniès.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1988  ? Gilbert Fournier    
             
    1995 mars 2008 Anne-Marie Bousquet    
    mars 2008[27]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Michel Lajugie SE[28] puis PCF Agriculteur
    Conseiller général du canton de Salignac-Eyvigues (2011-2015)
    Conseiller départemental du canton de Terrasson-Lavilledieu (depuis 2015)

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Geniès relève[29] :

    Jumelages

    Panneau de jumelage.

     Le Juch (France) depuis 1997

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2018, la commune comptait 926 habitants[Note 6], en diminution de 3,84 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3001 2001 2591 3031 4571 5501 3271 5711 561
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5561 5841 4661 4001 4181 4061 4491 3601 412
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1881 1471 1351 002993919917881826
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    812765731702735815961941940
    2018 - - - - - - - -
    926--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[33], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 443 personnes, soit 46,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (57) a augmenté par rapport à 2010 (41) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,8 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 146 établissements[34], dont 85 au niveau des commerces, transports ou services, 31 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, dix-sept dans la construction, huit dans l'industrie, et cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[35].

    Entreprises

    Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la SARL ATSE Bordes (travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation), implantée à Saint-Geniès, se classe en 19e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 4 980 k€[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Sur un espace limité, le village de Saint-Geniès présente un bel ensemble architectural, avec quatre monuments protégés au titre des monuments historiques et ses toits recouverts de lauzes.

    Vieux château de Saint-Geniès

    Vestige du vieux château.

    Remontant au XIIe siècle, il ne subsiste, en bordure est du village, qu'un donjon en ruines du vieux château ravagé lors des guerres de Religion[37]. Il est inscrit aux monuments historiques depuis 1925[38].

    Château de Saint-Geniès

    Le château et le clocher-porche de l'église.

    L'ancien château étant détruit, les seigneurs de Saint-Geniès (famille de Gontaut) font, sur la base d'édifices remontant au XIIIe siècle, bâtir au XVIe siècle un nouveau château, en forme de U. Au XVIIe siècle, une tour carrée contenant un escalier à vis est ajoutée. La tour ovale du XVIe siècle est rehaussée en 1912 pour y adjoindre un chemin de ronde et des mâchicoulis[37].

    Le château, couvert de lauzes, est classé monument historique en 1976[39]. La façade orientale a été aménagée en restaurant[40].

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption

    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.

    Des XIIe et XVe siècles, classée[41], l'église Notre-Dame-de-l'Assomption également couverte de lauzes comprend deux parties : le chœur et la nef ont été construits probablement au XIIe siècle, avec des ajouts de chapelles à la fin du XIIIe siècle et au XVe siècle. Le chœur est de plan polygonal à l'extérieur et semi-circulaire à l'intérieur et voûté en cul-de-four. Il est précédé d'une travée droite voûtée en berceau, avec une chapelle au nord. La nef se compose de deux travées voûtées d'ogives aujourd'hui sur laquelle s'ouvrent quatre chapelles.

    • L'église apparaît dans des documents en 1168. Elle est déjà dédiée à la Bienheureuse Vierge Marie. Elle dépend alors de l'abbaye de Saint-Amand-de-Coly.
    • En 1283, elle a deux desservants, la cure dépendait de l'évêque et l'abbé de Saint-Amand-de-Coly.
    • Au XVe siècle la seigneurie est entrée dans la famille de Gontaut quand Richard de Gontaut, capitaine de Montignac pour le roi Charles VI, épouse l'héritière des Salignac. Les Gontaut partagent la seigneurie avec la famille Lassalle. Il existe aussi sur le territoire de la paroisse la seigneurie de Pelvezy.
    • La chapelle au nord de la première travée de la nef porte à la clé de voûte l'écu des Carbonnières qui sont seigneurs de Pelvezy depuis le mariage de Jeanne de Salignac avec Jean de Carbonnières en 1424.
    • La chapelle nord de la seconde travée de la nef avait une ouverture permettant l'accès depuis le château.
    • À la fin du XVe siècle, construction du clocher-porche.
    • En 1570, Jean de Gontaud déclare dans son testament vouloir être enterré dans l'église de Saint-Geniès.
    • En 1772,le prieuré et la cure sont réunis.

    Chapelle du Cheylat

    À environ 70 mètres à l'est des vestiges du donjon du vieux château, la chapelle du Cheylat (ou du Cheylard), édifice religieux d'un cimetière qui n'existe plus, est classée depuis 1899[42]. Elle a été fondée en 1331[43]. À l'intérieur, de nombreuses peintures du XIVe siècle représentent la vie du Christ et des saints[44].

    Château et chapelle de Pelvézy

    Deux kilomètres à l'ouest-sud-ouest du village, le château de Pelvézy accueille un centre de vacances. Il a conservé une chapelle du XVIIe siècle[45].

    Association

    L’association pour la sauvegarde du patrimoine de Saint-Geniès, ASPSG, créée en 2011, a pour but de contribuer à la sauvegarde du patrimoine de la commune, à la connaissance historique et à la conservation et l’animation culturelle des sites[46].

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er d'azur au lion d'or, au 2e contre-écartelé d'or et de gueules, au 3e de sinople à trois écureuils assis d'or, au 4e d'azur à trois cotices d'or[47].
    Détails
    Le second quartier représente les armes de la famille de Gontaut qui possédait la seigneurie de Saint-Geniès.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Philippe Araguas - Saint-Geniès. Église Notre-Dame de l'Assomption - pp. 18–24 dans Congrès archéologique de France. 137e session. Périgord noir. 1979 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1982

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Altitude 149, au nord-est de Vialard » sur Géoportail (consulté le 24 octobre 2010)..
    2. « Bne 303 » sur Géoportail (consulté le 24 octobre 2010)..
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Prats de Carlux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Geniès et Prats-de-Carlux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Prats de Carlux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Saint-Geniès et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 5 novembre 2013.
    23. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 321.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    26. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
    27. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 28 août 2014.
    28. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 23.
    29. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Dossier complet - Commune de Saint-Geniès (24412) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
    34. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    35. Dossier complet - Commune de Saint-Geniès (24412) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
    36. « BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 37.
    37. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 255, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
    38. « Château (ruines) », notice no PA00082838, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 juillet 2010.
    39. « Château de Saint-Geniès », notice no PA00082837, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consultée le 9 juillet 2010.
    40. Château de Saint-Geniès sur le site Périgord.evous. Consulté le 9 juillet 2010.
    41. « Église Notre-Dame », notice no PA00082839, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 10 décembre 2009
    42. « Chapelle du Cheylat », notice no PA00082836, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 23 octobre 2010.
    43. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 134.
    44. « Peintures monumentales de la chapelle du Cheylat », notice no PM24000332, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 23 octobre 2010.
    45. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 206, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
    46. https://www.saintgenies.com/association-de-sauvegarde-du-patrimoine/
    47. « 24412 Saint-Geniès (Dordogne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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