Plaisance (Gers)
Plaisance (Plasença en gascon), dite aussi Plaisance du Gers, est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Plaisance.
Plaisance | |||||
Pont sur Arros à Plaisance | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Mirande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Bastides et Vallons du Gers | ||||
Maire Mandat |
Patrick Fitan 2020-2026 |
||||
Code postal | 32160 | ||||
Code commune | 32319 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plaisantins, Plaisantines | ||||
Population municipale |
1 446 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 105 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 36′ 24″ nord, 0° 02′ 50″ est | ||||
Altitude | 131 m Min. 122 m Max. 186 m |
||||
Superficie | 13,71 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Pardiac-Rivière-Basse (bureau centralisateur) |
||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | plaisancedugers.fr/ | ||||
Géographie
Communes limitrophes
Plaisance est limitrophe de six autres communes.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 1 371 hectares ; son altitude varie de 122 à 186 mètres[2].
Plaisance se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].
Hydrographie
Bastide située en Rivière-Basse sur l'Arros à 4 km de sa confluence avec l'Adour et l'ancienne route nationale 646 entre Courties et Riscle. Le ruisseau de Larté, affluent gauche de l'Arros, conflue sur la commune.
Voies de communications et transports
Plaisance est accessible par la RD 3, depuis Termes-d'Armagnac, au nord, ainsi que par la RD 946, qui relie Préchac-sur-Adour, à l'ouest à Marciac, au sud.
La ligne 961 du réseau liO relie la commune à la gare de Tarbes et à la gare de Mont-de-Marsan.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maumusson », sur la commune de Maumusson-Laguian, mise en service en 1963[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 020,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 44 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[13] à 13,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Plaisance est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,9 %), zones urbanisées (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %), forêts (0,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Plaisance fut fondée par le comte Jean Ier d'Armagnac et l'abbé de la Case-Dieu. Cette bastide succédait à un village préexistant. Bastide tardive, Plaisance se développe mal. Elle connut, en outre, les vicissitudes liées aux affrontements entre anglais et français. Plaisance fut ainsi détruite une première fois en 1338 par les Anglais. Elle fut de nouveau incendiée en 1355 par le Prince Noir qui s'opposait à la famille d'Armagnac[21].
La bastide fut reconstruite mais dans des proportions bien plus modestes et fut baptisée Plaisance en lieu et place de son ancien nom : Ribaute (= Rive Haute ou Ripa Alta).
Plaisance végéta pendant toute la période de l'Ancien Régime faute d'importantes fonctions administratives ou religieuses.
Cependant à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, grâce aux frères Louis lanafoërt[22] et joseph Louis Lanafoërt[23], les grands maires bâtisseurs du Plaisance du XIXe siècle[24], Plaisance connaît un réel essor et retrouve les dimensions de l'ancienne bastide. Sous le Second Empire, grâce au gendre de Louis Lanafoërt, Jean-François Doat, maire de Plaisance (1848-1852) et surtout conseiller général du Gers (1858-1869), Plaisance connaît un essor industriel important avec l'ouverture de la gare de Castelnau, et la construction d'un second moulin achevé en 1864, le moulin de Lalanne, disparu au XXe siècle.
Après la fin de la Première Guerre mondiale, qui a vu disparaître presque la plupart des hommes des grandes familles plaisantines (notamment la famille Sabail et L'Officier, héritière des Lanafoërt et Doat), Plaisance reprit son déclin.
Au XXe siècle, l'activité de la ville tourne autour de l'agriculture et de la viticulture. Mais la ville a continué son longs déclin qui s’est accentué à partir de 1969, notamment au profit de Marciac, dont le rayonnement croissait tandis que celui de Plaisance périclitait.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[25],[26].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Mirande de la communauté de communes Bastides et vallons du Gers et du canton de Pardiac-Rivière-Basse (avant le redécoupage départemental de 2014, Plaisance était le chef lieu de l'ex-canton de Plaisance).
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2018, la commune comptait 1 446 habitants[Note 4], en diminution de 3,54 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[32] | 1975[32] | 1982[32] | 1990[32] | 1999[32] | 2006[33] | 2009[34] | 2013[35] |
Rang de la commune dans le département | 16 | 15 | 16 | 15 | 16 | 18 | 18 | 18 |
Nombre de communes du département | 466 | 462 | 462 | 462 | 463 | 463 | 463 | 463 |
Enseignement
Plaisance dépend de l'académie de Toulouse. Les élèves de la commune commencent leur scolarité à l'école maternelle du village (2 classes), regroupant 48 enfants[36], puis à l'école primaire (5 classes), regroupant 92 enfants[37]. Ils poursuivent au collège Louis Pasteur (8 classes), toujours au village[38],[39]. Une antenne du Greta est également installée à Plaisance[40].
Santé
Plaisance ne dispose pas d'hôpital, mais plusieurs professionnels de santé sont installés dans la commune : 4 médecins, 1 pharmacie, 2 dentistes, 3 infirmiers, 1 kinésithérapeute, 1 podologue[41], une ostéopathe.
Cultes
La paroisse catholique de Notre-Dame de Plaisance dépend de l'archidiocèse d'Auch. Elle regroupe 14 communes autour de celle de Plaisance, dans le secteur pastoral Rivières-Basses[42].
Services publics
Plusieurs services publics sont installés à Plaisance : bureau de poste, trésor public, pompiers[43].
Culture et manifestations
- Une salle de cinéma d'art et d'essais, proposant les films commerciaux actuels, accueille également l'« association Ciné 32 », qui anime 23 salles dans le département du Gers[44].
- Une médiathèque intercommunale.
- RPGers, festival du jeu, créé en 1998, tous les troisièmes weekend d'août[45].
- Tous les ans, en mai, se tient le Salon des métiers d'art[46].
Économie
Agriculture
Plaisance fait partie des Côtes-de-saint-mont (AOVDQS). Rivière-Basse est une région du Gers essentiellement agricole : céréales avec une domination du maïs, soja, vignes et élevage de bovins.
Plaisance possède une cave coopérative de vin de Plaimont producteurs.
Commerces et artisanats
En plus d'un marché hebdomadaire, le jeudi matin, sur la place de l'église, la commune dispose de plusieurs commerces, dont deux moyennes surfaces, plusieurs banques et assurances, deux bars, quatre restaurants, deux boulangeries, deux boucheries. Les onze artisans et les habitants du villages ont quatre enseignements de matériaux, ainsi que de nombreux services à leur disposition[49].
Tourisme
Plaisance fait partie des stations vertes, et propose des activités de loisirs de plein air, tel que pêche, natation, canoé, cyclotourisme, équitation[50]. L'hébergement touristique est composé d'un camping 3 étoiles[51], ainsi qu'une chambre d'hôte:Ripa alta
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La place à garlandes du XIVe siècle, noyau du bourg jusqu'au XIXe siècle, montre quelques belles maisons à colombage.
- L'église de l'Immaculée-Conception, de style néo-gothique, construite au XIXe siècle par l'architecte Durand, reprend le plan de Notre-Dame de Lourdes[52]. En 1988, le facteur Daniel Birouste et l’artiste Daniel Ogier, créaient le Grand Orgue, orgue-retable situé dans le chœur de l'église[53].
- Tour carrée, vestige de l'ancien rempart du village, détruit au XVIIIe siècle. Elle fut un temps prison, durant la révolution française[54].
- Hôtel particulier de Lanafoërt-Chapelain, XVIIe-XVIIIe siècle. Construit par la famille Lanafoërt-Chapelain en 1687 sur des fondations datant de 1590, puis modifié en 1782, cet hôtel particulier de type Gascon fut le siège de l'étude de notaire de Plaisance, détenue par la même famille durant plus de 300 ans. C’est un exemple typique de l‘architecture Gascogne de cette époque.
- Arènes[55].
Personnalités liées à la commune
- Jean-Jacques de Laterrade (1758-1794), général de la Révolution française
- Louis Lanafoërt (1782-1819), avocat en parlement, législateur et notaire royal français[56], maire de Plaisance du Gers (1818-1819). Fils de Jean Gabriel Lanafoërt, époux de Marie-Henriette Magenc ( 1782-1850) fille de Joseph Magenc, juge de paix, et tante d’Alexandre Magenc (1822-1894), peintre.
- Joseph Louis Lanafoërt (1788-1842), avocat en parlement et procureur impérial près le Tribunal d'Auch. Avocat général près la Cour d'Appel d'Agen, premier Conseiller Général du département du Gers, élu pour le canton de Plaisance (1833-1842). Maire bâtisseur du Plaisance du XIXe siècle (1822-1842). On lui doit , entre autres, le percement de la grande rue et la construction de la place de l'église. Collabora également avec son frère, Louis, à la rédaction du nouveau Code civil des Français.
- Elmire Lanafoërt-Doat (1809-1880), marchande d'art, mécène et collectionneuse française, épouse de Jean-François Doat, cousin d'Alexandre Magenc, constitua la collection Alexandre Magenc, transmise aujourd'hui à son héritier, Christophe Chapelain L'officier.
- Jean-Pierre Bonnafont (1805-1891), né à Plaisance, médecin oto-rhino-laryngologue, membre de l'Académie de médecine.
- Jean-François Doat (1801-1869) Maire de Plaisance (1848-1852), conseiller général du Gers (1858-1869), on lui doit une grande partie du développement économique de Plaisance sous le second empire. Epousa la descendante Lanafoërt, Elmire Lanafoërt-Doat.
- Louise Doat-Sabail (1845-1892), marchande d'art, mécène et collectionneuse française, fille d'Elmire et de Jean François Doat.
- Alexandre Magenc (1822-1894), né à Plaisance, peintre, auteur de l'œuvre "la Résurrection" de l'église de Plaisance, classé monument historique, et d'une cinquantaine de tableau, dont une partie constitue aujourd'hui la collection Magenc, détenue par son cousin, Christophe Chapelain L'officier.
- Alfred Sabail, né au Château Montus en 1840, décédé en 1927 à Plaisance, notaire et homme politique libérale, maire de Plaisance, (1870-1871) et (1908-1920), Président de la Chambre des Notaires du Gers. Épousa la fille de Jean-François Marie Doat, Louise Doat.
- Bernard-Adolphe Granier de Cassagnac (1806 -1880) journaliste et homme politique bonapartiste, député du Gers (1852 - 1870) (1876 - 1880)[57].
- Pierre Marius L'officier (1872-1916), Capitaine d'infanterie coloniale du Tonkin, membre de l'état-major de l'armée française du Tonkin, et de la société de Géographie de Paris, époux de Henriette Sabail, fille d'Alfred Sabail, héritière des Lanafoërt, héros de verdun, chevalier de la légion d'honneur, chevalier de l'ordre souverain militaire hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte, Croix de guerre 1914-1918. Mort à Verdun en 1916 après avoir sauvé quatre de ses hommes lors d'un assaut.
- Émile Pladner (1906 - 1980), champion du monde de boxe anglaise (le au Vélodrome d'hiver).
- Jean Charles L'officier (1913-1974), fils de Pierre Marius L'officier et petit fils d'Alfred Sabail, héritier des Lanafoërt-Doat, chef d'entreprise, président du Bon Marché à Paris, puis vice-président du groupe Lafarge, Cadet de Saumur, officier de la Légion d'honneur, Chevalier de l'ordre souverain militaire hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte Croix de guerre 1939-1945.
- Jean-Louis Quéreillahc (1921-2018), écrivain et ancien maire de Plaisance (1969-1989). Il obtint le prix Scarron 1962, pour son livre, Untel Maire.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à deux agneaux paissant d'argent en chef et au chien arrêté du même en pointe [58]. |
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF40101206)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Plan séisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Maumusson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Plaisance et Maumusson-Laguian », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Maumusson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Plaisance et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Histoire de Plaisance
- Louis Lanafoërt, avocat et notaire royal, maire de Plaisance du 4 mars 1818 au 3 juillet 1819, fit construire l'hôtel de ville actuel, la grande promenade publique, il fit restaurer la totalité des routes, le renouvellement du pavé des rues et l´établissement d'une école d'enseignement mutuel.
- Joseph-Louis Lanafoërt, né le 5 mars 1788, décédé le 14 avril 1842, avocat royal, procureur impérial, maire de Plaisance entre 1821 et 1842. il fit construire," la route départementale de Plaisance à Maubourguet, le champ de foire, les promenades sur le bord de la rivière, le pont sur l'Arros, la place Nouvelle, les grands chemins de grande communication de Plaisance à Viella et de Vic-Fezensac à Plaisance, la fontaine publique, les approvisionnements en matériaux et les fonds déposés à la caisse communale pour la reconstruction de l'église" Source : Délibérations communales (1883-1844), archives familiales Lanafoërt-Chapelain L'Officier.
- Alain Lagors, « La Bastide de Plaisance du Gers au XIXe siècle : croissance et apogée du bourg-marché (vers 1780-1880). », Bulletin de la Société archéologique, historique, litteraire & scientifique du Gers, no 4, , p. 425-464.
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Plaisance
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- école maternelle de Plaisance
- école primaire
- collège Louis Pasteur
- école de la commune
- Greta de Plaisance
- professionnels de santé à Plaisance
- Paroisse catholique de Plaisance
- Services publics
- cinéma de Plaisance
- « Présentation du projet - RPGers », RPGers, (lire en ligne, consulté le ).
- « Le 25e Salon des métiers d'art ferme ses portes ce soir », ladepeche.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- Site du club
- Union sportive plaisantine Rugby
- Commerçants
- Station verte
- insee, hébergement touristique
- église de Plaisance
- « l'orgue », sur www.plaisancedugers.fr (consulté le ).
- Tour Carré
- Arènes de Plaisance
- Almanach Royal, Annuaire Officiel de la République Française.
- https://gascognerivierebasse.jimdofree.com/histoire-1/personnalit%C3%A9s/les-granier-de-cassagnac/
- http://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=15526
- Portail du Gers
- Portail des communes de France