Gentioux-Pigerolles

Gentioux-Pigerolles [ʒãsju piʒ(ə)ʁɔl][1] (Genciòus e Pijairòu en occitan) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine. Sous l'Ancien Régime, le village appartenait au comté de la Marche.

Gentioux-Pigerolles

Mairie-école à Gentioux

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Grand Sud
Maire
Mandat
Benjamin Simons
2020 - 2026
Code postal 23340
Code commune 23090
Démographie
Population
municipale
391 hab. (2018 )
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 07″ nord, 1° 59′ 42″ est
Altitude Min. 653 m
Max. 929 m
Superficie 79,29 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Felletin
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Gentioux-Pigerolles
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Gentioux-Pigerolles
Géolocalisation sur la carte : France
Gentioux-Pigerolles
Géolocalisation sur la carte : France
Gentioux-Pigerolles

    Avec une superficie de 79,29 km2, elle est la commune la plus étendue de la Creuse.

    Elle abrite également une petite station de ski de fond (90 km de pistes)[2].

    Géographie

    La commune de Gentioux-Pigerolles est située au Sud-Ouest du département de la Creuse, au point culminant de la route reliant Limoges à Felletin et à peu près à mi-chemin de cette dernière et d'Eymoutiers. Gentioux a donné son nom au plateau de Gentioux, pendant septentrional du plateau de Millevaches.

    Un ancien dicton local en occitan affirme qu'entre la Jasse et Pigerolles, « jamai lo cocut l'i a chantat, mas de bravas oelhas l'i an benlat » entre la Jasse et Pigerolles, le coucou n'a jamais chanté - ce qui signifie qu'il n'y avait pas d'arbre pour qu'il puisse se percher - mais de bons moutons y ont bêlé » ). Mais l'environnement de Gentioux-Pigerolles évolue comme l'ensemble du paysage du plateau de Millevaches. Les landes disparaissent peu à peu au profit des plantations des résineux. L'agriculture est en déclin laissant les prairies envahies par des friches.

    Hydrographie

    Le lac de Lavaud-Gelade.

    La Maulde prend sa source dans la commune de Gentioux-Pigerolles. Elle alimente notamment le lac de Vassivière, vaste retenue de 1 100 hectares, créé entre 1947 et 1952. Elle se jette dans le lac vers la presqu'île de Broussat, puis ressort au niveau du barrage de Vassivière dans la commune de Royère-de-Vassivière. Mais la Maulde alimente également d’autres barrages sur son parcours : le barrage du Mont Larron, le barrage de Saint Julien le Petit, puis suit le lac de Sainte-Hélène à Bujaleuf. C'est juste après avoir accueilli les eaux du Langladure que la Maulde devient la cascade des Jarrauds dans la commune de Saint-Martin-Château. En bas de la cascade qui s'étend sur 3,2 km avec une dénivellation de 14 m, il y a une usine qui a permis d'électrifier Bourganeuf en 1889. Après un parcours de 35 km, La Maulde se jette dans la Vienne.

    La Banize, affluent du Taurion, prend sa source au nord de la commune.

    Climat

    La Creuse est soumise à un climat océanique plus ou moins dégradé à l'image de son relief qui varie de 200 à 900 mètres[évasif] du nord au sud.

    Pour le plateau des Millevaches où est situé Gentioux-Pigerolles c'est un climat humide dégradé par des reliefs de moyenne montagne qui sont le premier obstacle aux perturbations venant de l'Atlantique. Les précipitations sont très abondantes, avec une moyenne pluviométrique à Royère-de-Vassivière de 1 550 mm/an[3]. Les chutes de neige sont significatives et tiennent au sol. Les températures basses sont régies par le relief. La moyenne annuelle journalière est de 8 °C. Le plateau connaît néanmoins de belles journées tièdes (grâce à une inversion de température), alors qu'elles sont médiocres ailleurs dans les vallées[4].

    Paysages autour de Gentioux

    Urbanisme

    Typologie

    Gentioux-Pigerolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].

    La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Vassivière, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,7 %), prairies (26 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,1 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Depuis la fin du Moyen Âge, comme dans tous les villages du département, beaucoup d'hommes partaient tous les ans dans les grandes villes sur les chantiers du bâtiment pour se faire embaucher comme maçon, charpentier ou encore couvreur. C'est ainsi que les maçons de la Creuse devinrent bâtisseurs de cathédrales. En 1624 ils construisirent la digue de La Rochelle. Au XIXe siècle ils participèrent aux transformations de Paris par le baron Haussmann.

    Initialement temporaire de mars à novembre, l'émigration devint définitive. Ainsi la Creuse a perdu la moitié de sa population entre 1850 et 1950. On retrouve dans le livre de Martin Nadaud, Mémoires de Léonard, la description de cet exode qui marqua si fortement les modes de vie.

    En 1847 la commune comptait 1 489 habitants et 153 migrants soit 10,3 % de la population. Parmi ces 153 migrants, 143 étaient maçons[14].

    Gentioux et Pigerolles ont fusionné en 1972 mais il existe toujours deux mairies.

    Le Moyen Âge, les Hospitaliers et la période moderne

    L'église Sainte-Madeleine de Pallier, tout comme la maison de notaire royal, sont situés à km à l'est de Gentioux vers Pigerolles. L'emplacement est celui d'une ancienne dépendance de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem rattachée à la commanderie de Charrières et qui a peut-être auparavant appartenu aux Templiers. Le bâtiment de notaire actuel fut construit à l'initiative d'Alexis Jabouille, notaire royal, en 1760[15]. Il a connu une vocation agricole jusqu'aux années 1980[16].

    L'église Saint-Martial est inscrite au titre des monuments historiques en 1926[17]. Ancienne dépendance de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem (commanderie de Charrières), dotée d'un clocher carré au siècle dernier, c'est une église d'origine romane, revoûtée d'ogives au XVe siècle. À l'intérieur, deux bas-reliefs, dont un représente Dieu le père surmontant un écusson de la famille d'Aubusson soutenu par Adam et Ève.

    Politique et administration

    La région

    Le Limousin était une des 26 régions françaises jusqu'en 2016, composée des trois départements Corrèze, Creuse et Haute-Vienne. Situé presque en totalité sur le Massif central, au , il regroupait 724 243 habitants sur près de 17 000 km2. Ses habitants sont appelés les Limousins. Depuis 2016, le Limousin a fusionné dans la région Nouvelle-Aquitaine.

    La circonscription

    Avant le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, Gentioux-Pigerolles appartenait à la 2e circonscription de la Creuse. Celle-ci était composée des cantons de : Ahun, Aubusson, Auzances, Bellegarde-en-Marche, Boussac, Chambon-sur-Voueize, Châtelus-Malvaleix, Chénérailles, La Courtine, Crocq, Évaux-les-Bains, Felletin, Gentioux-Pigerolles, Jarnages, Pontarion, Royère-de-Vassivière, Saint-Sulpice-les-Champs. Depuis cette réforme la Creuse ne comporte plus qu'une seule circonscription qui comporte tous les cantons de la Creuse.

    Le département

    Le département a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du , essentiellement à partir de l'ancienne province de la Marche. Ses habitants sont appelés les Creusois.

    La commune

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1920 1965 Jules Coutaud
    (1889-1970)
    SFIO Maréchal ferrant
    1965 1983 Raymond Marliac PCF ou apparenté  
    1983 2003 Pierre Desrozier PS Professeur de mathématiques
    2003 2014 Pierre Simons SE Agriculteur exploitant
    2014 2020 Dominique Simoneau PS Professeure des écoles retraitée
    2020 2021 Denise Jeanblanc[18] SE Agent de soins retraitée
    2021 en cours Benjamin Simons SE Guide-conférencier

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2018, la commune comptait 391 habitants[Note 2], en diminution de 3,93 % par rapport à 2013 (Creuse : −2,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2179071 0371 2451 2351 3721 4511 4891 530
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4481 4871 4961 4651 4261 4401 4511 4831 339
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2211 2511 1091 059914885846685587
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    503430419371367389372383416
    2018 - - - - - - - -
    391--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Le monument aux morts de Gentioux

    Monument aux morts de Gentioux.

    Le monument aux morts pacifiste de Gentioux est l'un des rares monuments pacifistes. Il n'a été inauguré officiellement qu'en 1985[23]. Comme tous les monuments aux morts de France, il comporte la longue liste des « enfants de Gentioux » morts pour la France (ils furent 58 en 14-18)[24].

    Ce qui est original ici c'est l'inscription « Maudite soit la guerre » sous la liste et la statue d'un orphelin le poing levé au pied du monument. C'est plus un appel au pacifisme qu'un honneur rendu aux victimes de cette hécatombe que fut la guerre de 14-18. Il fut construit en 1922, à l'initiative du maire SFIO de l'époque Jules Coutaud et de son conseil municipal. Il est classé monument historique et la plaque « Maudite soit la guerre » est inamovible.

    Statue Notre-Dame-du-Bâtiment

    C'est une immense statue de lave volcanique, roche plus tendre que le granit local, dédiée aux maçons de la Creuse. On y monte par un sentier, autrefois au milieu des bruyères, aujourd'hui dans des forêts de sapins. La statue est installée sur un grand piédestal constitué de pierres en granit local taillées. Sur le socle en lave, partie intégrante de la statue, sont sculptés les outils des différents métiers du bâtiment. La statue a été inaugurée le .

    Le pont de Sénoueix

    Pont de Sénoueix.

    Le petit pont de Sénoueix dit « pont romain », véritable image d'Épinal du département de la Creuse, est situé à km au nord de Gentioux-Pigerolles. Daté par le service des Monuments Historiques du XVIIe siècle, il enjambe, par son unique arche faite de gros blocs de granit mal dégrossis, vestige d'un pont plus important, le Taurion ou Thaurion, qui n'est à cet endroit qu'un petit ruisseau au milieu de la lande du plateau de Millevaches.

    La Lézioux

    Petit hameau disposant d'une croix fleuronnée avec le Christ d'un côté et la Vierge Marie de l'autre, datée du XVIe siècle.

    Le nom de « La Lézioux » (La Légiou au XVIIIe siècle) viendrait du nom d'un territoire paroissial (en occitan L'Agleasia).

    L'église Saint-Martial

    L'église Saint-Martial est inscrite au titre des monuments historiques en 1926[17].

    La chapelle de Pallier et la Maison de notaire royal

    La chapelle Sainte-Madeleine de Pallier, photographiée depuis la maison du notaire. À gauche, un ancien bâtiment agricole. L'escalier permettait d'accéder à la grange, l'étable étant située en bas.

    L'église Sainte-Madeleine de Pallier[25] tout comme la maison de notaire royal sont situés à km à l'est de Gentioux vers Pigerolles. Située juste au-dessus, la chapelle date du XIIIe siècle, elle se trouve à côté du cimetière où l'on peut voir des dalles funéraires gravées de la croix de Malte. Elle est dédiée à sainte Madeleine. On peut y voir aussi une croix avec le Christ d'un côté et la Vierge Marie de l'autre.

    On peut aussi visiter à proximité une reconstitution d'un jardin médiéval, avec ses plantes aromatiques et médicinales, ses roses, son « arbre de vie ».

    La chapelle du Rat

    Cette petite chapelle a été construite au XVIIe siècle sur une hauteur à proximité immédiate de mégalithes naturels. Une croix en granite a été disposée sur le bloc le plus élevé d'où s'offre un très large point de vue, notamment vers Gentioux. Le jour de la Saint-Roch, la chapelle du Rat servait de lieu de bénédiction. Son chemin de croix, dont il ne reste que quelques croix, a été indulgencié par l'un des papes limousins au XIVe siècle.

    Elle se situe sur la commune de Peyrelevade en Corrèze.

    Les éoliennes de Gentioux-Peyrelevade

    Une éolienne sur le plateau.

    Mises en service en , ces six éoliennes sont situées près du village de Neuvialle à mi-chemin entre Pigerolles et Peyrelevade.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    D'or à une lettre gothique G de sinople ; au chef de gueules à la croix d'argent[27].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Gentioux-Pigerolles
    De gueules à la croix d'argent.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Prononciation en français de France standardisé retranscrite selon la norme API.
    2. La station de ski.
    3. Météo Creuse.
    4. La Creuse sur Météo France.
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Source : Quand Martin Nadaud maniait la truelle… La vie quotidienne des maçons limousins, 1830-1849, de Pierre Urien, Felletin, Association Les maçons de la Creuse, 1998, 143 pages, préface de Pierre Riboulet, page 135.
    15. Notice no PA23000001, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    16. Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, vol. 35, Le Cante, (présentation en ligne), p. 677-692.
    17. Notice no PA00100077, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    18. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. Annette Becker Les Monuments aux morts : patrimoine et mémoires de la grande guerre, Paris, éd. Errance, 1988, page 76.
    24. Source:GenWeb.
    25. Notice no PA00100078, base Mérimée, ministère français de la Culture, 45° 47′ 16,4″ N, 2° 01′ 50,3″ E .
    26. Source : site de l'assemblée nationale.
    27. « 23090 Gentioux-Pigerolles (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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