Gers (département)
Le Gers (/ʒɛʁs/[Note 1],[3] ou /ʒɛʁ/[4]) est un département français de Gascogne en région Occitanie. Sa préfecture est la ville d'Auch. Il tire son nom de la rivière Gers, affluent de la Garonne. L'INSEE et la Poste lui attribuent le code 32.
Pour les articles homonymes, voir Gers.
Gers | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Occitanie |
Création du département | |
Chef-lieu (Préfecture) |
Auch |
Sous-préfectures | Condom Mirande |
Président du conseil départemental |
Philippe Martin (PS et Génération•s) |
Préfet | Xavier Brunetière[1],[2] |
Code Insee | 32 |
Code ISO 3166-2 | FR-32 |
Code Eurostat NUTS-3 | FR624 |
Démographie | |
Gentilé | Gersois, Gersoise |
Population | 191 283 hab. (2018) |
Densité | 31 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 6 257 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 3 |
Circonscriptions législatives | 2 |
Cantons | 17 |
Intercommunalités | 15 |
Communes | 461 |
Liens | |
Site web | gers.fr |
Histoire
Le département a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du , à partir d’une partie de l’ancienne province de Gascogne. Il porte initialement le nom de département d’Armagnac[5]. Le département est divisé en six districts, dont les chefs-lieux sont Auch, Condom, Lectoure, L’IsIe-Jourdain, Mirande et Nogaro. Le décret du 28 janvier 1790 prévoit la possibilité de créer un septième district en faveur de Vic-Fezensac mais les trois commissaires chargés de la formation du département décident d’y renoncer[6].
En 1808, le département a été amputé du canton de Lavit[7], situé au nord-est, pour créer le département de Tarn-et-Garonne.
Au , la région Midi-Pyrénées, à laquelle appartenait le département, fusionne avec la région Languedoc-Roussillon pour devenir la nouvelle région administrative Occitanie.
Proposition d'armoiries
Blasonnement :
D’argent au lion de gueules.
Commentaires : Il s'agit des armes des comtes d'Armagnac qui ne représentent pas officiellement le département actuel. |
Politique
Géographie
Le Gers fait partie de la région Occitanie. Il est limitrophe des départements des Hautes-Pyrénées, de la Haute-Garonne, de Tarn-et-Garonne, de Lot-et-Garonne, des Landes et des Pyrénées-Atlantiques.
Les extrémités départementales sont au Nord Pergain-Taillac, à l'Est Pujaudran, au Sud Mont-d'Astarac et à l'Ouest Ségos.
Le Gers est connu pour ses paysages vallonnés. Les collines mouvantes sont entrecoupées de vallons où se dissimulent souvent des lacs artificiels voués à l'agriculture.
- Lupiac, dans le centre-ouest
- L'Astarac à Saint-Blancard, dans le sud-est
Climat
Les précipitations annuelles varient de plus de 900 mm au sud-ouest du département, à moins de 700 mm au nord-est (Auch, Condom, Lectoure). Les étés sont très chauds et faiblement pluvieux. Les hivers varient, avec souvent des températures négatives, des gelées nocturnes et souvent de la neige dans le sud du département où les altitudes avoisinent les 300 mètres, mais le climat reste tout de même relativement doux et clément.
Économie
L'économie dans le Gers tourne principalement autour de l'agriculture et du tourisme culinaire. Le département est producteur de maïs, de blé, de colza, de tournesol servant pour l'élevage de canards gras. Ceux-ci sont transformés en mets de luxe dans les fermes locales ou usines (Comtesse du Barry, Ducs de Gascogne...) comme le foie gras, le confit ou les cous farcis. On y produit aussi de l'alcool et du vin (armagnac, côtes-de-gascogne, floc de Gascogne, madiran, pacherenc, pousse-rapière, Côtes de Saint-Mont, AOC Tursan), ainsi que du pop-corn (Nataïs)[8].
D"autres entreprises ont vu le jour autour de l'aéroport Auch-Gers, dont JCB Aéro, premier employeur privé d’Auch avec 150 salariés[9].
Démographie
Les habitants du Gers sont les Gersois.
Évolution démographique
En 2018, le département comptait 191 283 habitants[Note 2], en augmentation de 0,53 % par rapport à 2013 (France hors Mayotte : +1,78 %).
Communes les plus peuplées
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Auch | 32013 | CA Grand Auch Cœur de Gascogne | 72,48 | 22 200 (2018) | 306 | |
L'Isle-Jourdain | 32160 | CC de la Gascogne Toulousaine | 70,48 | 8 961 (2018) | 127 | |
Condom | 32107 | CC de la Ténarèze | 97,37 | 6 508 (2018) | 67 | |
Fleurance | 32132 | CC de la Lomagne gersoise | 43,32 | 5 982 (2018) | 138 | |
Eauze | 32119 | CC du Grand Armagnac | 69,86 | 3 942 (2018) | 56 | |
Lectoure | 32208 | CC de la Lomagne gersoise | 84,93 | 3 665 (2018) | 43 | |
Vic-Fezensac | 32462 | CC d'Artagnan en Fézensac | 53,94 | 3 509 (2018) | 65 | |
Mirande | 32256 | CC Cœur d'Astarac en Gascogne | 23,42 | 3 455 (2018) | 148 | |
Gimont | 32147 | CC des Coteaux Arrats Gimone | 27,58 | 3 025 (2018) | 110 | |
Pavie | 32307 | CA Grand Auch Cœur de Gascogne | 24,67 | 2 490 (2018) | 101 | |
Samatan | 32410 | CC du Savès (Gers) | 33,53 | 2 311 (2018) | 69 | |
Mauvezin | 32249 | CC Bastides de Lomagne | 32,18 | 2 198 (2018) | 68 | |
Lombez | 32213 | CC du Savès (Gers) | 19,55 | 2 159 (2018) | 110 | |
Nogaro | 32296 | CC du Bas-Armagnac | 11,06 | 2 012 (2018) | 182 | |
Riscle | 32344 | CC Armagnac Adour | 31,74 | 1 831 (2018) | 58 |
Culture
Sports
Basketball
- Le BAC Mirande a été trois fois champion de France en Nationale féminine 1A, de 1988 à 1990. Le club a disparu en 1997.
- Le VCGB (Valence-sur-Baïse et Condom) évolue en Nationale 3 basé à Valence-sur-Baïse. Le club a évolué près de 20 ans en Nationale 1.
- Le Auch Basket Club évolue dans le championnat Nationale 2.
Football
- L'Auch Football Club (Auch) évolue dans le championnat Nationale 3. Eric Carrière a été formé au CS Auch, l’ancêtre du Auch Football club[13].
- L'ASFLS (Fleurance et La Sauvetat) évolue dans le championnat Régional 2.
Handball
- Le HBCL (L'Isle Jourdain) L'équipe féminine a évolué à la fin des années 1990 plusieurs saisons en Nationale 2.
- Le HBCLS (Lombez-Samatan) L'équipe féminine évolue en Nationale 3
Rugby
- Le Rugby club Auch évolue en Fédérale 1.
- Le FC Auch, l’ancien club de rugby de la ville a quant à lui longtemps évolué en première division et a remporté le Bouclier européen en 2005.
- Le Lombez Samatan club évolue en Fédérale 1. Il a évolué dans l’élite du rugby français lors des saisons 1972 et 1986.
- L'Association sportive fleurantine évolue en Fédérale 1.
- L'Union sportive l'isloise évolue en Fédérale 2.
- L'Entente Astarac Bigorre XV évolue en Fédérale 2.
- La Société athlétique condomoise évolue en Fédérale 3. Le club a évolué dans l’élite en 1965, 1966 puis entre 1968 et 1973.
- La Jeunesse sportive riscloise évolue en Fédérale 3.
- L'Union Athlétique Vicoise (Vic-Fezensac) évolue en Fédérale 3.
- L'ES Gimont évolue en Fédérale 3. Le club a évolué dans l’élite en 1969.
- L'Association Athlétique Nogarolienne (Nogaro) évolue en Fédérale 3.
Internationaux français originaires du Gers
- Marcel Laurent
- Roger Ferrien
- Yves Duffaut
- Henri Lazies
- Jean Le Droff
- Élie Cester
- Jean Trillo
- Pierre Biémouret
- Jean-Claude Skrela
- Jacques Fouroux
- Jacques Gratton
- Stéphane Graou
- Frédéric Torossian
- Patrick Tabacco
- Yannick Bru
- Christophe Porcu
- Jean-Baptiste Rué
- Arnaud Mignardi
- Franck Montanella
- Fabien Barcella
- Benjamin Noirot
- Antoine Dupont
- Anthony Jelonch
- Gabriel Lacroix
- Pierre Bourgarit
- Grégory Alldritt
Tennis de table
Le Cercle pongiste auscitain est champion de France de Nationale 1 en 2009. Il joue depuis en Pro B.
Justice
Contrairement à la quasi-totalité des départements français qui comportent au moins une maison d'arrêt sur son territoire ; le Gers n'en possède aucune. La dernière prison, située à Auch, a fermé ses portes en 1966 pour être démolie dix ans plus tard. Les détenus gersois sont depuis incarcérés à Agen, siège de la cour d'appel.
Tourisme
Économie du tourisme
L'économie du tourisme dans le Gers représente (données 2018 du Comité Départemental du Tourisme Destination Gers) :
- 1 700 000 visiteurs : 1 100 000 touristes / 600 000 excursionnistes ;
- 7 700 000 nuitées ;
- 72 100 lits ;
- 260 000 000 € de dépenses des touristes dans le Gers, soit 7 % du PIB du département ;
- 2 700 emplois salariés liés au tourisme, 3 500 emplois en juillet/août ;
- 79 % de clientèle française en séjour dont 45 % de touristes de proximité ;
- 21 % de clientèle étrangère en séjour ;
- 39 € de dépense moyenne journalière en séjour vacances ;
- Fréquentation :
- Thermalisme : 17 000 curistes / 5 000 accompagnants,
- Évènementiel : 522 000 visiteurs / 295 000 entrées payantes,
- Œnotourisme : 150 000 visiteurs,
- Patrimoine : 427 200 visiteurs,
- Baignade : 350 120 entrées,
- Offices de Tourisme : 97 000 demandes d'informations comptoir,
- E-tourisme[14] : 850 000 visites / 6 000 000 pages vues.
Résidences secondaires
- 6 400 résidences secondaires : soit 33 600 lits[15].
- On estime à environ 1 300 les résidences secondaires appartenant à des étrangers.
- 65 % sont situées sur les parties nord et est du département.
- Les Britanniques possèdent 49,4 % de ces résidences, suivis par les Néerlandais (19,4 %), Belges (10,2 %) et Allemands (8,7 %)[16].
Communes ayant plus de 10 % de résidences secondaires
Selon le recensement général de la population du , 9,5 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires. Ce tableau indique les principales communes du Gers dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux.
Ville | Population SDC | Nombre de logements | Rés. secondaires | % Rés. secondaires |
---|---|---|---|---|
Cazaubon (Barbotan-les-Thermes) | 1 651 | 2 393 | 1 468 | 61,34 % |
Lombez | 1 804 | 1 036 | 208 | 20,08 % |
Marciac | 1 231 | 748 | 130 | 17,45 % |
Gondrin | 1 158 | 681 | 99 | 14,61 % |
Montréal | 1 269 | 720 | 104 | 14,44 % |
Castelnau-d'Auzan | 1 091 | 676 | 94 | 13,86 % |
Miélan | 1 218 | 768 | 92 | 12,01 % |
Plaisance | 1 465 | 920 | 104 | 11,30 % |
Samatan | 2 276 | 1 219 | 127 | 10,39 % |
Personnalités
- D'Artagnan
- Blaise de Monluc, maréchal de France
- Jean Lannes, maréchal d'Empire
- Jacques Fouroux
- André Daguin
- Renaud Camus
- Jules de Carsalade du Pont, abbé et historien de la Gascogne
- Michel Cassé
- Édouard Lartet, paléontologue
- Jean-Luc Lagardère
- Jean-Claude Sensemat
- Jean Laborde
- Jean-Joseph Moussaron, archevêque d'Albi, Juste parmi les Nations[18]
- Bernard Descamps, député
- Michel Sarran, grand cuisinier
- Rosemonde Pujol, résistante, écrivaine, journaliste (seule personnalité féminine gersoise à avoir un nom de rue à Paris).
- Maurice Mességué
- Bertrand de Comminges
- Armand Praviel
- Claude Augé
- Jean-François Bladé
- Jean-Charles de Castelbajac, couturier
- Claire de Castelbajac
- Prosper-Olivier Lissagaray, journaliste
- Nicolas Portal, ancien coureur cycliste professionnel
- Yves Navarre, écrivain français
- Yves Rispat, homme politique
- Jean-Louis de Nogaret de La Valette, duc d'Epernon, pair et Maréchal de France
- Pierre Courrège, scénariste et réalisateur
- Jean Castex, homme politique et haut fonctionnaire
Notes et références
Notes
- Prononciation en français de France standardisé retranscrite phonémiquement selon la norme API.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Décret du 29 juillet 2020 portant nomination du préfet du Gers - M. BRUNETIERE (Xavier)
- Marie-Christine Ponamalé, « Nomination:Xavier Brunetière, conseiller Outre-mer d’Edouard Philippe devient Préfet du Gers », outremers360.com, (consulté le )
- I. Louis Gondal, Parlons ainsi de la voix et du geste, étude théorique et pratique du mécanisme de la parole, où se trouvent réunis les données des physiologistes, les règles des grammairiens et les conseils des artistes sur l'art de bien dire, en chaire, au barreau, au cours, à la tribune et dans les lectures publiques, J. De Gigord, (lire en ligne), p. 91
« Mais S sonne dans Anvers et Gers. Lisez : Anverss et Gerss. »
- La prononciation de Gers est un sujet qui fâche comme le souligne Renaud Camus dans Répertoire des délicatesses du français contemporain, article « Gers », p. 208, « Le Goût des mots », Points, P.O.L., 2000 : en langue cultivée, il préconise de ne pas prononcer le s final qui reste une prononciation locale, même si elle est très répandue. Jean-Marie Pierret recommande également la prononciation [ʒɛːʁ]. Voir Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
- Suite des décrets sur la division du royaume du 28 janvier 1790, Département d’Armagnac.
- René Pagel, Notes sur la formation du département du Gers, Auch, impr. de L. Cocharaux, , 24 p., In-8° (notice BnF no FRBNF31049342, lire en ligne)
- Création du département de Tarn-et-Garonne.
- Océane Oules, « Gers : Nataïs, le leader européen du pop-corn, mise tout sur l'agroécologie », sur ladepeche.fr,
- « Incendie chez JCB Aéro à Auch : des dégâts mais il n'y aura pas de chômage technique », sur ladepeche.fr,
- Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - fiche historique du département
- Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
- Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018
- Frédéric Hamelin, « Star : Éric Carrière, little big man », Onze Mondial, no 150, , p. 78 à 81 (ISSN 0995-6921)
- « Comité Départemental du Tourisme et des Loisirs du Gers », sur www.tourisme-gers.com/ (consulté le )
- source RGP/INSEE 1999, avec décompte des meublés de tourisme labellisés.
- source Odit France, DGI 2007.
- Source Insee, chiffres au 1er janvier 2008.
- « Yad-Vashem France »
Voir aussi
Bibliographie
- Renaud Camus, Le Département du Gers, Paris, P.O.L., , 349 p. (ISBN 2-86744-570-1)
- Pierre Debofle et Pierre-Léon Feral, Le Gers a deux cents ans (1790-1990) : 200e anniversaire de la création du département, Auch, Association pour la commémoration du bicentenaire de la Révolution française, , 171 p. (ISBN 2-9505070-0-X)
- Bruno Sirven, Frédéric Poulle et Lætitia Joffre, Paysages du Gers, Rodez, Éditions du Rouergue, , 265 p. (ISBN 2-84156-611-0)
- Marcel Durliat, La Gascogne dans l'art, p. 9–28, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
- Pierre Lavedan, Jeanne Hugueney, Bastides du Gers, p. 371–409, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
- Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome premier, Auch, J.-A. Portes, , 464 p., in-8 (notice BnF no FRBNF30963694, lire en ligne)
- Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome second, Auch, J.-A. Portes, , 500 p., in-8 (notice BnF no FRBNF30963694, lire en ligne)
- Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome troisième, Auch, Brun, , 512 p., in-8 (notice BnF no FRBNF30963694, lire en ligne)
- Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome quatrième, Auch, Brun, , 467 p., in-8 (notice BnF no FRBNF30963694, lire en ligne)
- Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome cinquième, Auch, Brun, , 491 p., in-8 (notice BnF no FRBNF30963694, lire en ligne)
- Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome sixième, Auch, Brun, , 495 p., in-8 (notice BnF no FRBNF30963694, lire en ligne)
- Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Supplément, Auch, Brun, , 483 à 674 p., in-8 (notice BnF no FRBNF30963694, lire en ligne)
- Jean-François Ratonnat, La vie d'autrefois dans le Gers, éditions Sud-Ouest, 1996.
Articles connexes
Liens externes
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- Conseil départemental du Gers
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