Edmond Michelet
Edmond Charles Octave Michelet est un homme politique français, né le à Paris 19e, et mort le à Brive-la-Gaillarde (Corrèze).
Pour les articles homonymes, voir Michelet.
Edmond Michelet | ||
Edmond Michelet lors d'une visite au Brésil, en 1960. | ||
Fonctions | ||
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Ministre d'État, chargé des Affaires culturelles | ||
– (1 an, 3 mois et 17 jours) |
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Président | Georges Pompidou | |
Gouvernement | Jacques Chaban-Delmas | |
Prédécesseur | André Malraux | |
Successeur | André Bettencourt (par intérim) Jacques Duhamel |
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Député de la 1re circonscription du Finistère | ||
– (moins d’un jour) |
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Réélection | ||
Législature | IVe (Cinquième République) | |
Groupe politique | UDR | |
Prédécesseur | Marc Bécam | |
Successeur | Marc Bécam | |
– (1 mois et 4 jours) |
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Élection | ||
Législature | IIIe (Cinquième République) | |
Groupe politique | UD-Ve | |
Prédécesseur | Roger Évrard | |
Successeur | Marc Bécam | |
Ministre d'État | ||
– (1 mois et 9 jours) |
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Président | Charles de Gaulle | |
Gouvernement | Georges Pompidou IV | |
Ministre d'État, chargé de la Fonction publique | ||
– (1 an, 1 mois et 24 jours) |
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Président | Charles de Gaulle | |
Gouvernement | Georges Pompidou IV | |
Prédécesseur | Jean de Broglie (secrétaire d'État) (indirectement) | |
Successeur | Robert Boulin | |
Membre du Conseil constitutionnel | ||
– (5 ans et 7 jours) |
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Prédécesseur | Victor Chatenay | |
Successeur | Jules Antonini | |
Garde des Sceaux, ministre de la Justice 1er ministre de la Justice de la Ve République | ||
– (2 ans, 9 mois et 1 jour) |
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Président | Charles de Gaulle | |
Gouvernement | Michel Debré | |
Prédécesseur | Michel Debré | |
Successeur | Bernard Chenot | |
Sénateur de la Seine | ||
– (7 ans et 10 jours) |
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Élection | ||
Groupe politique | MRP Républicains sociaux UNR |
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Député de la Corrèze | ||
– (5 ans, 8 mois et 13 jours) |
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Élection | ||
Réélection | ||
Législature | Ire Constituante IIe Constituante Ire (Quatrième République) |
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Groupe politique | MRP | |
Biographie | ||
Date de naissance | ||
Lieu de naissance | Paris 19e (France) | |
Date de décès | ||
Lieu de décès | Brive-la-Gaillarde (Corrèze, France) | |
Sépulture | Chapelle Notre-Dame-de-la-Paix de Marcillac | |
Nationalité | Française | |
Enfants | Claude Michelet | |
Religion | Catholique | |
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Il est le père de l'écrivain Claude Michelet.
Biographie
Jeunesse et premiers engagements
Edmond Octave Michelet est le fils de Florentin Octave Michelet et Victoire Jehanne[1],[2]. Sa mère aura une grande influence sur lui[réf. nécessaire]. Titulaire du certificat d'études en 1912, il s'engage en 1918 dans l'infanterie mais ne monte pas au front.
Établi à Brive après la guerre, il exerce, comme son père, le métier de représentant de commerce. Il préside la Jeunesse Catholique du Béarn, milite à l'Action française jusqu'en 1928 puis pour le catholicisme social. En 1930, il est président de la Jeunesse catholique de la Corrèze.
Résistance et captivité
Le , il distribue des tracts dans les boîtes aux lettres de Brive qui dénoncent l'esprit de capitulation[3] et appellent ainsi à la Résistance à travers une œuvre de Charles Péguy, L'Argent, suite. Il répand un tract reprenant un texte de Péguy : « Celui qui ne se rend pas a raison contre celui qui se rend »[4].
Les personnages qui entrent en contact avec Edmond Michelet, en assurant la diffusion de la presse clandestine notamment Combat et les journaux communistes, sont Germain Auboiroux, Robert Delord, Henry et son frère Édouard Valéry[5]. La cousine par alliance d'Edmond Michelet, Madame Granet, est aussi active dans la Résistance[réf. souhaitée].
Chef du mouvement de Résistance Combat en Limousin (région R5) sous le nom de Duval, il est arrêté le à Brive-la-Gaillarde par la Gestapo. Transféré à Fresnes où il est mis au secret, il est déporté en septembre 1943 à Dachau[6] où il est impressionné par la personnalité de Georges Lapierre[7]. Avant d'être assassiné, le général Charles Delestraint, emprisonné avec l’évêque de Clermont-Ferrand Gabriel Piguet et le père Lavigne, lui confie un morceau de papier hygiénique faisant office de lettre qui donne l'ordre de « se regrouper autour de Michelet ».
Il est rapatrié du camp parmi les derniers en . De retour en France, Edmond Michelet préside le Comité patriotique français de Dachau (organisation de retour des déportés français et espagnols). À partir de il est délégué à l'Assemblée consultative provisoire au titre des prisonniers et déportés.
Après la parution en 1950 du Mensonge d'Ulysse qui décrit les conditions de détention à Dachau, il introduit contre Paul Rassinier une action en dommages et intérêts dont il se désiste la même année en offrant le remboursement des frais occasionnés à la partie adverse[8].
Après guerre, Edmond Michelet se portera plusieurs fois témoin de moralité pour Jo Attia, un truand du Gang des Tractions Avant qu'il a rencontré en camp de concentration, le rendant proprement intouchable[9],[10].
Carrière politique
Élu député de la Corrèze sous l'étiquette MRP en 1945, Edmond Michelet devient Ministre des Armées du général de Gaulle le , poste qu'il occupera jusqu'au . Réélu député en 1946 (Deuxième Assemblée nationale constituante et Assemblée nationale), il siège au Palais-Bourbon mais est battu en 1951.
Il adhère par la suite au RPF dont il devient l'un des principaux dirigeants. En 1947, il participe à la fondation du Mouvement des Républicains Populaires Indépendants, qui regroupe les exclus ou démissionnaires du MRP pour double-appartenance avec le RPF.
Il est sénateur de la Seine entre 1952 et 1959 (vice-président du Conseil de la République en 1958).
Guerre d'Algérie et rétablissement de la peine de mort pour motif politique
Le , il revient au gouvernement comme ministre des Anciens combattants (ministère de Gaulle), puis comme ministre de la Justice du au , date à laquelle Michel Debré, mécontent de son opposition à la très dure répression menée par Maurice Papon contre le FLN et les Algériens de Paris, obtient son remplacement. Le Premier Ministre juge en effet l'action du garde des Sceaux, qui est partisan de la négociation vis-à-vis du FLN, comme beaucoup trop laxiste[11].
En tant que ministre de la Justice, Edmond Michelet signe, le une ordonnance[12] qui modifie profondément le Code pénal et le Code de procédure pénale et qui rétablit la peine de mort pour raison politique qui était abolie depuis 1848. Passée relativement inaperçue, cette ordonnance fut condamnée par des juristes éminents[13]. Lors du procès des généraux Maurice Challe et André Zeller, coauteurs du putsch du 22 avril 1961, Michelet écrit le une lettre personnelle au procureur Besson lui enjoignant de réclamer à l'audience la peine de mort : « il est clair que pour l'un et l'autre le châtiment suprême doit normalement être réclamé. » Besson refuse ses injonctions et requiert une peine de détention criminelle à perpétuité ; le tribunal considère qu'il y a des circonstances atténuantes et la limite à quinze années. Peu de temps après, Edmond Michelet l'oblige à quitter son poste[13].
Siégeant au Conseil constitutionnel, de 1962 à 1967, Michelet est par ailleurs président international du Centre européen de documentation et d'information (CEDI) de 1962 à 1964.
En 1963, à la demande du général de Gaulle, il fonde l'Association France-Algérie[14]. Edmond Michelet devient Ministre d'État, chargé de la Fonction publique, du au (gouvernement Georges Pompidou IV), puis succède à André Malraux comme ministre des Affaires culturelles, du à son décès (gouvernement Jacques Chaban-Delmas).
Fin connaisseur de Charles Péguy, il se lia d'amitié avec les De Gaulle, ou encore le peintre Marc Chagall. André Malraux a dit de lui qu'il fut « l'aumônier de la France »[15].
Mort et hommages publics
Il meurt le dans sa propriété de Marcillac, à Brive, victime d'une hémorragie cérébrale[2]. Son épouse née Marie Vialle est décédée en 1989 à 89 ans.
Les obsèques solennelles d’Edmond Michelet se déroulent en la Collégiale Saint-Martin de Brive-la-Gaillarde, une messe est concélébrée par huit prêtres, anciens déportés du Camp de concentration de Dachau. Une allocution est prononcée par le premier ministre, Jacques Chaban-Delmas. L'inhumation a lieu, conformément au désir du défunt, dans la chapelle de Notre-Dame-de-la-Paix puis dans son habit de déporté de Dachau. Edmond Michelet l'avait fait construire en 1959, à une centaine de mètres de sa maison de Marcillac. Parmi les hommages rendus et les télégrammes reçus on relève ceux de Georges Bidault, Henri Frenay, Marcel Paul, Alain Poher, Édouard Balladur, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, entre autres[16]...
Il est le grand-père de quarante-quatre petits enfants, dont Xavier Patier, haut fonctionnaire et écrivain, Bertrand Rivière, mari de la violoniste Marianne Rivière et Mgr Benoît Rivière, évêque d'Autun.
En souvenir de son rôle dans la vie politique française et son titre de Juste parmi les nations, son nom a été donné à plusieurs établissements scolaires dont le lycée Edmond Michelet d'Arpajon en Essonne ou le Groupe Scolaire Edmond Michelet à Brive. Le collège et la place Edmond-Michelet de Paris lui rendent aussi hommage. Le groupe local Scouts et Guides de France de Brive-la-Gaillarde porte son nom[17].
Distinctions
Publications
- Sur la fidélité en politique. Lettre à Monsieur l'Abbé G., La jeune Parque, 1949
- Rue de la Liberté, Éditions du Seuil, 1955, Prix André-Jullien du Breuil de l'Académie française en 1956 Nouvelle édition en 2020.
- Contre la guerre civile, Librairie Plon, 1957
- Le Gaullisme, passionnante aventure, Librairie Arthème Fayard, 1962
- La querelle de la fidélité. Peut-on être gaulliste aujourd'hui ? Entretiens avec Alain Duhamel, Fayard, 1971
- À travers les barreaux. Lettres de prison d'Edmond Michelet à sa femme, Salvator, 2020.
- Jacques Perrier et Edmond Michelet, La hantise des autres, Salvator, 2020.
Béatification
Son procès en béatification a été introduit, au plan diocésain, en 1976, par Mgr Jean-Baptiste Brunon, alors évêque de Tulle, pour son action à Brive-la-Gaillarde en faveur des Juifs allemands persécutés par le nazisme[19] « Il n’y a jamais eu chez lui ni confusion ni séparation entre l’amour de Dieu et l’amour du frère » chez cet « homme de réconciliation » que l’on surnommait « le ministre qui prie »[20], a souligné l'évêque d'Autun, Mgr Benoît Rivière, son petit-fils.
La cause de béatification d'Edmond Michelet a été officiellement introduite à Rome en septembre 2006 puis clôturée sur le plan diocésain en . Sur la voie d’une éventuelle canonisation, deux faits pourraient contrarier son acceptation : aucun « miracle » n'a jamais pu lui être attribué (ordinairement, pour être canonisé, il faut en avoir accompli au moins deux) et l’ordonnance rétablissant la peine de mort en matière politique, signée de sa main, lors de la période de la guerre d'Algérie[21]. Son rôle comme garde des Sceaux fait néanmoins encore polémique aujourd’hui, notamment le fait d'avoir envoyé une lettre au procureur Antonin Besson demandant la peine de mort pour les généraux putschistes[22].
Bibliographie
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- Son fils Claude lui a consacré un ouvrage sous le titre Mon père, Edmond Michelet, Robert Laffont, 1981.
- Pierre Panen, Edmond Michelet, Desclée de Brouwer, 1991.
- Louis Terrenoire, Edmond Michelet mon ami, Nouvelle Cité, 1992.
- Jean Charbonnel & Etienne Borne, Edmond Michelet, Éditions Beauchesne, 1987, (ISBN 2701011469), (ISBN 9782701011462)
- Edmond Michelet, homme d'État : colloques du centenaire de la naissance d'Edmond Michelet, 1899-1999, Paris-Palais du Luxembourg, 15 et , [24e Colloque d'Aubazine-Brive] / (publié par les Compagnons de la fraternité Edmond Michelet et le Centre national d'études de la résistance et de la déportation Edmond-Michelet). Brive-la-Gaillarde : les Compagnons de la fraternité Edmond Michelet : Centre national d'études de la résistance et de la déportation Edmond Michelet, 2000. 271 p., (ISBN 2-9501533-2-1).
- Benoît Rivière (petit-fils d'Edmond Michelet), Prier 15 jours avec Edmond et Marie Michelet, éd. Nouvelle Cité, coll. « Prier 15 jours » no 35, Bruyères-le-Châtel (Essonne).
- Agnès Brot (petite-fille d'Edmond Michelet), Nous avons cru à l'amour d’Edmond Michelet, Coll. « Paroles de Vie », éditions de Livre ouvert.
- Hélène Say, « Entre guerre et paix : Edmond Michelet et la libération du camp de Dachau (29 avril-27 mai 1945) », Sortir de la guerre. Actes du 136e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Faire la guerre, faire la paix » tenu à Perpignan en 2011, Paris, CTHS, , p. 41-52. (lire en ligne)
- Agnès Brot (préf. Claude Michelet), À la recherche d’Edmond Michelet : d’après les souvenirs de sa fille aînée, Le Passeur, , 192 p. (présentation en ligne)
- Bernard Zeller (préf. Michel Déon), L'autre visage d'Edmond Michelet : 1899-1970, Versailles, Via Romana, , 294 p. (ISBN 979-1-090-02925-5)
- Pascal Bousseyroux, « Edmond Michelet et la Gauche », Encyclo. Revue de l'école doctorale ED 382, no 1, , p. 99-121 (lire en ligne [PDF])
- Gilbert Beaubatie / Françoise Germane, La Maison d'Edmond Michelet. Haut lieu de la Résistance à Brive et en France, Tulle, Mille Sources, 2017 (ISBN 2-909744-40-X).
- Mgr. Jacques Perrier, Edmond Michelet. La Hantise des Autres, biographie, Paris, Editions Salvator, 2020, (ISBN 978-2-7067-1986-8).
- Xavier Patier, Demain la France. Tombeaux de Mauriac, Michelet, de Gaulle, Le Cerf, 2020.
- Serge Besanger, Les indomptables, Paris, Éditions Nouvelle Cité, 2020.
- Odile Rudelle, « Edmond Michelet homme d'État », Vingtième Siècle, Revue d'histoire, vol. Religions d'Europe, no 66, , p. 153-154 (lire en ligne)
Notes et références
- Archives numérisées de l'état civil de Paris, acte de naissance no 19/2735/1899, avec mention marginale du décès (consulté le 5 juillet 2012).
- « Edmond Michelet - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le )
- L'armistice est signée le 22 juin.
- http://lesamitiesdelaresistance.fr/lien23/053-brive-la-gaillarde.pdf
- https://castellan-valery.pagesperso-orange.fr/E_valery_resistanceBR_pr.pdf
- Voir son livre Rue de la Liberté.
- Secrétaire général du SNI reconstitué dans la clandestinité et membre du réseau Libération-Nord
- La Nouvelle République du centre-ouest, 14 décembre 1950.
- « Les barbouzes de la Ve République : les élus de droite comme de gauche pactisent avec le milieu du crime depuis plus d'un demi-siècle », sur atlantico.fr, .
- Thomas Rabino, « Les gangsters et la République : mariage et déraison », sur marianne.net,
- Patrick Rotman et Hervé Hamon, Les porteurs de valises. La Résistance française à la guerre d’Algérie, éd. Albin Michel, 1979
- 60-529 du 4 juin 1960, publiée le 8 juin 1960 est au Journal Officiel et prise en vertu des pouvoirs spéciaux votés au début de février de la même année au gouvernement Debré, Edmond Michelet rétablit la peine de mort en matière politique, edmond-michelet.blogspot.cz, 30 janvier 2011
- Antonin Besson, Le Mythe de la Justice, Plon, 1973
- Association France-Algérie
- « EDMOND MICHELET L'histoire d'un homme qui ne s'est jamais rendu », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Les obsèques solennelles de M. Edmond Michelet seront célébrées mardi à Brive », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Scouts et Guides de France Brive la Gaillarde », sur SiteW.com (consulté le ).
- Anonymes, Justes et Persécutés durant la période Nazie dans les communes de France (AJPN), « Juste parmi les Nations : Edmond Michelet » (Notice), sur www.ajpn.org (consulté le ).
- La cause de béatification d’Edmond Michelet a été ouverte en 1976.
- Journal Missa
- « Procès en béatification du Briviste Edmond Michelet : où en est-on ? », sur lamontagne.fr, (consulté le )
- Cl.H., « La phase diocésaine du procès en béatification d’Edmond Michelet clôturée », La Croix, (lire en ligne, consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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- Ressource relative à la littérature :
- Centre d'études et musée Edmond-Michelet à Brive
- État des fonds d'archives du cabinet d'Edmond Michelet, Garde des sceaux.
- Sa fiche biographique sur le site de l'Assemblée nationale
- Sa fiche sur le site du Sénat
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