Marciac

Marciac (Marciac en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.

Cet article possède des paronymes, voir Marcillac et Marcilhac.

Marciac

Festival Jazz in Marciac, 2005.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Bastides et Vallons du Gers
(siège)
Maire
Mandat
Jean-Louis Guilhaumon
2020-2026
Code postal 32230
Code commune 32233
Démographie
Population
municipale
1 220 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 31′ 30″ nord, 0° 09′ 45″ est
Altitude 154 m
Min. 142 m
Max. 247 m
Superficie 20,60 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pardiac-Rivière-Basse
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Marciac
Géolocalisation sur la carte : Gers
Marciac
Géolocalisation sur la carte : France
Marciac
Géolocalisation sur la carte : France
Marciac
Liens
Site web Site officiel de la Mairie

    Géographie

    Localisation

    Marciac est une commune de Gascogne située en Rivière-Basse. La commune se trouve au sud du département du Gers en limite des Hautes-Pyrénées.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Marciac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    Cours de la rivière Bouès à Marciac.

    Le Bouès (son affluent droit) et le Laüs (son affluent gauche), traversent les terres de la commune, de même que le Larté, tributaire gauche de l'Arros.

    La commune abrite en son sein un lac.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 895 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubourguet », sur la commune de Maubourguet, mise en service en 1886[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 876,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 37 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[12] à 13,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Marciac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), forêts (9,4 %), prairies (9 %), zones urbanisées (5,9 %), eaux continentales[Note 4] (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom Marciac dérive - par glissement orthographique - du nom de famille de son fondateur, le sénéchal de Toulouse et d'Albi Guichard de Marzé[20].

    Histoire

    Marciac est une bastide royale, fondée tout à la fin du XIIIe siècle (1298) à la suite d'un paréage entre Étienne de Lupé, abbé de la Case-Dieu, Arnaud-Guilhem III, comte de Pardiac et le sénéchal de Toulouse, Guichard de Marzé, qui construisit la bastide, lui donna ses coutumes et lui laissa son nom. Les coutumes furent confirmées en 1300 par le roi de France Philippe IV le Bel. La ville originelle était entourée d'une enceinte percée de huit portes, comportant des tourelles tout et autour de laquelle était creusé un large fossé. De larges privilèges firent le succès rapide de cette bastide.

    La ville nouvelle détourna à son profit le chemin de Saint-Jacques qui passait jusque-là à Saint-Justin et se dirigeait sur Maubourguet. Quatre hôpitaux peuplèrent la ville, ainsi que les ordres religieux des Augustins, des Dominicains et l'ordre du Saint-Esprit[21].

    C'est une bastide à deux axes de modèle gascon (église en retrait par rapport à la place centrale). Elle est organisée autour d'une place centrale à arcades, qui est la plus grande place du Gers (133 x 78 mètres) et dont la vocation d'origine, militaire, permettait de loger au besoin un millier de soldats (Marciac fut édifiée dans la zone-limite des influences françaises et anglaise). La bastide est divisée en parcelles (îlots), avec des rues parallèles et perpendiculaires les unes aux autres. La forme de la cité, parfaitement symétrique, s'inscrit dans un rectangle ovalisé de 598 x 394 mètres[22]. Le projet de restitution architecturale du Marciac du XIVe siècle (projet "Marciac Intra Muros"), lancé par l’association MIM, l'INRAP, l'ENSA et la mairie de Marciac, va permettre aux visiteurs de la bastide d'être immergés dans sa "gloire architecturale", dont les 1 750 mètres de son ex-rempart[23] représentaient une pièce maîtresse.

    En 1569, le sieur de Sérignac, lieutenant du chef protestant Montgomery, mit la bastide à rançon et causa quelques dégâts à ses églises. L'église Notre-Dame de Marciac possède le plus haut clocher du département du Gers (87 m).

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Depuis 1965, la commune a élu des maires de tendance socialiste, et par ailleurs depuis 1958, des conseillers généraux placés à la gauche de l'échiquier politique, à l'instar de nombre de communes et de cantons du Gers.

    Le conseil municipal est composé de quinze élus, compte tenu du nombre de ses habitants.

    Conseil municipal de Marciac (mandature 2020-2026).
    Liste Tendance Président Effectif Statut
    « Marciac pour tous » PS Jean-Louis Guilhaumon 13 Majorité
    « Marcia vous appartient » DVG Nathalie Barrouillet 2 Opposition

    Liste des maires

    Mairie à côté de la maison des abbés de l'abbaye de la Case-Dieu, avec des fenêtres à meneaux, et l'office de tourisme
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 En cours Jean-Louis Guilhaumon[24] PS Retraité de l'enseignement
    Conseiller régional (10e vice-président)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26]. En 2018, la commune comptait 1 220 habitants[Note 5], en diminution de 2,56 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 4121 4891 6051 6711 7781 9551 9121 9051 887
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 8481 9011 8831 9141 9561 8251 6291 5461 484
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 4491 3311 1001 0861 1381 0981 1281 025996
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    1 0651 1311 1191 2111 1601 2211 2331 2431 224
    2018 - - - - - - - -
    1 220--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Le collège de Marciac propose une option jazz depuis l'année scolaire 1992-1993, ce qui lui a permis de doubler le nombre d'élèves. Un internat a même été créé dans un des bâtiments de la commune, qui abritait autrefois une « université ouvrière », sorte d'école des métiers manuels.

    Manifestations culturelles et festivités

    Marciac est notamment connue pour son festival de jazz de renommée internationale : Jazz in Marciac (42e édition en 2019), qui a lieu la première quinzaine du mois d'août. Les principaux concerts se déroulent sous un chapiteau de 5 000 places ou plus selon la configuration, installé sur le terrain de sports de la commune. Un festival "Off" se tient sur la place centrale, par ailleurs ponctué de nombreuses animations et expositions à travers tout le village ; le festival a rassemblé plus de 225 000 visiteurs en 2014 (chiffres officiels de l'organisation), un record de fréquentation - et une sorte d'exploit - en regard des dimensions de Marciac et de la faible taille de sa population.

    Économie

    L'économie de Marciac est aujourd'hui largement axée sur son festival de jazz et les réalisations culturelles et touristiques qui lui sont notamment liées. L'agriculture, le commerce, les services et l'artisanat sont bien représentés dans la commune, ainsi que l'administration, de par le statut de chef-lieu de canton de Marciac. Une entreprise, qui travaille dans le domaine du recyclage des tissus usagés, a vu le jour en 2012 et a pris partiellement "Le Relais" de l'industrie du meuble, autrefois florissante à Marciac.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le conseil régional d'Occitanie a reconnu Marciac comme étant l'un des 40 Grands Sites d'Occitanie pour son patrimoine, son intense activité culturelle ainsi que pour sa capacité d'accueil touristique.

    Le festival international de jazz Jazz in Marciac, qui se déroule la première quinzaine d'août depuis 1978, accueille en effet plus de 200 000 visiteurs chaque année (chiffres officiels du festival).

    Le festival Paysages In Marciac a lieu fin juillet - début août et concerne l'agroécologie, les sols vivants, les couverts et l’agroforesterie[29].

    Place centrale

    Le centre de gravité de la ville est une longue place rectangulaire à couverts (arcades) où se trouvait une halle démolie en 1871.

    Des maisons à cornières aux énormes piliers de bois la bordent.

    La mairie, fière de ses trois étages, et la remarquable maison Guichard, siège de l'office de tourisme, la jouxtent. À côté de la mairie se trouve l'ancienne maison des abbés de l'abbaye de la Case-Dieu avec sa façade en pierre et ses fenêtres à meneaux[30]

    Châteaux

    • Château de Guitou
    • Château de Saint-Christaud.

    Édifices religieux

    Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Marciac

    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption[31] est un édifice gothique du XVe siècle au clocher-porche carré. Sa très imposante flèche subit la fortuite concurrence de celle de l'ancienne chapelle du couvent des Augustins. Ses trois nefs et son chœur pentagonal abritent des sculptures du XIVe siècle mais de tradition encore romane.

    L'église est classée au titre objet des monuments historiques depuis 1910[32].

    Ancien couvent des Augustins

    De l'ancien couvent des Augustins[33] ne restent que le clocher octogonal du XIVe siècle, la façade et le portail. Au XIXe siècle, la galerie sud du cloître ayant survécu aux guerres de religion serait parti aux États-Unis ou bien aurait été transférée dans une propriété de la région parisienne[34]. Des recherches effectuées pas Céline Brugeat semblent confirmer la première hypothèse, indiquant que cloître aurait été acheté par le magnat de presse américain William Randolph Hearst, et serait aujourd'hui exposé dans son Hearst Castle, sur la côte centrale de Californie[35].

    La façade ouest de l'église des Augustins de Marciac est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1949[36].

    Chapelle Notre-Dame-de-la-Croix de Marciac

    La chapelle Notre-Dame-de-la-Croix, lieu d'apparition - le - de la Vierge Marie[37] et devenu plus tard un lieu de pèlerinage, est située au cœur d'un agréable parc[38].

    Équipements culturels

    La commune compte un musée d'histoire naturelle, un cinéma, un espace consacré à l'histoire du jazz (Les Territoires du Jazz) et un office du tourisme.

    L'Astrada (destinée en occitan) est une salle de spectacle de 500 places inaugurée en . Cet auditorium se substitue à la salle des fêtes devenue trop exigüe pour accueillir les sessions d'automne, d'hiver et de printemps de Jazz in Marciac ; des spectacles annexes ainsi que des conférences seront proposés dans cette nouvelle salle pendant le festival d'été. La salle fonctionnera à l'année, avec une programmation culturelle et musicale variée. Cette réalisation a pour but de devenir un véritable pôle culturel d'envergure régionale, à la suite de l'inscription de la bourgade du jazz à la liste des Grands Sites de Midi-Pyrénées. Elle deviendra scène conventionnée (la deuxième du Gers après "Circuits" à Auch) après une année d'essai.

    Marciac dispose d'autre part d'un ensemble de galeries d'art et d'ateliers d'artistes dont la galerie Espace Eqart la plus importante, dont le fondateur et celui qui en fut le directeur pendant près de quinze ans est Fred Noiret et l'Âne Bleu la plus ancienne ainsi que l'atelier de la Baguenaude, les trois principaux lieux d'expositions. Rémi Trotereau, peintre et sculpteur s'y installe en juin 2013 ainsi qu'Annie Casanova, artiste peintre.

    Espaces récréatifs

    Marciac vue de son lac.

    Depuis 1962, Marciac est doté d'un lac artificiel bordé d'une résidence hôtelière, d'un café et d'un mini-port dont l'architecture est inspirée de La Nouvelle-Orléans, d'une péniche-restaurant ayant appartenu à la ville de Sète (installée en 1963) et d'une piscine aqualudique.

    Des arènes accueillent des courses landaises.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Laforgue, né en 1782 à Marciac et mort à Dresde (Allemagne) en 1852, connu en tant que réviseur du texte des "Mémoires de Giacomo Casanova" publié - avec un grand succès - en 1826[39].
    • Dominique de Sabail (1757-1799), avocat en parlement, juge de paix de Castelnau en 1790, membre du directoire du département des Hautes-Pyrénées, entre 1790 et 1793, époux de Marianne d'Aydie Lacoste (1758-1818), propriétaire du château d'Aydie dans le Madiran. Il acquit, au nom et pour le compte de son ami, Pierre Clair de Fondeville, lors d' enchères publiques qui se sont déroulées entre le et le , l'abbaye de la Case-Dieu, pour le prix de 250 000 livres. Il est le grand-père d'Alfred Sabail, de Plaisance[40].
    • Jean Baptiste de Doat (1732-1792)[41], conseiller du Roi, juge en chef et magistrat royal à Eauze, époux de Jeanne de Mibielle, qui organisa en tant que délégué du procureur général et syndic du département du Gers, la vente aux enchères publiques entre le et le , de l'abbaye de la Case-Dieu[42]. Il est le grand oncle de Jean François Doat de Plaisance.
    • Jacques Nolot, cinéaste né en 1943 à Marciac[43].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Parti : au premier d'azur aux cinq fleurs de lys d'or ordonnées en sautoir, au second de gueules aux deux clefs adossées d'argent[44].

    Sports

    Rugby à XV

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF40101206)
    • Paul Mesplé, Marciac. L'église Notre-Dame, p. 33-42, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970.
    • Jacques Barnouin, Pierre-Henri Ardonceau et Bernard Deubelbeiss Le fabuleux destin de Marciac. Du rêve des fondateurs à la passion du jazz, Albi, Un Autre Reg'art, livre relié, 180 pages, 2014. Livre dont Marciac est le héros

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Maubourguet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Marciac et Maubourguet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Maubourguet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Marciac et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. J. Barnouin, P.-H. Ardonceau, B. Deubelbeiss, Le fabuleux destin de Marciac : du rêve des fondateurs à la passion du jazz, Albi, Un Autre Reg'Art, 2014, page 12
    21. B. Cursente, G. Loubès, Villages Gersois, Publication de la Chambre d'Agriculture du Gers, 1991
    22. J. Barnouin, P.-H. Ardonceau, B. Deubelbeiss, Le fabuleux destin de Marciac : du rêve des fondateurs à la passion du jazz, Albi, Un Autre Reg'Art, 2014, pages 34-35 et page 83
    23. Christine Le Noheh, Christian Darles, Henri Molet, Christophe Requi, Fouille archéologique aux origines de la bastide de Marciac. Le chemin de ronde. AFAN, 2001
    24. Site de la préfecture - Fiche de Marciac
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Paysages in Marciac jusqu'au 15 août, La Dépêche, 8 août 2019
    30. Stéphane Abadie, Marciac. La maison des abbés de La Casedieu, dans Bulletin monumental, 2016, tome 174, no 2, p. 195-200, (ISBN 978-2-901837-63-3).
    31. Notice no PA00094856, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église
    32. « Eglise », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    33. Notice no PA00094855, base Mérimée, ministère français de la Culture : Ancien couvent des Augustins
    34. J. Barnouin, P.-H. Ardonceau, B. Deubelbeiss, Le fabuleux destin de Marciac : du rêve des fondateurs à la passion du jazz, Albi, Un Autre Reg'Art, 2014, pages 95-99
    35. « Le cloître de Marciac serait chez «Citizen Kane» », ladepeche.fr, (lire en ligne, consulté le ).
    36. « Ancienne église des Augustins », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    37. J. Barnouin, P.-H. Ardonceau, B. Deubelbeiss, Le fabuleux destin de Marciac : du rêve des fondateurs à la passion du jazz, Albi, Un Autre Reg'Art, 2014, pages 73-75
    38. Collectif La chapelle Notre Dame de la Croix à Marciac. L'histoire des origines à nos jours. Association MCPT, 2007
    39. J. Barnouin, P.-H. Ardonceau, B. Deubelbeiss, Le fabuleux destin de Marciac : du rêve des fondateurs à la passion du jazz, Albi, Un Autre Reg'Art, 2014, pages 94-95
    40. Madame Suzanne Tronche, « Les causes et circonstances de la vente de l'abbaye de la Case-Dieu », sur Marciac.typepad.com, .
    41. Société historique de Gascogne. Comité d'histoire et d'archéologie de la province ecclésiastique d'Auch., Revue de Gascogne : bulletin mensual du comité d'histoire et d'archéologie de la province ecclésiastique d'Auch, Gers, [s.n] (Auch), 1864-1939 (lire en ligne), p. 135.
    42. Madame Suzanne Tronche, « Les causes et circonstances de la vente de l'abbaye de la Case-Dieu », sur Marciac.typepad.com, .
    43. J. Nolot Bio-filmographie, 2014
    44. Banque du blason.
    45. L'AS marciacaise rugby
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