Saint-Sulpice-le-Guérétois

Saint-Sulpice-le-Guérétois est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sulpice.

Saint-Sulpice-le-Guérétois

La mairie en 2021.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Guéret
Maire
Mandat
Éric Bodeau
2020-2026
Code postal 23000
Code commune 23245
Démographie
Gentilé Sulpiciens
Population
municipale
1 947 hab. (2018 )
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 12′ 05″ nord, 1° 49′ 46″ est
Altitude Min. 347 m
Max. 609 m
Superficie 36,18 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Vaury
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Sulpice-le-Guérétois
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Saint-Sulpice-le-Guérétois
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sulpice-le-Guérétois
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sulpice-le-Guérétois
Liens
Site web saintsulpicelegueretois.fr

    Géographie

    Généralités

    Dans le quart nord-ouest du département de la Creuse, la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois s'étend sur 36,18 km2. Elle est bordée à l'est sur environ cinq kilomètres et demi par la Naute, un affluent de la Creuse, qui sépare le territoire communal de ceux de Guéret puis de Saint-Fiel. Au nord-ouest, la Siauve  un autre petit affluent de la Creuse  borde sur 600 mètres la commune, la séparant de Bussière-Dunoise et d'Anzême.

    L'altitude minimale avec 347 mètres se trouve localisée à l'extrême est, au nord-est du lieu-dit Clavière, là où la Naute quitte le territoire communal et entre sur celui de Saint-Fiel. L'altitude maximale avec 609 mètres est située au sud-est, en forêt de Chabrières, en limite de la commune de Saint-Léger-le-Guérétois, à l'est du lieu-dit les Pierres Civières.

    À l'intersection des routes départementales (RD) 47 et 63, le bourg de Saint-Sulpice-le-Guérétois est situé, en distances orthodromiques, quatre kilomètres et demi au nord-ouest du centre-ville de Guéret, la préfecture.

    Le territoire communal est également desservi par les RD 33, 48, 75 et 914. La principale voie d'accès routière qui traverse la commune d'est en ouest est la route nationale 145 (2 x 2 voies), axe Guéret-Montluçon) par l'échangeur no 49 qui donne sur les RD 47, 100 et 942, ainsi que sur l'« aire de service des Monts de Guéret ».

    Le sud de la commune est traversé par la ligne ferroviaire Montluçon - Saint-Sulpice-Laurière, dont la gare la plus proche est celle de Guéret.

    La commune est, en dehors du bourg, éclatée en plusieurs hameaux parmi lesquels : la Bussière, Claverolles, les Coussières, le Mouchetard et Theix. Aujourd'hui, le bourg s'est transformé en une cité dortoir de la ville proche de Guéret. Il est situé en pleine campagne creusoise, comprenant ainsi de nombreux champs, exploitations agricoles, forêts et vallées offrant à ses habitants un calme très profitable.

    La RD 47 qui traverse le bourg a été entièrement refaite ainsi que les trottoirs et les passages piétons en 2011, depuis le cimetière jusqu'au gymnase municipal.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Sulpice-le-Guérétois et des communes avoisinantes.

    Saint-Sulpice-le-Guérétois est limitrophe de sept autres communes.

    Communes limitrophes de Saint-Sulpice-le-Guérétois
    Bussière-Dunoise Anzême Saint-Fiel
    Saint-Vaury
    La Brionne Saint-Léger-le-Guérétois Guéret

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 021 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Guéret Bongeot », sur la commune de Guéret, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 023,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 59 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    Le site Marais du Chancelier est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I dont une petite partie amont est située sur le territoire de la commune[Note 4], à l'est des lieux-dits Clavières pour la Naute et Clavérolles, pour son affluent le ruisseau de la Barde[14],[15].

    Bien que limitée à une superficie d'un demi-kilomètre carré, cette ZNIEFF présente une remarquable diversité faunistique avec plus de 230 espèces animales, dont onze espèces déterminantes, ainsi que 22 espèces végétales dont seize déterminantes.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sulpice-le-Guérétois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (34,7 %), zones agricoles hétérogènes (32 %), forêts (28,1 %), zones urbanisées (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Milieux naturels et biodiversité

    La zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Forêt de Chabrière » s'étend sur 1 452,5 hectares, sur le territoire de six communes[22],[23] , dont environ 70 hectares sont situés dans le sud-est du territoire communal, au sud de la route départementale 942.

    La ZNIEFF de type I « Marais du Chancelier » s'étend sur 49,98 hectares, en majeure partie sur la commune de Saint-Fiel mais également sur environ sept hectares dans le nord-est de la commune, en deux endroits, le long de la Naute et de son affluent le ruisseau de la Barde[24],[25].

    Toponymie

    Le nom de la commune se réfère à saint Sulpice[26], archevêque de Bourges au VIIe siècle. La seconde partie du nom de la commune marque la proximité de la ville de Guéret, dont elle est une commune limitrophe.

    Histoire

    Créée aux débuts de la Révolution française, la commune de Saint-Sulpice-le-Guérétois s'est d'abord appelée Saint Sulpice[27], même si le complément « le Guerétois » figurait déjà précédemment sur la carte de Cassini concernant la France entre 1756 et 1789[28].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
     ? juin 1995 André Bourliaud Apparenté PS Agriculteur
    juin 1995 mai 2020 Claude Guerrier PCF Professeur retraité
    Conseiller régional du Limousin (2004-2010)
    mai 2020 En cours Éric Bodeau DVG Infirmier libéral

    Jumelages

    Panneau de jumelage.

    Saint-Sulpice-le-Guérétois est jumelée avec la commune italienne de Torreano.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

    En 2018, la commune comptait 1 947 habitants[Note 7], en diminution de 1,32 % par rapport à 2013 (Creuse : −2,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5501 3971 5041 6621 7501 7051 8772 0362 044
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9421 7451 7951 8551 9031 9352 0202 0242 036
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0181 8781 8441 6241 5611 4561 4661 4341 435
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 3141 3201 2391 7381 8791 8431 9861 9981 984
    2017 2018 - - - - - - -
    1 9491 947-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports et loisirs

    • Stade municipal gratuit comprenant deux terrains de football, des paniers de basket-ball et un terrain de pétanque. Il est régulièrement utilisé le dimanche par l'équipe de football.
    • Un gymnase a été aménagé dans un ancien entrepôt non loin du stade.

    Économie

    • Vers les années 2005, une petite bibliothèque municipale a ouvert ses portes proposant livres, DVD et CD dans les locaux de l'école.
    • Une supérette a ouvert en 2009.
    • Une poste ainsi qu'une salle polyvalente sont à disposition sur la place du village.
    • Un coiffeur ainsi qu'un vendeur de pizzas ont ouvert en 2010 à l'entrée de la ville.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Marc Durant (1955-), coureur cycliste des années 1970-1980, né à Saint-Sulpice-le-Guérétois.
    • Jean Moreau[44] (1801-1889), médecin, proscrit de 1852 puis député de la Creuse (1876, 1877) a vécu et exercé à Saint-Sulpice où son père Jacques Moreau a été maire de 1807 à 1822 (habitait le château de Saint-Sulpice, à l'emplacement de l'école actuelle).
    • Henri Auguste Delannoy (1833-1915), polytechnicien, intendant militaire, mathématicien reconnu[45], a habité Saint-Sulpice où il avait une propriété. Il fut président de la Société des Sciences naturelles et archéologiques de la Creuse. Il a écrit l'histoire de la paroisse de Saint Sulpice sous l'Ancien Régime[46].
    • Jean de Monlevade[47] (1791-1872), polytechnicien et ingénieur des mines, pionnier de la sidérurgie brésilienne, est originaire du village de Monlevade. La ville industrielle brésilienne de João Monlevade porte son nom.

    Télévision

    • Pierre Desgraupes a tourné en à Saint-Sulpice-le-Guérétois pour l'ORTF un épisode de l'émission Les Cousins[48], réalisant une interview croisée de l'écrivain Marcel Jouhandeau et de ses cousins creusois, Henri Blanchet et son fils Armand, agriculteurs résidant à Saint-Sulpice-le-Guérétois.

    Galerie de photos

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. La majeure partie de la ZNIEFF est située sur le territoire de Saint-Fiel.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Gueret Bongeot - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-le-Guérétois et Guéret », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Guéret Bongeot - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Sulpice-le-Guérétois et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. [PDF] David Naudon (LNE), Olivier Nawrot (CBNMC), Frédéric Noilhac (LNE) ; Karim Guebaa (CEN NA) ; Espaces Naturels du Limousin, L. Chabrol, 740006113 - Marais du Chancelier, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte de la ZNIEFF 740006113, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. [PDF] Guerbaa et Chabrol, Espaces Naturels du Limousin, Forêt de Chabrière (Identifiant national 740006112), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    23. Carte de la ZNIEFF 740006112, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    24. [PDF] David Naudon (LNE), Olivier Nawrot (CBNMC), Frédéric Noilhac (LNE), Karim Guerbaa (CEN NA), Espaces naturels du Limousin et L. Chabrol, Marais du Chancelier (Identifiant national 740006113), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    25. Carte de la ZNIEFF 740006113, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 629.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. « St Sulpice le Guerétois » sur Géoportail (consulté le 26 juillet 2021)..
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Église Saint-Sulpice », notice no PA00100196, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    33. « Bras-reliquaire dit de saint Sulpice », notice no PM23000384, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    34. André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Marseille, Laffitte (réimpr. 1979) (1re éd. 1902), 809 p., 22 cm, p. 710.
    35. Véronique Notin, Cuivres d'orfèvres [Texte imprimé] : catalogue des œuvres médiévales en cuivre non émaillé des collections publiques du Limousin, Limoges, Musée de l'Évêché-Musée de l'émail,, , 127 p., p. 74-75.
    36. « Deux gradins d'autel du maître-autel, un tabernacle à ailes, des dais d'exposition et onze statuettes », notice no PM23000895, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    37. Simone de Montessus de Ballore Lecointre, Retables et tabernacles des XVIIe et XVIIIe siècles dans les églises de la Creuse, Paris, Nouvelles éditions latines, , 213 p. (ISBN 2-7233-0372-1), p. 137-138.
    38. « Antependium », notice no PM23000898, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    39. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM23000897, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    40. « Statue : saint Jean-Baptiste », notice no PM23000894, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    41. « Statue : saint évêque », notice no PM23000896, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    42. « Tableau, cadre : Vierge et l'Enfant Jésus », notice no PM23000893, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 juillet 2021.
    43. Le château de La Villatte, meconnu.fr, Portail collaboratif du patrimoine français, consulté le 26 juillet 2021.
    44. Daniel Dayen, « Un vieux républicain Creusois : le docteur Moreau (1801-1889) », Mémoires de la Société des Sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, no Tome 44, , p. 49-63.
    45. Sylviane R. Schwer, Jean Michel Autebert, « Henri Auguste Delannoy, une biographie », Math. & Sci. hum / Mathematical Social Sciences, no 174, , p. 25-67.
    46. Henri Auguste Delannoy, « La paroisse de Saint Sulpice le Guérétois sous l'ancien régime », Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, no 2e série tome 7, , p. 243-355.
    47. Robert Guinot, Jean de Monlevade, pionnier de la sidérurgie brésilienne, Paris, Guénégaud, , 64 p. (ISBN 2-85023-122-3).
    48. Babelio, « Vidéos de Marcel Jouhandeau » (consulté le ).
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