Creuse (département)

La Creuse (/kʁøz/[Note 1]) est un département français situé dans la région Nouvelle-Aquitaine et ayant appartenu, avant 2016, à la région Limousin avant la disparition de cette dernière. Il reprend en grande partie le territoire de l'ancienne province de la Marche. La Creuse est située dans le nord-ouest du Massif central et tire son nom de la rivière Creuse qui le traverse. Elle est le second département français le moins peuplé avec 117 500 habitants en 2018. Sa préfecture, qui est également sa plus grande ville, est Guéret (12 889 habitants en 2018) et Aubusson est sa seule sous-préfecture. L'Insee et la Poste attribuent le code 23 au département.

Pour les articles homonymes, voir Creuse.

Creuse
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Création du département
Chef-lieu
(Préfecture)
Guéret
Sous-préfectures Aubusson
Présidente du
conseil départemental
Valérie Simonet (LR)
Préfète Virginie Darpheuille[1]
Code Insee 23
Code ISO 3166-2 FR-23
Code Eurostat NUTS-3 FR632
Démographie
Gentilé Creusois
Population 117 503 hab. (2018)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Superficie 5 565 km2
Subdivisions
Arrondissements 2
Circonscriptions législatives 1
Cantons 15
Intercommunalités 9
Communes 256
Liens
Site web creuse.fr

    Dénomination

    Le nom du département vient du nom de la Creuse, affluent de la Vienne qui y prend sa source puis traverse le département en direction du nord-ouest. En occitan le nom du département est La Cruesa, prononcé [la ˈkrwe.zo] voire populairement [ˈkruzo] ou [ˈkre.zo]

    Histoire

    Le champ de foire de Royère-de-Vassivière au début du XXe siècle.

    Le département est créé par la Révolution française le , en application de la loi du , essentiellement à partir de l'ancienne province de la Marche.

    Depuis le Moyen Âge, beaucoup d'hommes partent tous les ans dans les grandes villes sur les chantiers du bâtiment pour se faire embaucher comme maçon, charpentier, couvreur…
    Les maçons de la Creuse deviennent bâtisseurs de cathédrales ou construisent en 1626 la digue de La Rochelle. Au XIXe siècle, ils participent - notamment comme plâtriers, métier censé être parmi les plus pénibles - à la construction du Paris du baron Haussmann. Initialement temporaire de mars à novembre, l'émigration devient définitive : la Creuse perd la moitié de sa population entre 1850 et 1950. On retrouve dans le livre de Martin Nadaud Mémoires de Léonard, la description de cet exode qui marque si fortement les modes de vie.

    Du charbon est exploité par les houillères du bassin d'Ahun-Lavaveix du XVIIe siècle jusqu'en 1969 et à Bosmoreau-les-Mines de 1784 à 1958.

    Durant la Première Guerre mondiale, la Creuse enregistre de lourdes pertes. Cette saignée s'accompagne d'un déficit des naissances. Le monument aux morts de la commune de Gentioux reste le témoin de cette hécatombe. En 1917, une mutinerie des soldats russes à La Courtine s'installe dans le camp militaire creusois.

    De 1963 à 1980, 1 630 enfants réunionnais, déclarés « orphelins » sont déplacés par les autorités françaises pour repeupler les départements français victimes de l'exode rural comme la Creuse, le Tarn, le Gers. Beaucoup de parents indigents ou « mères seules » signaient des décharges pour permettre le « déplacement » (certains parlent de « déportation ») de leur enfant vers la Creuse. Ce déplacement d'enfants par avions entiers est organisé sous l'autorité de Michel Debré, député de La Réunion à l'époque. Cet épisode de l'histoire française, très connu à La Réunion, qui a donné lieu à de nombreuses études écrites ou filmées, est communément appelé « l'affaire des enfants de la Creuse ou des Réunionnais de la Creuse ».

    Le , la région Limousin, à laquelle appartenait le département, fusionne avec les régions Aquitaine et Poitou-Charentes pour devenir la nouvelle région administrative Nouvelle-Aquitaine.

    Emblèmes

    Blason

    Blasonnement :
    « D'azur semé de fleurs de lys d'or, à la bande de gueules chargée de trois lionceaux d'argent. »

    Drapeau

    Politique

    L'hôtel des Moneyroux à Guéret,
    siège du conseil départemental.

    Géographie

    Carte détaillée du département de la Creuse avec ses réseaux routiers et hydrologiques principaux.

    La Creuse fait partie de la région Nouvelle-Aquitaine. Elle est limitrophe des départements de la Corrèze, de la Haute-Vienne, de l'Allier, du Puy-de-Dôme, du Cher et de l'Indre. Il s'agit du deuxième département le moins peuplé de France après la Lozère.

    Le département est situé à l'extrémité nord-ouest du Massif central. Le plateau de Millevaches occupe le Sud-Est. Le département culmine à 932 m dans la forêt de Châteauvert, à Saint-Oradoux-de-Chirouze.

    La Creuse, rivière qui lui donne son nom, prend sa source à 811 mètres d'altitude sur le plateau de Millevaches, à la limite méridionale du département, qu'elle traverse dans une direction grossièrement sud-est / nord-ouest

    Tourbières

    La Creuse présente de nombreuses tourbières sur son territoire comme la tourbière de la Mazure située entre les communes de Royère-de-Vassivière, Le Monteil-au-Vicomte et Saint-Pierre-Bellevue. Une tourbière est un écosystème très original, fragile, une zone humide caractérisée par l'accumulation progressive de la tourbe, un sol caractérisé par sa très forte teneur en matière organique majoritairement végétale, peu ou pas décomposée. Cette caractéristique fait des tourbières des puits de carbone.

    La faune est très spécialisée : le lézard vivipare, le pipit farlouse, la vipère péliade (qui bénéficie d'un statut de protection partielle dans la liste de l'arrêté du 22 juillet 1993), le circaète Jean-le-Blanc (Circaetus Galicus) : c'est un oiseau, rapace diurne de la famille des Accipitridés. Sa silhouette ressemble à celle d'une grosse buse. Ses ailes et sa queue sont larges et son ventre est clair tandis que sa poitrine et sa tête sont plus sombres. Il se nourrit presque exclusivement de serpents.

    La flore comporte de nombreuses espèces rares dont toutes les espèces de Droséra.

    Forêts

    La forêt limousine est nouvelle. En 1862, elle occupe une faible surface avec 118 900 hectares. Mais après les deux guerres mondiales, par plantations et boisement des terrains abandonnés, elle se développe pour atteindre 167 000 hectares en 2015[2]. De fait, le développement de la forêt est proportionnel au déclin de la population.

    Les grands espaces sont essentiellement occupés par les forêts de résineux (sapin de Douglas et épicéa) ainsi que de feuillus (chêne, hêtre, bouleau, châtaignier[3]).

    Climat

    Le climat de la Creuse présente les caractères généraux du climat du Massif Central. Il est humide, froid et très variable. L'air est pur, mais vif[non neutre]. Par suite de l'altitude élevée du département, la température est plus basse que ne l'indique la latitude. Les hivers sont généralement longs et plus ou moins rigoureux, surtout au sud du département où la neige est abondante et persiste souvent pendant plusieurs semaines de l'année. Le nord du département est plus tempéré. Les étés sont courts. L'automne est généralement la plus belle saison[non neutre] de la Creuse.

    Vents : Les vents dominants sont ceux du sud-ouest. Ils sont en général chargés de pluie. La hauteur moyenne des pluies est d'environ 1 mètre par an, dans le sud du département, et 60 cm au nord.

    Caractéristiques : Les caractéristiques des régions principales sont donc :

    • région nord : températures douces, pluviométrie plus faibles,
    • région centre : température très variables, pluviosité dépendant de l'altitude et de l'exposition,
    • région sud : zone plus continentale, grande pluviosité (plus d'un mètre) température plus basse et enneigement plus long[4].

    Économie

    Race bovine limousine.

    L'économie de la Creuse repose traditionnellement sur deux secteurs:

    Depuis quelques années, le développement du tourisme vert rapproche celui-ci du niveau des départements limitrophes par la création de nombreuses structures d'accueil, chambres d'hôtes, gites ruraux. Le lac de Vassivière, géré par la région Nouvelle-Aquitaine, puisque son étendue est partagée avec le département de la Haute-Vienne, en particulier, attire des estivants.

    Démographie

    Les habitants de la Creuse sont les Creusois.

    Évolutions démographiques

    En 2018, le département comptait 117 503 habitants[Note 2], en diminution de 2,79 % par rapport à 2013 (France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
    238 352218 041226 283248 785252 932265 384276 234278 029285 680
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    287 075278 889270 055274 057274 663278 423278 782284 942284 660
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    279 366277 831274 094266 235228 244219 148207 882201 844188 669
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    172 702163 515156 876146 214139 968131 349124 470123 401122 560
    2016 2018 - - - - - - -
    119 502117 503-------
    (Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[5] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[6] puis population municipale à partir de 2006[7].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La Creuse est le second département le moins peuplé de France, après la Lozère. De plus, ce département, contrairement à certains de ses voisins (Allier…), a un solde migratoire positif même si son taux de natalité n'est en rien comparable. En fait la population baisse à cause du solde naturel très négatif (taux de mortalité très élevé et taux de natalité très bas) qui donne à la Creuse une population très âgée. Cette situation est accentuée par le fait que les jeunes s'en vont souvent poursuivre leurs études hors du département (parfois dès le lycée) dans les métropoles voisines (Limoges, Montluçon, Clermont-Ferrand, Châteauroux) et ne reviennent pas toujours.

    Communes les plus peuplées

    Liste des quinze communes les plus peuplées du département
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (dernière pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Modifier
    Guéret 23096 CA du Grand Guéret 26,21 12 889 (2018) 492
    La Souterraine 23176 Monts et Vallées Ouest Creuse 37,07 5 094 (2018) 137
    Aubusson 23008 CC Creuse Grand Sud 19,21 3 328 (2018) 173
    Bourganeuf 23030 CC Creuse Sud-Ouest 22,54 2 487 (2018) 110
    Sainte-Feyre 23193 CA du Grand Guéret 29,99 2 472 (2018) 82
    Saint-Sulpice-le-Guérétois 23245 CA du Grand Guéret 36,18 1 947 (2018) 54
    Saint-Vaury 23247 CA du Grand Guéret 46,50 1 744 (2018) 38
    Gouzon 23093 Creuse Confluence 50,03 1 574 (2018) 31
    Felletin 23079 CC Creuse Grand Sud 13,74 1 554 (2018) 113
    Fursac 23192 Monts et Vallées Ouest Creuse 59,30 1 488 (2018) 25
    Ahun 23001 CC Creuse Sud-Ouest 33,74 1 421 (2018) 42
    Évaux-les-Bains 23076 Creuse Confluence 45,55 1 359 (2018) 30
    Bonnat 23025 CC Portes de la Creuse en Marche 45,79 1 329 (2018) 29
    Boussac 23031 Creuse Confluence 1,48 1 255 (2018) 848
    Le Grand-Bourg 23095 Monts et Vallées Ouest Creuse 78,91 1 221 (2018) 15

    Le département possède quatre aires urbaines, dont une grande aire urbaine, l'aire urbaine de Guéret.

    Culture

    Dialectes et sous-dialectes de l'occitan dans le Massif Central. Atlas linguistique et ethnographique du Massif Central selon le linguiste Henri Guiter.
    Église de Sous-Parsat.
    Le pont dit romain de Sénoueix.
    Procession à Crocq, dans les années 1960.
    La petite Creuse de Monet.

    Langue

    La Creuse est en totalité dans le domaine linguistique de la langue occitane. Le département appartient à l'aire du nord-occitan. Si le limousin est parlé, c'est au nord le marchois, de transition avec la langue d'oïl. Un des plus vieux documents en langue occitane est dans la Creuse la charte de Chénérailles[8].

    Jusqu'au XVIe siècle, la langue officielle est l'occitan. Elle est la langue des premiers troubadours (trobadors en occitan, de trobar : trouver le thème, la rime...). Elle reste la langue orale dominante jusqu'au début du XXe siècle, époque à partir de laquelle le français prend le dessus, notamment par l'interdiction formelle de parler la langue du pays à l'école. La langue est donc dès les années 1930 peu à peu reléguée aux zones les plus rurales, où elle est encore parlée quotidiennement aujourd’hui, surtout par les natifs creusois ayant plus de 50 ans.

    Dans le sud-ouest du département, il s'agit de limousin proprement dit, dans le sud-est il s'agit de l'auvergnat, notamment autour d'Aubusson. La moitié nord comprend les parlers dits du Croissant, qui en plus de caractères particuliers et anciens sont marqués par une transition avec les langues d'oïl mais les traits occitans dominent néanmoins[9]. Le Croissant est pour sa partie creusoise entièrement occupé par le parler marchois[10].

    On trouve également une signification d'oc dans de nombreux patronymes et dans la majorité des toponymes creusois. La langue a surtout laissé sa trace dans les tournures de phrases des Creusois, ainsi que dans leur accent.

    D'après Abel Hugo, vers 1835, les Creusois parlaient la langue locale et le français. Cependant, les femmes parlaient rarement français ; elles le comprenaient, mais n'osant pas s'expliquer en cette langue, elles répondaient aux questions qu'on leur faisait en langage du pays[12].

    Gastronomie

    La cuisine limousine et la cuisine creusoise sont caractérisées par l'adaptation à un terroir plutôt pauvre, d'où des plats souvent simples et très nourrissants.

    La flognarde est une sorte de clafoutis, peu épais cuit dans un grand moule[13]. Le gâteau creusois est un dessert pur beurre aux noisettes, spécialité récente de la Creuse[14] Regroupées au sein d'une association, 31 pâtisseries du département produisent « Le Creusois » traditionnel cuit et vendu dans une tuile. Il existe des variantes semi-industrielles (en particulier à Gouzon) dont on trouve la production de « gâteaux creusois » ou « gâteaux aux noisettes » dans la plupart des enseignes de grande distribution dans toute la France. Le pâté de pommes de terre[15] est plus traditionnel et se décline avec ou sans viande selon la région et les habitudes de la maîtresse (ou du maître, dans certains cas) de maison. Le fondu creusois est traditionnellement réalisé avec un fromage de vache de pays ou remplacé par un camembert servi en nappage sur une assiette de frites, une omelette et du jambon du pays.

    Personnalités liées au département

    Hommes et femmes politiques, religieux et militaires :

    Peintres, sculpteurs et auteurs de cartons de tapisserie :

    Écrivains et Historiens  :

    Scientifiques, entrepreneurs et paysagistes :

    Médias, Sportifs et divers :

    Tourisme

    Les deux portes d'entrée touristiques et culturelles du Département de la Creuse sont, au Sud la Cité Internationale de la Tapisserie située à Aubusson en amitié avec Felletin, et au Nord, la Vallée des Peintres entre Berry et Limousin autour notamment de l'ancienne forteresse du Château de Crozant, du village d'artistes de Fresselines et l'un des Plus Beaux Villages de France Gargilesse en amitié avec les sites picturaux du Département de l'Indre[19].

    Le lac de Vassivière, la station thermale d'Évaux-les-Bains, le Labyrinthe Géant de Guéret, le plus grand labyrinthe végétal permanent au monde[20] constituent d'autres pôles touristiques majeurs.

    Une multitude d'activités complète une offre touristique, culturelle, de pleine nature en plein essor : randonnées pédestres, VTT, balades équestres, escalade, sports nautiques, expositions, festivals, conférences, tiers-lieux, etc.

    Patrimoine

    Nature

    • Le promontoire rocheux de Crozant, qui accueille la Forteresse de Crozant, siège aux XIX et XXe siècles de plusieurs colonies d'artistes dont les paysagistes et impressionnistes. Cette ancienne citadelle est au fondement de la Vallée des Peintres entre Berry et Limousin.
    • La cascade des Jarrauds, située à Saint-Martin-Château dans la Creuse fait partie de la rivière la Maulde.
    • La pierre aux neuf gradins est un site situé sur la commune de Soubrebost, à proximité de Pontarion.
    • L'étang des Landes : réserve naturelle nationale depuis 2004. Situé dans le Bassin de Gouzon, l'étang des Landes est le seul étang naturel du Limousin. D'une superficie d'environ 120 ha, il abrite une flore et une faune remarquable notamment en matière d'oiseaux. Les ornithologues passionnés pourront y retrouver en migration ou en nidification, hérons, grues, balbuzards, marouettes... et une pléiade de canards.

    Musées et ou centres de médiation culturelle et touristique

    Le musée de l'électrification à Bourganeuf.

    Résidences secondaires

    Selon le recensement général de la population du 1er janvier 2008, 20,9 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.

    Ce tableau indique les principales communes de la Creuse dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux :

    Notes et références

    Notes

    1. Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Virginie Darpheuille, nouvelle préfète, un parcours républicain jusqu'à la Creuse », lamontagne.fr, (consulté le )
    2. Centre régional forestier
    3. Les feuillardiers en Limousin
    4. M.CEPEDE, Monographie agrocole du département de la Creuse, La documentation française, , 64 p., page 3
    5. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - fiche historique du département
    6. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
    7. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018
    8. « Une mine pour les historiens. La commune de Chénérailles a déposé aux Archives départementales une charte de franchises datant de 1279. Un trésor qui passionnera les historiens et les linguistes », La Creuse magazine, (lire en ligne)
    9. Maximilien Guérin, « Transmission et dynamique des parlers du Croissant », Cahiers du Groupe d'études sur le plurilinguisme européen, Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg, no 12, (ISSN 2105-0368, lire en ligne)
    10. Dominique Caubet, Salem Chaker, Jean Sibille, « Le marchois : problèmes de norme aux confins occitans », Codification des langues de France. Actes du colloque Les langues de France et leur codification organisé par l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco, Paris, Mai 2000), Paris, Éditions L'Harmattan, , p. 63-76 (ISBN 2-7475-3124-4, lire en ligne)
    11. http://www.colleccions.ieo-lemosin.org/
    12. Abel Hugo, France pittoresque, tome premier, 1835.
    13. Recettes de Cuisine
    14. Gâteau creusois - Creuse - Limousin - Découvrir - Je Découvre la France
    15. Recettes de Cuisine
    16. Affiche SFIO d'Aubusson. - Service éducatif des Archives départementales de la Creuse
    17. « Creuse : découverte de deux compagnons de la Libération », brève du journal La Nouvelle République, 03/05/2013.
    18. Jean-François Convert, « Jean-Pierre Jeunet réalise le premier clip de l'album de Gauvain Sers », Culturebox, (lire en ligne, consulté le ).
    19. « Vallée des Peintres entre Berry et Limousin » (consulté le )
    20. http://www.labyrinthe-gueret.fr/ Labyrinthe Géant de Guéret

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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