Gimont
Gimont (Gimont en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.
Gimont | |||||
Vue aérienne de Gimont en 2008. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Auch | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone (siège) |
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Maire Mandat |
Franck Villeneuve 2020-2026 |
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Code postal | 32200 | ||||
Code commune | 32147 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gimontois | ||||
Population municipale |
3 025 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 110 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 37′ 39″ nord, 0° 52′ 39″ est | ||||
Altitude | 180 m Min. 144 m Max. 232 m |
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Superficie | 27,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Gimont (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Gimone-Arrats (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.gimont.fr | ||||
Ses habitants sont appelés Gimontois et Gimontoises.
Géographie
Localisation
Gimont est une commune de Gascogne située en Gimois entre Auch et Toulouse à 17 km à l'ouest de L'Isle-Jourdain et située à 25 km à l'est d'Auch en pays de Rivière-Verdun.
Communes limitrophes
Gimont est limitrophe de sept autres communes.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 758 hectares ; son altitude varie de 144 à 232 mètres[2].
Gimont est la capitale du Gimontois (appelé parfois Gimoès) qui occupe la bordure orientale du département du Gers. Le Gimontois a un sous-sol argilo-calcaire. Il est déjà fortement empreint des influences lauragaises tout comme les régions de la vallée de la Save qui est située plus à l'est. La brique toulousaine s'y introduit peu à peu, imposant une architecture plus robuste et plus massive.
Gimont se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[3].
Hydrographie
La commune est arrosée par la Gimone et son affluent la Marcaoue (affluent et sous affluent de la Garonne).
Voies de communication et transports
Accès par la route nationale 124, itinéraire à grand gabarit et par la ligne SNCF Toulouse - Auch en gare de Gimont-Cahuzac.
Un contournement de la route nationale 124 est programmé pour 2022 afin d’éviter le centre ville[4]. Il fait partie du projet de la mise à 2 fois 2 voies de l'axe Toulouse Auch[5].
- La gare de Gimont Cahuzac.
- Autre vue de la gare.
- La ligne SNCF.
- Le passage à niveau.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995[11] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[12],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 653,6 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 24 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] à 13,5 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Gimont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gimont, une unité urbaine monocommunale[20] de 3 025 habitants en 2018, constituant une ville isolée[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), zones urbanisées (6,8 %), prairies (4,8 %), mines, décharges et chantiers (1,2 %), forêts (0,3 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Le , noble Géraud de Brouilh, sa femme et ses enfants, firent don à Albert, abbé de Berdoues, des terres dans la forêt appelée Planasilva pour y fonder une abbaye cistercienne, l'abbaye de Planselve. De cette abbaye cistercienne ne restent que quelques maigres vestiges en bordure de rivière, sur la rive gauche (par la D 12 en direction de Saramon, à 3 km de Gimont).
Un acte de paréage est passé le entre l'abbé de Planselve et le sénéchal d'Alphonse de Poitiers, frère de Saint Louis. L'emplacement choisi était sur la paroisse de Saint-Justin, au diocèse de Toulouse, près de l'abbaye. Les frais de la construction de la nouvelle ville, d'abord appelée Francheville, ont été supportés par le comte et la comtesse de Toulouse. L'abbé et le monastère se réservèrent les églises qui seraient construites sur le territoire de la ville.
En 1274, Gimont reçut une charte de coutumes, confirmée en 1280. Le destin de la bastide est encore incertain puisque le contrat prévoyait la restitution des terres à l'abbaye en cas de non peuplement. Cette mesure prouve le caractère aléatoire de ces fondations d'agglomérations nouvelles au XIIIe siècle.
Le , un accord est passé entre les consuls de la ville et le syndic de l'abbaye précisant : le syndic réserve pour les ouvriers de l'église qui pour le temps seront, le droit de prendre librement arène et terre au lieu appelé Laurs, hors les vallats de la Grande, pour ouvrer ou besogner à l'église ou aux églises de la ville. Trois églises ont été construites dans la ville, Notre-Dame, Saint-Barthélemy appelée aussi Saint-Éloi, et Sainte-Quitterie. Il ne reste plus aujourd'hui que l'église Notre-Dame.
La bastide s'étendit sur une éminence dominant la Gimone. Elle s'accroche à la colline, en raison de l'étroitesse du promontoire (300 m) qui s'étire sur un seul axe de 1 000 m de long tandis que la rue principale fait de l'équilibre sur la crête et passe sous la halle en bois (même cas à Bassoues et à La Bastide-Clairence dans les Pyrénées-Atlantiques).
Gimont se situe sur l'un des quatre chemins de France du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, la via Tolosane.
Jusqu'à la Révolution, la bastide de Gimont érigée en consulat fut, avec 17 autres paroisses Escornboueou (Escornebœuf), Aurimont, Giscaro, Montiron, Prechac, Maurens, Sainte-Marie, Tirent (sans Pontejac), Saint-André, Laurac, Boulan (Boulaur), Polastron, Mongausy, La Has (Lahas), Andofièle (Endoufielle), Goudourvièle (Goudourvielle), Goujon, Bonrepos, une des nombreuses enclaves de la Jugerie de Rivière-Verdun dans le comté d'Armagnac.
En , Gimont accueillit des réfugiés du village alsacien de Blodelsheim qui fuyaient l'invasion et l'annexion allemandes[réf. souhaitée].
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[26],[27].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone et du canton de Gimone-Arrats (avant le redécoupage départemental de 2014, Gimont était le chef-lieu de l'ex-canton de Gimont) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes de l'Arrats-Gimone.
Elle fait aussi partie du Pays Portes de Gascogne.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2018, la commune comptait 3 025 habitants[Note 5], en augmentation de 5,36 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[34] | 1975[34] | 1982[34] | 1990[34] | 1999[34] | 2006[35] | 2009[36] | 2013[37] |
Rang de la commune dans le département | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 | 9 |
Nombre de communes du département | 466 | 462 | 462 | 462 | 463 | 463 | 463 | 463 |
Manifestations culturelles et festivités
- Salle Joseph et Gabrielle Dubarry.
- Le cinéma et l’office de tourisme.
- Le musée cantonal exposant une meule en pierre.
Meeting aérien[38]. Bach Festival Gers[39]. Marché au Gras,
Sports
- Club de basketball , l'ESG Basket engage cette saison une équipe en Nationale III et une équipe Pré-Nationale. Club de rugby à XV.
- L’Etoile Sportive Gimontoise Rugby, évoluant dans le Championnat de France de 2e division fédérale a évolué dans l’élite en 1969 (Gimont est une des plus petites villes à avoir abrité un club de première division). École de rugby,[41]
- Football
- Moto-cross
- Tennis
- Piscine d'été
Économie
La région est le principal centre de confection du foie gras. Le Gers est le premier producteur de foie gras d'oie et le second pour le canard. L'élevage sur place est important et est le corollaire de la présence de nombreuses entreprises de transformation, notamment à Gimont. Cette activité doit beaucoup à la nature du sol argilo-calcaire très favorable à la culture massive du maïs, matière première du gavage des volatiles même si la fabrication du foie gras est très ancienne dans la région de Gimont et y était déjà florissante au XVIe siècle, soit bien avant l'introduction du maïs, céréale provenant des Amériques.
Le tournesol a connu un essor important durant le XXe siècle. 9 % de la production de tournesol d'Occitanie provient du canton de Gimont.
Gimont est un important marché au gras. Il a lieu tous les mercredis matins, toute l'année et tous les dimanches matins de novembre à mars. Le marché s'adresse uniquement aux consommateurs, les professionnels n'y sont pas admis.
Les sièges des entreprises « Comtesse du Barry » et des « Ducs de Gascogne » sont situés à Gimont. Mais il existe également de nombreuses autres conserveries « à la ferme » qui produisent et vendent.
- Usine du groupe Latécoère[42].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les ruines de l'abbaye de Planselve : abbaye cistercienne du XIIe siècle.
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1939[43]. La construction de l'église est prévue dans un accord entre les consuls de la ville et le syndic de l'abbaye de Planselve en 1292. Sur la façade a été gravé la date de 1331[44],[45],[46].
- L'église vue de l’est.
- Photographie panoramique.
- Le maître-autel.
- L'orgue.
- Une scène d'un des vitraux.
- Triptyque représentant la crucifixion de Jésus située dans une chapelle.
- La chapelle Notre-Dame-de-Cahuzac est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 2017[47]. C'est un des lieux de pèlerinage les plus anciens de la Gascogne, impliquant la pose de nombreux médaillons, ex-votos et plaques de marbres à l’intérieur de l’édifice.
- La chapelle vue de l’extérieur.
- Porte d'entrée avec les douze apôtres sculptés.
- Le chœur.
- Ex-votos en marbre.
- Peintures de la voute d'une des chapelles.
- Le château de Fontenilles, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1999[48].
- La halle de Gimont du XIVe siècle.
Maisons à couverts.
- L'ancien palais des évêques de Lombez situé à l'ouest de la ville. En 1545, une ordonnance du roi François Ier créa l'annexe du séminaire de Lombez à Gimont. L'évêque séjournait parfois dans son palais gimontois dont il subsiste des vestiges : une jolie construction avec une tour hexagonale.
- Le petit musée de l'Oie et du Canard des Ducs de Gascogne présente une histoire du gavage et de la production de foie (visite gratuite).
- Le Conservatoire de la vie agricole et rurale d'autrefois présente dans un bâtiment du XIXe siècle environ 1 000 outils et objets de la vie quotidienne durant la période 1850-1950 avec une reconstitution d'une pièce d'habitat rural et d'un ancien atelier d'ébéniste.
- Le château de Larroque est situé à 1,5 km de Gimont, sur la route de Toulouse. L'édifice, de style XVIIIe siècle, a été construit en 1804. Il est implanté dans un splendide domaine d'où l'on peut apercevoir, par beau temps, la chaine des Pyrénées.
- Les arènes de Gimont dédiées à la course landaise et à la corrida. Démontables, elles ne sont installées sur la place centrale que le temps des fêtes taurines.
Personnalités liées à la commune
- Guilhem Ader (vers 1570-1638) : médecin et poète gascon né à Gimont ;
- Antonin Carlès (1851-1919) : sculpteur né à Gimont ;
- Paul-Émile Descomps (1892-1964) : sénateur du Gers né à Gimont ;
- Oléo (1906-1978) : actrice né à Gimont ;
- Paul Bacon (1907-1999) : homme politique mort à Gimont ;
- André Soubiran (1910-1999) : médecin et écrivain ayant vécu durant les deux guerres mondiales à Gimont, ville d'origine de sa mère, et où il est inhumé ;
- Francis Rui (1959-2001) : joueur de rugby à XV né à Gimont.
- Henry Nicolas François de Mauléon y est né en 1780
- Philippe Urraca
- Jean-Baptiste Charles Paya
- Famille du Cos de La Hitte
- Joseph de Pérès
- Pierre Bourgarit : joueur de rugby à XV de l’Équipe de France, né à Gimont
Héraldique
Blason | De gueules à la foi alésée d'or en chef ; à la champagne cousue d'azur, au rencontre de bœuf d'or brochant sur le champ et la champagne. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39151085)
- R. Dubord, Fondations civiles de l'abbaye de Gimont. La fondation de Gimont, p. 388-402, 429-437, 504-519, 559-567, 568-572, Revue de Gascogne, 1876, tome 17 (lire en ligne)
- R. Dubord, Les abbayes cisterciennes filles de Gimont, p. 221-226, Revue de Gascogne, 1876, tome 17 (lire en ligne)
- [Marboutin 1929] Chanoine Jean-Raoul Marboutin, « Gimont », dans Congrès archéologique de France. 92e session. Toulouse. 1996, Paris, Société française d'archéologie, , 588 p. (lire en ligne), p. 165-171
Articles connexes
Liens externes
- http://www.gimont.fr/accueil_mairie.vdom Site de la Mairie de Gimont]
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Gimont », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Site de l'Office de Tourisme
- Anne-Marie de Grazia: Madeleine en Marianne, récit de la Seconde Guerre Mondiale
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Plan séisme
- https://www.ladepeche.fr/2020/12/18/gers-le-prefet-de-region-annonce-de-nouveaux-credits-pour-terminer-la-deviation-de-gimont-9265981.php
- hhttps://www.ladepeche.fr/2021/05/13/axe-toulouse-auch-le-projet-de-doublement-des-voies-entre-dans-sa-derniere-ligne-droite-9543565.php
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ste-Anne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Gimont et Sainte-Anne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ste-Anne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gimont et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Gimont », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Gimont
- « Gimont. Franck Villeneuve et son équipe aux commandes »
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- La Dépêche du Midi, « Patrouille de France et A 380 : ça va décoiffer! », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Bach festival Gers - Les variations Goldberg / Concert pour orgue en l'église de Gimont », sur lejournaldugers.fr (consulté le ).
- http://hopital-gimont.fr/
- Site de l'école de Rugby de l'Étoile Sportive Gimontoise
- « L'usine Latécoère de Gimont fête ses dix ans et augmentera ses cadences en 2013 », sur La Tribune (consulté le ).
- Notice no PA00094804, base Mérimée, ministère français de la Culture : Église
- Marcel Durliat, L'église de Gimont, pp. 256-264, dans Congrès archéologique de France. 128e session. Gascogne. 1970, Société française d'archéologie, Paris, 1970
- Chanoine Marboutin, Gimont, pp. 165-171, dans Congrès archéologique de France. 92e session. Gascogne. 1929, Société française d'archéologie, Paris, 1929
- Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, notice BnF no FRBNF35576310).
- « Chapelle Notre-Dame de Cahuzac », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Château », notice no PA32000009, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 25 avril 2014.
- Richard Escot, « Le Top 5 des finales les plus marquantes », sur www.lequipe.fr, (consulté le ).
- Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur https://actu.fr, (consulté le ).
- « Grenoble : les mammouths et le gratin », sur www.ladepeche.fr.
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